Je m’appelle Marion, j’ai 42 ans, 1m65, mariée, deux enfants de 18 et 20 ans. Nous vivons dans un petit village près d’Agen, une belle maison avec piscine, indispensable tant la chaleur est rude dans la région l’été. En été, nous y sommes justement, un beau samedi après midi sans nuages. Mon époux est patron dans une boutique de prêt à porter et il travaille jusqu’à 19h30. Mes enfants quant à eux sont avec leurs amis pour le week-end. Je suis donc seule dans notre grande maison un peu recluse dans ce petit village et j’ai mis les volets en persiennes pour éviter à cette chaleur étouffante de pénétrer dans la maison. C’est la belle saison, nos arbres fruitiers donnent de somptueux fruits et un peu d’ombre en période de canicule. Ayant terminé les tâches ménagères, je m’apprête pour faire un plongeon dans notre piscine. Les enfants n’étant pas là, j’enfile un maillot sexy et très échancré. De simples triangles en tissu couvrent mes tétons pointant au sommet de mes seins plutôt généreux, mes deux grossesses m’ont offert un petit 95f dont je suis assez fière. Et j’ai également enfilé le minuscule string assortit avec ce petit soutient gorge de couleur bleue. Allez direction la piscine ! J’ouvre la porte à l’arrière de la maison et alors que j’avance sur la terrasse vers notre piscine, j’aperçois un homme de dos près d’un de nos pommiers dans le jardin. Il s’agit d’un homme noir, très grand, les cheveux grisonnants, très chaudement vêtu pour la saison. En effet il porte un imperméable vieillissant, un pantalon large et semble être pied nu. Il me faut un instant pour réaliser que l’individu semble se servir une pomme. Je décide d’intervenir.

-Excusez-moi, Monsieur, que faites vous dans mon jardin ?

L’homme surprit, se retourne aussi sec et le doute n’étant plus permis à la vue de son visage mal entretenu et à son accoutrement. Il s’agissait d’un sans domicile fixe. L’homme surprit par mon intervention, tente de fuir par le fond du jardin à travers champs. Me rendant compte que le pauvre homme devait sans doute avoir faim, je décide de le rassurer.

-Attendez, Monsieur, il n’y a que des champs de ce côté, ce n’est pas grave pour la pomme, elles servent heureusement à être mangé.

-Par….pardonnez-moi, Madame, Je pensais que vous n’étiez pas là. Je ne me serais jamais permis de m’introduire dans votre jardin si j’avais su.

-Je dois bien avouer que c’est très surprenant de tomber nez à nez avec un homme dans mon jardin.

-Par…pardonnez-moi…

L’homme tente en vain de détourner son regard de mon corps ainsi vêtu. Il doit avoir une bonne soixantaine d’années et doit mesurer près de deux mètres.

-Vous devez avoir horriblement chaud dans cette tenue

-Oui en effet, mais je dois me couvrir pour ne pas risquer de brûler avec ce soleil.

-Je comprends, si vous venez vous perdre dans notre petit village, en quête de nourriture c’est que vous devez être affamé

-Oui, pardonnez-moi. Un homme dans ma situation n’a malheureusement pas le choix…

Voir ce pauvre homme dans cet état me rend triste, et je m’en voudrais de ne pas faire un geste pour ce malheureux.

-Que diriez-vous si je vous offrais l’hospitalité pour la nuit ?

-Je ne peux pas vous demander ça Madame.

-Vous ne me demandez rien, c’est moi qui vous le propose. Mon époux rentre vers 20 h, et nous serions ravis de vous accueillir cette nuit.

-Vous….vous en êtes sûr ?

-Bien sur, allé venez-vous mètre au frais.

-Volontiers…merci !

J’ai conduit cet inconnu à l’intérieur en passant par la petite porte du jardin, une fois à l’intérieur, je fus tout de suite saisi par l’odeur âpre qui émanait de lui. Ne voulant pas lui faire part de mon incommodité, j’y ai mis les formes.

-Il fait plus frais à l’intérieur n’est-ce pas ?

-Oui c’est tout de suite très agréable

-Que diriez-vous de vous rafraîchir en prenant une douche ?

-Sérieusement ? Je peux ?

-Si ça peut vous faire plaisir

-Ce serait merveilleux !

-Je vous conduis à la salle de bain, venez !

-Merci mille fois madame !

-Mais je vous en prie, c’est le moins que je puisse faire pour vous rendre la vie plus agréable.

-Merci encore

Nous nous sommes dirigés vers l’escalier qui menait à l’étage, en passant devant un miroir du salon, j’aperçus cet homme les yeux rivés sur ma chute de reins à peine couverte. Je ne m’offusquais pas du tout car un homme dans sa condition ne pouvait probablement pas bénéficier d’un tel spectacle en temps normal. De plus je trouvais ça flatteur. Nous avons pris les escaliers, je sentais son regard rivé sur mes fesses offertes. Je l’ai conduit à notre grande salle de bain, et j’ai pris mon téléphone que j’avais laissé sur le lavabo.

-Allez-y retirer vos vêtements, je vais les mettre en machines pour les laver. Je vais appeler mon époux en attendant.

-Heu….

-Allo ! Chérie ?

– « Oui ma puce, qui à-t-il ? »

-Nous avons un invité ce soir, une personne sans domicile que j’ai trouvé dans notre jardin, je t’expliquerais tout ça ce soir à ton retour. Lui dis-je en faisant un clin d’il à l’inconnu.

– »Le pauvre homme, tu lui as proposé à manger ? »

-Pas encore il passe d’abord à la douche.

Voyant que l’homme ne se décidait pas à se dévêtir, je lui fis un geste de la main pour lui dire de retirer ses vêtements. Visiblement abasourdi par la situation il retira timidement son haut me dévoilant un corps amaigri, clairsemé de poils grisonnants mais pas dépourvu de muscle. Il devait être athlétique avant d’en arriver là.

– »Tu as raison de lui proposer avec cette chaleur. Tu voulais autre chose ? »

-Oui pourrais-tu lui ramener des vêtements ? Je te donnerais les mesures après.

– »Oui si tu veux ma puce sans aucun problème. Tu penses à quelque chose de particulier comme style ? »

L’homme ne semblait pas vouloir retirer le bas, et je du froncer les sourcils pour insister. Confus, il obtempéra. C’est alors que j’ai compris pourquoi il avait tant d’appréhension à retirer le bas, ma tenue ne semblait pas l’avoir laissé indifférent. Je fus confuse à mon tour lorsque j’ai aperçu son engin. Il arborait une énorme chose de 23 cm, épaisse, parcouru de nombreuses veines et une touffe de poils grisonnants pour orner le tout. Je n’avais jamais vu un tel monstre, celle de mon mari ne dépassait pas les 16 cm et je m’en contentais déjà très bien, mais le sexe de cet homme m’émoustillait. Son membre était sublime et il puait affreusement. Voyant ma réaction l’homme semblait ne plus avoir honte et restait face à moi avec cet énorme engin me défiant.

– »Chérie ? Tu es toujours là ? »

-Oui…heu…pardon…je ne sais pas trop pour les vêtements, je te fais confiance prend ce qui te plaît.

– »Ok je vais voir ça. Tout va bien ? »

-Oui oui tout va bien mon chéri.

Je fus alors saisi par un brin de folie, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je me suis agenouillé devant cet inconnu et son énorme membre. Il eut un léger mouvement de recul et alors que je le regardais droit dans les yeux, j’ai ouvert grand la bouche et j’ai enfoncé cette queue énorme et nauséabonde profondément en elle. Le choc fut immédiat, ce mélange d’urine, de sueur et de crasse était immonde. J’ai retiré ce membre de ma bouche et j’ai eu un haut-le-cur que j’ai tu en posant ma main sur ma bouche.

– »Ok alors à ce soir ma chérie je t’aime ! »

-À ce soir mon chéri, bisous je t’aime !

L’homme semblait déboussolé par la situation, il cherchait semble-t-il quelque chose du regard. Une issue ? Une caméra cachée ? Ou était-il simplement perdu par les événements. Le téléphone raccroché et posé à terre, je ne comptais pas rester de marbre face à cette trique imposante, j’ai alors saisi ses fesses à pleines mains et je me suis empalé la bouche sur ce pieux dégoûtant. Le goût et l’odeur étaient encore répugnantes, mais la situation et la vue de cet énorme braquemart m’allumait au plus haut point. Je produisais énormément de salive pour atténuer le goût et l’odeur, alors que je prenais en bouche difficilement la moitié de son sexe tellement celui-ci était large et long. Moi qui adore être dominé, je ne décelais aucune envie de prendre le dessus chez mon inconnu. La situation semblait pour le moment lui échapper totalement, je gardais les yeux rivés vers son visage cherchant à croiser les siens alors que je lui prodiguais une pipe magistrale. Soudain son regard croisa le mien, et alors que son visage continuait sa course, ses yeux restaient plongés dans les miens. Il se calma enfin et ne lâchait plus mon regard. Je continuais mon va-et-vient baveux et la salive coulait sur mon menton et mes seins. L’homme rompit enfin le silence.

-Vous…vous êtes super-sexy madame et douée, mais je ne suis pas lavé, l’odeur doit vous incommoder. Laissez-moi au moins prendre une douche.

Il n’eut en guise de réponse qu’un haussement des épaules de ma part pour lui faire comprendre que cela m’était égal. Son regard à alors changé, il s’est soudain endurci et un petit sourire pointa à la commissure de ses lèvres. Il devint alors très familier.

-Tu es une petite vicieuse toi !

J’écarquillais les yeux, surprise par cette assurance soudaine et lui répondit par un simple clin d’il. L’inconnu a alors saisi mes cheveux bruns de ses deux mains, sentant la situation passer de dominante à dominer, je sentais ma vulve s’humidifier presque instantanément.

-Tu m’as allumé petite garce ! Maintenant je vais te défoncer la bouche car je vois que tu fais ta timide !

Il m’a alors pris la tête avec force et a enfoncé son monstre jusqu’au fond de ma gorge écrasant mon nez sur ses poils et ses lourdes couilles sur mon menton. Il me gardait ainsi empalé durant de longues secondes. Je pouvais respirer par la bouche, de temps en temps, durant ma fellation pour éviter de sentir son odeur, mais avec la gorge pleine comme ceci et le diamètre imposant de sa trique, impossible de ne pas respirer par le nez et subir cette horrible odeur. Cela ne faisait aucun doute j’allais vomir après qu’il m’ait enfourné ce sexe monstrueux dans la gorge. Il retira lentement son sexe de ma bouche pour me libérer de cette étreinte virile. Je me trompais lourdement en imaginant qu’il allait me laisser reprendre mon rythme de fellation, il s’est alors mis à me pilonner la gorge jusqu’aux couilles. Après plusieurs va-et-vient intenses et profonds, les larmes se mirent à couler sur mes joues faisant couler par la même occasion mon mascara. Le rythme était endiablé, ses couilles épaisses venaient littéralement fouetter mon menton et ma gorge était remplie d’une substance amère et piquante qui ne laissait aucun doute quant à son origine.

-Voilà ! C’est comme ça qu’on suce une queue de black grosse salope ! Je sens bien que ta gorge est remplie de gerbe mais rien ne sortira tant que je te baiserai la bouche. Tu es sacrement bonne salope regarde-moi ces gros nichons !

Il était brutal avec moi, gardant le rythme effréné de cette fellation intense d’une main ferme, il retira mon haut en tirant dessus comme une brute de l’autre main. La situation m’échappait totalement et me sentir dominé à ce point me faisait carrément mouiller. Il se mit à me pincer un téton tendu d’excitation et à le tordre me faisant horriblement mal. Il avait des mains très grandes presque capable de me prendre un sein en entier, sein qu’il pelotait allègrement avant de tendre la main et me mettre une gifle magistrale sur le sein gauche. Il changea de main et fit de même sur le droit, cette sensation douloureuse m’excitait d’autant plus.

-J’adore tes gros nichons de blanche en chaleur. J’adore ta gorge de salope je pourrais la baiser pendant des heures mais je veux mettre ma grosse queue entre tes nibards de pute.

Il a alors ressorti son énorme engin de ma gorge et je me suis retrouvé à quatre pattes à tousser et  ai renvoyé sur le carrelage blanc. 

-Que de la bile ? Tu n’avais rien mangé à par ma bite salope ?

-kof…kof… nan…je n’avais rien eu sous la dent avant cette énorme queue !

-C’est quel devient vulgaire la salope !

-J’adore être dominé, et je dois bien avouer que me faire traiter comme une chienne m’a littéralement inondé la chatte !

-Tu n’es pas seulement vicieuse, tu es une salope de nympho !

-Je t’appartiens jusqu’à 19h30 faits de moi ce que tu veux !

-Il ne faut pas me le dire de fois, le carrelage froid va me faire du bien je m’allonge, tu vas me laver les couilles dégueulasses avec la langue et faire de même avec mon trou du cul !

-Heu…

-Ferme là salope et viens me bouffer le cul !

J’obtempérais, comme guider par un instinct primitif, j’étais comme téléguidé vers cet homme éprouvé par la vie qui était allongé face à moi les jambes largement écartées en me dévoilant des couilles et un cul très sale. Je me suis rapproché de lui de la manière la plus féline qui soit et j’ai posé le plat de ma langue sur ses couilles, la sensation sur ma langue était piquante, signe qu’elles étaient vraiment sales. Je branlais cette énorme queue en même temps que je lui léchais les couilles et les gobait une à une entre mes lèvres.

-Oui salope c’est bien bouffe moi les couilles !

Il grommelait à mesure que mes mains branlaient énergiquement sa grosse trique. Quelle queue ! J’en avais déjà mal à la chatte rien que d’y penser. Il a alors saisi ces chevilles et a bien remonté ses jambes pour me présenter son trou du cul. L’odeur était insupportable mais le peu de tissu trempé de mon string trahissait mon excitation grandissante. J’y ai mis la langue la sensation était indescriptible tellement le goût était fort. J’y appliquais énormément de salive pour atténuer le goût mais l’odeur réduisait à néant mes efforts. L’homme lui était ravi de ce traitement

-C’est bien grosse salope lèche-moi bien le trou du cul, enfonces-y la langue !

Son langage cru me rendait dingue d’excitation, j’ai alors dardé la langue et l’ai enfoncé dans le canal sombre de ce clodo. Pris de frénésie je me suis mise à le pistonner et à l’enculer profondément avec la langue faisant abstraction du goût et de l’odeur pour lui procurer un maximum de plaisir. Il gémissait

-Han….oui petite chienne…tu aimes ça me bouffer le cul hein ? Un cul bien crade ! Tu es vraiment une grosse salope ! Retournes-toi met toi à quatre pattes tu vas voir comment je vais m’occuper de toi, salope de blanche !

Cet homme m’avait fait atteindre un degré de soumission jamais égalé jusque-là et j’étais comblé. Il écarta mon string sur le côté et sans plus de cérémonie il a enfoui son visage dans mon cul et m’y a mis la langue qu’il s’est mis à pénétrer sans plus attendre. Sa langue était agile et longue, il m’enculait profondément et j’adorais ça. Il plaça sa grande main sur ma chatte et fit des va-et-vient intenses sur mes lèvres intimes.

-Elle est trempé la salope !

Je sentis deux de ses longs doigts épais s’enfoncer profondément brusquement. J’avais l’impression qu’on y avait mis une queue de taille tout à fait correcte et qu’ont me baisait la chatte.

-Haaaaaaaaaaa putain j’ai l’impression qu’on vient de me mettre une queue !

-Une petite bite alors ! Je vais te défoncer la chatte tu va voir !

Il entreprit un va-et-vient intense dans ma chatte distendu par ses gros doigts, la pression était trop importante et j’étais sur le point d’éjaculer.

-Haaaaaaa haaaaaaaaaaaaaaaaa haaaaaaaa tu vas me faire jouir vieux fou !

Il a alors retiré ses doigts me laissant exploser plusieurs jets de cyprine sur le carrelage.

-Putain une vraie fontaine je vais te montrer comment on dresse une salope de fontaine comme toi !

Il plaqua le plat de sa main sur mon clito et mes lèvres et se mit à faire de violent mouvement circulaire ce qui me fit éjaculer davantage et un orgasme dévastateur me parcourait alors le corps. Mes bras ne pouvait plus me supporter et mon visage et mes gros seins se sont écrasé sur le carrelage alors qu’il continuait de me faire jouir et hurler dans la salle de bain. Quand il arrêta de me frictionner la chatte je repris mon souffle mais ce fut de courte durée. Il plaça son pied dégoûtant sur ma joue et maintenait ainsi mon visage au sol. Il était au-dessus de moi alors que j’avais le cul en l’air et le visage au sol.

-Je vais laisser ta petite chatte poisseuse de blanche pour la petite bite de ton mari ! J’ai besoin d’un trou sans font pour y mettre ma grosse queue ! Je vais te péter le cul grosse salope !

-NON ! Attend tu es trop gros pour mon cul !

-Ferme ta gueule ! Et soit une bonne chienne tu veux !

Il a alors écarté mes fesses avec ses mains puissantes et m’a enfoncé son énorme queue jusqu’aux couilles d’un seul et puissant coup de reins. La brûlure intense m’a coupé le souffle, j’étais incapable d’émettre le moindre mot en hurlant pourtant de douleur  intérieurement. Il a saisi le petit élastique de mon string et m’a complètement éclaté le cul dans un rythme endiablé. Il avait malgré son âge la fougue d’un jeune étalon et ses va-et-vient était d’une puissance inouïe. Je sentais ses couilles s’écraser sur ma chatte trempée chaque fois qu’il était bien au fond. Sa queue était tellement large qu’elle appuyait sur ma chatte à chaque passage douloureux me faisant même éjaculer

-Regarde-moi ça salope, tu éclabousse le carrelage alors que je te bourre le cul !

Cela faisait bien 8 bonnes minutes qu’il m’enculait comme un dingue et la douleur laissait peu à peu place à un plaisir naissant au fond de mon boyau. Je pus enfin parler.

-Putaiiiiiiiinnnnnnnnnn, tu me casses le cul !

-Haaaaaaa revoilà la petite salope, je pensais t’avoir perdu tu ne disais plus rien.

-On ne m’a jamais ravagé le cul de cette façon tu es dingue !

-Tu as un bon cul de salope, il faut l’encaisser ma grosse queue ! Bravo !

-Je vais probablement boiter après ça !

-HAHAHA!C’est même sur j’en ai pas fini avec toi ! Tu vas prendre cher !

-Hannnn….oui encule-moi ! Baise-moi le fion avec ta grosse queue de noir !

-J’en ai jamais vu des grosse salope comme toi et pourtant j’en ai vu passer !

-Je suis à toi ! Je suis ta chienne !

-Arrête de m’allumer comme ça où tu vas le regretter !

-Hummmm je suis ta grosse PUTE !

Il a alors retiré son pied dégouttant de mon visage et m’a saisi les bras par les poignets et ma fait cambrer mon dos en me tirant en arrière. Toujours profondément enfoncé dans mon cul, il s’est alors déchaîné et ma démolit l’orifice à violent coup de queue. Un violent orgasme me parcourait alors le rectum resserrant ainsi les parois de mon trou du cul sur cet énorme chibre qui me dévastait. L’orgasme ne s’arrêtait plus et la pression de mon cul sur sa queue eut raison de mon assaillant.

-Putain de grosse pute tu vas me faire éjaculer ! Redresse-toi je vais t’éclabousser la gueule et les nibards !

Il a retiré sa queue imposante de mon cul complètement dilaté par ce martèlement et ma chatte à littéralement éclabousser le sol avec de puissants jets de cyprine j’étais complètement paralysé par la jouissance qui n’en finissait plus et il m’a alors attrapé par les cheveux d’une main ferme et m’a relevé face à son énorme bite. Il se branlait violemment et dans un crie presque animal de sa part, de puissants jets de foutres brûlants vinrent m’éclabousser le visage, les cheveux et les seins. Il s’est alors assis sur le rebord de la baignoire et à repris son souffle. Tant qu’à moi j’étais assise à genoux les pieds sous les fesses la chatte ruisselante de mouille et le cul encore tout dilaté.

-Tu es une sacrée salope toi ma parole !

-Tu es une machine toi ! Quelle énergie !

-C’est que j’étais bien en manque madame !

-Ravi de t’avoir apporté mon aide !

-Merci de m’avoir prêté ton cul !

-Tout le plaisir est pour moi !

-Comment t’appelles-tu ?

-Marion !

-Enchanté Marion, moi c’est Jean Baptiste !

-Enchantée JB !

-Je peux prendre ma douche cette fois ?

-Bien sûr je t’en prie, je vais mettre tes vêtements à laver.

-Merci beaucoup c’est très aimable à toi

-Mais de rien profite bien de la douche.

-Merci !

Je marchais difficilement et j’ai pris ses vêtements pour les mètres en machine. Malgré la fraîcheur dans la maison j’étais en âge, je me suis alors précipité pour piquer une tête dans l’eau fraîche de la piscine. J’ai fait deux trois longueurs avant de me poser au bord les bras sur le rebord et le corps totalement nu dans l’eau. Je me reposais quand j’ai entendu un bruit d’éclaboussures dans mon dos je me suis retourné et sous l’eau une forme venait vers moi quand soudain, JB sorti la tête de l’eau face à moi. Il plaça ses mains sur le rebord de la piscine et alors que je remontais les jambes pour rester à flot, j’ai senti son énorme queue écarter les lèvres de ma chatte et s’y enfoncer profondément.

-Mon Dieu quel morceau !

-Maintenant que je suis propre je vais baiser ta petite chatte de blanche ! Et te montrer c’est quoi une queue et non une bite !

Je me suis alors rendu compte qu’il m’avait baisé sans capotes et que sa volonté de me prendre par le cul était dû au fait de son manque d’hygiène. Derrière son comportement un peu brut, ce vieil homme était en fait plein de bonne attention à mon égard et je lui ai alors répondu avec le sourire

-Hummmmm avec plaisir !

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