En rentrant l’autre soir à la maison, j’ai eu une grosse envie de sexe. D’habitude quand ça m’arrive j’attrape un bouquin de cul qui traîne sous la table de nuit de ma femme pour me branler. Mais là, j’ai eu envie de cul pervers et sans limites… Alors quand elle est rentrée, je lui ai dit de s’habiller sexy, que j’allais l’emmener à Paris au restaurant. Je l’ai même surveillée tandis qu’elle s’habillait, dirigeant ses choix vers des bas noirs, une longue jupe et un chemisier… lorsqu’elle a attrapé une jolie culotte dans son armoire, je lui ai dit que ça elle n’en aurait sûrement pas besoin. Ignorant ses questions, je l’ai enlacée pour le plaisir de la caresser sans culotte, passant mes doigts dans sa raie : génial ! Nous sommes donc partis en voiture, je n’ai pas pu m’empêcher de lui caresser les cuisses et la chatte pendant le voyage. Puis nous sommes arrivés pas trop loin de la rue St Denis. Je l’ai emmenée au restaurant, on a bien mangé, on a parlé de tout et de rien, puis à la fin du repas, je lui ai proposé un ciné… Elle aime bien le cinéma ma femme… Alors je l’ai emmenée dans l’une des dernières salles qui passe encore des films cochon en boucle. Nous nous sommes assis au fond de la salle, deux pervers se trituraient le manche chacun dans son coin. Mon c?ur qui ne s’attendait pas vraiment à ça avait l’air plutôt surprise et assez contente. Elle a posé la main sur ma braguette et m’a caressé la queue. J’ai posé ma main sur ses cuisses qu’elle a écartées en grand, puis j’ai remonté sa jupe. Ne pas avoir de culotte a dépasser, c’est vraiment un plaisir, elle ne quittait pas l’écran des yeux, mais je voyais bien qu’elle appréciait d’avoir ma main sur la motte et un doigt dans la chatte. Quand elle a voulu sortir mon sexe de mon pantalon, j’ai refusé, d’après mon plan, ça n’était pas la dernière étape de la soirée, j’allais attendre un peu pour en profiter pleinement. Pour ne pas céder à la tentation, je suis passé entre ses jambes et j’ai collé ma bouche à son con. Le goût de son excitation était meilleur que d’habitude, elle regardait le film, les mains dans mes cheveux, et souriait. Sur l’écran, une jolie blonde un peu rondelette se faisait prendre par le cul et suçait un noir avec un braquemart géant. J’entendais les soupirs de ma femme se mêler aux cris étouffés de cette salope américaine, c’était très excitant… Ma langue a accéléré sur son clito, ses hanches se sont mises à onduler au rythme de la musique, de plus en plus vite, et elle a fini par jouir en gémissant très fort. J’ai reçu un flot de mouille dans la bouche que je me suis empressé de savourer. Le black a éjaculé dans la bouche de la fille, les gémissements de tout ce monde m’ont donné une autre idée… Nous nous sommes levés, de la mouille coulait le long des jambes de ma femme, j’ai passé mes doigts pour ne rien perdre, je lui en ai même fait goûter un, elle l’a léché en me regardant d’un air pervers, je me suis dit que ce serait le moment ou jamais d’exécuter cette fameuse idée. Le c?ur un peu accéléré, nous sommes sortis du ciné et je l’ai emmenée dans une rue un peu plus loin (où j’étais déjà allé avant de la rencontrer). Un vieux rideau de velours rouge cachait l’entrée, je l’ai écarté et j’ai fait rentrer ma femme. Elle a marqué un temps d’arrêt devant ce qu’elle découvrait, un escalier d’où venait de la musique, gardé par deux baraques en costumes. Ils lui ont souris et m’ont fait un signe de tête et nous sommes descendus. En bas, en plus de la musique, nous entendions des cris de plaisir et de jouissance. Une jeune asiatique nue s’est approchée de ma femme, un polaroïd à la main et lui a expliqué que le prix d’entrée était une photo de sa chatte. A mon grand étonnement, ma femme ne s’est pas démontée, elle s’est retournée, s’est penchée bien en avant, les jambes écartées et a remonté sa jupe pour que la jeune hôtesse puisse voir à la fois son cul et sa moule. La jeune a fait sa photo et l’a épinglée au mur près de centaines d’autres… La pièce suivante était très sombre, un bar occupait la partie gauche et le reste était meublé de divans rouge sombre sur lesquels des clients, nus ou habillés (ou un peu les deux), buvaient, parlaient ou baisaient… Ma femme s’est retournée vers moi, ses yeux pétillaient, sa langue est passée sur ses lèvres et elle m’a embrassé à pleine bouche comme jamais elle ne l’avait fait. Nous avons pris un verre d’alcool fort au bar avant d’aller s’asseoir sur un divan libre au fond de la pièce. Sur le divan le plus proche de nous, une jeune femme à quatre pattes se faisait prendre par derrière et elle semblait aimer ça. Le visage figé d’étonnement, ma femme s’est mise à la fixer. J’allais lui faire une réflexion lorsque la jeune femme l’a vu et a pris le même regard éberlué. Elle s’est retournée vers le mec lui disant d’aller se finir avec quelqu’un d’autre et elle est venue s’asseoir près de Sylvie qui n’avait toujours pas bougé. Et là, elles se sont mises à parler en même temps. J’ai cru comprendre que c’était une amie d’enfance de ma femme. Eh bien, elle pourrait m’en ramener tous les jours des amies de ce genre là… Je les ai laissées à leurs souvenirs pour aller faire le tour de la pièce. J’ai même découvert qu’il y avait plusieurs pièces dans lesquelles l’activité principale était la même : le CUL ! J’ai même été entrepris par une vielle femme qui a sorti ma queue et s’est mise à la sucer. Je l’ai laissée faire un peu, puis je suis parti, elle s’est retournée vers un autre et a recommencé à sucer… Lorsque je suis revenu dans la pièce principale pour aller chercher un autre verre, Sylvie et sa copine étaient toujours en train de parler. Je suis retourné près d’elles, j’ai roulé une pelle à Sarah, l’amie de ma femme, pour lui dire bonjour et je me suis installé derrière Sylvie. Elles étaient en train de se raconter se qu’elles faisaient là. Sarah expliquait qu’elle venait presque une fois par mois, avec son mec du moment pour prendre son pied et qu’elle aimait vraiment ça. Pendant qu’elles parlaient, j’ai passé mes mains sur les seins de Sylvie qui m’a laissé faire, alors je lui ai enlevé son chemisier, son soutien-gorge et sa jupe. Elle s’est retrouvée en bas et escarpins. Elle racontait à son amie la séance de cinéma que nous venions de vivre. Je me suis levé et je me suis mis devant elles en disant que je m’ennuyait. Elles se sont regardées et excusées auprès de moi, puis, avec un sourire coquin se sont occupées de me déshabiller. J’ai eu vite fait moi aussi de me retrouver à poil. Sylvie tenait ma bite dans sa main et a attrapé le cou de Sarah et l’a poussée vers moi, j’ai senti sa bouche glisser sur ma queue, sa langue sur mon gland et je regardais ma femme, qui d’un air vraiment vicieux me faisait sucer la bite par une amie d’enfance… La dessus, un mec est arrivé en souriant, Sarah a arrêté de me sucer pour nous présenter Stéphane le mari d’une de ses amies, Solange, qui était un peu plus loin. Elle a demandé à Stéphane d’aller chercher sa femme pour nous présenter. Elle s’est remise au travail avec l’aide de Sylvie jusqu’à ce qu’ils reviennent. Solange était très bien faite aussi, nous nous sommes embrassés (finalement, je crois que se faire une pelle pour se dire bonjour est une bonne idée), puis elle s’est assise à côté des deux autres pour les aider à me bouffer la queue. Je sais pas si ça vous est déjà arrivé de se faire sucer par trois jolies filles, mais c’est une expérience à tenter et à retenter… Stéphane les a fait mettre à genoux sur le divan toutes les trois et pendant qu’elles essayaient d’emboucher ma bite, il s’amusait à rentrer dans l’une d’elle puis ressortait, puis passait à l’autre et ainsi de suite. Ce jeu là nous amusait tous les cinq. Sarah s’est levée, puis avec un air coquin a installé la bite de Stéphane dans la chatte de ma femme et la mienne dans celle de Solange. A genoux, l’une dans le sens contraire de l’autre, elles regardaient avec des yeux vague leur mari baiser l’autre. Sylvie regardait à tour de rôle ma bite entrer entre les jambes de Solange et mon visage (je devais avoir l’air d’un gamin devant un tas de cadeaux à Noël). Sarah passait de l’une à l’autre, leur caressant les fesses, les seins ou les embrassant à pleine bouche. Sylvie n’a pas tardé à jouire, bientôt suivie de Solange. J’ai alors attrapé Sarah qui me plaisait bien et je l’ai allongée sur un divan à côté, puis je me suis allongé dessus et je l’ai pénétré. Sa moule était accueillante et très mouillée. Solange et Sylvie ont sucé Stéphane jusqu’à ce qu’il leur jouisse sur le visage, puis elles ont chacune léché les reste de foutre sur le visage de l’autre… Je n’aurai jamais imaginé ma femme capable de ça, de sucer un mec devant moi, d’avaler son sperme, de se faire baiser parmi tant de gens et de trouver ça bien. Et encore moins d’embrasser une autre femme, de lui caresser les seins ou de lécher son visage à la recherche d’une dernière goutte de foutre. Elle s’est ensuite installée à califourchon sur le visage de Sarah pour se faire faire un nettoyage en règle. Stéphane et Solange l’ont suivi et l’ont embrassée et caressée pendant ce temps. J’ai joui très vite sur le ventre de Sarah qui criait son plaisir, et les deux autres sont allées chercher mon foutre dans ses poils avant de le partager avec elle. Devant ce tableau, Stéphane eu vite fait de retrouver une forme correcte et moi aussi. Nous nous sommes jetés sur les femmes et avons chacun pris la femme de l’autre. Cette fois ci, Solange s’est mise au dessus de moi, s’empalant sur ma queue. C’était un vrai plaisir de la voir vraiment, de lui embrasser les seins et le cou pendant qu’elle bougeait de plus en plus frénétiquement sur mon sexe. Stéphane avait reprit ma femme en levrette et je devinais à son visage qu’il y trouvait son compte, elle aussi d’ailleurs. Sarah profita de ma position pour venir s’asseoir sur moi. J’écartais d’un doigt ses lèvres pour poser ma langue sur son clito. Les deux filles se sont mises à aller et venir de plus en plus vite, haletant de plus en plus fort et nous avons joui tous les trois en même temps, je sentais de la mouille de femme me couler en même temps sur le menton et sur les couilles. Ensuite elles ont échangé, Solange est venu m’embrasser et récupérer ce qu’elle pouvait de la mouille de Sarah et celle-ci est partie nettoyer ma queue de mon sperme et de la mouille de Solange. Je vis alors le visage de Sylvie curieusement déformé, Stéphane la pilonnait toujours par derrière et je devinais que cette fois-ci, il assaillait son petit trou. Curieusement, ça ne m’embêta pas qu’elle se fasse enculer pour la première fois par un autre, mais à partir de maintenant, elle ne pourrait plus me le refuser. Avec Solange et Sarah, nous nous sommes approchés d’eux. Sylvie, dans un souffle, me dit qu’elle n’imaginait pas ça si bien. Je lui ai demandé de s’expliquer pour le plaisir de lui faire dire des mots cochons. Elle me dit qu’elle aimait se faire enculer et baiser par tous les trous. Je lui répondis que j’étais content que ça lui plaise, puis, encore pour le plaisir de faire un truc pervers, j’ai léché la pointe des seins de Solange en la regardant dans les yeux. Sylvie avait l’air de prendre du plaisir à me voir faire ça, j’étais content. Lorsque Stéphane a joui dans son cul, Sylvie a poussé un énorme cri de jouissance et s’est affalée sur le divan. Nous sommes restés là, tous les cinq, pendant quelques minutes, les uns sur les autres avant d’avoir la force de bouger, comme si le cri de Sylvie nous avait tous vidés de notre énergie. Puis nous nous sommes rhabillés et nous sommes partis. Dehors devant la boite, nous avons échangé numéros de téléphone et adresse. J’ai embrassé Solange et Sarah pendant que Stéphane prenait Sylvie dans ses bras. Sur le chemin du retour, nous n’avons pas dit grand chose, mais nous savions tous les deux le plaisir qu’avait pris l’autre, du plaisir pour le plaisir. Le mercredi suivant, Sarah vint manger à la maison, nous avons passé un bonne soirée et elle nous a invité chez elle pour son anniversaire le samedi suivant. Elle précisa, le sourire au lèvres, que Solange et Stéphane seraient là…

Le samedi, avant d’aller chez Sarah, nous sommes passés à Pigalle, effectivement, Sylvie avait une bonne idée de cadeau à acheter à son ami d’enfance, un gode avec ceinture qui avait une partie de chaque côté de la ceinture pour entrer dans la chatte de la fille qui mettrait le gode. Lorsque nous sommes arrivés chez Sarah, Solange et Stéphane étaient déjà là. Les filles avaient fait des effort pour être sexy sans être vulgaire et étaient vraiment très belles. J’espérait que la soirée serait aussi sympa que la précédente. Nous avons pris l’apéro en discutant comme on le fait toujours dans ce genre de repas, rien ne laissait suggérer dans nos paroles ou dans nos gestes la séance de samedi dernier ou la partouze qui, je l’espérait, allait clôturer cette soirée là. Ce n’est qu’au dessert, après avoir bien bu, que les allusions sales et promesses lubriques sont apparues. Nous sommes passés au salon et Sarah a déballé ses cadeaux, la ceinture gode lui a manifestement fait plaisir, ainsi qu’à Solange qui voyait tout l’intérêt d’un ustensile de ce genre. Stéphane et sa femme avaient jeté leur dévolu sur une série de sous-vêtement très… Une guêpière blanche tout en dentelle, un soutien-gorge tout petit et un slip encore plus minuscule et enfin un body noir en dentelle, fendu entre les jambes et ouvert au niveau des seins de manière à ce qu’on puisse les atteindre sans être gêné. Stéphane eut alors une idée lumineuse, il me regardait et dit : ’Viens, nous allons la préparer pour elles…’. Sarah nous a suivi jusque dans sa chambre. Nous l’avons déshabillée et caressée partout. Une fois nue, nous l’avons allongée sur le lit et pendant que je lui pétrissait et embrassait les seins, Stéphane lui léchait la chatte, Sarah haletait, ondulant des hanches sous les coups de langue. Lorsqu’il s’arrêta, elle en voulait encore, mais la suite serait beaucoup plus… ’orgasmique’. Nous lui avons passé le body, puis posé la ceinture, faisant bien attention que le petit bout lui entre bien au fond du con. Elle était magnifique, perchée sur des hauts talons, les seins sortant de la dentelle et une queue bien tendue entre les jambes. Nous sommes retournés au salon, Solange et Sylvie attendaient sagement notre retour en discutant. Elles se sont tues et Sarah a pris le commandement des opérations. Elle a ordonné à nos femmes de nous mettre à poil lentement. Ce qui fut fait de manière très sensuelle, j’ai pu remarquer que nous étions tous les deux très excités. Ensuite, sur ordre de Sarah, elles nous ont sucé. Puis nous avons du les déshabiller et les lécher. Sarah a ensuite voulu que les filles se mettent à quatre pattes sur le canapé et que nous les prenions lentement dans la chatte. J’ai enfilé ma queue dans le sexe de ma femme déjà tout chaud en regardant Solange sourire en sentant celle de son mari entrer en elle. Lentement, en suivant le même rythme, nous avons limé nos femmes, puis Sarah nous a ordonné de nous asseoir, elle s’est mise derrière Solange et a rentré son sexe en elle. Solange grimaçait en sentant passer ce membre en plastique plus large et plus long qu’une queue humaine. Puis Sarah, en faisant une remarque sur l’utilité du gode lui rentrant dans la chatte pendant qu’elle baisait, a accéléré. Elle s’acharnait sur Solange de plus en plus vite en caressant le cul de ma femme. Elles gémissaient de plus en plus fort, Sarah enfourna un doigt dans la moule trempée de Sylvie qui semblait désirer aussi le gode. Un orgasme puissant arracha Solange à la queue de Sarah qui vint la planter dans Sylvie. Elles jouirent en même temps, s’affalant sur le canapé. Solange a enlevé la ceinture de Sarah et je l’ai aidée à se l’installer. Puis elle s’est assise sur le canapé et à demandé à Sarah de venir s’installer dessus. Elle ne s’est pas fait priée, bien que ses mouvement soient lents et lourds après son orgasme. Elle s’est empalée dessus, Solange lui léchait les seins. Sylvie s’est emparée de ma queue et m’a conduit vers le cul de Sarah, puis plaçant mon gland sur son trou du cul serré m’a ordonné de l’enculer. Son trou était étroit, mais en y allant doucement, j’ai réussi à tout lui entrer. Sarah, la tête dans le cou de Solange étouffait des gémissement. Je sentais le gode dans son con, à travers la fine paroi. Sylvie a ensuite attrapé Stéphane et l’a conduit de l’autre côté du canapé, puis a obligé Sarah à emboucher sa queue bien tendue. Une bite dans chaque trou, cette dernière à commencé à s’agiter, elle gémissait de plus en plus fort. Soudain, tout son corps s’est tendu, elle s’est cabrée dans un cri et est retombée sur Solange sans pouvoir bouger. Je n’avais jamais vu quelqu’un perdre connaissance d’avoir trop joui. Je l’ai portée sur un fauteuil à côté et j’ai fait signe à ma femme se s’installer. Elle ne s’est pas fait prié, mais j’ai eu du mal à lui entrer ma queue dans le cul tellement elle s’agitait sur le gode. Solange à posé ses mains sur ses fesses et les a écartées pour m’aider. Ma bite est entrée toute seule, d’un coup, Sylvie ne bougeait plus, elle semblait profiter de la situation. La bite de Stéphane dans la bouche, la mienne dans le cul et un gode dans la chatte, elle gémissait et criait. Stéphane à joui le premier, déversant tout son foutre dans la bouche de ma femme qui embrassa ensuite Solange pour partager avec elle la semence de son mari. J’ai ensuite inondé les intestins de ma femme avec mon sperme et les deux filles ont joui quelques instants plus tard. Nous sommes restés longtemps sans bouger, puis Sarah s’est réveillée. Les filles l’ont emmenée dans la salle de bain et elles ont pris une douche toutes les trois. Lorsqu’elles sont sorties, Stéphane et moi étions rhabillés. Nous sommes partis après les avoir invités le mois suivant à la maison.

Après ce jour là, nos ébats ont été grandement stimulés, nous parlions beaucoup pendant l’amour, et nous étions plus pervers et plus directs. Mais ce qui m’a vraiment étonné, c’est quand, deux semaines après, Sylvie est rentrée un soir et m’a montré une annonce. Un photographe cherchait des modèles pour faire des photos porno rémunérées. Cinq francs la photo, c’est pas beaucoup, mais les séances peuvent être amusants. Sylvie, les yeux pleins d’envie demanda à ce que l’on réponde à cette annonce. Encore une séance de cul amusante, pensais-je, alors j’ai accepté à condition qu’elle s’occupe de tout. Elle s’est effectivement occupée de tout et le photographe vint trois jours plus tard. Vers 20 heures, j’allais ouvrir après son coup de sonnette et je découvrais une très jeune femme, dans les 20 ans, brune et assez jolie avec un corps que je devinais parfait sous sa longue robe. Elle portait deux gros sacs de reporter et une valise en métal brillant. – Bonjour, dit-elle. Je la détaillais un peu plus précisément. – Bonjour, vous êtes le photographe ? – Oui, pourquoi, je n’en ai pas l’air ? répondit-elle en souriant. Je la fis entrer d’un geste. – Eh bien… Disons que je m’attendais plus à voir apparaître un vieil homme à l’air vicieux et pas une jolie femme… Elle rit et posa son matériel dans le salon, découvrant la pièce d’un regard intéressé. Sylvie arriva, aussi étonnée que moi de découvrir l’identité du photographe. Gaëlle nous expliqua qu’elle prenait beaucoup de plaisir à faire des photos d’ébats amoureux et qu’elle se servait de son métier pour vivre ses fantasmes. Elle nous inspecta brièvement, puis nous trouvant manifestement à son goût, elle déballa son matériel. Cela fait, elle accepta un café que Sylvie venait de préparer et nous expliqua notre rôle. Je devais tout d’abord aller mettre un pantalon en toile, une chemise et une veste. Sylvie devait s’habiller sexy avec une longue jupe, un chemisier et des escarpins, et porter en dessous des sous-vêtements blancs ou bleu bien affriolants. Le temps que nous allions nous changer, elle avait transformé le salon en studio. Elle expliqua ensuite le scénario, je devais jouer un représentant en sous-vêtements, arriver à la maison avec une valise dans laquelle j’aurais mis des sous-vêtements. J’allais les faire essayer à Sylvie, ma cliente, puis lorsqu’elle verrait mon excitation, elle devrait la soulager… Nous fîmes une photo de moi à l’entrée de la maison, ma valise à la main. Puis une autre ou je déballais des culottes et des soutiens-gorge à Sylvie, qui devait rougir en les voyant. Après 5 ou 6 photos d’approche, elle me fit signe de venir près d’elle. Tout en expliquant la prochaine photo, elle descendit ma braguette et sortit ma queue. Je voyais sa main caresser mon sexe et il ne mit pas beaucoup de temps à prendre une épaisseur très correcte. Elle le rangea dans mon pantalon avec un sourire et me dit de m’asseoir, les jambes un peu écartés de manière à ce que l’on voit ma bite sous le tissus fin du pantalon. Sylvie dut ensuite poser sa main sur la bosse de mon pantalon. Clic. Puis sortire ma bite par la braguette. Clic. Puis la prendre dans sa bouche. Clic. Passer sa langue sur la longueur. Clic. Clic. Et ensuite enlever ma ceinture et baisser mon pantalon. Clic. La pipe dura un bon moment le temps que Gaëlle trouve à chaque fois une bonne position pour prendre la photo. Pendant qu’elle se déplaçait, je la voyais souvent passer sa main sur son entrejambes. Lorsque je fus nu, elle nous fit prendre une pose, enlacés, Sylvie contre la table en chêne de la salle à manger. Puis allongée, la jupe relevée jusqu’à la taille. Clic. Ma bouche sur le tissus blanc de son string. Clic. Le string enlevé dans la même position. Clic. Ma langue sur sa chatte. Clic. Sylvie était très excitée. Je lui entrait un doigt tout en goûtant son clitoris. Clic. Clic. Je la léchais avec le plat de la langue. Clic. J’entrais le bout de ma langue dans à espérer de pouvoir la baiser. Elle nous fit arrêter, Sylvie devait me pousser vers le canapé et se déshabiller complètement puis venir se fourrer ma queue dans la chatte. Clic. Clic. Clic. Elle était accroupie sur ma queue, bougeant le cul pour bien se la mettre au fond. Clic. Clic. Gaëlle était le plus près possible du cul de ma femme, je sentais sa présence entre mes jambes. Clic. J’ai pris les fesses de Sylvie et les ai écarté pour ne rien cacher à l’appareil. Clic. Elle m’a dit de lécher les seins de ma femme. Clic. Puis elle a demandé à ma femme de se retourner. Clic. Sylvie, empalée sur ma bite me tournait le dos. Clic. Gémissant, elle allait de plus en plus fort. Clic. Gaëlle lui a demandé de se toucher la chatte pendant que ma queue la fouillait. Clic. Clic. Puis elle a demandé à ma femme si elle voulait bien se faire enculer, cette dernière ne s’est pas fait prier. Elle s’est levée puis rassise lentement, je tenais ma queue pour qu’elle lui entre dans le cul. Clic. Les jambes bien relevées pour tout montrer à l’appareil, Sylvie était assise sur moi, ma bite au plus profond dans son petit trou. Clic. Clic. Clic. Voyant que je n’y tenais plus, Gaëlle m’a demandé d’éjaculer sur les seins de ma femme. Clic. Nous nous sommes mis en position. Clic. J’adore voir du sperme sur les seins a-t-elle dit. Clic. J’ai éjaculé. Clic. Lui inondant la gorge. Clic. La vallée entre ses mamelons tout durs. Clic. Le bout des seins. Clic. Gaëlle était maintenant tout près de nous, après un dernier clic, elle a étalé mon foutre sur la poitrine de ma femme, la caressant avec le sperme. Puis se levant et nous tournant le dos, je vis qu’elle léchait sa main comme un gourmant qui s’est mis du chocolat plein les doigts. Nous nous sommes rhabillés, elle semblait contente de la séance. Elle nous a remercié chaleureusement, puis est partie en nous promettant de revenir la semaine suivante nous montrer les photos et nous payer.

Pour la séance de projection, nous avions invités Stéphane, Solange et Sarah. Lorsque Gaëlle est arrivée, elle a eu l’air surpris de voir tant de monde et n’a pas osé nous parler des photos. Sylvie l’a emmenée à l’écart et lui a expliqué que nous n’avions plus rien à cacher à nos trois amis. Stéphane avait emprunté un projecteur à un ami à lui, Gaëlle les a classés et nous avons éteint la lumière. Elle a passé les photos très lentement, chacun faisait des commentaires. Sarah et Stéphane ont fait les dialogues… Moi, j’étais assis à côté de Gaëlle qui tenait la télécommande du projecteur dans une main. A la photo où Sylvie me caresse la queue, je me suis penché vers Gaëlle et je lui ai susurré à l’oreille : - ?a recommence… Tu peux peut-être faire quelque chose pour moi ? J’ai attrapé sa main et je l’ai glissé vers ma braguette qu’elle a ouvert. Tout en passant les photos, elle m’a branlé la queue. Vers la fin de la séance, j’allais bientôt jouir, elle s’est baissé et a reçu mon foutre dans la bouche… Ensuite, nous avons rallumé la lumière, Gaëlle arborait un grand sourire, et les autres filles qui n’avaient pas manqué notre manège avaient l’air contentes aussi. Elles se sont mises à questionner Gaëlle sur ses habitudes sexuelles. Les questions étaient si crues qu’elle rougissait, mais elle a tout de même répondu. Vers onze heures, Sarah lui a ordonné d’un ton très dur : – Met toi à poil, on va voir comment tu es faite et si une jeunette comme toi supporte des trucs de grande… Gaëlle avait l’air très gênée, mais elle s’est exécutée. Les trois filles se sont prises au jeu. – Mais c’est qu’elle est pas mal foutue finalement. Elles l’ont examinées comme du bétail. – Pas très poilue… Tu t’épile ?… Réponds quand on te parle ! – Oui… Même Sylvie arrivait à garder son calme et à avoir l’air méchant. Stéphane et moi nous sommes servis un verre et avons regardé le spectacle. Gaëlle, nue, devant trois femmes plus âgées de dix ou quinze ans avait vraiment l’air d’une très jeune fille. Le visage rouge mais les seins durcis, elle devait être excitée aussi. Elles recommencèrent les questions : T’aime sucer des bites ? Te branler ? Avaler le sperme ? Te faire baiser ? T’as déjà léché une chatte ? Gaëlle regardait ses pieds et répondait à l’affirmative. T’es une jeune salope ? Oui. Tu fais ça pour le plaisir ou pour l’argent ? Pour le plaisir. T’as déjà baisé avec plusieurs personnes ? Non. Et tu voudrais essayer ? Oui. Les filles étaient déchaînées, les questions fusaient, Gaëlle rougissait encore. On t’as déjà attachée ? Non. Tu t’es déjà fait enculer ? Non. Tu veux essayer ? Oui. Vas voir les mecs et supplie les de t’enculer. Elle s’est approchée de nous et nous a timidement demandé de l’enculer. Nous nous sommes regardés. – ’Pas ce soir, a répondu Stéphane.’ – ’Je vous en prie, je voudrais me faire enculer, j’en ai envie… ’ Gaëlle s’est mise à genoux. – ’Si t’es gentille ce soir, on t’enculera la prochaine fois… ’ Finalement ce jeux m’amusait aussi… – ’Je veux bien être gentille…’ Elle se prenait aussi au jeu. Les filles sont venues la relever. Puis se sont déshabillées, Sarah a fait signe à Solange et Sylvie de s’asseoir près de nous et s’est elle même assise sur le fauteuil en face du canapé. Elle a écarté les jambes et a tendu la main vers Gaëlle qui s’est approchée et s’est agenouillée entre ses jambes. Puis elle a penché la tête vers la chatte offerte. De l’endroit ou j’étais assis, je voyais la tête de Gaëlle bouger entre les jambes de Sarah et son cul bien fait. Sarah a été longue à jouir, mais la jeune femme ne s’est pas plainte, elle a léché jusqu’à ce que Sarah explose sur sa langue. Puis Sarah s’est levée et Solange l’a remplacée. Gaëlle a continué à lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour, et enfin, Sylvie est allée s’asseoir sur le fauteuil. Et Gaëlle l’a amenée à la jouissance avec sa langue et ses doigts. Elle a du lécher sans s’arrêter pendant plus d’une heure ! Stéphane l’a fait asseoir sur le fauteuil et l’a léché à son tour jusqu’à ce qu’elle jouisse, mais ça n’a pas été trop long. Ensuite les filles l’ont emmenée prendre une douche. Lorsqu’elles sont revenues, elles étaient toutes les quatre habillées, mais Gaëlle avait l’air encore ailleurs.

Après cette soirée, nous ne les avons pas revu pendant deux mois. Les impératifs de chacun nous ont empêchés de nous réunire. Mais nous nous appelions régulièrement et nous avons fini par combiner un week-end dans une maison au bord de la mer. Nous devions nous rejoindre là-bas le vendredi soir. Sarah qui s’était occupée de tout avait même réussi à joindre Gaëlle. C’était une belle maison de la côte nord de la Bretagne. Nous sommes arrivés juste après Sarah. Solange, Gaëlle et Stéphane arriveraient un peu plus tard. Le temps n’était pas beau et la mer déchaînée, nous avons fait un feu et préparé à manger. Lorsque les trois derniers sont arrivés, Gaëlle avait l’air plus sûre d’elle, un peu comme si elle était maintenant intégrée dans le groupe. Il faut dire qu’après de coup de la dernière fois, il ne pouvait plus lui arriver grand chose. Après le repas, Stéphane et moi avons fait la vaisselle. Pendant ce temps, les quatre femmes que nous avions laissé en grande conversation avaient décidé que nous dormirions tous dans le salon. Nous avons donc descendu tous les matelas de la maison après nous être assurés que nous serions récompensés de nos efforts. Puis Gaëlle a sorti deux grosses valises desquelles elle a sorti quatre caméras. Je crois qu’elle était de mèche avec Sarah pour préparer ce coup là. Elle a embauché Stéphane pour les installer, chacune dans un coin de la pièce et nous a expliquée qu’elle ferait un montage des meilleurs moments de ce séjour. Lorsqu’ils eurent fini, elle sortit encore une surprise de sa valise : ses meilleures photos… Nous nous sommes installés confortablement, mais pendant la projection, personne n’a osé prendre l’initiative. Certaines de ses photos étaient très réussies. Toutes montraient un couple faisant l’amour, dans toutes les positions, sous toutes les coutures. A 5 francs la photo, il y en avait pour une petite fortune… Après ce hors d’?uvre ma foi très appétissant, Stéphane et moi avons proposé aux filles de faire un concours de strip-tease où nous ferions office de jury. Ces effeuillages nous ont tous excités et après que la dernière soit passée, elles se sont toutes jetées sur nous. Solange et Gaëlle se sont jetées sur moi, laissant Stéphane à Sarah et Sylvie. Nous nous sommes vite retrouvés dans la même tenue que les filles. Elles m’ont allongé et Gaëlle s’est assise sur mon visage. J’ai commencé à donner des coups de langues à sa chatte qu’elle tenait ouverte avec une main, et j’ai senti Solange enfourner ma queue. Gaëlle s’est penchée pour la rejoindre et elles se sont partagée mon bâton. Le jus de Gaëlle me coulait dans la bouche, je caressais ses fesses dures et douces. A côté de moi, Sarah et Stéphane se partageaient la moule de ma femme, donnant chacun son tour un coup de langue sur son petit bouton. Puis ils ont échangé, je regardais ma femme lécher une autre femme et j’ai failli avoir un orgasme juste en pensant à ce concept. Solange et Gaëlle avaient délaissé ma queue pour se fourrer la langue dans la bouche, je me suis dégagé et j’ai forcé Gaëlle à s’allonger. Puis, mettant un doigt dans son trou humide, j’ai fait signe à Solange de goûter ce nectar. Des halètement commençaient à se faire entendre. Du jus de femme me coulait sur la main, j’ai fait coulissé mon doigt dans son con, puis je l’ai présenté devant les lèvres de Solange qui l’a enfourné en soupirant de plaisir. Gaëlle a attiré mon attention et m’a dit qu’elle voulait sentire ma bitte. Je me suis installé entre ses jambes, Solange a attrapé mon sexe tendu et l’a posé à l’entrée de la chatte de Gaëlle, puis elle a imprimé un mouvement lent et ample à mes reins. Ma queue est entrée lentement et facilement dans ses chairs. A côté, il se passait quelque chose de bizarre, Sylvie avait passé le gode-ceinture et baisait Sarah par dessous pendant que Stéphane lui bouffait le petit trou à grand coups de langue. J’ai eu envie d’enculer cette petite salope de Gaëlle, je me suis retiré d’elle et je lui ai dit de se retourner. Elle l’a fait, mais ses yeux montraient bien qu’elle n’était pas rassurée. Solange s’est allongée sous elle et s’est mis à lui parler pour la rassurer, puis elle a écarté ses fesses avec ses mains. Plongeant une dernière fois ma queue dans sa moule pour bien la lubrifier, j’ai posé mon gland sur la rosace de son petit trou. Lentement, très lentement, je l’ai pénétrée. Son trou du cul encore vierge m’opposait une certaine résistance, mais je savais que j’y arriverais. Deux ou trois fois, Gaëlle s’est raidie, mais j’ai continué, et lorsque tout mon sexe fut entré dans son rectum elle poussa un soupir de soulagement. Les autres s’étaient arrêtés pour assister au spectacles. Les trois filles murmuraient des encouragements à Gaëlle. Je suis ressortis pour y retourner tout aussi lentement. C’est une baiseuse née, son cul s’est tout de suite habitué à ma queue et j’ai pu accélérer. Elle raidissait les cuisses pour que je puisse entrer le plus profond possible. Du coin de l’?il, j’ai vu ma femme la regarder avec envie. Sarah s’est mise à sucer Stéphane qui l’a repoussée pour proposer sa bite à Gaëlle. Il se faisait sucer par Gaëlle, les yeux fermés et Solange lui léchait les couilles. Sylvie s’est occupée de Sarah. J’ai continuer à défoncer le cul de ma petite salope. Elle haletait, étouffée par le mandrin de Stéphane, mais elle avait l’air d’aimer ça. J’ai encore accéléré, elle répondait maintenant à mes coups de boutoir en lançant son cul vers moi, en rythme. J’ai vu Stéphane jouir, sûrement dans sa bouche, et elle a joui à son tour, poussant de grands cris. Je sentais son anus me serrer de plus en plus fort. J’ai joui aussi, je lui ai inondé l’intestin. Après moi, Sarah est arrivée aussi à l’orgasme sous la langue de ma femme. Je me suis allongé sur Gaëlle, la queue toujours à l’intérieur et je me suis endormi. Lorsque je me suis réveillé, j’étais toujours sur Gaëlle qui dormait, Sarah dormait dans les bras de Stéphane, mais Sylvie et Solange n’étaient plus là. J’ai embrassé Gaëlle qui s’est réveillée. Elle s’est levée pour prendre une douche et je l’ai accompagnée. Nous avons passé tous le week-end à baiser comme des fous. Les quatre salopes en demandaient toujours plus. Gaëlle a pris beaucoup de photos. Je suis rentré très fatigué…

La semaine suivante, au bureau, j’ai reçu dans mon bureau une très jolie jeune femme. Le Directeur n’étant pas là, je le remplaçait pour un entretien d’embauche avec un informaticien, je ne savais pas qu’il aurait de si jolies jambes cet informaticien… Elle portait un tailleur clair, un chemisier et des petites chaussures à talons. Elle était vraiment très bien faite et je dois dire que son chignon et ses lunettes m’attiraient encore plus. Nous avons discuté du poste et de son CV, mais au bout d’un moment, je me suis lancé : – ’Vous savez que vous n’êtes pas la seule personne que je vais voir cette semaine pour ce poste ?’ – ’Oui, j’imagine qu’il est très demandé…’ Elle me regardait un peu étonnée. – ’Et pourtant, vous me plaisez, vous êtes jolie,’ elle rougit, ’et vous avez l’air de savoir ce que vous valez…’ Je laissait ma phrase se terminer en la fixant. Elle prit l’air de quelqu’un qui vient de faire un choix crucial et me répondit : – ’Je suis prête à tout pour ce poste, j’en ai besoin !’ – ’Vraiment ?… Vous êtes mariée ?’ Ma question l’assomma, elle venait de comprendre où je voulais en venir. Elle me balbutia un oui pas convaincu. – ’Vous ne portez pas d’alliance pourtant… ’ Elle ne savait plus quoi répondre. ’Mais si vous promettez d’être gentille, je crois que je pourrais vous avoir ce poste’. – ’C’est déguelasse ce que vous faites !’ Elle pleurait presque. – ’Dites moi, si nous nous étions rencontré ailleurs, vous auriez voulu d’un homme comme moi ? Franchement.’ – ’Je… Je ne sait pas…’ – ’Eh bien vous n’avez qu’à considérer que oui, que nous nous sommes rencontrés ailleurs et que vous avez ce poste…’ Elle ne répondait pas, j’ai fait le tour du bureau et je me suis accroupi devant elle. Elle m’a regardé. J’ai posé mes mains sur ses genoux, que j’ai un peu écartés. – ’Vous aimez bien ça, non ?’ Elle ne répondit toujours pas, mais elle me fit un sourire et écarta un peu plus les jambes. – ’?a se voit que tu aime ça…’ Nous nous sommes embrassés, mes mains sont passées dans la veste de son tailleur et je le lui ai enlevée. Elle s’est levée pour se coller contre moi. J’ai enlevé aussi sa jupe et son chemisier, il ne lui restait plus qu’un tout petit slip qui lui entrait dans la raie des fesse et un soutien-gorge qui maintenait ses petits seins en poire. Je l’ai écartée et j’ai ouvert mon pantalon, sortant ma queue. Puis, la tenant par les épaules, je l’ai forcée à plier les genoux. – ’Je suis sûr que tu aime ça aussi, avoir une bite dans la bouche…’ Pour seule réponse, elle a englouti mon sexe, serrant bien ses lèvres sur le manche. Elle le prenait bien au fond, jusqu’à sa gorge et, ses mains libres, enleva mon pantalon et mon caleçon. Elle me pompait le dard d’une manière très franche, caressant mes couilles d’une main et sa chatte de l’autre. Sa langue passait dessus, dessous, sur tout le long. Lorsque j’en ai eu assez, je l’ai relevée et elle s’est penchée sur mon bureau. – ’Mets la moi bien au fond… Depuis 8 ans que j’ai rencontré ma première bite, j’ai toujours aimé ça…’ Je calculais rapidement, elle devait donc avoir 15 ans la première fois… Normal qu’elle sache bien se débrouiller. Je lui enfournai ma bite dans sa moule bien lubrifiée. Son con était serré, mais habitué à se faire pilonner. Je l’ai attrapé par les hanches et j’ai accéléré. Ses halètements se mêlaient aux bruits de succion de sa chatte. Elle m’encourageait, me disait que ma bite lui faisait du bien et que j’avais bien fait de lui proposer ce poste de cette façon, qu’elle était contente de son choix. De mes mains, j’ai écarté ses fesses et j’ai caressé son anus d’un doigt. Elle répondait maintenant par des coups de reins, engloutissant ma queue le plus possible. Je sentais qu’elle allait venir, son vagin se resserrait par à-coups sur ma bite. J’ai accélérer encore et, au moment de sa jouissance, j’ai enfoncé le majeur sans ménagement dans son cul, elle a crié encore plus fort. J’ai tout de suite giclé au fond de sa chatte, crispé contre le bureau. Nous avons repris notre souffle et nous sommes rhabillés, puis nous avons rempli les papiers d’embauche. Au moment de la raccompagner, nous nous sommes embrassés et je lui ai donné ma carte de visite. Elle m’a alors expliqué qu’elle était dans un hôtel (elle vient de province) et je lui ai proposé de l’héberger jusqu’à ce qu’elle trouve un appartement. Elle a accepté et nous sommes partis tous les deux dans ma voiture vers son hôtel où nous avons refait l’amour, puis à la maison. En chemin, je lui dit que j’étais marié, elle m’a regardée comme si j’étais mutant et j’ai fini par lui dire qu’elle serait bien à la maison. Arrivés là-bas, Sylvie nous a ouvert avec un grand sourire. – ’Bonjour ma chérie, je te présente Lydia, qui est nouvelle au boulot et à qui j’ai proposé d’habiter un peu à la maison.’ Sylvie a continué à sourire, a salué Lydia mais n’a rien répondu. Une fois installés au salon, je leur ai servi un verre. Puis après un petit moment de silence, Sylvie a regardé Lydie dans les yeux et m’a demandé : – ’Elle suce bien ?’ Lydia a rougit fortement, baissant les yeux. Voyant la lueur amusée dans les yeux de ma femme, j’ai répondu : – ’Divinement… Lydia ma chère, veux tu lui montrer ta technique ?’ Elle m’a regardé encore plus étonnée. Sylvie s’est levée et est venu me déboutonner le pantalon. Puis, une fois ma bite sortie, elle a regardé Lydia qui ne savait vraiment plus à quel saint se vouer. Finalement, elle s’est penchée vers ma queue et, sous le regard inquisiteur de ma femme, elle a embouché ma bite encore molle et l’a amenée à une fermeté plus convenable. Sylvie lui souriait et s’est mise à lui caresser les cheveux. – ’Ne t’inquiète pas ma belle, si tu es ici c’est que tu aime ça, mais nous n’abusons pas… Nous partageons les plaisirs du corps avec ceux qui aiment.’ Lydia a relevé la tête, lui a sourit et s’est remise à son noble ouvrage : me tailler une pipe. C’est alors que le téléphone s’est mis à sonner. J’ai répondu. Lorsque j’ai eu raccroché, j’ai expliqué à Sylvie : – ’C’est Gaëlle, son père est tombé sur le film du week-end en Bretagne et l’a mise dehors dans une fureur noire, je vais la chercher… Lydia, tu va avoir une copine de chambre.’ Je me suis levé sans la laisser finir. J’ai vu dans les yeux de ma femme qu’elle prendrait bien ma place, mais je ne suis pas resté pour vérifier, j’ai sauté dans la voiture pour aller chercher Gaëlle. Celle-ci était en pleurs en bas de son immeuble, toutes ses affaires à côté d’elle. J’ai tout mis dans le coffre et je l’ai ramenée à la maison. Elle pleurait : – ’Il a regardé la cassette de Bretagne… Il est tombé juste au moment où vous m’avez prise tous les deux toi et Stéphane… ?a l’a mis dans un fureur dingue, il m’a crié qu’il n’y aurait pas de pute sous son toit et m’a dit de partire. Alors il est allé dans ma chambre et a jeté mes affaires dans le couloir. Juste mes vêtement, mes appareils photos et ma collection…’ – ’C’est un vieux chnoque, on va t’accueillir à la maison tant que tu en aura besoin, ne t’inquiète pas.’ J’ai fait ce que j’ai pu pour la consoler. Lorsque nous sommes arrivés, elle était calmée et il faisait nuit. Lydia et Sylvie étaient devant la télé, pleurant comme des bêtasses devant un film triste… Je leur ai laissé Gaëlle et j’ai débarqué ses affaire directement dans la chambre qu’elle allait partager avec Lydia. Quand j’ai eu fini, ça allait mieux, Lydia et Gaëlle avaient fait connaissance. Sylvie était en train de leur raconter le jour où elle s’était fait virer par son père et où je l’avais recueillie. Le lendemain, je travaillais et je ne les ai revues toutes les trois que dans la soirée. Elles avaient l’air de bien s’entendre et de s’amuser. Je les ai emmenées au cinéma et au restaurant. Arrivés à la maison, nous avons pris un thé et Lydia (qui n’avait peut être pas encore tout compris) a demandé ce qu’il avait de spécial ce week-end en Bretagne. Gaëlle a éclaté de rire et est montée dans sa chambre chercher le film. Nous nous sommes installés devant la télé. Le début de la cassette ressemblait à n’importe quel film souvenir, mais lorsque l’image est passée sur tout le monde en train de baiser, j’ai vu Lydia rougir. Mais lorsqu’elle a vu à l’image Gaëlle brouter la chatte de Solange, j’ai cru qu’elle allait partir en courant. Les filles l’avaient vues aussi, Sylvie s’est levée et est venue derrière elle pour lui masser les épaules, Gaëlle qui était assise à côté d’elle a posé la main sur sa cuisse. Lydia avait l’air ne pas arriver à détacher son regard de la télé où l’on voyait maintenant Sylvie sucer Stéphane. J’ai accéléré la bande jusqu’à ce que la caméra revienne sur Gaëlle qui, cette fois, léchait Sarah en mettant un doigt dans sa chatte. La main de Gaëlle pelotait maintenant les seins de Lydia, se faufilant sous son T-shirt. Sylvie lui caressait les épaules et le cou. Ses mains sont venues remplacer celles de Gaëlle qui sont descendues vers les cuisses de Lydia. Elles l’ont déshabillées et se sont déshabillées. Lydia ne réagissait pas, elle regardait le film que je veillait à laisser sur des scènes de sexe. Sylvie m’a demandé d’éteindre la télé et elles ont fait allonger Lydia. Puis elles se sont penchées toutes les deux sur elle, dévorant son corps avec la langue. Je me suis mis nu aussi et j’ai commencé à me branler devant ce spectacle. Gaëlle est passée entre ses jambes et s’est penchée vers son sexe à peine velu. Lorsqu’elle a posé sa bouche dessus, Lydia a repris vie, lui a attrapé les cheveux et a essayé de l’en empêcher. Je me suis levé et j’ai pris ses mains dans les miennes. Gaëlle a repris son avance vers l’entrejambe de Lydia qui me souriait. Sylvie léchait ses seins, promenant ses mains sur tout son corps. Lorsque Gaëlle a posé le bout de sa langue sur le clitoris de Lydia, elle a cessé de se débattre et s’est mise à en demander plus. Elle voulait que Gaëlle la baise avec sa langue, que Sylvie lui ti

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