Les jeunes mariés venaient d’ouvrir le bal. Sur une valse lente, langoureuse. Ils se regardent et je devine que, pour eux, le monde n’existe plus, la foule de leur invités à disparu. Chacun perçoit l’émotion des parents. Au trois quart de la valse, les mariés se séparent, le jeune invite sa mère et elle entraîne son père. Après quelques tours les deux couples se séparent et chacun invite un des membres de l’assemblée. A nouveau, deux petits tours de valse et les couples se multiplient, de deux à quatre, puis huit, seize, 32. Bientôt tout le monde valsera. C’est à ce moment que l’une des valseuses m’entraîne dans la danse. C’est également à ce moment là que tu te fais entraîner par le marié. Chacun de notre côté, nous valsons quelques mesures pour nous retrouver au centre de la piste au moment ou la valse prend fin. Nos deux couples se séparent et nos cavalier(ère) s’échappent vers d’autres convives. Etonnés, nous nous retrouvons face à face. Deux inconnus se découvrent, une amie de la mariée et un collègue du marié. L’orchestre enchaîne par un slow, lent, langoureux, sensuel. Séduit, je t’invite. Nos corps se rapprochent. Tu m’enlaces tandis que je passe mes bras autour de ma taille. La foule se fait plus nombreuse, plus pressante. Nous nous serrons un peu plus tout en commençant à danser. La lumière diminue pour conférer une ambiance intime à la piste de danse. Toujours au centre, caché par et parmi la foule, notre étreinte se fait plus forte. Tendrement enlacés, nous dansons. Je sens ton corps contre le mien. J’en devine les formes. Tes seins effleurent mon torse, je les sens fermes, rond et délicieusement relevés. Un coup d’oil à ton décolleté confirme mes sens. J’inhale ton parfum et ton odeur. Le choc, la révélation. Tout mon être se concentre sur deux de mes sens, l’odorat et le toucher. Mes mains apprécient tes hanches, mon torse frôle tes seins, mon oreille caresse tes cheveux et découvre les contours de ton oreille. Tout mon être se tend pour découvrir la femme qui dans mes bras provoque une révolution interne. Tout mon être se tend_ mon sexe se dresse, grandit, pousse, s’élève. Il s’élargit, grossi, se gonfle. Bientôt il atteindra ma ceinture, brandissant, en son bout, un gland hypersensible, rouge écarlate, gonflé à bloc par plusieurs kilos de pression sanguine. Ce mat, brandi entre toi et moi, appuyés sur le bas de ton ventre. Tu le sens, le ressent, serrés l’un contre l’autre, tu peux en apprécier la forme, la taille, la fermeté. Le gland s’enfonce légèrement dans ton nombril, tandis que le corps arqué descends en ligne droite sur ton sexe. La base, au niveau des lèvres, s’enfoncerait directement s’il n’y avait les vêtements. ? Long mais pas trop, gros mais pas trop, mais surtout dur pour que cela dure ?, penses-tu. La danse nous entraîne, à petits pas, en rond. Le mouvement des pieds, des jambes se répercutent et résonne au niveau de nos sexes. Au travers des étoffes, mon phallus se met à te maser le bas du ventre de l’entrée du vagin au nombril. J’essaye de respirer et de prendre un peu de distance afin de ne pas écraser ton clitoris, mais simplement de le caresser pour l’amener au même niveau d’excitation que moi. Et il ne se fait pas prier. Douces caresses, amplifiées par l’étoffe de soie de ta robe. Le mouvement est lent et millimétré mais ta robe répercute ses caresses sur tout ton ventre. Une caresse lente, parfaitement circulaire couvrant ventre. Au centre de cette vague de douceur et de chaleur, ton clitoris est emmené à droite puis à gauche, du haut vers le bas au rythme de la musique et de nos corps se déhanchant. Tes mamelons se durcissent à leur tour dans une irrésistible envie d’égratigner mon torse. Dans une profonde expiration, tu creuse le ventre pour envelopper mon gland. J’inspire en poussant mon ventre vers le tien, en répétant la manouvre nous ajoutons une troisième dimension à nos caresses mutuelles. De bas en haut, d’avant en arrière. Chacun de nos mouvements se fait le plus précis et le plus discret possible. Nous n’osons nous regarder. Tu penche la tête, l’enfoui dans mon cou, à la recherche de mon oreille. Et tandis que tu mordilles le lobe de mon oreille, le bout de ma langue vient suivre les contours de ton oreille. Tu en profite pour me susurrer un ? au premier étage ? avant de quitter notre étreinte et de te retourner en direction du hall et du grand escalier d’honneur. Je pars dans l’autre direction, vers le bar. Armé de deux coupes de champagne, je gravis les marches. Au sommet de l’escalier, un hall, plusieurs portes, dont l’une semble entre ouverte. Délicatement je la pousse du pied. Tu es là, à quelques pas, adossée à la grande table en chêne. Je t’offre un verre et nous en buvons ensemble une gorgée de bulles qui viennent exploser, dans un délicieux picotements, sur nos langues et joues. D’un même mouvement nous déposons nos verres sur la table en nous enlaçant. Nos bouches se cherchent, se trouvent, s’embrassent. Toute la langue, toutes les dents, toutes les lèvres participent à ce baiser au gout de champagne. Nos corps reprennent les caresses que la danse avait inspirée. Mes mains glisse le long de ton corps, passe sur tes hanches, continuent leur lente course sur tes cuisses, arrivées au bout de ta robe, elle glisse sous le tissu et remontent. Bien droite, tu serres les jambes juste ce qu’il faut pour que, dans une seule caresse, de ta taille vers le haut de tes cuisses, mes mains te libère de l’étreinte de ta culotte qui glisse jusqu’au sol. Je m’accroupis, pendant que tu te cambres, mes mains remontent en entraînant ta robe vers le haut. D’un regard émerveillé, je découvre ta chatte, humide et offerte. Tu écartes les jambes m’invitant à embrasser l’interieur de tes cuisses, mes lèvres remontent le long des tiennes. Je redescend pour agacer doucement, par petit coup de langue, l’entrée de ton vagin. Mes cheveux caresse ton ventre. L’intrusion de ma langue se fait longue, plus pressante et parcours les parois de l’entrée de ton sexe. D’entrées en sortie, je passe à un mouvement circulaire, pour ressortir et revenir. ? Que tu sens bon, que tu semble appétissante, je te mangerais en entier ?. Je sens ton corps entier se raidir, tes cuisses encerclent ma tête. Je pousse mon corps tout entier vers l’intérieur du tien. De légères secousses parcourent ton corps, ma langue effleure l’épicentre de tes tremblements, et te lèche aux rythme des ondes qui parcourent ton corps. Les yeux mi-clos, je devine que tu vas entreprendre de découvrir ce ? petit bout de bois ? rose qui nous a entraîné dans cette étreinte inattendue. Mon sexe, ma bite, se tend encore plus à l’idée des plaisirs que tu vas lui donner. Le sang afflue encore, je devine que mon gland est devenu rouge écarlate. Mais que vas-tu faire ?. J’imaginais bien, à peine as-tu fais glisser vers le bas tes mains puis la fermeture éclair de mon pantalon, qu’il apparaît plus rouge que jamais, plus fort, assoiffé de jus de chatte. Tout le long de sa hampe court une veine bleue gonflée de sang (elle aussi) et qui bat la cadence cardiaque. On dirait qu’il bouge tout seul, il vit. Il apparaît, là au milieu des morceaux de tissu blanc de mon caleçon et noir de mon pantalon. Raide comme une trique. Je passe mes bras sous tes genoux et les places sur mes épaules, tu te couches sur la table. Maintenant, je vois en toi, tu m’es entièrement offerte, complètement ouverte. Je prends une des coupes de champagne à coté de ta fesse, j’effleure ta peau, un frisson te parcourt. Je bois, reprends un peu de souffle. Je me suis rapproché de la table. Tes jambes contre mon torse, les genoux sur mes épaules, tes fesses au bord de la table. Je regarde le bas de ton ventre et guide mon pénis. Devant, derrière ? J’hésite, mon gland va de ton cul à l’entrée de ton vagin. Doucement. Une fois, puis deux, puis trois. Il se décide… Devant. Entre. S’arrête, reviens, ressort, esquive une entré par l’arrière, à peine le gland entré, il ressort et revient devant. Cette fois, tes lèvres le happent, l’attrape, l’emprisonne. Les parois de ton vagin se contractent pour le faire progresser. Tu halète et soupires au même rythme que ton vagin, que mon pénis en toi. Tout ton corps imprime le mouvement et le rythme. Il semble exprimer une aspiration profonde. Tu te cambres, je ne dois presque pas bouger. Tu t’occupes de tout. Seules mes mains, montent et descendent le long de tes jambes. Et ton rythme, les mouvements de ton corps, comme une onde, se propagent à mon corps. Je prends ton rythme pour aller d’avant en arrière. De plus en plus loin, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je ne pense plus, je bande, mon corps disparaît, je ne suis plus que cette bite qui te bourre, vient et vas, reviens et repart. Je sens le sperme monter, progresser par étages, sous l’effet de la pression, au rythme de nos cours, nos corps, nos mouvements. Il monte encore, et voici la première giclée. Chaude, visqueuse, elle s’écrase au fond de ton vagin. Suive d’une seconde et d’une troisième. Nous gardons le rythme, continuons à nous agiter dans tous les sens. Le rythme se ralentit, s’adoucit. Je sors de toit, lentement. Remonte le long de tes lèvres. Tes jambes glissent le long de mes épaules, tu t’assieds, te penche vers mon sexe qui caresse ton clitoris. Tu la prends en bouche, encore dure mais déjà mollissante. Avec la plus grande délicatesse tes joues l’entourent, ta langue en fait le tour. Tu te laisse envahir par le goût mélangé de nos deux sexes. Je caresse tes chevaux.