Nous venons d’emménager dans la superbe villa que nous avons pensée et dessinée avec mon épouse et faite construire. Donc voilà maintenant un mois environ que nous sommes dans nos murs et nous nous y sentons agréablement biens tous les deux. Nous travaillons non pas ensemble mais pratiquement car nous n’avons qu’à regarder par la fenêtre de nos bureaux nous sommes en vis-à-vis, elle dans un cabinet d’assurance et moi architecte c’est d’ailleurs ainsi que nous nous sommes connus pour finalement nous mariés. Là maintenant nous avons la ferme intention aussi d’agrandir notre famille et nous nous employons dans ce sens, il ne se passe pas une journée sans que soit elle ou moi ne cherchions à provoquer l’autre afin d’assouvir notre désir je suis certes demandeur perpétuel mais je dois avouer que Marika ne refuse pratiquement jamais mais qu’elle met aussi tous les atouts de son coté afin d’exciter mon désir. Marika est une superbe et authentique brune aux yeux bleux,elle est aussi grande que moi 1m75 pour 60 kg et un bon 95C de tour de poitrine ce qui n’est pas pour me déplaire. Il arrive que parfois je sois légèrement las ce qui n’échappe pas à sa vigilance et là j’ai droit à la séance de naturisme meurtrier, elle déambule dans la maison en string lequel string est pratiquement avalé par sa chatte pour ne laisser croire qu’elle n’est simplement vêtue d’une ficelle. Comme je vous l’ai dit précédemment en général les fins de semaine se déroulent toujours de la même façon c’est-à-dire mon pieu logé dans la foufoune de Marika. Donc aujourd’hui me sentant en pleine forme je me tourne vers ma bien aimée et me colle littéralement à ses fesses et lentement essaie de m’introduire entre les lèvres de sa douce fente qui sous la pression s’entrouvrent pour me laisser entrer, le gland étant à peine aspiré lorsque la sonnette de l’entrée me bloqua net et nous rappela à la réalité.Abandonnant Marika j’enfilais mon peignoir de bain sur mon corps nu et allais ouvrir, c’était notre voisine une jeune femme d’environ notre âge qui venait chercher de l’aide car son mari avait fait un malaise et se trouvait sur le carreau de la salle de bain sans connaissance.Elle aussi était encore en robe de chambre et me dit.
-’Désolé de vous déranger de si bonne heure Stéphane mon mari à fait une chute et il est inconscient et seule je n’arrive pas à le relever’.
-’Pas de problème entre voisins c’est tout à fait normal’.Arrivé à la salle de bain Stéphane avait repris connaissance mais se trouvait toujours au sol.
-’Bien je vais vous aider à vous relever’ lui dis-je
-’Je crois que je vais avoir un problème je ne sens plus mes jambes’.Ne voulant pas envenimer le problème je demandais à son épouse d’appeler le SAMU en portant mon regard dans sa direction. Elle aussi était accroupie et les pans de sa robe de chambre entre-ouvert laissaient voir son minou très velu à mes yeux, je détournais les yeux et elle s’en fut dans la chambre pour appeler les secours. Vingt minutes plus tard Stéphane était emmener vers les urgences et nous étions là seuls la voisine et moi.
-’Bien,je vais vous laisser madame si toutefois vous avez besoin ne vous génez pas venaez nous voir’.
-’Merci encore me dit-elle je me prénomme Lisiane,je vais me préparer et me rendre à l’hopital’.
-’Donnez nous des nouvelles en rentrant ’.
-’Oui et merci encore’.Je retournais chez moi et trouvais Marika dans la salle de bain,elle était nue et me présentait ses fesses en s’essuyant les jambes.Regardant ce spectacle,je me mis à bander et me recollais à sa croupe pour l’enfilais en levrette ce qu’elle adorait par dessus tout.Elle se releva m’empéchant de l’investire.
-’Dommage mon chéri tu vas devoir te contenter de ma bouche jusqu’à nouvel ordre,il ne fallait pas ouvrir la porte à peine ma douche prise en me séchant je me suis rendu compte que je suis indisponible,mais je ne vais pas te laisser en plan’,et elle s’agenouilla pour m’engloutir et me piper jusqu’à ce que j’explose au fond de sa gorge.Une fois terminer elle me demanda ce qu’était le coup de sonnette.Je lui expliquais sans lui dire que j’avais lorgnais sur la chatte de Lisiane.
-’Tu sais mon ange nos voisins s’appellent Stéphane et Lisiane et le SAMU a emmener Stéphane à l’hopital je crois qu’il a un sérieux problème il ne peut plus bouger ses membres inférieurs’.
-’C’est si grave la pauvre femme j’espère qu’il se remettra sur pieds rapidement,bon douche toi et après le petit déjeuner nous irons faire quelques courses’.Le petit déjeuner englouti,la maison fermée nous sortions de chez nous quand je vis Lisiane à l’arret du bus m’arretant à sa hauteur Marika baissa sa vitre pour lui demander si elle voulait que nous l’emmenions.
-’Non c’est vraiment sympa mais je ne voudrais pas abuser’.Marika lui dit que nous allions en direction de l’hopital et que cela ne nous génais absolument pas.Elle prit place à l’arrière et nous avoua qu’elle n’avait pas de permis de conduire mais qu’elle le passerait avant l’été.Tout le trajet durant elle ne cessait de me regarder dans le rétro.Nous la déposames devant les urgences et nous nous rendimes en centre ville pour nos courses qui furent faites en un rien de temps tout au plus 1h30 et nous étions dans la voiture prèt à regagner notre maison quand Marika me demanda.
-’Mon amour puisque notre week-end est calme et qu’il fait beau si tu m’invitais au restaurant’.Ce que je fis avec plaisir.L’après midi se déroula dans un autre secteur de la ville et nous fumes de retour vers 19hrs à la maison et confortablement installés devant la télévision nous sirotions notre apéritif préféré un punch coco quand la sonnette nous dérangeas.Marika alla ouvrir,c’était Lisiane qui venait nous apporter des nouvelles peu rassurantes sur l’état physique de son époux lequel était toujours paralysé et le diagnotic des médecins n’était guère encourageant pour le moment,la réconfortant de notre mieux nous l’invitames à rester avec nous pour la soirée elle accepta un verre de punch mais déclina le souper ne voulant nous imposer sa présence qu’elle jugea ennuyeuse et nous quitta une heure plus tard nous promettant de revenir nous voir prochainement.Le dimanche se réroula lui aussi gentiment et lundi nous ramena à la triste réalité du travail.Il devait être 11hrs lorsque Marika m’appela pour me dire qu’elle partait pour Paris par le train de 12h30 jusqu’à vendredi soir pour une formation sur le comportement et le relationel,formation prévue pour fin de mois mais avancée pour des raisons de service au sein du bureau pour lequel elle travaillait.Après quelques banalités elle me claqua un baiser et je vis son magnifique sourire et son clin d’oeil me laissant présager une bonne fin de semaine.Le reste de la journée passa rapidement et vers 18h30 j’étais chez moi douché et en tenue de sport qui consistait en un short et un vieux tee-shirt ample que j’aimais porté et dans lequel je me trouvais à l’aise.Après avoir lu les nouvelles de mon journal sportif je me dirigeais vers le bar pour me servir un verre quand on sonna à la porte,j’allais ouvrir et me trouvais face à Lisiane qui venait nous inviter pour un appéritif.
-’Désolé Lisiane mais je suis seul car Marika est à Paris jusqu’à la fin de la semaine ce sera avec plaisir pour quand elle reviendra’.
-’Je vous en prie accepter mon invitation car j’ai préparé quelques toasts et je ne me sens pas capable de tout manger et ce serait dommage de tout mettre aux ordures’.
-’Bien je me change et je vous rejoins’.
-’Non venez comme cela vous ètes acceptable’.Je prie mon portable , verrouillais la maison et suivi Lisiane chez elle.Au salon sur la table basse verres et plateaux amuse bouche étaient présent ainsi que différentes bouteilles d’alcool.
-’Installez vous et faites le service si vous le voulez bien je prendrais un Gin avec du soda et servez vous ce que vous voulez’
-’Merci je prendrais la même chose que vous,je m’excuse je vais parraitre indiscret que faites vous dans la vie avec Stéphane’.
-’Je travaille comme responsable de service à la préfecture et Stéphane est employé à la ville et nous sommes mariés depuis six ans maintenant’.Je lui rendis la pareille en présentant notre couple sur le plan travail,sans bien sur m’étendre sur le fait que nous étions un jeune couple.Ce fut Lisiane qui démarra.
-’Vous n’avez pas encore d’enfants,nous non plus j’aimerais bien que cela vienne car l’age avance et bientôt il sera trop tard pour cela’.
-’Vous êtes jeunes et il ne faut pas désespérer,pour notre part nous nous y attelons enfin nous souhaitons en avoir un rapidement cela mettra un peu plus de gaité dans le foyer.
-’Je vous le souhaite me dit-elle les larmes aux yeux pour moi ce bonheur n’est plus qu’une illusion ’.
-’Enfin Lisiane ne soyez pas défaitiste il faudra vous battre pour cela quand Stéphane ira mieux vous pourrez envisager à nouveau ’.
-’Hélas non je pense pas,cela fait maintenant deux ans qu’il ne me fait plus l’amour et cela est dut à l’alcool qu’il absorbe tous les jours il est ivre du matin au soir voila le travail des employés municipaux,j’ai déjà songé le quitter mais pour mes parents cela serait un coup dur et je ne veux pas les décevoir’.
-’Mais enfin vous n’allez pas rester toute votre vie avec lui s’il n’y a rien entre vous,je ne sais pas mais il y a bien des moments ou il est à jeun’.
-’Même là j’ai beau essayé de diverses façon soit de le masturber et même excusez mon langage le sucer il reste de marbre et j’en arrive à me masturber pour calmer mes ardeurs’.Et pendant qu’elle me faisait ce récit je ne sais pourquoi je sentais poindre un début d’érection.
-’Voulez vous un autre verre moi si resservez nous vous voulez bien de toute façon personne ne nous attends nous ne serons pas en retard pour souper’.
-’Oui vous avez raison dis-je tout en servant pourrait-on avoir d’autres glaçons?’
-’Mais bien sur je vais en chercher au congélateur’.Elle revint et se plaça sur le pouf face à moi et tout en buvant mon Gin mon regard se portavers elle et je m’apperçu que la position assise qu’elle avait adoptée m’offrait la vision de sa petite culotte qui elle même était la cible d’un rayon de soleil,et je pouvais même appercevoir les poils qui s’en échappait et cela me fit bander terriblement et ayant passé le week-end à la diète cela ne fit que décupler mon envie de femelle.Ma bite commençait à se sentir à l’étroi dans son logement,je repris mon verre et but une autre lampée de gin,Lisiane se rendit compte que quelque chose n’allait pas.
-’Vous ètes géné par ce que je vous ai dit concernant Stéphane et moi surtout n’en parler à personneni même à Marika je le lui dirai peut-ètre un jour’
-’Je vous promets de ne rien dire mais ce n’est pas le problème’.
-’Alors qu’est-ce donc?’
-’Eh bien voilà le problème est que votre position m’offre un spectacle magnifique et vous comprendrez que mon instinct de male se réveille’.
-’Oh excusez moi et vous qui ètes seul toute la semaine je comprends et s’appliqua à refermer ses jambes’.
-’Il n’y a pas de mal,il est vrai aussi que j’étais à jeun depuis vendredi soir et que devant cette douce vision l’envie s’est réveillée’.
-’Bon et si nous parlions d’autre chose car je sens que moi aussi je vais ètre mal à l’aise’.
-’Et comme cela nous serons deux malheureux’.
-’Bon arrettez sinon je vais vous punir’.
-’Comment cela vous allez me punir?’.
-’Oui je vais vous remontrez et cette fois intentionnellemnt cela vous fera plus de mal’.
-’Vous en seriez capable?’.
-’Bien sur vous voulez voir?’.Je lui dis que non que cela était l’effet de l’alcool.
-’Non non l’alcool n’y ait pour rien,c’est le fait d’en parler et de vous écoutez dire que cela vous fait de l’effet qui attise mon envie aussi la je vous avoue que ma petite culotte commence à s’humidifier’.
-’Enfin Lisiane arretez car moi aussi je ne pourrais pas partir de chez vous dans l’état ou je suis’.
-’A ce point je ne peux croire cela levez pour voir’.Aussitôt je me mis debout et une énorme bosse défformait mon short.
-’Oui c’est vraiment visible,nous au moins cela ne se voit pas à moins d’y mettre la main’.Et joignant le geste à la parole elle se toucha la culotte et me tendit la main.
-’Voilà regardez’.
-’Voir n’est rien c’est le toucher qui serait à même d’ètre cru’.
-’Cela est autre chose vous devez croire sur parole’.’Tenez d’ailleurs regardez la tache sur le fond de ma petite culotte’.Etelle écarta toutes grandes les cuisses et m’exposa sa lingerie.Elle portait un slip rouge et la tache sur le fond se voyait parfaitement.
-’Oui effectivement on ne peut dire le contraire pour être humide cà l’est drôlement et de plus vous bien fournie sur le plan toison au vu de ce qui s’échappe de votre slip la touffe doit être bien abondante’.
-’Oh oui c’est que j’hésite à la supprimer car je pense qu’elle repousserait de plus belle ,il n’y a que l’été lorsque nous allons à la plage que je coupe ceux qui dépassent,on appelle cela le maillot’.’Et Marika est fournie de ce côté là?’.
-’Non très peu et d’ailleurs elle ne supporte pas cela chez elle et se rase le pubis toutes les semaines’.’C’est pour cela que j’aimerai voir c’est à dire que vous enleviez votre slip’.Elle se leva,ota son slip et vint se planter devant moi.
-’Allez y vous pouvez regardez’.Je saisi le bas de sa robe et le releva dévoilant son bas ventre,un triangle de poils noirs camouflait entièrement son sexe je posai mes doigts dessus c’était assez bien épais,puis j’essayais d’appuyer un peu plus et tentais une carresse vers le sexe en direction de la fente et du clito.Là elle se cabra,se débarrassa son slip sans oublier de s’esssuyer la fente qui devait être bien poisseuse et se rassit sur le pouf sans même m’accorder un regard.
-’Je sais que je n’aurais pas du mais avec l’appéritif je suis toute chamboulée et je ne sais plus me contrôler parfois,veuillez m’excuser’.
-’Oui mais cela va être dur de calmer la tempête aussi bien pour vous que pour moi vous comprenez cela n’est-ce pas?’.
-’Je comprends que pour vous cela doit être pénible,mais au fait j’ai bien vu la bosse qui déforme votre short mais pas l’objet pourais-je à mon tour voir’.Je me mis debout et m’avançant vers elle je baissais mon short et ma verge lui sauta aux yeux’.
-’Mon dieu qu’elle est grosse et longue à côté de celle de Stéphane elle est énorme’.Et sans même me le demander elle s’en empara.je lui pris la tête dans mes mains et l’amena de telle sorte que sa bouche vienne au contact de mon gland,elle résista puis lentement se laissa aller à déposer des petits baisers puis lorsque ses lêvres furent sur le bout du gland je la forçais à ouvrir la bouche ce qu’elle fit aussitôt et commença à me pomper elle savait y faire parfois elle s’arretait pour me lécher la tige du gland au couilles pour ensuite se remettre à sucer.La prenant par les aisselles je l’obligeais à se mettre debout pour lui rouler une pelle,ma bite en feu fièrement dresser appuyée contre son ventre lui faisait sentir que l’envie de la prendre était forte,je saisi la fermeture éclair de la jupe que je manoeuvrais pour la lui oter ce qui ne prit à peine une dizaine de secondes et mon gland essaya d’emblée de l’investir mais elle se déroba.
-’Non il ne faut pas nous n’avons pas de précautions’.
-’De mon côté rien à craindre je suis sain et je pense que pour toi ce doit être pareil n’est-ce pas?’.
-’Non ce n’est pas à cela que je songeais mais plutôt au fait que je pourrais ètre enceinte alors que Stéphane ne me fait plus l’amour’.
-’Tu feras une bonne toilette de suite après et rien ne se passera’.Et je me remis à la chauffer pour lui faire perdre le contrôle de son corps afin de parvenir à la prendre.Ma main partit à l’assaut de sa chatte et mon index trouva d’emblée l’entrée de sa chambre d’amour,le clito était bandé comme une petite bite et lorsque mon doigt l’effleura elle poussa un petit cri atteignant la grotte d’amour il fut aussitôt comme aspiré elle était trempe une fontaine,des gouttes s’en échappaient pour atterrir sur le sol du salon.Saisisant mon engin je le guidais vers sa fente humide et chaude pour en frotter le clito puis le présentant à l’entrée d’un coup de reins ferme je me propuslsais entièrement pour buter contre sa matrice en lui arrachant un grand cri de bonheur je sentais son liquide sur mes couilles elle déversait son trop plein de joie pratiquement deux ans de privation s’échappaient de sa chatte en feu,notre position n’étant pas des plus confortable je m’évacuais de cet antre de plaisir quand.
-’Déjà tu m’abandonnes?’
-’Oh que non nous allons trouver une position plus confortable et je l’emmenais vers sa chambre tout en lui otant le dernier vêtement à savoier son chemisier qui dévoila une superbe poitrine du même gabarit que celle de Marika,après l’avoir baxculée sur son lit,je lui écartais les cuisses qui laissèrent apparaitre son coquillage qui jusque là était camouflé par son abondante toison.La bite tendue à l’extrème trouva son chemin et la pénétra lui arrachant à nouveau un cri de bonheur,elle aussi en avait autant envie que moi et participa activement en jouant du bassin pour venir à la rencontre du pieu qui la fouillait.Après environ quatre à cinq minutes de combat j’abdiquais en lui envoyant le contenu de mes bourses au plus profond de son antre d’amour.
à suivre………