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Histoire de sexe – Chapitre 2




Voilà une dizaine de jours que papa est parti pour son travail, il sillonne les plates-formes pétrolières en qualité de responsable de la sécurité sur les systèmes de forage et de stockage. Il me manque, je suis très fusionnelle avec mon père, pour moi il incarne l’homme parfait, il est pour moi, un père, un guide, un ami, un copain, le premier homme de ma vie. Encore 15 jours à patienter avant son retour.

Depuis son départ, la vie à la maison s’écoule paisiblement, le travail et la maison à gérer pour maman, la fac pour mes frères, pour moi, le lycée, le sport et mes pensées érotiques omniprésentes.

Nous sommes vendredi soir, veille de week-end pour tout le monde. Demain c’est une journée mère-fille qui s’annonce rien que toutes les deux à se faire chouchouter au programme : coiffeur esthéticienne manucure et shopping !!!!!! Vivement demain j’ai vraiment hâte de partager ce moment avec ma délicieuse maman.

Pour l’heure, je suis seule à la maison, maman est au travail et mes frères doivent certainement échafauder un plan pour le week-end. En attendant que tout ce petit monde fasse son apparition, je monte dans ma chambre et je m’installe à mon bureau pour travailler mon TP de philosophie.

Je me plonge dans la lecture de mon texte à étudier, j’en profite pour extraire l’idée maîtresse, les contradictions et je me mets à écrire mon résumé, tout en développant mes propres idées. Sans vraiment m’en rendre compte je suis en train de rédiger une dissertation. Le temps passe, je suis sortie de ma réflexion lorsque j’entends la voiture de maman.

— Coucou ! Il y a quelqu’un ? demanda ma mère.

— Oui maman je suis en haut.

Laissant choir la philo, je me précipite en bas et je rejoins maman.

— Coucou ma puce ! Me dit-elle en me faisant une bise.

— Coucou maman ! En lui faisant également une bise.

— Tu es seule, les garçons sont là ?

— Non, les garçons ne sont pas encore rentrés lui dis-je.

— Comment ça s’est passé au lycée aujourd’hui ? Me demanda-t-elle.

— Bah, une journée classique, rien de bien transcendant tu sais.

— Et toi maman ta journée ?

— INTERMINABLE, entre les réunions, les expertises des dossiers, je suis exténuée me dit-elle.

— Tu sais quoi maman, va te relaxer dans un bon bain chaud, je m’occupe du repas.

— Merci ma chérie, tu es merveilleuse.

Sur ces paroles, je regardais maman se diriger vers l’escalier qui mène à l’étage, avec toujours cette admiration pour sa beauté étincelante.

Mais pourquoi suis-je autant attirée par le corps de maman pensais-je ?

Dans le même temps, j’entendis la voiture de mon frère Erwan, suivi par le bruit de la moto de Stéphane.

Les deux garçons franchirent la porte ensemble.

— Coucou surette ! dirent-ils en chur, en me déposant une bise en simultanée sur mes joues.

— Coucou les garçons ! Dis-je en envoyant à chacun une bise fictive.

— Maman est là ? demanda Erwan.

— Oui, elle est dans son bain.

Mes deux frères prirent la direction de l’étage pour prendre la douche.

Je repris le cours de mon investissement dans la préparation du repas. Je préparais une salade verte accompagnée d’une vinaigrette maison, d’une viande poêlée, le tout avec des pommes de terre gratinées cuites au four.

Je mis la table et attendis que tout le monde refasse surface. Maman fut la première à redescendre vêtue de son pyjama bordeaux en soie. Elle était merveilleusement belle, sa chevelure rousse contrastait avec la couleur de son ensemble de nuit. Suivi de près par Erwan et son traditionnel short tee-shirt, il n’est pas taillé dans la pierre, très peu sportif hormis sur sa fameuse console ou il est champion toute catégorie, il a de l’embonpoint sans être disgracieux pour autant, il porte bien son 1.65m et ses 65 kilos avec ses yeux marron et ses cheveux châtains font qu’il a un petit charme. Et enfin mon frère Stéphane fait son apparition, vêtu de son jeans et d’une chemise blanche.

— Wahhh !! Merci pour tout ceci ma chérie, me dit maman.

— De rien maman, ça me fait plaisir de te rendre service.

— Tu es vraiment classe Stéphane, tu sors ce soir ? Demanda maman.

— Oui, je sors avec de potes, on va juste boire un verre en centre-ville.

Nous passâmes à table dans la joie et la bonne humeur. Nous discutâmes tous ensemble de choses diverses et variées. Le repas prit fin et maman demanda aux garçons de débarrasser la table pendant qu’elle arroserait les fleurs sur la terrasse.

— Bon, moi je file sous la douche, bonne soirée frérot, amuse-toi bien ! Lui dis-je.

— Merci petite sur à demain.

— Bon, maman, j’y vais. A demain. Bisous.

— Bisou ! Mon chéri à demain soit prudent.

— Tchao frangin.

— Tchao éclate-toi bien. Lui répondit Erwan.

Je grimpai l’escalier en direction de ma chambre. Une fois dans celle-ci, je me déshabillai et me retrouvai nue devant le miroir, à contempler mon corps avec un il critique.

Sous la douche, je me surpris à toucher ma poitrine de façon à faire durcir mes tétons, j’adore voir l’effet que cela peut produire, de les sentir se durcir sous mes doigts. Mes caresses étaient plus franches, plus appuyées que la dernière fois, je me pétrissais les seins à deux mains, je les malaxais. L’eau chaude associée à mes attouchements me plongea lentement et inexorablement vers le plaisir quand je fus sortie brutalement de ma torpeur par maman qui me demandait si tout aller bien vu que cela faisait 40 minutes que j’étais sous la douche.

Sortant de celle-ci, j’enfilais ma nuisette rouge à très fine bretelle ainsi que mon peignoir et redescendis rejoindre maman et Erwan. Maman était assise dans le canapé, les jambes croisées. Mon frère assis à côté d’elle, sa tête contre son épaule, je fus surprise par cet élan de complicité entre eux, surprise également par le côté câlin d’Erwan, lui qui n’est pas expressif et démonstratif.

La soirée se passe tranquillement, tous absorbés par la série U. S. qui est au programme. Maman se leva la première pour rejoindre sa chambre.

— Bonne nuit les enfants, à demain, bisous.

— Bisous maman, à demain, bonne nuit.

— Moi aussi je monte déclara Erwan.

Je me retrouvais seule devant la télévision si bien que dix minutes plus tard, je décidais à mon tour de regagner ma chambre. En grimpant les escaliers, j’entendis du bruit venant de la chambre de ma mère.

Que se passait-il ? Maman était-elle malade ? Avait-elle du chagrin dû à l’absence de son mari ?

Alors que j’allais entrer dans sa chambre pour m’assurer que tout aller bien, je fus stoppée net, paralysée par ce qui était en train de se dérouler là, devant moi !

Erwan et maman étaient nus, debout, face l’un à l’autre.

Mon frère avait sa bouche sur un des seins de maman, je voyais sa langue tournée autour et sur le téton, le faisant pointer et durcir à souhait. Son autre main explorait, le fessier galbé de notre mère. Maman avait la tête en arrière, sa longue chevelure balayant son dos, les yeux fermés, elle semblait fortement apprécier la caresse buccale de son fils. Maman avait sa main droite sur la nuque d’Erwan exerçant une pression sur cette dernière afin que la caresse soit plus accentuée.

— Humm !!! J’aime quand tu me lèches, que tu me mordilles mes pointes. C’est bon.

— Tes seins sont goûteux maman. J’aime les toucher, les sucer, les lécher.

Erwan tétait les seins avec vigueur, sa bouche recouvrit le mamelon ainsi que le téton du sein de notre mère. Le souffle de maman avait changé, il était expressif d’un plaisir naissant, le plaisir de se faire lécher et triturer la poitrine par une langue chaude, humide et agile.

— Continue mon chéri, j’aime ta façon de me faire durcir les seins. Humm c’est bon. OH oui !! Comme ça.

Les mains plaquaient sur les fesses de sa génitrice, les malaxant, les pétrissant, il entreprit de descendre lentement en embrassant et léchant le ventre, le nombril de maman.

Elle fût parcourue par un frisson, quand elle sentit la langue de son fils passait lentement sur ses lèvres vaginales, maman attrapa la tête de mon frère et la plaqua contre sa vulve pour mieux ressentir la chaleur de sa respiration ainsi que les assauts linguaux de mon frère.

— Maman tu es tout humide, j’aime quand tu mouilles comme ça. Dit-il.

— OHHHH OUIII, ta langue me fait du bien, passe-la bien sur mon clito, fait le durcir. AHHHHH, OUFFF c’est trop bon. Gémit-elle.

Je n’en croyais pas mes yeux, ni mes oreilles, ma mère cette femme que j’admire pour son corps, pour sa beauté se faisait littéralement manger son intimité à grands coups de langue, et ses ondulations du bassin, ses gémissements, son souffle court, ses halètements semblaient clairement indiquer qu’elle prenait un véritable plaisir à s’offrir aussi impunément à son propre fils.

Je voulais entrer dans cette chambre, tout faire pour arrêter ce spectacle. Mais je n’arrivais pas à bouger comme si une force retenait toute intervention de ma part et cette petite voix intérieure me disant de regarder cette fusion non entre deux membres de la même famille mais entre deux corps, celui d’une femme et d’un homme.

Maman était debout, mon frère entre ses cuisses à se délecter du fruit maternel et de cette liqueur qui s’en échappait. Maman tête baissée, regardait son fils en action, ses mains agrippant cette chevelure châtain pour que cette bouche reste collée à son puits d’amour. L’excitation de notre mère ne faisait plus aucun doute, avançant sa ceinture pelvienne pour garder un contact continu avec cette langue qui maintenant s’insinuait aussi loin que possible dans sa vulve.

— Ouiii !!! Continue, n’arrête surtout pas mon chéri. Ahhhhh comme c’est bon. Je mouille comme une folle. Tu m’excites énormément. ARHHHH

Ma mère s’arracha de cette étreinte linguale, son corps étant secoué de spasme, tremblante de la tête aux pieds, son sexe trempé de cyprine. Elle regarda son fils dans les yeux avec une envie, un désir sexuel réciproque l’un pour l’autre.

Le tableau offert devant moi était à la fois gênant et excitant. Inconsciente de mes gestes, je dirigeais ma main vers mon entrecuisse, mon sexe était humide comme jamais, ma propre mouille coulait sur le haut de mes cuisses, mes seins étaient douloureux, leurs pointes étaient dures et sensibles, le frottement de ma nuisette sur mes tétons me provoquait des décharges dans mon bas-ventre.

Je n’en revenais pas moi-même, cette scène totalement immorale me troublait et m’excitait profondément.

En me relevant, je vis le sexe turgescent de mon frère tendu à l’extrême et gorgé de désir. Il était intégralement épilé, de taille raisonnable, je fus surtout surprise par son épaisseur et son gland.

Maman toujours debout, posa une jambe sur le rebord du lit et offrit un accès direct à son mont de Vénus. Erwan certainement fier de sa prouesse buccale s’attaqua à une exploration manuelle du sexe de notre mère, il aventura ses doigts sur le clitoris de maman et commença à le malmener pour que ce dernier déjà bien sollicité sorte à nouveau de sa cachette.

La réaction de ma mère ne se fit pas attendre bien longtemps, elle s’empara du sexe de son fils et commença des lents va-et-vient sur toute la longueur de la tige de chair, mouvements qui se faisaient de plus en plus amples.

— AHH !!!! Maman tu me branles si bien, j’aime HUMMM le contact de ta main sur mon sexe.

— Mon grand, j’aime quand AHHH !!! OUIIII !!!! Tu me fouilles le vagin c’est si bon. J’aime des doigts puissants dans mon fondement.

Je voyais les doigts de mon frère qui s’activaient dans la vulve de maman, cette dernière s’abandonna complètement à cette divine pénétration. La cyprine lui coulait abondamment sur les cuisses et sur les doigts d’Erwan, les portant à sa bouche, il s’abreuvait du nectar sortant du coquillage de notre mère.

Maman comme Erwan haletaient de plus en plus fort, l’effluve des hormones sexuelles, les corps transpirant, étaient la preuve de leur complicité et du bonheur qu’ils éprouvaient.

L’ébat qui se déroulait devant moi m’horrifiait et m’exaltait, mon corps réagissait, mon bas-ventre était en ébullition, mes seins étaient douloureux, mon clitoris pointait à présent hors de sa cachette, mes lèvres vaginales étaient gonflées, je me mordais la lèvre inférieure pour ne pas crier mon plaisir, ma respiration était bruyante et saccadée. J’étais excitée tout simplement.

Je ne voyais plus que deux corps qui réagissaient aux caresses que se prodiguaient les deux amants d’un soir.

Comment pouvais-je penser cela ? Comment pouvais-je expliquer mon excitation ? Alors qu’il s’agissait de ma propre mère avec mon propre frère.

Pourquoi ne pas avoir crié ? Pourquoi ne pas avoir tenté de mettre un terme à cet ébat ?

L’excitation était à son paroxysme, les deux amants étaient dans un état second, comme possédés.

Maman arrêta sa masturbation et se mit à genoux devant lui, sa bouche à la hauteur de son sexe. Elle embrassa le gland qui sursauté à chaque baiser, puis commença à le lécher du bout de sa langue comme on lèche une crème glacée. Cette caresse exercée par maman fut accompagnée par une masturbation légère de la base du pénis.

Erwan se mordit les lèvres quand maman prit son vît en bouche tout en posant ses mains sur les fesses de son fils.

— Hummmm !!! Maman que c’est bon. OUIIIII j’aime ta bouche sur mon sexe.

La tête an arrière et les yeux fermés, mon frère semblait fortement apprécier la douceur de la bouche de notre mère si j’en crois les contractions de ses fesses. Maman attira Erwan en avant pour l’engloutir entièrement. Le sexe de mon frère disparut dans la bouche de maman.

Elle commença une divine fellation, aspirant son sexe, creusant ses joues, jouant avec sa langue autour de cette colonne de chair, salivant abondamment sur ce sexe. Maman lui prodiguait une savante et experte gorge profonde. Les bruits de succion et les gémissements, les râles et plaintes de plaisir envahirent la pièce.

Je n’arrivais pas à détacher mon regard de cette bouche avalant et rejetant ce sexe ; c’était à la fois beau et hideux. Hideux de par cette position de femme soumise attendant l’offrande.

— AHRRR ta bouche est bonne maman d’amour, C’est bon de te sentir sur mon sexe. Ne t’arrête pas.

Maman alternant fellation et masturbation regarda son fils droit dans les yeux.

— Tu aimes quand je te pompe fortement que ton sexe bute au fond de ma gorge.

— Oui, Maman tu m’excites trop c’est BON !!!!, j’en ai mal aux couilles tellement tu me suces.

Mes chastes oreilles venaient d’en prendre un sacré coup avec tous ces mots. Ils se comportaient comme…….. Je ne saurais le dire sur le moment.

— Attends mon grand, je vais te gober tes belles poires à jus d’homme.

Sur cette déclaration, maman souleva la verge de mon frère et tout en le masturbant, elle lui goba entièrement un testicule. Alternant léchage de ses parties intimes et gobage. Cette torture ne dura que quelques minutes avant que ma mère ne reprenne le sexe de son fils entièrement en bouche.

Erwan agrippa la tête de maman par ses cheveux et lui imposa une pénétration profonde et brutale de la bouche et de la gorge. Maman la bouche ouverte se faisait littéralement prendre sa cavité buccale, il poussa sa colonne veineuse un peu plus loin à chaque poussée, si bien qu’il finit par buter au fond de la gorge de notre mère. La salive de maman coula sur la verge turgescente de mon frère. Maman était déchaînée, Erwan se retenait de ne pas jouir, son souffle était rauque, sa respiration bruyante, son front et son torse en sudation complète.

Maman décida de mettre un terme à cette étreinte presque fatidique pour mon frère.

— Viens mon grand, prend moi maintenant je ne tiens plus, j’ai très envie de te sentir en moi. Je veux être remplie et prise fougueusement par ton membre viril.

Ma mère en se relevant, me dévoila l’intégralité de son corps, en remettant ses cheveux en place, elle m’offrit une vue splendide sur ses formes, je constatais la beauté de ma maman, son opulente poitrine avec son 95 B, ses seins ronds qui remontent haut, son ventre plat, ses hanches bien dessinées, sa cambrure de reins, ses fesses galbées et fermes, son sexe impeccablement épilé et luisant de cyprine, faisait de ma maman une femme incroyablement belle et désirable.

Elle prit position et mon frère vint se coller contre ses fesses, son sexe luisant de la salive de maman et fièrement dressé, cherchant l’entrée de l’antre maternelle. Maman dut le guider en se cambrant davantage, m’offrant au passage une vue imprenable sur sa plus stricte intimité. Se saisissant du sexe de son fils, elle le dirigea et pointa le gland à l’entrée de son vagin.

Erwan, dans une violente poussée, pénétra notre mère d’une seule traite lui arrachant un cri, ses bourses venant battre contre les cuisses de maman.

— OHHHHH OUIIIIII mon chéri, je te sens bien en moi. Vas-y, prends-moi. OUCHHHHH ENCORE !!!!

Sous ses injonctions, Erwan pilonna notre mère dans une frénésie de mouvements plus ou moins désordonnés. Ses puissants va-et-vient projetaient notre mère en avant à chaque coup de butoir faisant ballotter ses seins d’avant en arrière.

— Maman c’est trop BON !!! Tu es chaude et humide. Ton vagin m’aspire. Quel pied de te prendre !

— OUIIII !!!!! Mon salaud, pilonne-moi fort, AHHHH PLUS FORT !!!!! PLUS VITE HUMMM c’est bon de te sentir cogner au fond de ma matrice.

— Branle-moi le clito en même temps que tu me prends.

Tous les bruits qui me suivirent ne furent que gémissements, soupirs, râles de plaisir, les respirations étaient saccadées.

Erwan tenant ma mère par les hanches ne put se retenir plus longtemps avec ce rythme effrayant. Maman sentant la fin proche contracta ses muscles vaginaux afin d’exercer une pression supplémentaire sur le sexe de mon frère. La tête en arrière, la bouche grande ouverte et les yeux fermés, il était proche de l’éjaculation. Les spasmes de ses cuisses signifiaient qu’il était en train d’éjaculer dans le ventre de notre maman.

— JE JOUISSSSSSSSSS, lança-t-il dans un dernier sursaut.

— OUIIIIIII !!!!! Mon chéri, je sens ton liquide chaud m’envahir.

Maman se mordait la lèvre inférieure, serrant fortement dans ses mains le pauvre drap du lit. Ses cris furent étoffés par un râle de plaisir. Les corps des deux amants du soir furent secoués de violents spasmes et tremblements.

Mon frère se dégagea de maman et s’effondra à côté d’elle en état d’hyper ventilation.

Je m’aperçus à ce moment-là, le liquide blanc refluant du vagin de ma maman et qui coulait sur ses cuisses. Mon attouchement prit fin lors de leur prise de plaisir, j’avais toujours ma main sur mon sexe et les pointes de mes seins dressées, quand mon regard croisa celui de maman dans le miroir.

Prise de panique, je rejoignis ma chambre au plus vite.

A suivre……..

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