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Le récit de ma vie – Chapitre 3




Chapitre 3 Morgane

L’appartement où j’habitais était situé dans un quartier récent, composé de nombreux HLM. La plupart des appartements de mon immeuble étaient loués par des étudiants. Les transports en communs passaient presque devant chez moi, et un restaurant universitaire était situé juste en face. Ce restaurant appartenait à un organisme dÉtat, ainsi que tout le bâtiment d’ailleurs, qui comptait de nombreuses chambres d’étudiants pour ceux qui n’avait pas les moyens de louer un appartement dans le privé. Il m’arrivait très souvent d’y déjeuner, le prix était attractif, ça me faisait gagner du temps, surtout quand j’étais pressé entre deux cours, et parfois je voyais des connaissances.

Et justement, la semaine suivant mon aventure avec Noémie, qui avait été mon premier plan à 3, j’étais tranquillement assis à une table de ce restaurant, quand un bruit de plateau me fit lever les yeux. Des amis, ou plutôt des connaissances, venaient de sasseoir à ma table. Il y avait deux garçons avec qui j’avais sympathisé, ils habitaient cet immeuble, et nous nous étions connus dans ce « restau U ». Avec eux, il y avait une fille, que je connaissais également car c’était avant tout ma voisine. Ils étudiaient tous les trois dans la même école, et je ne les voyais donc que certains midis. Nous avons bavardé des derniers résultats de chacun, des prochaines soirées, de la dernière série à la mode. Morgane, la belle plante assise en face de moi, participa peu à la conversation. J’ai remarqué qu’elle me regardait avec insistance dès que je parlais aux autres. Mais je décidais de ne pas y prêter attention. À la fin du repas, les deux amis prirent congés. Je voulu moi aussi rapporter mon plateau, lorsque j’ai remarqué que Morgane n’avait toujours pas fini son plat de résistance.

— Veux tu que j’attende que tu ais fini ? proposais-je.

— Ça serait gentil oui. Je suis désolée, je suis longue pour manger.

— Ce n’est rien, j’ai tout mon temps aujourd’hui.

Nous avons bavardé un peu. Elle me regardait dans les yeux, encore une fois, sans toucher à son assiette. Pour vous la décrire, je dois vous dire qu’elle avait de beaux yeux marron, en accord avec une chevelure châtain de même teinte, qu’elle aimait coiffer avec beaucoup de volume. Elle aimait se maquiller juste ce qu’il fallait, sans tomber dans la vulgarité. Son visage était doux et agréable à regarder. Elle faisait environ 1m75, et avait un corps magnifique, svelte, de jolies hanches bien dessinées, et une forte poitrine qui attirait le regard, par contraste avec la finesse de son corps (elle a d’ailleurs remporté le titre de première dauphine à un concours régional de miss quelques années plus tard).

— Tu as fais une soirée chez toi la semaine dernière. Je vous ai entendu, lança-t-elle.

— Ah. Oui, tu n’étais pas là alors j’ai laissé un mot dans ta boîte aux lettres pour te prévenir qu’il y aurait du bruit. Tu ne l’as pas reçu ?

— Si si, je l’ai vu. Mais j’ai entendu des cris.

— C’est vrai qu’on s’est beaucoup amusé. Je suis désolé si ça t’as dérangé. Tu sais, c’est rare que j’organise des soirées chez moi, donc tu devrais être tranquille un bon moment du coup et…

Elle me coupa la parole.

— Je te parle des cris de ta blondinette.

— Tu veux dire Noémie ? Ah. Ben c’est vrai qu’elle a poussée quelques cris à la fin de la soirée …

— Elle avait l’air de bien s’amuser je trouve.

Elle venait de me faire un clin dil.

— Donc la jolie blonde s’appelle Noémie. Et le gars qui est sorti de chez toi avec elle ?

— Enzo. Mais comment tu as su que…?

— Les bruits de porte, les fenêtres qui donnent sur l’entrée de l’immeuble. C’est facile de savoir ce genre de chose. J’étais étonnée que toi et ta petite amie vous puissiez vous amuser avec un autre gars dans ton appart’.

— Et bien c’est pas ma petite amie en fait, c’est Enzo qui accroche sur elle. Et d’ailleurs c’est avec lui qu’elle a criée.

— Ah bon ? Répondit-elle, intéressée. Et toi tu faisais quoi ?

— Pourquoi tu veux savoir ça ? C’est pas déjà assez gênant tu trouves ?

— Pas du tout. En tout cas moi ça m’a excitée ce soir là. J’ai pas résisté à l’envie de me toucher. Et puis t’imaginer en train de donner du plaisir à la blondinette… j’arrive pas à me sortir ça de l’esprit.

— Comme je te l’ai dis, c’est Enzo qui lui a fait l’amour, moi je suis resté à côté, et aux préliminaires un peu aussi. Enfin, c’est juste que tu t’es mal imaginée la scène.

— Ah bon ? Elle semblait déçu. Et tu ne regrettes pas de ne pas l’avoir prise ? De la faire crier aussi ?

— Non. Certes je n’aurai pas dis non si nous étions seuls, mais je savais qu’Enzo la désirai, et je ne voulais pas m’imposer entre eux deux.

— Moi je n’aurai pas dis non en tout cas. Je suis sûre que toi aussi tu aurais pu la faire crier n’est ce pas ? Me demanda-t-elle en se léchant la lèvre.

Je n’en revenais pas, ma voisine m’allumait carrément. J’espérais que les autres tables ne nous entendaient pas.

— Bon moi je rentre chez moi, dit-elle en se levant, si tu n’as rien de prévu, tu pourrais venir chez moi, on pourrait peut-être se détendre un peu.

Elle pris son plateau, me fit un clin dil, et partie le ranger. Je n’ai pas hésité une demi-seconde avant de me lever à mon tour. Un instant plus tard, nous étions dehors. Lorsque que j’ai tenté de l’attraper par la taille et la prendre contre moi elle s’est libérée et a couru vers notre immeuble. Je l’ai rattrapé devant la porte du hall d’entrée, je l’ai plaqué contre la porte vitrée et j’ai plaqué mes lèvres contre les siennes. Elles étaient douces et chaudes. J’ai senti ses cheveux sur mon visage. Ma langue a rencontrée la sienne, et j’ai commencé à jouer avec, quand un tapotement sur la porte vitrée nous a fait sursauter. Un résident voulait sortir du bâtiment et nous bloquions l’accès. Nous nous sommes excusés rapidement avant de fuir vers les ascenseurs.

Nous nous sommes embrassés de nouveau jusqu’à ce que les portes s’ouvrent. Je l’ai attirée à l’intérieur. Dès que les portes se sont refermées, j’ai passé une main sous ses vêtements, pour atteindre sa poitrine. Ses tétons pointaient à travers son soutien-gorge. Je sentais la fermeté de ses seins à travers le tissu. Pendant ce temps elle avait ouvert la fermeture de mon jean et avait pris ma verge en main. Quand nous sommes arrivés à notre étage, nous avons foncé jusqu’à sa porte. Tandis qu’elle cherchait ses clés, j’ai ouvert le bouton de son pantalon, et j’ai glissé ma main dedans jusqu’à sentir le tissu humide qui couvrait l’intimité de ma voisine. J’ai commencé à la caresser dans le couloir, pendant que j’embrassais chaque centimètre de peau de son cou. Elle parvint enfin à ouvrir sa porte, et nous sommes entrés en claquant cette dernière.

Nous avons jeté nos sacs et nos manteaux par terre. Cette fois ci, c’est elle qui m’a plaqué contre la porte. Elle a passé ses mains sous mon t-shirt, je les sentais sur mon ventre, sur mon torse. J’ai baissé son pantalon et j’ai caressé ses fesses, bien hautes, bien fermes, une petite taille 38. Le bonheur. Nous nous sommes déshabillés mutuellement. La belle ne portait plus maintenant qu’un ensemble en dentelle blanc, soutien-gorge et string. Elle s’agenouilla devant moi, toujours plaqué contre la porte, et commença à me masturber d’une main, tout en caressant mes bourses avec l’autre. Je pouvais voir par au-dessus sa magnifique poitrine enfermée dans son sous vêtement, une vue magnifique. Je fermais les yeux, la laissant jouer avec moi, lorsque je sentis sa langue partir de mes bourses et remonter jusqu’au bout de mon gland. Elle m’arracha un frisson. J’ouvris les yeux et croisa son regard. Elle me fixait tout en jouant de sa langue sur mon gland. Elle mexcitait de plus en plus. Elle me fit une fellation magnifique, jouant de la langue et des mains, alternant sensualité et bestialité, caressant mon corps, jouant avec mon périnée, suçant ma verge, aspirant mon gland. Elle me donnait beaucoup de plaisir. Et elle le fit durer longtemps.

— Tu vas me faire jouir Morgane, lui dis-je, sentant mon orgasme tout proche.

Elle arrêta sa pipe et me masturba frénétiquement, avec ses deux mains, me regardant en se léchant les lèvres, ce qui eu raison de moi. Je me vis éjaculer sur elle, mon sperme retombant sur son menton, son cou, ses seins généreux. Elle porta la main sur son cou, et étala mon sperme sur sa poitrine.

Pendant que je récupérais, elle se releva, et, tout en me faisant face, elle retira lentement son soutien-gorge. J’ai alors pu voir apparaître probablement la plus belle poitrine que j’ai vu de mes yeux à ce jour : elle faisait du 95D, qui semblait encore plus gros du fait de la taille fine et du ventre plat de ma voisine. Ses seins tenaient bien en place, bien hauts, et ils étaient bien fermes, rehaussés par des tétons roses qui pointaient, lesquels étaient placés sur une aréole assez grande, d’au moins 7-8 cm de diamètre. Du sperme s’écoulait lentement sur chacun d’eux et entre eux deux.

— Tu les aimes ? me demanda-t-elle.

— Ils sont magnifiques. Tu as de la chance d’avoir le corps que tu as.

— Alors viens le prendre, me dit-elle avec une lueur perverse dans le regard.

Je l’ai plaqué contre un mur, pour l’embrasser, la caresser, sentir sa chaleur, sa peau. Mes mains l’ont caressé de la tête aux pieds, pour finir par retirer son string, découvrant son intimité trempée sous de belles lèvres gonflées de désir. Une invitation au paradis ? Je l’ai léché contre le mur, introduisant ma langue le plus profondément possible, titillant ensuite son clitoris, puis l’aine, son mont de Vénus, l’intérieur de ses cuisses, avant de revenir à nouveau boire son nectar. J’ai introduis un, puis deux doigts en elle, en commençant de doux va-et-vient au contact de sa muqueuse vaginale brûlante. Elle me maintenait la tête, ondulant du bassin, gémissant sous ma langue. En levant les yeux je voyais ses cheveux recouvrir en partie son visage. Elle avait les yeux fermés, et gémissait doucement, la tête renversée en avant. Ses seins lourds se balançant au-dessus de moi complétaient ce tableau érotique.

Quand je l’ai jugée prête, je me suis relevé et j’ai retournée Morgane contre le mur. Elle se cambra d’elle même, s’offrant à moi. J’ai guidé mon sexe entre ses lèvres chaudes. Je voyais des gouttes de sueur perler sur son dos. Son corps était électrique. Mon gland la pénétra en douceur, en une seule fois, jusqu’à buter contre son utérus.

— Ça fait une semaine que jattends ça. Montre moi que toi aussi tu es capable de faire crier une femme, me chuchota-t-elle.

Je lui ai alors fait l’amour tendrement, je voulais prendre mon temps, profiter de la chance que j’avais aujourd’hui. Je passais mes mains sur son dos, ses hanches, ses seins. Je sentais ses frissons augmenter au rythme de mes coups de reins. Son vagin était étroit. Je me demandais combien de temps je pourrai me retenir de jouir face à une créature comme elle. Je voyais ses mains se crisper sur le mur, ses fesses poussant vers moi. Je l’ai saisie par les hanches, et j’ai commencé à accélérer, en me guidant par ses gémissements de chatte en chaleur. La bruit de mon bassin tapant contre ses fesses devenait de plus en plus fort. Ses gémissements devinrent de petits cris. Lorsquelle a eu son premier orgasme, j’ai senti ma verge se faire comprimer, ce qui a déclenché mon orgasme également. Nous sommes resté unis un instant. L’un contre l’autre. Partageant ce moment fort en émotions.

Elle m’a ensuite invité à me reposer dans son lit, mais quelques minutes après, nous remettions ça. La vue des courbes de son corps, sa poitrine se balançant au rythme de sa respiration, son visage rayonnant, tout cela m’excitait, et mon sexe avait repris sa vigueur. Je l’ai prise en missionnaire cette fois ci, car je pouvais ainsi voir son joli ventre plat, ses seins lourds se balancer au rythme de mes coups, les expressions de plaisir défiler sur son visage. Après avoir déjà éjaculé deux fois, je savais maintenant que je pouvais la faire hurler, elle était une perle de beauté, sensuelle, érotique, mais cela ne suffirait plus pour me déstabiliser, je reprenais le contrôle. Je l’ai baisé pendant de longues minutes, elle a enchaîné les orgasmes les uns derrière les autres. Je sentais son vagin se contracter, ses cuisses me serrer, ses doigts s’enfoncer dans ma peau. A chaque orgasme, elle gémissait de plus en plus fort, et ses cris me faisait redoubler d’effort. Nous étions en sueur tous les deux, ce qui donnait un aspect saillant à ses muscles et la rendait plus belle encore. Sa chatte désormais trempée était comme un brûlant puits d’amour, dans lequel ma bite entrait et sortait à un rythme dément. Nos baisers devenaient fougueux. Elle gémissait mon prénom, me suppliant de continuer. Je fini par tenir ses épaules, en me mettant à 90° par rapport à son corps allongé, et je l’ai pilonné sauvagement, mettant toute ma force et mon endurance en jeu. Je sentais mon sexe à vif gonfler encore. L’excitation était à son comble. J’ai baisé si fort sa chatte que je commençais à avoir mal au niveau du pubis et de la racine des cuisses, à cause des multiples coups que je lui infligeais. Lorsque son corps s’est cambré, traversé par un énième orgasme, je me suis immobilisé, ma verge au plus profond d’elle, et je l’ai admiré. Ses mains ont saisit les draps, son corps fut secoué de tremblements, et le cri de jouissance qu’elle poussa me laissa croire qu’elle avait eu se qu’elle voulait. Je l’ai laissé savourer sa jouissance, empalée par ma queue.

Son orgasme terminé je me suis retiré, et me suis placé sur elle, mon sexe toujours brûlant entre ses seins provocants, aux tétons érigés. Je me suis servi d’eux pour me masturber. La sensation était douce et chaude, sa poitrine était ferme sous mes doigts. Je sentais son cur cogner contre sa cage thoracique, et donc contre ma verge. Lorsque j’ai joui, les jets de sperme ont encore une fois recouverts le cou de mon amante, ainsi que la vallée formée par les deux montagnes de ma voisine.

Nous nous sommes endormis ensemble ce jour-là, tant pis pour les cours de l’après midi. Nous n’avons jamais refait l’amour ensemble. L’année suivante elle a déménagée et nous n’avons désormais plus de contact hormis sur les réseaux sociaux. Je ne savais pas pourquoi elle avait osé me chauffer comme ça, je ne sais pas si elle était comme ça avec d’autres hommes, ou bien si c’était un simple écart de conduire. Toujours est il que j’ai appris qu’elle était en couple quelques semaines plus tard. Était elle déjà avec ce gars le jour où elle s’est offerte à moi ? Je n’ai jamais osé lui poser la question.

Comme je vous l’ai dis, j’ai appris qu’elle avait été élue dauphine à un concours de miss régionale. Avec le corps qu’elle a, et son visage d’ange, c’est vrai qu’elle peut se permettre de se présenter à ce genre de concours.

La suite au prochain chapitre.

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