Voici la suite (puis bientôt la fin) de l’histoire. Un problème de santé m’a empêché de la diffuser plus tôt. J’espère qu’elle vous ravira autant que ce qui précédait. Bonne lecture !
Suite…
Puis le temps passa. J’entendis Louise sortir de la chambre vers seize heures et descendre. Elle apparut sur la terrasse en culotte trouvant les autres encore endormis. Elle rentra alors puis réapparut avec un plateau de boisson qu’elle déposa sur la table. Je réenclenchais les caméras. Elle s’approcha d’Erine et aperçut les filets de spermes séchés qui s’étaient écoulés de son sexe. De nouveau, elle fit quelque chose que je n’aurais pas imaginé. Elle se baissa et entreprit de lui écarter les jambes pour se glisser entre ceux-ci et commença à lécher la fente. Erine gémit à ses coups de langue et entrouvrit les yeux pour voir qui la réveillait d’une si délicieuse façon. Louise fut surprise de voir que le liquide blanc s’écoulait aussi du petit trou plus bas et s’imagina très bien ce qui avait pu arriver durant sa sieste. Mais cela ne la rebuta pas et elle entreprit de lever les genoux d’Érine pour pouvoir atteindre l’anus avec la langue et lui faire une feuille de rose.
Elle s’amusa ainsi à faire passer sa langue d’un trou à l’autre, cherchant à s’introduire à chaque fois pour y aspirer le jus qui en sortait.
Puis, elle se redressa et entreprit de mettre en application ce qu’Erine lui avait appris et introduisit 2 doigts dans son vagin. Puis, elle chercha en faisant bouger ses doigts, qu’elle était la bonne position en fonction des réactions d’Erine et de sa respiration. Pensant être au bon endroit et dans la bonne position, elle se mit à bouger sa main en faisant pression sur le point G, si particulier pour les femmes, et Erine ne mit pas longtemps à éclabousser sa main par la cyprine qu’elle expulsait. Cependant, on n’eut pas droit aux longs jets tant attendus, le corps d’Érine n’ayant certainement plus de réserve abondante comme en début de journée. Mais Louise était heureuse du résultat, et heureuse d’avoir fait jouir Érine. Celle-ci, remise de ses émotions, se redressa et l’embrassa pour la remercier.
Les cris d’Érine avaient réveillé les 2 mâles qui avaient regardé la scène de leurs transats et le semblant de garde-à-vous de leurs chibres montrait qu’ils n’y étaient pas insensibles en rôle de voyeur. Ils s’installèrent ensuite à table pour profiter des boissons rafraîchissantes qu’avait apportées Louise. Erine, après avoir parlé à Louise, partit à l’intérieur avec le plateau. Je la suivis avec la caméra du salon et je la vis passer un appel qui dura bien 5 minutes, puis retourna dehors. Une fois attablés, ils se mirent à discuter. Les engins encore droit montraient que la discussion était toujours basée sur le sexe, mais de là où j’étais, je n’avais pas de son. Il était dix-sept heures passé. Ils étaient encore attablés quand on sonna à la porte. Qui cela pouvait-il bien être ? Je vis Louise sursauter et légèrement blêmir avant qu’Erine ne semblât la rassurer. Elles allèrent ensemble à l’intérieur alors que les 2 hommes se posaient aussi la question de qui cela pouvait-il être.
Louise alla chercher 2 peignoirs pour elles et finit par aller ouvrir la porte non sans que l’on sonnât une seconde fois. Je vis par la caméra du salon deux jeunes femmes et un jeune homme entrer. Une était blonde avec les yeux verts. Je la reconnus tout de suite, pour l’avoir vue pas si longtemps que cela : ma belle inconnue d’hier soir, qui ne l’était plus tant que cela, vu qu’elle s’appelait Janice, et qu’on avait échangé nos numéros. Elle était habillée d’un minishort en jean et d’un tee-shirt blanc échancré sous les bras où on ne voyait visiblement aucun soutien-gorge ou haut de maillot. Qu’est-ce qu’elle faisait là ? Comment avait-elle eu mon adresse ? Si elle savait qu’elle venait d’interrompre une partie de jambes en l’air, elle serait certainement partie en courant.
Et qui étaient les autres ? La seconde fille était visiblement en couple avec le jeune homme qui l’accompagnait, car ils se tenaient par la main, visiblement plus âgée, certainement la vingtaine passée, elle avait les cheveux châtains et les yeux aussi verts. La poitrine était plus opulente avec un bonnet C ou D. Elle était vêtue d’une petite jupe rouge qui lui arrivait à mi-cuisse et d’un chemisier semi-transparent où l’on apercevait un soutien-gorge blanc à travers. Le jeune homme était châtain lui aussi, un bon mètre quatre-vingt. Il devait pratiquer dans des salles de musculation, car il était taillé en V. On pouvait deviner des abdos de fer sous son tee-shirt qui dépassait d’un bermuda de plage. On aurait pu dire mon père en plus jeune. Erine fit les présentations à Louise. La blonde s’appelait donc Janice, la seconde Enora et étaient ses filles. L’homme s’appelait Kevin et était avec Enora depuis un an environ.
Elle les avait appelés pour passer le reste de la soirée ensemble, car elle les avait invités pour la journée depuis une bonne semaine, mais n’avait pas eu le temps d’annuler, suite à la précipitation de changement de plan après l’invitation de Louise.
Ainsi, Janice était la fille d’Erine ! Que le monde est petit, mais que diantre, Erine les avait invités en sachant ce qu’ils venaient de faire dans l’après-midi…
Louise ne savait pas visiblement comment réagir, se sachant nue sous le peignoir et avec trois invités de plus. Elle les convia cependant à aller sur la terrasse le temps de rapporter des boissons, puis s’arrêta net, se rappelant que les deux hommes déjà présents étaient nus aussi comme un ver. Mais il était trop tard, car Erine prit les devants pour les accompagner. Elle ne put se résigner qu’à rejoindre la cuisine et revenir avec un nouveau plateau de boissons. Elle fut soulagée en s’apercevant que les 2 hommes s’étaient réajustés de leur boxer respectif et qu’Erine, assise à côté de Mathias, avait conservé le peignoir. Louise leur servit à boire et ils se remirent à discuter. Peu après, ils allèrent au transat. Mon père partit en chercher d’autres avec Mathias, et revint rapidement avec. Louise s’allongea à côté d’Erine, ses 2 filles de l’autre côté. Les hommes, quant à eux, piquèrent une tête dans la piscine, rejoints par Kevin qui avait un maillot sous son bermuda.
C’était vraiment des tablettes qu’il avait sur le torse.
Erine, par la chaleur, défit le nud du peignoir et s’éventa légèrement. Louise aussi avait chaud dessous, mais ne se résolvait pas à l’ouvrir comme Erine. Même si je me doutais que la nudité ne devait nullement la gêner, elle ne connaissait pas ses filles et ne voulait certainement pas les choquer juste au bout de 5 minutes.
Elles discutaient entre elles alors que les hommes faisaient des brasses. Enora, à un moment, ramena ses jambes. Je remarquais le regard des hommes au bout de cinq minutes et compris que l’on pouvait voir un bout de culotte ainsi positionné. Erine, tout comme moi, remarqua le manège des hommes. Alors, l’air de rien, elle fit comme sa fille et ramena ses jambes sur le transat. Sauf qu’ouverts, les pans du peignoir glissèrent le long de chaque genou et Erine se retrouva la touffe à l’air selon l’expression, même si elle était épilée, et ne fit rien pour corriger le tir.
Les trois hommes s’approchèrent du bord où elles se trouvaient. Kevin ne semblait nullement embarrassé par ce qu’il voyait. Enora, non plus, n’avait pas bougé et maintenant, les hommes avaient une superbe vue sur une culotte et un sexe. Louise avait aussi vu le manège et fit comme ses consurs, curieuses de la suite des évènements, et visiblement toujours partantes pour une partie de jambes en l’air. Cela semblait être reparti comme dans le jeu au début de la journée. Enora semblait aussi avoir chaud et s’éventait avec son chemisier. Ce faisant, un bouton s’ouvrit, et continua un second. La belle montrait maintenant le haut de son bustier paré d’un soutien-gorge en dentelle ou les mamelons foncés se devinaient à travers. Kevin ne semblait vraiment pas s’offusquer de l’attitude de sa chère et tendre qui exposait ainsi ses dessous à la vue de tous ces hommes qui, étrangement, restaient dans l’eau; ni de celle de sa belle-mère.
Seule, Janice restait de marbre et semblait ne rien remarquer. Les hommes, eux, profitaient du spectacle. A un moment, mon père s’approcha du bord où était Louise et lui dit quelques mots doucement avant de rejoindre les 2 autres. Louise mit quelque temps sans doute à réfléchir avant de se décider.
Elle, aussi, enleva la ceinture de son peignoir pour l’ôter et s’allongea topless, ayant conservé sa culotte. Aussitôt, je vis étinceler les yeux de Kevin quand il put admirer le dessous de Louise. Les trois hommes avaient maintenant une vue sur 3 entrejambes. Seule, Janice ne semblait pas vouloir entrer dans le jeu. Mathias prononça quelques mots et les hommes sortirent de l’eau. Une fois debout, tous sans exception avaient leur virilité qui dépassait d’au moins cinq centimètres leurs hauts de maillots. Kevin était dans la même proportion que Mathias en longueur et largeur, là où mon père les bâtait sur ce dernier point. Enora avait les yeux rivés sur le sexe de mon père et Janice rougissait pire qu’une pivoine suite à la vue de ces 3 sexes en érection.
Chaque homme s’approcha de sa moitié et baissa leurs maillots pour libérer les membres prisonniers. Ce fut Erine qui prit une fois de plus l’initiative en attrapant son homme par cette trique et commença à le masturber non sans avoir craché dans sa main au préalable. Enora la suivit et se mit aussi à branler Kevin. Louise, enfin, saisit le membre de mon père et fit comme les deux autres couples. Janice ne bougeait pas et regardait le spectacle se dérouler sous ses yeux. Elle marquait cependant un intérêt particulier pour le membre de mon père et ne le quittait pas du regard. Ce fut Enora qui prit ensuite les devants et se redressa pour commencer une fellation. Suivie de peu d’Erine et de Louise. Enora, tout en léchant le sexe de Kevin, finit d’ôter les deux derniers boutons de son chemisier avant de le retirer. Il était visible que sa poitrine, même encore prisonnière, intéressait les deux hommes plus âgés.
Erine se libéra aussi de son peignoir, puis elles reprirent leurs fellations. Au bout de cinq minutes, ce fut mon père qui parla et, d’un commun accord, visiblement, les trois hommes procédèrent à une rotation. Mathias se retrouva devant Louise, Kevin devant Erine et mon père devant Enora. Les choses reprirent, bien que cela ne fut plus compliqué pour Enora. Elle aussi n’avait visiblement pas l’habitude d’un tel membre à avaler. Mais après quelques essais, et lubrifications en abondance, elle parvint à faire entrer un bon tiers du sexe. Mon père prit l’initiative de caresser sa belle poitrine à travers le soutien-gorge qu’il finit par ôter et se mit à caresser les tétons tendus de la belle. Elle avait une poitrine parfaite, en taille, en tenue…Je pense que mon fantasme serait d’avoir une femme avec une telle paire de seins.
Après de nouvelles dix minutes de succions, ils tournèrent une nouvelle fois et Kevin put profiter pour la première fois de la bouche de Louise. Elle ne semblait pas se préoccuper de son troisième sexe de la journée et était visiblement concentrée sur le plaisir qu’elle pouvait apporter à ce nouveau membre. Ce qui me choqua, ce fut qu’Enora prit le membre de son père en bouche sans sourciller. Erine ne regardait même pas sa fille sucer son père et Janice ne s’en souciait pas plus que cela, là où Louise et mon père se regardaient d’un air interrogateur sur ce qu’ils voyaient. Visiblement, ce n’était pas la première relation incestueuse entre Enora et ses parents.
Les femmes commençaient à avoir de la bave partout sur le menton, le torse, les jambes. Enora en avait plein sa jupe qu’elle n’avait pas encore ôtée. Janice n’était plus insensible au spectacle. Elle restait cependant allongée sur le transat, mais avait glissé une main dans son minishort et commençait à se caresser en les regardant, mais toujours avec un intérêt pour le sexe de mon père difficilement happé par la bouche d’Érine.
La partie fellation dura encore cinq bonnes minutes avant que Louise ne se mît en position levrette. Les deux autres femmes sur l’invitation des hommes firent de même. Kevin avait déjà pénétré Louise et faisait jouer ses muscles en la martelant de son bassin. Louise avait du mal à se tenir tellement les mouvements de Kevin étaient amples et puissants. Mon père avec Erine s’y prenait précautionneusement alors que Mathias avait la primauté d’Enora ce qui confirma leurs relations incestueuses au vu du naturel qu’ils prenaient à faire cet acte de coït. Il ne l’avait pas déshabillée, retroussant juste la jupe et écartant le tissu de la culotte. Au bout de quelques instants, ils avaient tous pris le rythme de croisière.
Je ne pouvais pas supporter de voir sans rien entendre et je pris le risque d’entrouvrir la fenêtre. Tout de suite, je pus entendre les gémissements de plaisir des femmes qui encourageaient les hommes qui les fouaillaient à l’exception de Louise qui sous les coups de boutoir, ne pouvait que tenter de garder un équilibre sur le transat. Rien que de les entendre jouir de la sorte, mon sexe me fit mal au point que je dus me masturber pour le soulager. Louise cria « stop ! » aux assauts de Kevin et demanda à changer de partenaire.
Chacun revint donc vers sa moitié respective, mais ils changèrent de position. Les hommes se couchèrent sur les transats tandis que les femmes se mirent en position pour les chevaucher. Chacun tint sa tige droite pour que les femmes puissent venir s’empaler dessus. Puis les gémissements reprirent de plus belle. C’était maintenant les femmes qui étaient aux manuvres et qui bougeaient au rythme de leur plaisir.
Ce fut Erine qui jouit la première, non sans continuer son chevauchement. Puis Louise et Enora vinrent emplir mes oreilles de leurs cris de jouissance tandis qu’Erine ne se retenait plus et semblait entrer en transe. Janice avait glissé sa seconde main sous son tee-shirt pour malaxer un sein dont les tétons pointaient durs tout en continuant avec la première à se faire du bien et l’on pouvait entendre ses légers gloussements qui dénotaient sur le reste du groupe.
Quand les femmes se ressaisirent de leur jouissance, les hommes tournèrent une nouvelle fois. Ce fut mon père qui maintenant allait s’occuper d’Enora. Les femmes se mirent en position du missionnaire et les hommes se mirent au-dessus. Mathias et Kevin, une fois introduits, passèrent les jambes de leurs partenaires sur chaque épaule, puis commencèrent leur labourage. Mon père, toujours vigilant, tint son mandrin pour son intromission. Peut-être l’entrée fut-elle facilitée par le passage des deux hommes précédemment, car mon père entra sans trop de difficulté les trois quarts de son sexe jusqu’à buter sur son extrémité. Enora exprima tout de suite le plaisir d’être ainsi rempli et parti dans des cris de jouissance que les deux précédents partenaires n’avaient pas réussi à lui extirper.
Les trois femmes gémirent de plus belle; et mon père tout heureux de satisfaire sa nouvelle conquête commença à la besogner avec endurance. Enora n’était pas en retenue et exprima trois ou quatre fois sa jouissance avant qu’Erine et Louise ne l’expriment également. Janice, elle aussi, avait joui en regardant mon père honorer sa sur, mais n’avait pas pour autant enlevé ses mains et continuait ses caresses.
Puis, comme si la nature faisait bien les choses, les trois femmes explosèrent leurs cris de jouissance à l’unisson alors que les hommes, enfoncés jusqu’au maximum permis, restaient enfoncés au fond des vagins sans exploser. Elles restèrent allongées, quasi inertes, sur leur transat, après la fulgurante et imposante jouissance subie. Une fois les trois femmes sevrées, Kevin et Mathias, d’un commun accord, se relevèrent et s’approchèrent, suivis par mon père, de Janice toujours étendue sur son transat et commencèrent à se masturber.
Erine était toujours somnolente sur le sien alors que Louise réussit à se relever et s’approcha tandis qu’Enora en eut beaucoup de peine, assommée par le nombre et l’intensité des jouissances obtenues. Janice avait relevé son tee-shirt pour dévoiler sa minuscule poitrine en comparaison des autres présentes et baissée en partie son short pour mieux se masturber en observant les trois membres, qui ne demandaient que peu de choses maintenant pour cracher leurs semences. La vision de la chatte de sa belle-sur eut raison de Kevin qui approcha son sexe du visage de Janice et lui envoya son sperme sur tout le visage et ses seins. Il devait avoir ses bourses pleines, car le nombre de giclées fut incroyable. Puis, ce fut mon père qui envoya la sauce, mais en moindre quantité, sur son visage et ses cheveux, suivi de près par Mathias. Janice exprima sa reconnaissance en s’arc-boutant sur le transat et en criant plus que la fois précédente en crispant sa main sur son sexe humide.
Peut-être était-ce son fantasme de se faire jouir dessus par la gent masculine ? En tout cas, la belle paraissait repue et se passait la langue autour de la bouche avant d’avaler ce qu’elle attrapait.
Comment pourrais-je la considérer après ce que je venais de voir ? Mon père et son père venaient de lui éjaculer dessus. Comment même pourrais-je la regarder dans les yeux ??? Mon père venait quasiment de coucher avec ce qui semblait être ma probable future petite amie…
Les hommes, eux, avaient leurs sexes en berne à l’exception de celui de Kevin (mais il avait craché seulement une fois, contrairement aux deux autres.) Et il se masturbait légèrement pour maintenir son état. Une fois fini, tout le monde se releva et se jeta dans la piscine. J’arrêtai les enregistrements et regardai la dernière scène, et avant la fin, je crachai mes dernières gouttes de spermes dans le mouchoir que je tenais en imaginant que c’était moi qui lui crachais mon sperme en pleine figure.
En regardant dehors, les couples initiaux s’étaient reformés pour juste discuter entre eux, seul Kevin avait une des deux surs dans chaque bras. Et chacune l’enlaçait sans complexe, l’une vis-à-vis de l’autre.
Erine et Mathias s’expliquaient sur leur vie de famille. J’arrivais à entendre que les parents furent, un jour, surpris par l’aînée des filles dans leurs ébats amoureux. Mais croyant que c’était la première fois, Enora leur conta que ce n’était pas le cas. Qu’elle les épiait depuis quelque temps déjà et qu’elle aimerait se joindre à eux pour voir de plus près, car malgré ses dix-neuf ans, elle était ignorante de beaucoup de choses sur le sexe et qu’elle ne demandait qu’à apprendre ! Ce fut pour eux un choc d’entendre cela, mais après un certain temps et pas mal de discussion, ils acceptèrent. Ainsi, ils laissèrent Enora les regarder pendant l’acte. Ils arrivèrent ainsi tout doucement à se libérer. Ils la laissèrent se caresser pendant son acte de voyeurisme, puis la laissèrent toucher les joyaux de famille avant de la laisser faire son premier cunni.
Petit à petit, elle participait de plus en plus jusqu’à accepter le sperme de son père sur le visage puis dans la bouche avant sa première fellation. Sa mère lui prodiguait des leçons de cunni et de doigtés pour la voir arriver à gicler comme sa mère lors de la jouissance. Enfin vint la demande qui vit l’irréparable se produire : elle implora d’être déflorée par son père, car après tout ce qu’ils venaient de vivre en quelques mois, elle ne pourrait justifier à un amant son expérience alors qu’elle était encore vierge. Ce cap de l’inceste fut difficile à passer surtout pour Mathias, car il voyait ainsi, sa fille, devenir femme par sa queue.
Mais ce qu’ils ignoraient, c’est que Janice, comme sa sur, s’était mise à les épier et demanda plus tard la même chose. Ils refusèrent tout d’abord, car elle venait juste d’avoir 19 ans quand elle fit la demande; mais soutenus par sa sur, ils cédèrent; et Mathias, une nouvelle fois, fit de sa fille une femme. Sauf que n’ayant pas été préparée de la même manière que l’aînée, elle ne supporta pas très bien la défloration. Elle se tourna alors plus facilement sur le voyeurisme des couples faisant l’amour ainsi que du plaisir solitaire ou lesbien, car les proportions des sexes de Mathias, et plus tard, de Kevin lui faisaient peur et elle préférait de plus petits calibres.
Lorsque Kevin arriva justement dans la vie d’Enora, ils durent se racheter une conduite un certain temps avant que les filles ne le mettent au courant. Puis, ils le firent entrer dans le cercle familial et depuis six mois maintenant, ils s’organisaient régulièrement des après-midi « sexe » entre eux cinq. Quand Louise l’avait appelée, Erine avait senti que quelque chose pouvait se passer et entama la discussion sur le sujet avant d’organiser ce petit stratagème à l’apéro pour une après-midi échangiste, mais voyant Louise ouverte, elle avait appelé ses filles en renfort pour agrémenter l’ensemble et visiblement, personne ne regrettait.
Mon père écouta Erine, puis il lui demanda ainsi qu’aux autres la plus entière discrétion me concernant, car il ne voulait en aucun cas que je fusse mis au courant. Louise lui fit cependant la remarque que cela pourrait rajouter du piquant si je participais moi aussi à leurs ébats et que deux queues n’étaient parfois pas de trop dans une relation. Mon père commença à grommeler, quand Érine renchérit sur le fait que plus on est de fous, et plus on rit, et qu’il manquait bien un quatrième homme cet après-midi. De plus, Enora et Janice avaient besoin de cours sur l’intromission anale avec un chibre plus petit, et qu’elle-même tenterait bien avec l’aval de son mari des perfectionnements de ce côté-là. Mon père ne tilta même pas de savoir comment elle connaissait la taille de mon sexe. Certainement que Louise le lui avait soufflé après notre première jouissance mutuelle quand elle avait trouvé les caméras.
A vrai dire, j’étais totalement partant. Cela faisait longtemps que je ne faisais que me lustrer pour perdre ma semence et que je préférais de loin la perdre au fond d’une chatte.
Mon père ne disait plus rien. Imaginer son fils baiser et enculer sa femme ne devait guère l’enchanter beaucoup. Cerné en plus par les filles d’Érine qui commencèrent à lui poser des questions sur moi : comment étais-je, ce que je faisais, s’ils savaient comment j’étais au lit ? Tout pour l’incommoder alors que Louise en savait certainement plus sur moi, mais ne voulait pas se griller auprès de lui.
Pour détourner la conversation et se venger certainement, mon père demanda à Erine si le numéro d’urologie lui avait plu. L’effet de surprise fut marqué par un silence et l’Embarras d’Erine. Ses filles et Kevin la regardèrent avec curiosité alors que Mathias semblait attendre la réponse avec intérêt. Erine regarda ses filles et les informa comment Louise avait voulu qu’elle se soulage sur elle et combien elle avait en effet apprécié recevoir l’urine de Louise sur son corps. Les deux filles parurent dégoûtées, à entendre ses paroles, mais Erine les rassura qu’elle ne le fera pas avec eux sans leurs accords, mais qu’elles devraient penser à essayer cette nouvelle approche de la sexualité.
A en voir l’état de Kevin, il semblait intéressé à l’essayer aussi. Louise le remarqua et lança : « Eh ! Les filles ! J’en vois un qui souffre visiblement. »
Elles regardèrent dans la direction qu’indiquait Louise et virent la super forme de Kevin. Les sexes des 2 autres hommes n’affichaient plus, quant à eux, le même enthousiasme qu’en début de journée.
Enora descendit de son genou et s’accroupit pour le prendre en bouche. S’ensuivirent dix minutes de fellation poussée jusqu’à l’extrême, où Kevin se libéra dans sa bouche dans un grand râle sous les applaudissements de l’assemblée.
On devrait faire un concours la prochaine fois avec des gages.
Et avec votre fils ? insista-t-elle sur mon père…
Après cet intermède, ils plongèrent tous, nus, dans la piscine. Ils batifolèrent une bonne heure où rien de sexuel ne se passa à part quelques caresses poussées. Je pus observer Janice. Elle était belle. Certes sa poitrine n’était pas aussi développée que les autres femmes présentes, mais elle avait un je ne sais quoi de féminité qui me plaisait. Je regrette de ne pas avoir eu le privilège de la connaître avant. Comment vais-je pouvoir envisager de vouloir sortir avec elle, sachant mon père lui avoir joui sur son corps en premier ? L’avoir vue goûter son sperme avant le mien ? S’il avait pu, il l’aurait même sautée avant moi. Comment pourrais-je envisager une suite alors qu’il n’y avait encore rien de commencé entre nous ?
Puis, nos invités se rhabillèrent pour partir malgré l’insistance de mon père pour qu’ils restent dîner. Ils se promirent de recommencer incessamment sous peu. La grande inconnue sera : avec ou sans moi ?
A suivre…