Chapitre 3 : ma très chère tante.
Après le quinze août, Mes parents rentrait de vacances pour reprendre le travail. De mon côté, il me restait encore deux bonnes semaines pour profiter du soleil. Du coup, mes parents me laissaient chez ma tante et mon oncle ; la sur de mon père.
Ils habitaient dans un petit hameau proche de Montalivet. J’aimais bien y aller. Les plages sont grandes et les plaisanciers nombreux. C’est très agréable.
Cette année encore, mes parents me déposèrent le 16 chez ma chère tata. Après toutes les observations que j’avais pu faire en Bretagne, j’avais hâte d’expérimenter mes jumelles sur ce nouveau terrain de jeu.
Nous arrivâmes le soir, mes parents avaient décider de ne pas rester, mon père voulait faire la route de nuit pour avoir un trafic plus fluide. Catherine et Bernard nous accueillirent.
Catherine venait de fêter ses 46ans. C’était une très belle femme avec beaucoup de classe. Elle avait les cheveux châtain clair coupés au carré, un petit nez et un regard en amande à faire chavirer tout le voisinage. Elle portait des lunettes ce qui lui donnait un air à la fois strict et tellement désirable. Elle était plutôt grande, très élancée. Ces longues jambes remontaient vers de fines hanches et un joli ventre plat. Ses fesses ni trop grosses ni trop fines attiraient inexorablement les regards de la gente masculine. Mais à la différence de sa taille de guêpe, elle avait des seins très développés. De toutes les femmes que je connaissais c’est elle qui avait la poitrine la plus plantureuse. Une poitrine bien lourde. Catherine la sublimait avec des chemisiers bien choisis et des décolletés pigeonnants.
Elle était chef d’agence dans une banque, elle portait des tenues BCBG. On retrouvait dans sa garde-robe essentiellement des tailleurs avec des jupes s’arrêtant juste au-dessus du genou et des petites vestes assorties qu’elle mettait généralement par-dessus un chemisier blanc ou de couleur clair.
Sa poitrine se retrouvait comprimée et compressée dans ses tenues. Elles accentuaient encore plus son côté « femme fatale ». Elle devait le savoir puisqu’elle ne sortait jamais sans une veste quand elle partait travailler. Ainsi, elle arrivait à camoufler ses formes pour éviter les émeutes dans les rues.
Ce soir-là, elle portait justement une de ses jupes et un chemisier bleu azur où les trois premiers boutons n’étaient pas accrochés et laissais apparaître le haut de sa poitrine agrémentée d’un liserai de dentelle bleue qui appartenait à sa lingerie.
Je l’embrassai sur les deux joues quatre fois (c’est la coutume). Elle m’enlaça et je senti ses seins contre mon torse. Une chaleur monta en moi et je devins tout rouge. Heureusement personne ne releva mon état. Puis j’allai saluer son Mari.
Son Mari, de deux ans son aîné, était un homme sportif qui prenait soin de son corps. Athlétique, dans les1m80, il était brun avec un regard d’italien. C’était un bel homme qui pouvait se vanter d’avoir trois rangées d’abdominaux joliment dessinées, des bras forts et des fesses musclées. Depuis ma plus tendre enfance je voulais lui ressembler. Il passait plus de deux heures par jours à faire du sport (jogging, salle de musculation, piscine, et surf le week-end. Il travaillait aussi dans la finance. Mais à la différence de ma Tante, il exerçait en indépendant. Faisant du consulting, il se trouvait la plupart du temps en déplacement la semaine. Je le regrettais car durant les jours passés chez lui je le voyais très peu.
Ils avaient un fils de 25ans mais qui vivait depuis trois ans en Australie avec son ami. Un fils homosexuel, ça ne plaisait pas dans la famille surtout à cette époque. Je pense qu’il fut fortement encouragé à déménager à l’étranger. Pour le coup, il avait choisi la destination la plus loin. Je reconnaissais bien là mon cousin. Un vrai caractère de Cochon, les origines Bretonne certainement.
Après un léger dîner, mes parents reprirent la route mais sans oublier de me faire les recommandations d’usage : Soit sage, pas de bêtise, écoute et fait ce que te disent ton oncle et ta tante Je les embrassai et leur promis de leur téléphoner souvent.
Puis, Catherine me montra ma chambre. Je la suivais à l’étage. Derrière elle, je pouvais contempler sa belle croupe. Vu comment le tissu la moulait, je pouvais deviner l’absence de culotte (je découvris plus tard qu’elle ne portait que des strings). Je commençais à sentir mon érection grandissante rien qu’en la suivant. J’avais de plus en plus chaud.
La chambre d’amis se situait juste à côté de la chambre maritale.
Catherine me demanda si je voulais aller regarder la télé avec eux. Mais la fatigue se faisant sentir, ma décision fut prise de rester dans ma chambre. Je m’allongeai sans fermer la porte et tout habillé je m’endormis.
Je fus réveillé vers deux heure du matin. J’entendis des petits cris venant de la chambre de Catherine et Bernard. Je compris vite qu’il faisait l’amour. Les entendre m’excita de nouveau et j’entrepris de me faire plaisir aussi. Je me déshabillai, collai mon oreille au mur et me branlai. Bernard avait l’air doué car ma tante n’arrêtait pas de crier son plaisir : « OHHH oui mon chéri.. C’est trop bon Oui continue comme ça … Vas- y je te sens bien là »
Bernard n’était pas en reste il la complimenta sur ses formes, sur ses seins sur son déhanché Je jouis en même temps qu’eux ce qui me troubla quelque peu et je me rendormis juste après.
Le lendemain matin Bernard partit tôt. Ma semaine juste avec ma tante commençait.
Les premiers jours se déroulèrent tranquillement. Mon petit rituel commençait à s’installer.
Le matin je me levais vers 8h30 pour pouvoir prendre le petit déjeuner avec ma Tante. J’aimais la regarder dans ses tenues. Les décolletés me laissaient entrevoir quelques formes de son opulente poitrine et quelques brides de lingerie.
Je reluquais aussi ses fesses lorsqu’elle se levait et allait ranger sa tasse dans le lave-vaisselle. Puis, tout émoustillé, je lui faisais la bise et lui souhaitais une bonne journée.
Dès que Catherine n’était plus là, je fonçais dans sa chambre et j’ouvrais ses placards. J’avais pris l’habitude de me branler en regardant ses sous-vêtements. Elle avait du goût. On trouvait beaucoup de dentelles, essentiellement des strings. En plus, elle portait des porte-jarretelles et exclusivement des bas.
Il m’est arrivé parfois d’enfiler ses strings et de branler mon sexe tout dur à l’intérieur de l’étoffe. Mais de peur de laisser des marques, j’évitais soigneusement de jouir dans ses sous- vêtements.
Par la suite, j’allais flâner sur la plage. Comme toujours, j’appréciais tout particulièrement l’observation des femmes qui bronzaient. Plus libérées que sur les côtes bretonnes, nombreuses d’entre elles adoptaient le monokini. Mes yeux et mes sens bénéficiaient de nombreuses paires de seins totalement libérées de tout textile.
Elles m’excitaient. Elles m’excitaient toutes.
Je mâtais les femmes de tous âges et de tous horizons. Chez les filles de ma génération j’adorais principalement leur petit cul et les ventres plats. Mais je regrettais souvent le manque de fantaisie et les poitrines trop petites. Par contre les femmes d’âge mure, semblaient plus à l’aise avec leur corps et leurs formes. Elles montraient fièrement leur poitrine dévoilée. Leurs rondeurs en faisaient à mes yeux de plantureuses créatures qui affolaient mon esprit.
Aussi, au fur et à mesure des jours je me suis principalement consacré à regarder les belles de 40ans, les mères de familles, les fraichement divorcées…
Mon âge était un atout. En effet, je m’amusais alors à marcher le long de la plage. Lorsque je voyais une proie ou un groupe de proies, je faisais alors plusieurs aller et retour autour d’elles. Je ne passais pas pour un vieux pervers. Généralement, elles me regardaient avec l’air amusé. Enfin, c’est comme ça que j’interprétais les sourires.
Lorsque j’avais trop chaud et que l’envie se faisait vraiment sentir. Je me cachais dans les dunes. Je sortais mes jumelles. Et tout en observant de loin, je me caressais jusqu’à jouir dans les herbes folles. Les dunes sont souvent propices à une meilleure observation. Mais j’y reviendrais plus tard.
Vers 17h, je rentrais à la villa de ma tante. Selon mes séances de voyeurisme, j’allais dans ma chambre. Je m’allongeais nu sur le lit pour me branler frénétiquement tout en repensant à ma tante et à toute ses femmes qui me troublaient. J’allais jusqu’à la jouissance totale. Me sachant seul, je ne refrénais pas mes gémissements qui se transformaient en cris de jouissance.
Puis, je prenais une douche, goutais et attentais Catherine avec impatience.
Comme je le disais précédemment, mon oncle travaillait toute la semaine en déplacement et ne rentrait que le vendredi dans la soirée. Ma Tante, pour passer un peu de temps avec moi durant la période estivale, ne travaillait pas les vendredis après-midi.
Si vous suivez mon raisonnement, j’avais donc la chance d’avoir ma tante juste pour moi à ces moments-là. Je dois l’avouer j’en profitais.
Même si j’aimais ses tailleurs qui lui donnait un air strict. Les Vendredis elle arborait des tenues plus décontractées mais tout aussi séduisantes.
Elle échangeait ses jupes contre des petits shorts et ses chemises contres des tops légers à bretelle. Sa généreuse poitrine avait du mal à rester en place. Surtout lorsqu’elle ne mettait pas de soutien-gorge. Je pouvais alors deviner sous l’étoffe les tétons durcis par l’air. Et sur les flancs, je profitais au maximum de l’arrondi de chaque sein qui dépassait.
Les shorts moulaient à la perfection ses belles fesses. Ils laissaient entrevoir par la pliure la fente enivrante qui sépare chaque fesse. A ma plus grande surprise lorsque je la regardais de face je voyais parfois une autre fente plus petite se dessiner. J’étais aux anges. J’adorais les vendredis après-midi.
Souvent nous allions tous les deux à la plage. Comme elle connaissait bien le lieu, elle avait son petit coin à l’écart où peu de gens passaient. Elle en profitait pour porter un maillot deux pièces qui même s’il n’était pas outrageusement petit. Il le devenait avec ses formes.
Le haut avait tout comme ses teeshirts beaucoup de mal à contenir l’ensemble de sa poitrine. Lorsqu’elle bougeait, où sortait de l’eau, il fallait systématiquement qu’elle le remette en place. Qui plus est, sa couleur blanche en faisait lorsqu’il était mouillé un tissu quasiment transparent. J’en raffolais et je vis souvent ses tétons bien sombres et durcis soit sous le textile ou bien lorsqu’ils sortaient sans crier gare. Elle ne s’affolait pas et remettait toujours très calmement l’objet de mes fantasmes en place.
Le bas de maillot était très échancré. Il laissait la part belle à une bonne partie de ses fesses. De la même couleur que le haut, lorsqu’il était mouillé il montrait fièrement les poils foncés de sa toison à qui veux bien regarder.
Je n’en ratais pas une miette. Je n’étais pas le seul, les hommes aussi l’observaient.
Elle ne s’en souciait pas.
Moi j’en était à la fois fière et aussi un peu énervé. Je la voulais juste pour moi.
Avec elle j’allais à l’eau. Ce que je ne faisais pas le reste de la semaine. Les vagues me permettaient de voir encore plus de l’anatomie de ma tante. La houle, le ballottement, la nage représentaient autant d’éléments qui empêchaient son corps de rester caché par son maillot. J’adorais ça. J’aimais aussi l’attraper dans l’eau par surprise. Ainsi je frôlais ses courbes. Je sentais sa peau.
Pour elle s’était des jeux d’enfants sans arrière-pensée. Par contre pour moi, ils mettaient mes sens en éveils et ma verge au garde à vous.
Une fois, une grosse vague nous emporta brièvement et nous relâcha quelques mettre plus loin. Ma tante et moi nous nous redressâmes au même moment. La force de la vague avait complètement retiré son haut de maillot. Je vis alors pendant 20 secondes (qui me parurent 20min) l’ensemble de sa poitrine.
Ses seins étaient en forme de poire. Malgré l’âge, ils étaient encore fermes et pointaient fièrement. Je restais figé sur cette vue. Ma tante remit sa poitrine en place en me souriant puis baissa son regard vers mon entre jambe.
Sous l’effet de ce que j’avais vu je bandais fort. On le distinguait très nettement sous mon short de bain.
Elle regarda cette bosse, puis recroisa mon regard et me dit : "Dis donc!!! Tu as bien grandi !!! tu as des réactions de grand maintenant. Je vais devoir faire attention." Et elle rigola en s’éloignant pour retrouver ses affaires sur la plage et repartit vers la maison.
Je la suivais quelques minutes après. Un peu honteux d’avoir bandé devant ma Tante mais aussi très excité par ce que j’avais vu.
Je n’avais encore jamais vu Catherine nue. Grace à la providence j’avais pu bénéficier de ses seins un court instant. La suite des évènements dépassa toute mes espérances.
A suivre