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Elodie, piégée. – Chapitre 13




C’est sous le jet chaud et réconfortant de la douche qu’Elodie laissait son esprit se reposer.

Des millions d’idées auraient pu défiler dans sa tête. En quelques jours, elle était passée du statut de femme heureuse et mariée à celui d’esclave sexuelle en devenir. Elle obéissait au doigt et à l’il à ses deux tortionnaires, lesquels l’avaient contrainte depuis peu à des choses qu’elle n’aurait jamais imaginé réaliser dans une vie toute entière. Elle venait de sucer une dizaine de sexes dont elle ignorait qui en étaient les propriétaires, le tout empalé sur un gode imposant. Et ce n’était que le début du week-end ! Elle ne savait pas ce que lui réservait la suite, mais mieux valait ne pas y penser.

Elle préférait se laisser glisser doucement, le dos contre les carreaux, jusqu’à sentir ses fesses se poser sur le bac de douche. Elle grimaça de douleur à ce contact. Elle mit ses doigts en contact avec son anus, qu’elle sentait s’ouvrir sans difficulté. Elle devinait ce passage béant, mais cela ne l’émut pas tellement. Elle retira nonchalamment ses doigts, s’installa en tailleur, les bras ballants. Le jet éclaboussait sa nuque. Elle leva la tête, les omoplates rentrait, et laissait l’eau coulait sur son visage et sa poitrine. Que ça lui faisait du bien ! Elle laissa cette cascade se déverser sur son corps pendant quelques minutes, puis entreprit de se savonner entièrement. L’odeur du sperme lui semblant persistante, elle renouvela l’opération plusieurs fois. Avec prudence, elle nettoya également son anus.

Elodie coupa ensuite l’eau, sortit de la douche en ignorant les flaques qu’elle répandait sur le sol, et s’enveloppa d’une serviette posée sur un radiateur. Sa tiédeur lui fit du bien.

Elle s’assit ainsi sur le rebord du grand lit qui occupait sa chambre. Oui, SA chambre, car se fut ainsi que Dominique lui présenta cette pièce lorsqu’il l’avait amené ici. En vérité, il s’agissait plutôt d’une suite. Elodie a été à ce moment là soulagée de comprendre qu’elle dormirait seule, enfin si personne ne lui donne l’ordre de passer la nuit en compagnie d’une ou plusieurs autres personnes.

Elle regarda autour d’elle. La suite était belle, vraiment. Elle n’était pas luxuriante, mais grande, décorée avec beaucoup de goût. Dans un angle de la pièce se trouvait un canapé visiblement très confortable, posé devant une belle table en verre. Une grande baie vitrée offrait une vue bucolique sur les sous-bois, tout en laissait rentrer la luminosité. Tout le long d’un mur était installée une grande penderie. Elodie se leva et entreprit de l’ouvrir. Elle y découvrit un large choix de vêtements, de chaussures, d’accessoires, et de lingeries. Tout y était sexy. Bien sûr, il y avait des vêtements très vulgaires, voire carrément des uniformes dignes de scènes pornographiques, mais de la place avait été laissée aux robes de soirées et à des ensembles classes, et également à des habits plus simples. En regardant de plus près, elle se rendit compte que tout était à sa taille, même les vêtements les textiles les plus nobles.

N’ayant reçu aucune instruction sur la façon de s’habiller, elle choisit de porter un ensemble string/soutien-gorge blanc, que recouvraient un jean blanc, et un haut noir qui lui laissait le dos nu. Elle s’observa dans un miroir, et constata que le jean mettait ses fesses en valeur. Elle se trouva attirante. Puis elle revint dans la salle de bain afin de se coiffer. Elle ne trouva pas de trousse à maquillage.

Enfin, elle se rassit, et attendit qu’on vienne la chercher. Enfin, elle entendit la porte s’ouvrir. Bien entendu, elle n’entendit pas frapper. Ceci dit, elle ne craignait plus d’être surprise nue. Elle n’en était plus là. Ce fut Joris qui apparut dans la suite.

« – Je constate que vous êtes prête. Vous êtes ravissante, madame Maerte. Suivez moi je vous prie. »

Elle ne répondit pas et se leva, se laissant guider dans la demeure. Puis ils arrivèrent jusqu’à une porte. Cette fois, Joris frappa. Une voix féminine les invita à entrer. Joris ouvrit la porte, fit signe à Elodie d’entrer la première. Elle s’exécuta. Elle y découvrit une suite semblable à la sienne, à la différence principale de la présence d’une grande coiffeuse. Assise sur une chaise pivotante, une femme d’une quarantaine d’année la regarda en souriant.

Joris commença :

« – Madame Maerte, je vous présente Marie-Claire, votre maquilleuse. Marie-Claire, voici la jeune femme dont je t’ai parlé.

— Je suis enchantée, répondit Marie-Claire. » La voix était douce, réconfortante. « – Comment vous appelez-vous, mon ange ?

— Elodie.

— Je suis ravi de faire votre connaissance, Elodie. Merci Joris, je te dis à tout à l’heure. »

Joris les salua, et quitta la pièce en prenant soin à refermer la porte derrière lui.

Elodie s’attendait à ce que la maquilleuse lui dise de s’installer devant la coiffeuse, mais au lieu de cela, elle se dirigea vers un meuble dans lequel était caché un minibar.

« – Qu’est ce que je peux vous servir ? J’ai toutes sortes d’alcool et de sodas. »

Etrangement déboussolée par la gentillesse dont semblait faire preuve cette nouvelle connaissance, Elodie ne sut pas quoi répondre.

« – Ah, euh. Ben je Euh » Son cerveau marchait au ralenti, et ce pour une question aussi simple que celle-là.

Amusée par les balbutiements de la jeune femme, Marie-Claire prit le pas de lui préparer la même chose qu’elle : une tequila sunrise.

« – Asseyez vous sur le canapé, j’arrive tout de suite. »

Puis elle arriva avec deux verres généreusement remplis. Elle en tendit un à Elodie qui la remercia, puis s’assit à ses cotés.

Elodie en profita pour observer plus attentivement cette femme. La première femme qui faisait manifestement partie de ce gang. Elle était certaine qu’elle travaillait sciemment pour cette association, puisqu’elle n’avait pas l’air d’être soumise à la même drogue qu’elle. En tout cas son comportement ne laissait pas préjuger une telle chose. Elle avait quelques kilos en trop, apparemment, même si elle n’était pas grosse. Elle avait un beau visage, mis en valeur par ses beaux cheveux blonds.

Marie-Claire ne lui adressa pas immédiatement la parole. Elle but lentement une grande gorgée de la boisson. Elle ferma les yeux, prit une grande inspiration. Un petit sourire se formait sur ses lèvres, elle avait l’air sereine. Elodie n’osa rien dire. Elle but à son tour une gorgée. C’était bon.

 Elodie en oubliait presque où elle était. A la débauche, l’humiliation et la rudesse se succédaient la douceur, le confort et le calme. Elle en arrivait à se demandait si cette femme savait réellement pour qui elle travaillait. Finalement, elle entendit Marie-Claire lui dire :

« – Vous êtes vraiment une femme splendide, Elodie, je suis sûr qu’on va bien s’entendre. » Elodie ne perçu aucune allusion graveleuse dans cette phrase, aussi elle lui répondit :

« – Merci. Mais savez-vous ce que je fais ici ?

— Bien sûr, mes amis Dominique et Joris vous ont accompagnée pour une scène de tournage X. »

Accompagnée n’était pas vraiment le mot. Elodie eu cependant une seconde question :

« – Et vous savez que je suis contrainte à participer à ce film ?

— Oui. »

Les choses avaient le mérite d’être clair, au moins. Si Elodie avait construit jusqu’ici l’hypothèse que cette femme ne savait pas ce qui était en jeu, et qu’elle aurait pu éventuellement l’aider à sortir de cet enfer, ses espoirs étaient désormais réduit à néant. Marie-Claire enchaîna :

« – Je sais ce que vous pensez de moi, Elodie. Vous devez me prendre pour une personne horrible, inhumaine. Mais croyez moi, je ne veux que votre bien. »

Elodie était à deux doigts de lui envoyer son verre dans la figure, mais se retint.

« – Comment pouvez- vous dire des choses pareilles ?! S’emporta-elle. Vous ne voulez que mon bien ?! Mais chaque jour ma vie est un peu plus détruite que la veille ! Je suis en train de devenir une prostituée, je vais perdre mon mari, mon travail, et ne vivre que pour que sucer, lécher, et me faire sauter ! Vous ne pouvez pas me sourire, me parler gentiment en me servant un verre et prétendre que « vous ne voulez que mon bien ». Vous pouvez essayer de jouer la carte de la tendresse, mais vous ne valez pas mieux que les deux autres. Et croyez moi, le fait que vous êtes soyez femme est bien pire à mes yeux. Je me sens trahis qu’une personne du même sexe que moi puisse participer à ma déchéance, pour je ne sais quelles raisons vénales.

— Ma pauvre petite chérie, répondit la maquilleuse. Je sais pourquoi vous êtes ici, et comment. On m’a raconté votre parcours. Votre vie ne sera plus jamais la même et je le déplore. Mais je le répète, et je le dis en vous regardant droit dans les yeux : je ne veux que votre bien.»

Le regard intense, d’un bleu profond, que lui soutint la quadragénaire désarçonna la jeune journaliste. Cette dernière, troublée, détourna les yeux. Ne sachant alors que répondre, elle fut obligée d’écouter son interlocutrice.

« – Vous parlez de raisons vénales, et il est normal que vous pensiez cela. Mais je vous assure que mes motivations sont tout autres. Je partage le désespoir de personnes dans votre situation car vous n’êtes pas la première pour moi et je suis là pour vous aider à affronter cette situation de la meilleure des façons possibles.

— Dans ce cas là, pourquoi ne pas me faire partir d’ici ?

— J’ai dit « affronter la situation », pas « la fuir ». Si je vous fais partir d’ici, ils vous retrouveront tôt ou tard. Et moi-même-moi, je ne donne pas cher de ma peau. Votre métamorphose se fera avec ou sans ma présence. Donc, si on veut être pragmatique, et aussi malheureux que cela puisse paraître, la seule façon pour moi de vous aider et de travailler pour eux en restant auprès de vous. »

Elodie regarda à nouveau la femme, et se sentit fragile. Elle était perdue.

« – Ma chérie, continua Marie-Claire. Il faut accepter votre situation. Vous ne pouvez rien faire contre cela.

— Vous me demander d’accepter ?! C’est impossible.

— Il le faut. C’est votre destin. Votre vie est en train de radicalement changer et vous n’avez pas le choix. Enfin si. Vous avez une seule alternative. »

Marie-Claire approcha son visage de celui d’Elodie. Ses yeux semblaient briller de mille feux. Elodie ne pu en détourner son regard. Elle sentit les effluves de son parfum, délicat et envoutant.

« – La seule alternative qui s’offre à vous, Elodie, c’est d’apprendre à aimer cette nouvelle vie. D’oublier le contexte et de vous laisser abandonner à tous les plaisirs que vous aller ressentir et que très peu de femmes auront la chance de connaître un jour. »

Elodie s’arracha à ce regard. Perturbée, et essaya de montrer son indignation, sans toutefois parvenir à crier.

« – La chance La chance ?! Mais je n’ai pas choisi cette vie !

— Non. Mais il y a-t-il seulement du négatif dans cette histoire ? N’avez-vous pas connu des plaisirs nouveaux ? Des sensations inouïes ? Votre nouvelle vie vous permettra d’y gouter régulièrement. »

Elodie se souvint malgré elle de tous les moments de jouissance qu’elle a connus depuis ces derniers jours.

Les incroyables orgasmes lors du plan à trois avec Dominique et Joris.

La séance dans le bureau de M.Dugnat, où elle s’était beaucoup amusée à domicile sa secrétaire lubrique.

Sa première fois avec une femme, qu’elle s’était surprise à apprécier

Et plus récemment, lors du gloryhole. Certes elle avait mal au cul, et sa mâchoire est encore endolorie, mais elle avait petit à petit trouvé une source de plaisir au point d’avoir ressenti l’envie de se caresser.

Troublée, elle fut sortie de ses pensées par la main de Marie-Claire qui caressait doucement sa nuque. Elle en sursauta, mais ne désirait pas la fuir. C’était la première personne depuis le début qui lui donnait l’occasion d’avoir des pensées positives. Elle ne cessait jusqu’alors de se battre, de lutter en vain. Epuisée. Abattue. Qu’il était bon d’écouter ses paroles réconfortantes, de sentir son odeur, et de plonger dans son regard. Mon dieu, ce regard Aurait-elle raison ? Combien de temps pourrait-elle vivre dans des conditions pareilles sans devenir folle ? A quoi bon résister Il n’y a plus d’espoir. Ca n’est pas juste mais la justice ne peut rien pour elle. Que faire ? Que dire ?

Que sa main est douce.

Que penser ?

Que croire ?

Que ses caresses sont agréables.

QUI croire ?

Marie-Claire s’approcha de nouveau de la jeune journaliste. C’était maintenant son souffle qu’Elodie pouvait sentir. Elle sentait son haleine de menthe, ou d’elle-ne-savait quelle odeur enivrante.

« – Je sais que vous ne pouvez désobéir. Aussi je ne vous donnerai qu’un seul ordre. Laissez-vous aller à vos pulsions, Elodie. Ce sont elles qui vont rendre votre existence merveilleuse. Si vous avez envie de quoi que soit, je parle bien évidemment sur le pan sexuel, alors abandonnez vous. »

Avant même qu’elle eu le temps de réaliser ce qu’elle faisait, Elodie précipita ses lèvres sur celles de Marie-Claire. Cette dernière ne fit rien pour l’en empêcher, ouvrant la bouche pour accepter l’offrande. Les langues deux femmes se mêlaient, pendant que les quatre mains se baladaient au dessus des vêtements de façon désordonnées.

Elodie ne savait pas ce qui lui arrivait. Elle n’était pas lesbienne, mais ce qui était sûr c’est qu’elle avait envie de cette femme, ici et maintenant. Elle cessa de l’embrasser, et, le souffle court, entreprit de souleva la robe de la maquilleuse afin de caresser son vagin par-dessus un string. Déjà des gémissements s’échappaient de la bouche de celle qui recevait la caresse.

Elodie continua quelques instants, avant de s’écarter soudainement et d’enlever son haut ainsi que son soutien-gorge, dévoilant sa poitrine.

« – Tu as de très beaux seins, lui dit sa partenaire. »

Le regard de braise, Elodie s’approcha d’elle, se mit à genoux sur le canapé, et attira la tête de Marie-Claire jusqu’à ce que sa bouche soit en contact avec un de ses tétons. Elle était désinhibée.

« – Merci, alors lèche-les. »

Elle sentit alors la langue agacer savamment son téton, la faisant soupirer de plaisir. Elodie remit alors la main entre les cuisses de la maquilleuse et, poussant le string sur le coté, lui caressa la chatte. La découvrant ainsi trempée, elle poussa un doigt avec de la doigter énergiquement. Marie Claire n’oubliait pas les seins d’Elodie, puisqu’elle lui aspirait désormais les tétons, ce qui faisait la journaliste se cambrer de plaisir.

Elodie, qui voulait prendre les choses en main, finit par se mettre à genoux devant Marie-Claire. Elle invita la femme à soulever son bassin afin qu’elle puisse retirer le bout de tissu, et découvrit un sexe agrémenté d’un tique de métro tout à fait charmant. Elle eu la confirmation de l’excitation de la femme : sa chatte était luisante. Attirée comme un papillon par une fleur ouverte, elle souleva la robe et commença à la lécher. La maquilleuse se cambra aussitôt. Elodie ne sut pas expliquer pourquoi, mais elle trouva sa cyprine savoureuse. Elle avait l’impression de boire un doux nectar. Aussi elle lécha passionnément, puis rentra sa langue dans la grotte humide. Elle entrait et sortait sa langue du vagin de Marie-Claire, puis s’attaqua à son clito. Elle se régalait. Pendant ce temps, la main dans ses cheveux, la femme l’encourageait :

« – C’est bien, mon ange, c’est bon C’est très agréable ce que tu me fais là Tu vois comme il est bon de se laisser aller par ses pulsions ? Ooooh ! »

Elodie enfonçait maintenant ses doigts dans la chatte de Marie-Claire. Excitée comme jamais, elle sentait le feu entre ses cuisses et se servit de sa main libre pour déboutonner son jean. Elle glissa alors sa main dans son string, déjà trempée par la situation. Elle doigta communément sa chatte et celle de sa partenaire, sans jamais cesser d’agiter sa langue. Les encouragements de Marie-Claire se transformèrent en cris, et elle finit par jouir, envoyant un jet de cyprine sur le visage d’Elodie. Cette dernière ne fut pas dégoutée, au contraire.

Sa partenaire satisfaite, Elodie sorti son visage de là, et se déshabilla complètement. Elle continua à se doigter furieusement et sans pudeur. Lorsqu’elle sentit l’orgasme monter, elle se mit debout sur le canapé, à califourchon devant le visage de la quadragénaire. La chatte devant sa bouche, elle lui dit

« – Vas-y, lèche moi, fais moi jouir. »

Quelques secondes suffirent pour la faire crier.

Un peu calmée, Elodie se laissa tomber doucement sur les cuisses de Marie-Claire, et l’embrassa à nouveau. Les langues se liaient mais le baiser était plus doux. Lorsque les lèvres se décollèrent, Marie-Claire lui dit :

« – tu as encore le goût de sperme.

— Ah Répondit Elodie, presque vexée. Désolé.

— Ne le sois pas, j’aime beaucoup. Et toi, tu aimes le sperme ?

— Je ne sais pas. » Lui répondit sincèrement Elodie. Elle en avait bu des litres ces derniers temps, mais ne s’était jamais posé la question de savoir si elle appréciait ou pas. Jusqu’ici elle avalait automatiquement, parce qu’on lui en avait donné l’ordre.

— « En fait, répondit Elodie après réflexion, je ne déteste pas mais je ne peux pas dire que j’en raffole.

— Tu sais, du sperme, tu vas continuer à en avaler beaucoup. Toutes les femmes n’aiment pas ça, mais aimer, ça s’apprend. Il faut que, lorsque tu avales, tu essayes de savourer, de savoir pourquoi tu préfères le goût du foutre d’un homme plutôt que celui d’un autre. Si tu veux aimer, il faut essayer d’aimer. C’est pas automatique. Moi, j’apprécie qu’un homme me jouisse dans la bouche. Au moins autant que l’homme lui-même puisse aimer ça.

— Tu as sûrement raison. » Lui concéda Elodie.

Elodie posa alors sa tête dans le creux de l’épaule de Marie-Claire. Les deux femmes se caressaient doucement tous les corps. Elle se sentait bien, protégée, en confiance.

Ses réflexions restèrent autour de ce que venait de lui dire la maquilleuse. Après quelques minutes elle se redressa et déclara :

« – Marie-Claire, tu sais où se trouve Joris ?

— Non, pourquoi ?

— J’ai envie de sucer pour avoir le goût de son sperme. »

L’ordre que lui avait donné Marie-Claire l’avait conduite à formuler cette demande. Elle n’en eu cependant pas honte. Elle sentait qu’elle pouvait être elle-même avec cette femme, mais lorsque ses désirs consiste à avaler du foutre. Marie-Claire lui sourit :

« -Mais bien sûr ma chérie ! Reste ici je vais le chercher. »

Marie-Claire se rhabilla, et quitta la suite. Elodie profita de l’attente pour s’habiller à son tour, et finir son verre.

Enfin, Marie-Claire revint en compagnie de Joris.

« -Que puis-je faire pour vous ? Lui demanda t-il.

— J’aimerais vous sucer. Lui répondit-elle. Si vous pouvez faire aucun commentaire et simplement sortir votre engin, ce serait gentil.

— Oh. Bien sûr je vous en prie.

— Ca ne dérange pas que je reste ? Intervint Marie-Claire auprès d’Elodie. Si tu veux je peux revenir dans quelques minutes.

— Non, ça ne me dérange pas. Reste s’il te plaît. »

Elle se mit à genoux devant Joris qui avait sorti son sexe de son pantalon. Il était encore mou. Elodie le mit complètement dans sa bouche, et tantôt remuait sa langue, tantôt aspirait le tout. Puis elle sorti la queue de sa bouche, décalotta le gland, et vint l’agacer avec la langue. La queue devenait de plus en plus dure, et prit bientôt sa plus grande ampleur. Alors Elodie coinça le gland entre ses lèvres, attrapa la hampe, et le branla tout en faisant des mouvements de tête destinés à exciter son gland. Elle le sentait de plus en plus gros. Elle allait à l’essentiel, ne cherchant qu’à le faire jouir le plus vite possible pour sentir son foutre dans la bouche. Au bout de quelques minutes, le traitement eu son effet, et des jets de sperme se déversèrent dans la bouche de la jeune journaliste. Elle ferma les yeux et n’avala pas tout de suite, cherchant à sentir ce goût masculin. En se concentrant, elle commença doucement à comprendre ce que la maquilleuse trouvait de bon dans ce breuvage. Elle n’en était pas encore fan, mais elle sentait qu’avec le temps, elle finirait par en vouloir d’avantage. Elle joua un peu avec sa langue, puis finit par avaler. Elle n’avait pas décollé ses lèvres du gland de Joris. Enfin, elle le libéra.

Marie-Claire s’approcha doucement d’Elodie, vint lui déposer un baiser sur la joue, et lui dit de la voix la plus douce qui soit :

« – Je suis très fier de toi, ma chérie »

Elodie avait toujours les yeux fermés. Elle posa lentement sa tempe contre le front d’Elodie et sourit doucement.

Elle se sentait bien, elle ne voulait pas la quitter.

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