— Oui… oui. vas-y ! oui… emplis-moi ! Oui aahhh…
La tête perdue dans les draps, les mains crispées sur la couverture, elle est à genoux, par terre, le ventre et la tête reposant sur le lit accueillant. Son dos est cambré, ses cuisses bien écartées et le postérieur offert, criant son plaisir à pleins poumons. Elle sent en elle le sexe canin aller et venir le long de son vagin déjà tout humide, elle sent le nud qui presse ses lèvres intimes, qui bientôt va les écarter pour s’introduire en elle, la liant irrémédiablement durant de longues minutes à son amant à quatre pattes. Soudain l’animal se fige, elle perçoit son ventre qui pèse sur son dos, son souffle chaud qui vient lui chatouiller la nuque, ses pattes avant qui se resserrent un peu plus le long de ses côtes. Elle imagine l’orifice de son vagin, tout dilaté, le long sexe bien rouge, bien dur, qui la transperce, et c’est dans un grand râle de plaisir qu’elle sent enfin le sperme abondant et tout chaud qui l’inonde bientôt.
Elle est heureuse, elle jouit, longuement, bruyamment, sans se retenir, le chien bien ancré en elle, la base de son sexe maintenant tari empêchant pour le moment la semence de dégouliner sur ses cuisses. Kyro lui est immobile, haletant, attendant que son sexe dilaté se rétracte et qu’il puisse glisser pour poser toutes ses pattes par terre.
Ils restent ainsi de longues minutes, ce qui lui permet de récupérer, de reprendre son souffle aussi bien que ses esprits. Et puis enfin elle sent le sexe rétrécir, glisser en elle et la quitter dans un bruit qui n’a rien d’attirant mais qui maintenant lui est familier. Aussitôt elle sent l’abondant liquide qui commence à s’échapper de son vagin, à couler le long de ses cuisses… et aussi la langue de son chien qui n’en laisse pas perdre une goutte, sa langue qui en remontant jusqu’à son sexe en feu lui redonne de nouveau la folle envie de se faire prendre.
Mais pour l’instant Kyro semble se désintéresser d’elle. Il est retourné sur son tapis et de sa grande langue toute rose et humide lèche son sexe encore à demi sorti du fourreau. Son appendice agile parcourt son membre d’où s’écoule encore un peu de sperme, et il n’en perd pas une goutte.
— Non Kyro ! Ce n’est pas à toi de te nettoyer… laisse-moi faire !
Elle vient s’allonger près de son chien, ses mains se perdent dans les poils qui recouvrent son ventre. Kyro semble aimer cette caresse, il se met sur le dos, les pattes en l’air, bien écartées, et tourne sa tête vers elle. Les mains qui parcouraient le ventre se rapprochent du fourreau encore suintant, caressent en appréciant la rondeur et la dureté des bourses de nouveaux gonflées. Petit à petit le membre rouge et veineux ressort de sa gaine et pointe vers son visage.
Elle se penche un peu plus et sa langue vient titiller goulûment la pointe du sexe offert, ses lèvres s’arrondissent autour et elle l’aspire tendrement tandis que sa main vient caresser le nud déjà sorti, maintenant ainsi le sexe tendu vers sa bouche. Changeant soudain de position, elle s’allonge en redressant Kyro, place sa tête entre les jambes de son chien pour avoir le sexe juste en face de ses lèvres. De nouveau elle l’enveloppe, stimulant l’extrémité de sa langue puis faisant coulisser ses lèvres tout du long, en allant de plus en plus haut. Habitué qu’il est de cette intime caresse, Kyro ne bouge pas, écartant bien ses jambes postérieures, tendant de plus en plus son sexe. De petites gouttes, de légers jets de pré-sperme s’en échappent bientôt, se déversant tour à tour sur sa langue ou coulant sur ses joues, son menton, se rejoignant ensuite pour couler dans la gouttière de ses deux seins, et ses doigts vont l’étaler sur sa poitrine, son torse, descendant ensuite vers son minou qui lui aussi mouille déjà.
Les jets lâchés par Kyro sont maintenant plus fréquents, plus copieux et c’est lui qui à son tour s’excite dans la bouche de son amante, faisant aller et venir entre les lèvres avides son sexe de plus en plus rapidement, de plus en plus violemment.
Elle le sent qui vient frapper contre son palais, elle le sent qui veut la pénétrer en entier, mais sa main à la base du nud empêche celui-ci d’envahir sa cavité buccale. Kyro grogne, jappe à petits cris, mais elle résiste et ne le laisse pas la posséder entièrement, et quand elle sent qu’il va se déverser elle écarte sa bouche, recevant sur son visage le sperme chaud et tant espéré qui la macule presque entièrement. Kyro semble ne jamais devoir se tarir, et elle se sent submergée, toute recouverte de la liqueur suave et gluante de son amant.
Quand son chien s’est bien vidé, après un court instant de répit il se tourne et elle sent sa langue râpeuse qui vient nettoyer son visage, sa gorge, sa poitrine et son ventre. En même temps sa main descend encore plus bas, venant caresser cette chatte qu’elle espère bientôt recevoir encore une fois l’intarissable semence canine.
Une fois son ventre bien nettoyé elle sent la langue de Kyro qui suit son bras, vient renifler puis lécher ses doigts déjà dégoulinants de son abondante cyprine. Poursuivant son chemin, elle sent maintenant la truffe de son chien au niveau de sa vulve, elle sent la langue familière venir sur ses lèvres intimes, elle se sent fouillée, pénétrée, et ses mains écartent l’ouverture de son vagin, pour que son chien vienne la lécher plus profondément, plus intimement encore.
De nouveau sur son ventre elle sent tomber de petites gouttes… Kyro est encore excité, prêt à une nouvelle saillie. Elle va encore une fois être comblée… et cela l’émerveille : même le plus fougueux de ses amants ne l’a jamais prise à une telle cadence !
Déjà emportée par son désir, par son plaisir, elle n’a plus la force de bouger, elle se contente de plier les genoux et d’écarter ses cuisses.
Et Kyro qui vient entre ses jambes s’allonge sur son ventre tandis que son sexe ne tarde pas à la pénétrer.