Suite de nos échanges; c’est à mon tour d’écrire.
Moi:
C’est la deuxième fois que tu ne réponds pas à mon attente.
Tu m’emmènes chez un certain Paul, qui habite la campagne, alors que j’avais imaginé une séance au sex-shop, avec le patron, la patronne, un ami à eux (Paul si tu veux), nous deux, et bien sûr des chiens.
Je ne vais pas te faire recommencer, mais vais te dire, en résumé, ce que j’avais imaginé.
On se retrouve dans la grande salle, cinq humains et trois chiens.
Il est quatorze heures, en ce beau dimanche, et on a tout l’après midi devant nous.
On est tous à poil et tu vas t’occuper des chiens, un à la fois, chacun leur tour.
Tu vas sucer le premier, le faire jouir de nombreuses fois dans ta bouche, jusqu’à lui vider entièrement les couilles. Tu vas ensuite te faire monter par le deuxième, qu’il soit bien imbriqué en toi, et qu’il se vidange dans ton fion jusqu’à enfin débander, et pouvoir se retirer. Tu vas sucer le troisième, et puis on remet ça. Les deux que tu as pompés vont t’enculer, et tu vas sucer celui qui t’a aimer.
Pendant tout ce temps , plusieurs heures, on s’amuse, nous les trois hommes, avec la patronne. On la baise, seul, à deux, à trois. C’est cette dernière solution qu’elle préfère, trois bites pour elle seule, une dans chaque orifice.
Pour autant on se la fait seul à seule, ce qui permet aux deux autres de se reposer la queue. Ils en profitent alors pour se faire du bien entre hommes.
On a les mêmes goûts, Paul, le patron, et moi même: on aime autant les hommes que les femmes. On ne se fait pas mettre, mais on aime bien se caresser entre mâles, s’embrasser, se sucer.
Lorsque le dernier chien te saillit, on arrête nos exercices pour reprendre nos forces. On attend qu’il ait terminé et on va tous t’enculer, nous les hommes avec nos belles bites, et la patronne avec un gode ceinture démesuré.
Ton trou de pute est rempli de sperme, et on peut entendre les clapotis de nos sexes entre tes fesses. On se met du foutre partout, sur le manche, les couilles, le ventre, les cuisses, et après avoir joui en toi on se fait nettoyer par ta bouche gourmande.
Voilà ce que j’aurais aimé, grosse poufiasse.
On va maintenant passer à la suite.
Je n’ai pas de nouvelle du petit jeune que j’ai baisé au sex-shop, et je décide d’y repartir le jour de la semaine où il m’a dit être là; tu viens avec moi, bien sûr.
Le minet est là, et il s’excuse de ne pas m’avoir appelé, me dit qu’il ne s’est plus souvenu de mon nom pour m’appeler. Il est heureux de me retrouver, et me propose à nouveau d’aller en cabine. J’accepte sans hésiter, mais auparavant je veux m’assurer que les clients vont s’occuper de toi.
Il y a dans le sex-shop un endroit dans le noir absolu. J’ai une lampe de poche et éclaire l’endroit. C’est un couloir sans issue, avec une banquette et des glories holes. Je t’y fais entrer, et enlève ton string. Je te mets un collier et un anneau qui enserre ta bite et tes couilles. Ils sont tous les deux fluorescents, et tout le monde pourra te deviner, savoir où est ta bouche, ton cul, et même ta queue pour ceux que ça intéresse. Je laisse la lampe, pour que les éventuels clients puissent te mâter sans que tu ne les vois.
Je fais le tour des salles, et informe tout le monde de ta présence, précisant que tout est permis.
Raconte moi ta soirée, et je te raconterais la mienne avec mon jeune et bel amant.
Et surtout, respecte l’histoire, ne me déçois pas.
Lui:
Monsieur,
Je suis sur la banquette comme une chienne qui attend son plaisir. Ma queue et mes couilles me font mal, mais je ne pense qu’à une chose, vous contenter.
Suite à votre annonce dans le noir, je perçois les bruits des personnes qui viennent en ma direction. Sans que je n’ai pu réaliser, un homme bedonnant me donne sa bite à sucer. Elle est de belle taille, je commence à la prendre en bouche, quand soudain je sens des doigts qui fouillent mon intimité. Je n’ai pas le temps de réagir que je sens une un sexe se présenter à ma chatte.
Pendant que je suce cet homme, un autre s’active dans mon cul avec violence. Il me claque le cul pendant qu’il me besogne. Le gros bedonnant gicle rapidement dans ma bouche. je n’ai pas le temps de dire ouf qu’un second se présente pour que je le suce.
L’homme qui me sodomise hurle et jouis dans mon trou. Une fois sorti son sexe, et alors que je suce l’autre gars, il s’amuse à passer sa bite mouillée de jute sur mon visage. Je suis devenue un vide couilles et ma chatte va supporter toutes les tailles de bites, de la petite à l’énorme Mon anus reste grand ouvert tellement il a pris cher.
Mon cul est rempli de jute. je pense que c’est terminé, mais une femme accompagnée de son gorille arrive. Mon loulou je te présente Igor, il aime les petits culs comme le tien et il va en profiter. La femme monte sur le canapé pour s’asseoir sur le dossier:
— Tu vas me bouffer la chatte pendant que Igor va t’enculer. Dépêches toi, viens la.
Elle soulève sa jupe courte, puis me prend la tête pour la placer sur sa choune. Pendant ce temps Igor se dénude. Je vois une vision d’horreur dans la glace. Igor est monté comme un taureau. Sans douceur il pointe sa bite sur ma rosette encore entr’ouverte, et il me plante son dard.
La douleur est violente et interminable, puis il s’active en moi. Je sens sa bite énorme en moi et le sperme des autres participants couler le long de mes cuisses
La femme est ravie de mes caresses buccales. Elle jouit bruyamment, elle me plaque la gueule contre sa chatte pour libérer un grandiose orgasme . Je suis inondée de liquide, je comprends qu’il s’agit d’une femme fontaine. Mon visage est mouillé et souillé.
Igor me laboure la chatte avec sa barre à mine et ça lui plait. Il gicle d’une force incroyable, et je sens ses jets remplir mon cul.
Je suis usée, la femme se lève et elle vient regarder ma rosette complètement ouverte. Igor tu as bien oeuvré, va chercher le nécessaire pour le nettoyer, pendant ce temps je vais empêcher que sa rosette se referme.
Elle s’équipe d’un gode phallique énorme, met du gel, et sans me prévenir elle me pénètre au plus profond. La douleur est intense, malgré le gel et le sperme en moi. J’ais l’impression qu’elle me perfore avec un pieu.
Igor arrive avec un gros entonnoir. Il me le plante dans le cul et demande à l’assemblée de me nettoyer avec leur urine. Beaucoup se vident dans mon cul, le liquide me remplit. Igor se présente à moi, me demande d’ouvrir la bouche. Je veux refuser mais une magistrale gifle de la femme me montre obéissant. Igor se lâche dans ma bouche .Il rythme ses jets, de façon que je puisse déglutir. Je suis couvert et rempli d’urine.
Quand tout le monde a fini, la femme amène une cuvette qu’elle place sous mon cul. Elle me demande de me vider dedans. Après quelques contractions tout le liquide est expulsé, mélange d’urine et de sperme:
— Maintenant, grosse salope, tu vas tout boire jusqu’à la dernière goutte.
Je m’exécute docilement, de peur des représailles, mais aussi parce que ça me plait.
A vous pour la suite,
Votre immonde pute