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Mon premier Client – Chapitre 1




Mon premier client va arriver.

Je lai eu au téléphone seulement, je ne sais pas à quoi il ressemble. Il avait une voix relativement jeune, mais je ne saurais pas dire son âge. Je me repasse depuis des heures la discussion dans ma tête.

« Allo David? Il avait une voix assez gênée.

— Oui cest moi

— Bonjour, je mappelle François, et jai vu ton annonce sur le site descorte.

— Enchanté François, que puis je faire pour toi?

— Jaimerai » une pause, il respire, « te rencontrer et » une autre pause et, dans un soupir, « te baiser.

— Oui, super, pas de problème, je réponds, non sans une certaine peur au ventre. »

Un silence, jattends, ce nest pas à moi de prendre les devant, après tout ce sont ses désirs qui comptent.

« Hm, et tu seras rasé ?

— Oui, bien sûr, partout sauf la bite, je ne la rase jamais

— Partout? » une pause « tu veux dire sous les bras et les fesses?

— Oui et sur les jambes aussi.

— Cest génial, jadore ça. » une pause « euh je peux te demander quelque chose?

— Oui bien sûr, dis-je en rigolant, tout ce que tu veux, si je suis censé être ton prostitué, tu peux thabituer à demander! »

Une pause

« Bon, alors, jaimerais quelque chose de spécial. Jaimerais te dominer, dans une sorte de scénario.

— Mmmhh oui, super!

— Cest vrai tu aimes ça?

— Oui, jadore.

— Ah très bien » sa voix commence à se détendre « alors je texplique. Je veux un prostitué parce que mon copain naccepterait jamais. Jaimerai que tu sois vraiment à mes ordres. Jaimerai venir chez toi. Tu serais habillé avec des affaires très classes, mais en dessous un débardeur en résille et un jock-strap noir. Tu as ça?

— Oui bien sûr

— Je viens chez toi pour visiter ton appartement. Tu me montre tout lappartement, et je demande à voir ta chambre, et je veux quil y ai un magazine gay et que tu sois tellement gêné que je puisse en tirer avantage pour te faire faire tout ce que je veux.

— Daccord, jaime lidée.

— Cool, très bien. Une dernière chose » une pause « tu es ouvert à tout? Vraiment?

— Mais oui, vas y nai pas peur

— Dans ce scénario jaimerai quon fasse comme si on était frères. » Une pause « tu comprendras pourquoi.

— Daccord pas de problèmes, dis-je, intrigué

— Bon, quelques dernières questions. As-tu des godes?

— Oui, ne tinquiète pas, tu pourras me baiser avec.

— Tu accepte dêtre vraiment bien dominé? Je veux dire, je ne fais pas mal, ça ne mintéresse pas, mais genre humilié, à mes ordres.

— Oui, tant que tu veux, je serais ton putain jusquau bout, ne ten fais pas.

— Très bien. Et Tu prendrais combien pour ça?

— Tu vois ça en combien de temps?

— Une heure une heure et demie maximum

— Alors on va dire 200 euros.

— Daccord parfait, répond-il de suite. Ton adresse?

— Je lui donne mon adresse et mon code

— Très bien. Je viens à 3h ça te va?

— Oui.

— A tout à lheure » et il a raccroché.

Et maintenant jattends. Je bande comme un taureau mais jai quand même la peur au ventre. Je nai jamais été la pute de qui que ce soit. Ça mexcite à mort, mais putain ce que ça fout le jetons.

Toc Toc,

Ça y est, il est là. Je mapproche doucement de la porte. Je le vois par le Judas Mais cest Il me ressemble comme deux gouttes deau! Juste en plus vieux, peut être 30 ans. Ma bite fait presque exploser mon Jock-Strap. Jouvre.

— Bonjour frangin, dit-il de sa voix sexy. Il est habillé en habits de sport très moulants, et je vois, que son corps est très similaire au mien, il est beaucoup plus musclé. Et cest moi qui suis payé pensais je, mais

— Bonjour dis-je de ma voix la plus naturelle, entre, que je te fasse visiter.

— Cest ici que tu vis, donc?

Il regarde partout. Il me regarde, jai limpression que son oeil passe au travers de mes habits. Ma bite cogne de plus en plus fort contre mon pantalon. Il fait comme si il ne la voyait pas. Mais moi je vois bien la sienne, énorme contre l’aine, partant vers la droite.

— Cest ta chambre? dit il en montrant du doigt une porte fermée.

— Oui.

— Je peux voir?

Je nai même pas besoin de feindre davoir peur.

— Euh, dis-je dune voix étranglée

— Quoi quest ce quil y a de gênant? Dit-il en ouvrant la porte.

Jessaye de rentrer avant lui, mais il entre et tombe sur lexemplaire Gay Video ouvert à une page pleine de mecs musclés qui senculent dans tous les sens. Il le prend très lentement. Je mempresse de dire « Mais cétait juste pour voir, tu sais

— Jétais sûr que tu étais pédé.

— Non! Sûrement pas, je..

— Tais-toi. Jimagine que personne ne sais, hein.

— Mais je suis pas

— Ta gueule! Crie-t-il. Il sapproche de moi, menaçant, et me saisit par le col. « Tu sais ce que je peux faire si tu fais le malin avec moi. » Il me pousse vers le mur.

-Non, sil te plaît. Je ferais tout ce que tu veux, mais le dis pas aux parents. Jai vraiment la trouille maintenant devant son air terrible.

— Tout ce que je veux? Tu as bien dis tout ce que je veux? » Il me perce de ses yeux magnifiques.

Une pause. Je baisse les yeux, et dun air piteux, alors que jexulte dans ma poitrine et dans mon jock-strap je lance dans un soupir un faible « oui ». Il me lâche violemment, et va sasseoir sur mon lit. Il se caresse la bite à travers son pantalon avec ostentation. Je regarde avidement, car elle a vraiment lair énorme. Captant mon regard il me lance un « oh pas de regard insolent, petite pute, tu la regarderas en temps voulu

— Daccord, réponds-je la tête basse.

— Jaime mieux ça. Maintenant tu vas te déshabiller lentement et sensuellement, dans lordre que je te dirai. Commence donc par ta veste.

Je vais vers les rideaux, je voudrai pas que les voisins voient ça, non plus.

-Tu crois que tu vas faire quoi, là? Je tai demandé de fermer les rideaux? Non, je crois pas. Les voisins verront exactement ce que tu es, une traînée. Cest très bien comme ça. Ça mexcitera plus, et toi aussi jen suis certain.

Le pire cest que cest vrai. Jenlève avec lenteur ma veste qui tombe à mes pieds. Il la ramasse et la jette sur le canapé.

— Bien. Maintenant ouvre ton pantalon, mais sans lenlever.

Lentement je défais ma ceinture, puis jouvre le bouton, en le regardant dun air coquin. Je vois que ça lui plaît, parce quil commence à frotter plus fort son énorme bosse.

— Touche toi, lâche-t-il dans un soupir très tendu.

Je commence à me toucher dans louverture de mon pantalon. Je me demande comment je vais pouvoir ne pas jouir rapidement, tellement je suis tendu! Mais je continue, lentement les yeux braqués sur lui. Il respire de plus en plus fort.

— Ta chemise. » Une pause. Je feins une hésitation « Ta chemise, jai dis, enlève moi cette putain de chemise si tu veux pas que je te balance.

Jenlève bouton par bouton, révélant au fur et à mesure mon débardeur en résille. Je vois ses yeux sécarquiller. Quand jai fini denlever ma chemise qui tombe au sol, il me fixe en me dévorant des yeux.

— Attends une minute. Cest quoi, ça?

Une pause.

— Cest un truc de pute, ça. Tu mets ça? Réponds!

— Cest juste pour pas avoir froid.

-Te fous pas de ma gueule! Enlève ton fute.

Jenlève très lentement mon fute. Ça y est, un des voisins regarde, en face. Je croise son regard. Il me bouffe des yeux. François le voit. Il sourit.

— Tu vois, je tavais dit quils aimeraient tes voisins. Ils te voient souvent?

— N non.

Il sapproche de moi, les yeux rivés sur mon Jock-Strap. Il prend une des lanières entre deux doigt et tire un peu.

— Cest quoi, ça? Tu veux pas avoir froid, alors pourquoi tu mets ça? » Une pause. « Me dis pas Ton débardeur un Jock-Strap me dis pas

— Non, ce nest pas ce que tu crois.

— Tes un gigolo?

— Non! Attends je vais texpliquer.

— Oh oui, tu vas mexpliquer. Depuis Combien de temps tu fais la pute?

— Mais

— REPONDS!

Je baisse la tête.

— 3 ans, dis-je tout bas.

— 3 ans! 3 ans que tu te vends à des inconnus, alors que moi jai le droit à rien! Mais je vais te défoncer! Si tous ces vieux sont passé par là, dit il en me foutant un doigt dans mon cul déjà huilé, y a pas de raison que je reste en dehors, moi.

Je lâche un soupir quand il rentre dans mon cul.

— Ah mais cest que tadore ça en plus. Tes vraiment quune salope. Tu vas ten prendre mon gars. Et puisque tous les autres ont eu le droit, je vais pas me priver. A quatre pattes.

Jhésite.

— Tu as entendu?! Il me prends les cheveux, mais sans me faire mal. Il me chuchote presque dun air plus menaçant que jamais « A quatre pattes traînée! »

Je mexécute. Je regarde par la fenêtre, mon voisin a sorti sa bite et se branle doucement en me regardant fixement. Je tends le cul en me cambrant le plus possible. Là, dans cette position, je me sens enfin un vrai gigolo, et mon cul nattend plus quà souvrir.

François se déshabille très vite. Le voila à poil. Mon dieu, quel corps dathlète! Il doit passer des heures au sport. Il est rasé sous les bras et sur le cul, et ses jambes ne sont que légèrement poilues. Sa queue se tend fièrement toutes les secondes. Elle est énorme. Je suis fier habituellement de mes 19 cm épais, mais là, je reste bouche bée.

Il sapproche de moi, me prend la bouche dans sa main. « Petite traînée tu vas ten prendre plein le fion! » Il sécarte et tourne autour de moi en me toisant dun air méprisant. « Alors comment on se sent? Je fais de toi ce que je veux. Écarte les jambes. Regarde tes voisins. » Ils sont deux maintenant et viennent de se foutre complètement à poil. Il sont super bien foutus. « Alors tas honte? Tout le monde sait maintenant comment tu gagnes ta vie. A quatre pattes, hein, et hop le fric tombe! »

Je sens que le moment est venu de faire ma chaude. Je me lèche les lèvre dun air salope, et je me mord la lèvre.

« Ah tu crois que tu vas aimer ça, hein. Pétasse. » Il me crache dessus. Ça me tombe pile sur le cul. Jétale son crachat et je le fais rentrer dans mon cul dun doigt agile.

Il prend un des godes qui sont sur ma table de chevet. Dieu merci il prend le moins gros. « Alors cest ça ton arsenal ? Prépare ton cul, jai déjà vu quil était glissant comme il faut. » Il sapproche avec le les godes à la main, et je lui tends mon cul. Je sens le plus petit se presser contre mon cul. Il appuie doucement et je me sens mouvrir. Doucement, doucement ça rentre, et enfin tout y est. Il fait des va et vient avec ce gode. Heureusement quil est lisse, comme les autres. Jadore ça. Je vois mes voisins baver denvie.

« Bon, je vois que tu kiffe ça, on va passer direct aux choses sérieuses, dit il après avoir fini de mouvrir avec mon plus gros gode, celui qui fait 16 cm et relativement épais. Il sort de son sac un énorme gode. Encore plus gros que sa bite. Il me prend et me balance sur mon lit comme si je pesais 3 grammes. Jatterris la tête contre mes coussins. Je sens quelque chose de très gros se presser contre mon cul. Je me concentre très fort pour détendre au maximum. Je crie doucement.

« Ah, oui, dur métier, frangin, mais ça rentrera, les 22 cm par 6 en entier, que tu le veuilles ou non. »

Il force de plus en plus, ça y est ça rentre dun coup. Je mords mon coussin et je crie franchement cette fois. Les va et vient se font de plus en plus profonds, et il continue de minsulter. Quand je sens les boules en latex contre mon scrotum, je sais que jai atteint le bout. Les va et vient se font maintenant sur toute la longueur de ces 22 cm de fou! Jai limpression dun raz de marée perpétuel. Il me le plante un bon coup et il va ouvrir la fenêtre. Jentends mes voisins crier « ouais, bonne petite chienne ! » Je leur tends mon cul en me cambrant le plus possible. Ils sifflent de plaisir.

François leur dit de venir, il leur donne le code et il laisse la porte ouverte, il revient vers moi.

« euh commencé-je

— Tinquiète, me répond il sur un ton méprisant, je payerai pour eux aussi, pareil que pour moi. 600 euros en tout, dit il en mettant largent sur mon bureau. Ça va tes content, salope?!

Oh oui, je suis content! Je souris

Il sapproche, retire le gode, et me prend par-dessous les bras. Je sens sa bite rentrer dans mon cul comme si elle rentrait dans du beurre. Il rentre tout dun coup qui me coupe le souffle et je hurle de bonheur. Cest à ce moment là je crois que les voisins sont rentrés.

« Cest donc ça, dit lun deux en regardant largent sur mon bureau, tu es un putain?

— Cest pour ça quon voit toujours des mecs différents qui rentre dans limmeuble. Je me posais des questions. Tout sexplique. » Je suis toujours en train de me faire baiser violemment par François. « tu aimes vraiment ça?

— Oui , haletais-je entre les coups qui me percent, jadore ça!

Ils regardent François « on peut?

— Oui, cest moi qui offre, venez goutter.

Ils se déshabillent pendant que François mencule de plus belle. Sa bite est déjà grosse, mais alors celles des voisins! Lune est relativement grande, dans les 20, mais dun épaisseur comme je nen ai jamais vu. Sa main nen fait pas le tour. Et lautre est énorme aussi, mais alors, je nai jamais vu ça. Je regarde avec ébahissement.

— Ça va, cest assez gros pour toi, traînée? 24 cm rien que pour toi. Tu vas déguster.

Il sapproche et me la donne. Heureusement que jai une mâchoire très grande. Je la prends dans ma bouche, jai limpression que je vais étouffer, mais putain, quest ce que cest bon! Elle est brûlante. Ils alternent tous les deux dans ma bouche. François décule dun coup. Je me sens vide, mais je ne bouge pas. 24 cm sallonge sous moi et commence à me titiller le cul avec sa bite. Je maccroche au lit, mais ne bronche pas « vas y, tu peux y aller lui lance François, il est bien ouvert » Je me sens écartelé, mais mon cri est étouffé par la bite de François qui va jusque dans ma gorge. Je me sens exploser de partout. Les coups de 24 me ravagent de bonheur, et ça ne sarrêtent pas. Je touche le cul de François et je comprends quil est en train de se faire prendre par 20 pendant que je le suce. Il commence à crier lui aussi. Je me rend compte que la fenêtre est encore ouverte.

François murmure quelque chose à loreille de 20. Je ne sais pas ce que cest, mais je sens 20 se retirer de François et je lentend aller derrière moi. Je retire François de ma bouche et je crie « non non pitié pas ça!

— Ta gueule petite saloperie. Jai payé pour trois, tu te feras baiser comme je veux.

Je sens la deuxième bite se presser contre mon cul, et là pour le coup je hurle de douleur en même temps que de plaisir. Je les sens aller et venir en sens contraire dans mon cul, leurs deux bites se frottant lune contre lautre. Je ne vois plus rien que le pubis de François, et je ne veux plus rien sentir dautre. Je glisse un doigt dans son cul, et il gémit. Il me donne son plus gros gode, et je comprends quil veut que je lui enfonce. Plus je lui enfonce, et plus sa bite rentre profond dans ma gorge.

Jentends des pas, et je comprends que dautres mecs sont entrés. Je ne sais pas combien. Les bites défilent dans mon cul, dans ma bouche. Une par une, deux par deux, ajoutant un gode parfois, je perds la notion des nombres et du temps.

Après un moment que je ne saurai déterminer, je suis retourné sur le dos et pendant que 24 me défonce encore et encore, je vois enfin les 6 mecs autour de moi, certains qui senculent encore, qui se double enculent, puis tous se regroupent autour de moi et se branlent autour de moi en continuant de minsulter. Les uns après les autres ils me jutent dessus des jets violents et chauds. Quand je suis entièrement glissant de leur sperme, 24 se retire de ma bouche et me gicle dessus.

Je nen peux plus, et sans me toucher, jexplose dans le même temps que je sens François exploser en moi. Lentement il retire sa bite dégoulinante. Ils shabillent tous sauf François et partent rapidement. François membrasse et me glisse sa main sur mon torse luisant de tous les spermes mélangés. « Tu as été génial, un vrai putain comme on les aime.

— Jai adoré.

— Jai vu. »

Il est rentré en moi à nouveau par derrière et nous nous sommes endormi emboîtés lun dans lautre.

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