Couchée, malade, je nen peux plus. Il me tarde dêtre mieux. Heureusement que jai quelquun, Maria, une espagnole, pour soccuper de la maison. Je satisfais mon mari en le caressant. Jaime bien le faire bander, lui sortir la queue, lexaminer en détail. Je suis satisfaite quand je le tiens dans la main. Il sait, je sais que je vais lui donner du plaisir, pas celui auquel il aurait droit. Je le masturbe, cest déjà bien. Jaime avoir sa queue dans la main, la serrer un peu, faire rougir son bout. Je labandonne pour passer ma main sur ses couilles. Jaime les frôler, passer dessous, puis mettre ma main entre ses jambes. Il sait où je vais. Je fais trainer mes doigts pour très lentement aller vers son petit trou. Il a mit un bon moment avant daccepter MA caresse. Je passe le doigt au fond de sa raie, je câline lentement lanus avant de doucement entrer mon doigt dans le cul. Il attend la pénétration. Je lui mets le doigt le plus profond possible. Il resserre son anus quand je suis tout au fond. Jaime sentir cet instant qui montre quil apprécie.
Lui me regarde, sans rien me faire, il attend son heure. Ma simili sodomie est agréable pour lui comme pour moi. Jaime le posséder par ce petit trou. Il me le faisait bien avant que je sois alitée. Il vient plus près de moi pour que mon autre main prenne sa queue. Je le branle lentement en allant à la même vitesse que dans son cul. Je sais quil va jouir quand les muscles du lanus se referment sur le doigt. Jaime cet instant où lorgasme arrive en donnant son sperme. Des fois il se penche sur moi, jouvre la bouche, il me nourrit avec sa semence : jaime ça.
Il ne faut pas lui en demander plus, il naime pas me branler quand je reste immobile. Si je pouvais me branler ce serait bien. Alors je patiente. Un matin Maria me porte le petit déjeuner. Elle en profite pour refaire un peu le lit. Je suis trempée de désir. Jai un besoin immédiat dorgasme. Elle finit le ménage, puis revient me voir : elle me découvre, enlève le drap. Je comprends la suite quand elle relève la petite chemise de nuit. Elle expose tout mon corps : elle me regarde en détail.
Je reste muette de surprise. Elle passe une main caressante sur mes jambes, mon ventre, mes seins. Maria caresse mes épaules, descend pour de bon sur ma poitrine. Elle caresse délicatement les seins, fait ressortir la tétons qui bandent doucement. Jattends la suite sans rien dire pour ne pas détruire la magie, le mirage
Ces mains sont de plus en plus douces sur moi quand elle atteint le nombril puis le pubis. Elle écarte mes jambes : je suis entièrement exposée. Je nattendais jamais une telle action.
Elle entame un massage, elle part des cuisses, passe sur le pubis, monte doucement vers les seins, le cou. Elle redescend toujours aussi caressante. Ma cyprine doit aller sur mon petit trou.
Elle me tourne sur le ventre. Mes fesses ont aussi droit au massage/caresses. Elle monte dans le dos, redescend encore, passe dans la raie. Elle frôle lanus que jouvre au passage. Jai envie, jai besoin dune bonne jouissance. Si mon mari était là, il pourrait me branler, me baiser en forçant un peu, mais non, seule Maria soccupe de mon corps enfiévré. Mon Dieu que jai envie.
Elle passe lentement dans la raie, touche plus franchement lanus. Oui, quelle insiste, jai envie. Elle caresse le dos, descend encore, passe dans la raie, arrive à la hauteur de ma chatte. Elle y met un doigt. Elle lenfonce doucement elle le ressort, elle me doigte. Je sens quelle ajoute une autre doigt. Je me laisse faire en gémissant un peu. Soudain elle pose son pouce, sans doute, sur lanus. Si elle pousse un peu, elle va le rentrer.
Maria pousse son pouce dans mon cul. Elle me fait du bien, je sens mon ventre éclater de plaisir quand jatteins un sommet. Je me relève un peu pour quelle me caresse encore. Je jouis plusieurs fois à la file. Cest bon, encore.
Et moi qui ne peux rien lui faire. Jai une idée, idiote peut être. Le soir quand mon époux entre, je lui raconte ce que Maria ma fait que jai bien joui. Je vois quil bande.
Jappelle Maria qui étonnée arrive dans la chambre.
— Maria, vous mavez bien branlée, vous mavez bien faite jouir, voulez vous jouir aussi.
— Merci Madame, je me suis masturbée après.
— Pas devant moi.
— Non madame.
— Baisez devant moi mon mari.
Ni elle ni mon époux ne disent un mot. Je vois bien sa queue grossir, je remarque les yeux de Maria qui semblent aussi inspecter la bite. Ca crève les yeux que mon époux, avec mon autorisation va baiser la bonne. Je crois bien quelle aussi ne demande pas mieux. Le plan se met en place par mon époux : elle relève mes draps, il me découvre. Il baisse son pantalon : il bande. Maria le regarde, me regarde ma chatte qui est mouillée. Obéissant à son instinct elle est nue devant nous. Elle sassoit sur le lit, attrape la queue de mon chéri. Elle le met dans sa bouche. Je suis excitée au possible envoyant ses lèvres autour de la bite de mon mari. Il lui tient la tête, il lui baise la bouche.
Elle le lâche, la bite a un mouvement vers le haut. Maria ouvre ses jambes, attire la bite vers elle. Mon mari entre la queue dans la chatte offerte. Devant moi, sans défense, il enfile la bonne. Ils coordonnent leurs mouvements. Je voudrais moi aussi participer : ils sinstallent de telle façon que jai accès au cul de mon mari. Jy mets mon doigt, fais des va-et-vient. Il me semble baiser moi-même Maria. Je sens lanus qui souvre et se ferme : mon mari jouit dans le con de la bonne.
Comme pour me remercier, Maria passe sa main entre mes jambes. Elle me masturbe lentement, je jouis encore.
A entendre divers bruits dans la maison, je sais quils baisent tous les deux. Je préfère ça plutôt quils se planquent. Au moins ils peuvent me raconter comment ils baisent. Jaime savoir pour quand Maria me masturbe jimagine comment elle se fait mettre par mon chéri qui tous les jours vient chercher son orgasme de mes mains, des fois à présent quand Maria me branle ou me suce comme je le demande souvent.