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Suite des aventures sexuelles débridées de Patrick. – Chapitre 4




Suite des aventures sexuelles débridées de Patrick.

Emilie, Patrick et son meilleur copain. 2

Un petit mot de l’auteur.

Si vous êtes un(e) fidèle lecteur (trice) de mes textes, vous allez retrouver deux des protagonistes d’histoires à épisodes.

Michel de (fantasmes inavouables) et Patrick de (le harem de Patrick).

Récit d’Emilie.

Pour que j’aie un peu d’indépendance quand je suis chez elle, Maman a fait aménager une dépendance pour moi toute seule. J’ai un bureau, une chambre et une grande pièce bien équipée qui me permet de recevoir des copains.

(Suite)

Patrick, avec se spectacle son et lumière qui lui est offert, a repris tout sa vigueur mais au lieu de venir avec nous, il nous annonce qu’il va faire un tour et nous dit de bien en profiter.

Après un temps indéterminé mais qui me parait une éternité de bonheur et plusieurs orgasmes tellement Michel me baise bien, Patrick revient avec une bouteille d’huile d’olive à la main et dit à Michel de se retirer et de s’asseoir sur le canapé.

Obéissant, Michel retire son engin, j’ai un sentiment de vide bien déplaisant.

A peine s’est-il assis à coté de moi que je me mets face à lui en me ré-empalant sur sa queue si fièrement dressée, les yeux dans les yeux, ne voulant pas m’arrêter en si bon chemin.

Je commence à monter et descendre sur cette matraque. Pendant ce temps, il attaque mes seins en les mordillant, les léchant, les caressant. Je n’ai jamais eu mes seins si fermes et mes tétons sont en totale érection.

Quand tout d’un coup, Patrick me pousse contre la poitrine de Michel et met ses mains contre mes hanches. Je sens sa langue contre mon petit trou qui me lèche juste au dessus de la bite de son copain.

Cela m’excite encore plus. Je garde mon cul un peu en hauteur pour permettre à Michel de reprendre les mouvements de son impressionnant pieu qui me perfore et je jouis de nouveau. La chose suivante que je réalise, c’est que Patrick est en train de verser de l’huile sur mon anus, puis il commence à le travailler avec ses doigts.

 Il me met deux doigts dans le cul mais c’est loin d’être l’équivalent de son chibre et en plus j’ai déjà la plus grosse bite que je connaisse dans ma chatte. J’ai donc un peu d’appréhension lorsqu’il enlève sa main et que je sens sa grosse queue se présenter à la petite porte.

Il glisse lentement son énorme gland dans mon cul et je crie de douleur mais aussi de plaisir.

— Ouuuuuhhhh! Salaud! Aiiiieeeputain! Doucement! Oooohhhh la vache! Elle est grosse ta putain de bite!

 Il s’enfonce en moi et rapidement je me retrouve prise en sandwich avec Patrick dans mon cul serré et Michel dans ma petite chatte.

 Je pense qu’ils l’avaient déjà fait avant parce qu’ils sont presque instantanément tombés sur le même rythme de martèlement. Cette double pénétration avec deux énormes chibres au plus profond de moi me donne des frissons de bonheur sur tout mon corps.

Je suis à la limite de la crise cardiaque avec tous les orgasmes que j’ai déjà eus, je pense ne plus avoir suffisamment de force pour jouir de nouveau.

Mais là, coincée entre mes deux étalons, de nouveau je sens venir au plus profond de moi une nouvelle vague de jouissance et je crie de plaisir sans discontinuer.

 – Whaaaaoooooouuuuuu ça recommence! Je jouiiiiissssss ! Encooooore! Putain de salauds, je vais mouriiiiirr!

 Après plusieurs minutes qui me paraissent une éternité de bonheur, Michel commence à gémir de plus en plus fort jusqu’à se déverser dans ma chatte.

Son éjaculation est moins importante que la première, il ne doit plus lui rester une goutte de sperme.

Ses spasmes conduisent quelques secondes plus tard Patrick au bord de l’orgasme et dans un dernier mouvement, il s’enfonce au plus profond dans mon cul pour me déverser une autre décharge géante, s’arrêtant enfin de me marteler. Senant le foutre expulsé par les contractions de mon sphincter coulé sur son nud, Michel s’écrit :

— Putain chapeau Patrick ! Après tout ce que tu lui as déjà donné, ta quantité de sperme est encore incroyablement énorme!

Je suis si vidée que, durant quelques secondes, impossible de reprendre mon souffle et de bouger. Ils se mettent à rire de mon état d’épuisement dans lequel je suis, enfin satisfaite et non pas grâce à une mais deux bites, non pas une fois, ni deux, mais quatre fois dans mes différents orifices!

 Patrick a glissé lentement sur le côté, son pal toujours aussi raide. Je sens le surplus de sperme couler le long de mon trou du cul béant. Je me soulève lentement pour faire sortir la grosse pine de Michel qui a débandée.

 La encore, son sperme coule de ma chatte. Ils ont juste regardé les deux trainées de semence couler et se réunir puis ont sourit!

J’ai tellement été bien baisé par mes deux mâles, joui tant de fois, subi ma première double pénétration et eu mes deux trous complètement explosés par leurs grosses bites que je ne peux pas me lever, je rampe à quatre pattes jusqu’au bord du canapé.

 Ils rigolent encore plus. Je les fusille du regard et m’exclame dans un sursaut d’orgueil:

— Eh bien, je suis cuite mais vous avez encore tout le week-end pour me donner votre sperme.

Mais Patrick ne l’entend pas de cette oreille et me force à avaler sa queue toujours dressée et à la sucer une quinzaine de minutes avant de décharger une nouvelle fois dans ma bouche un torrent de foutre.

Puis je me lève difficilement et rejoins ma chambre. J’y passe un certain temps. Je sais que j’ai encore envie d’eux. Ça a été la meilleure partie de jambes en l’air que je n’ai jamais connue !

J’ai tout le corps courbaturé, les jambes vraiment lourdes. Je vais à la salle de bain pour me nettoyer et me revigorer. Je fais couler un bon bain chaud pour bien me détendre. J’ai le plaisir de constater que tous mes orifices sont revenus à la normale.

Après environ une demi-heure dans la baignoire, je sors, ma serviette enroulée autour de moi et je me dirige tout droit vers le lit. Je suis tellement épuisée. J’enlève ma serviette et tombe la tête en première dans mon lit et je m’endors instantanément.

 Dans mon sommeil, j’entends quelqu’un chuchoter à mon oreille puis me la lécher. C’est à ce moment que je réalise qu’il y a quelqu’un dans mon lit et je me réveille.

Je reconnais Michel qui me murmure qu’il veut de nouveau baiser avec une fille si chaude. Je suis en chien de fusil et sens la longue et grosse hampe de Michel contre mon petit cul.

Michel s’attaque directement à mon cul avec sa bouche. Oh mon dieu que c’est bon ! Il commence à pousser sa langue de plus en plus profondément dans mon petit trou. À sa technique, je sais que ce n’est pas sa première fois.

Bientôt, toute sa langue est dans mon putain de cul et j’ai un orgasme. Je n’ais jamais eu un orgasme anal avant sans pénétration.

Après m’avoir lécher et baiser mon illet fripé avec sa langue pendant quelques minutes, Michel se lève, saisit le lubrifiant qu’il a apporté avec lui et commence à en verser sur mon anus déjà bien inondé puis me met un doigt.

Mon cul est déjà assez humide grâce à sa salive et bien dilaté de ma dernière baise avec Patrick un peu plus tôt. Son doigt glisse avec une grande facilité, un second le rejoint rapidement, forçant un peu plus.

Il ajoute lentement un troisième.

Il commence à augmenter le rythme de ses doigts dans mon putain de petit trou, jusqu’à me baiser littéralement avec.

Sans rien me dire, il me met un quatrième doigt, je suis à la limite de la douleur, mais je sais que j’en ai besoin en raison de son énorme queue à la longueur monstrueuse! Il n’est pas facile de s’enfiler une bite épaisse de plus de 26 centimètres de long dans un tout petit trou, et je vais avoir besoin de tout le relâchement possible pour y arriver !

Après environ deux minutes, il retire ses doigts et verse du lubrifiant dans le trou béant en grande quantité. Je sens le liquide froid couler entre mes fesses.

Michel ensuite enduit son braquemart puis il se lève et se met derrière moi. Je sens son gland mafflu qui pousse contre mon anneau ridé.

Je prends une grande respiration et détend mon sphincter au maximum. Il force mais ma corolle refuse l’intromission de ce monstre car sa queue n’a pas la dureté de celle de Patrick et plie sous l’effort.

Il s’aide d’une main pour que son gland arrive à violer mon petit trou et même s’il a été beaucoup travaillé avec sa langue, ses doigts et le lubrifiant, mon cul est encore trop serré pour l’épaisse queue de Michel.

Enfin, le gland a réussit à pénétrer en entier, la douleur est forte mais je suis habituée avec la pine de Patrick aussi épaisse.

Je commence à grimacer de douleur, mais je ne veux pas qu’il s’arrête. Je pose ma tête contre l’oreiller et maintient mon cul bien levé.

Il pousse lentement sa queue dans mon cul serré.

 – OOUUUUUIIIIII ! Comme çà! Ooooohhhh mon salaud ! Tu vas me péter le cul!

 Après un instant d’attente il continue sa poussée et bientôt la moitié de son chibre est en moi.

(À suivre)

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