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Ma mère, mon amour – Chapitre 3




Vers 17 heures je suis rentré à la maison, comme j’avais des devoirs je suis monté directement dans ma chambre. En attendant Maman je me mis à mon bureau et je les fis.

A 18 heures, elle rentra et commença à préparer le souper, bien vite une bonne odeur se répandit dans la maison.

Je descendis, elle était dans la cuisine, je l’embrassai et lui demandai :

-Tu as passé une bonne journée ?

-Pas trop, le chef de bureau m’a contrariée.

-On mange à quelle heure?

-19 heures trente ça va?

-Ok.

Je m’assieds à la table pour la regarder cuisiner.E lle était de dos et mon esprit commença à fantasmer sur son postérieur. Je lui dit:

-Maman, j’aimerais bien que tu relèves ta jupe pour cuisiner.

Elle se retourna, me sourit :

-Petit vicieux,tu ne peux pas attendre le soir?

-D’accord je vais attendre mais je te préviens, ce soir c’est moi le chef et tu devras faire tout ce que je dirais.

Elle s’approcha, me tendit ses lèvres et me dit :

-Si tu savais, je n’attends que cela, que tu me prennes pour ton esclave, et ne t’en fais pas je t’obéirais au doigt et à l’oil.

-Très bien.

Je retournais à mes devoirs et je me mis à penser ce que je pourrais bien lui faire faire ce soir.

Elle cria après moi pour souper. Je descendis en slip, je venais de prendre ma douche, elle me servit à manger et s’installa en face de moi,le souper se déroula dans une bonne ambiance. Nous fîmes la vaisselle tous les deux. Le téléphone sonna.

-C’est sûrement ton père.

Elle était debout en face de moi, le cornet à la main, je me mis à genoux devant elle et passa ma tête sous sa jupe, elle n’osait rien dire, je remontai doucement en découvrant tous les trésors, ses belles jambes gainées de nylon, puis ses cuisses, puis sa petite culotte rose du matin. Mon nez arriva à son entre-jambe et je sentis l’odeur de sa féminité à travers le collant. Elle posa sa main sur ma tête pour m’encourager à la lécher mais je me retirais et lui dis tous bas :

-Tu attendras ce soir

Elle fit la moue, elle parlait à mon père de sa journée, je criai : Bonjour papa et retournai à mes devoirs.

Bien assis à mon bureau,je travaillais,je l’entendis monter et venir derrière moi:

-Maître, j’attends.

-Ce soir je veux que tu sois mienne, je veux te faire l’amour, comme si nous étions mariés, je veux que tu te couches dans le lit avec une belle chemise de nuit en soie avec une belle culotte blanche en satin pleine de dentelles.

Elle s’apprêta et se coucha. je me mis au lit et me blottis contre elle. Nous nous embrassons comme de vrais amoureux et nos mains explorent nos corps. La douceur de ses dessous me rendent fou et je lui dis que je l’aime à la folie, elle me dit :

-Mon amour, viens sur moi tout doucement et surtout continues de m’embrasser pendant que je vais mettre ton sexe bien au chaud. Elle écarta sa culotte,me prit le membre et me guida dans sa grotte toute humide et chaude à souhait.

Nous restâmes ainsi sans bouger, on se disait des mots d’amour, je lui embrassais ses seins qu’elle avait durs, ses tétons étaient érigés vraiment comme deux petites bites, je n’arrêtais pas de les sucer, elle miaulait dans mon cou, Oh, chéri je t’aime je t’aime, je t’aime.

Nous étions si bien que jamais je n’aurais voulu arrêter. J’en pleurais presque de bonheur tant j’étais bien dans son corps, elle aussi me dit qu’elle était aux anges. Je commença doucement les vas et vient, elle mouillait tellement que je ressortit d’elle, elle me reguida et me dit à l’oreille vas-y mon amour, bourres bien ta petite maman, vas-y vas-y Oh la belle queue qu’elle est grosse Je la limais,elle n’arrêtait pas de dire des cochonneries, nous étions tous les deux comme deux fous. Vas-y mon amour jutes dans ta mère donnes moi tout ton foutre, vas-y, vas-y oh oui je jouis, mon amour je t’aime je t’aime.

On est restés soudés l’un à l’autre pendant une bonne partie de la nuit. A peine j’avais éjaculé, elle me caressait pour que j’ai de nouveau une érection et moi je lui faisais plaisir je rebandais tellement. Je n’avais jamais passé une aussi bonne nuit d’amour. nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre en nous promettant de recommencer le plus souvent possible.

Le lendemain au réveil elle me dit que je serais dorénavant son maître et que je pourrais faire ce que je veux. Alors je lui ai pris la tête et je l’ai diriger vers mon bas ventre qui était déjà en érection.

La suite au prochain épisode.

Merci, A plus.

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