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Vacances torrides à la ferme de mon oncle – Chapitre 1




J’aide mon oncle et ma tante à la ferme pour les vacances et ils s’occupent bien de moi.

Surtout ma tante qui aime bien les jeunes biens faits, comme elle dit.

Elle me touche souvent les cuisses ou les fesses par ce que je suis musclé, dit-elle devant son mari qui rigole de me voir gêné.

De mon côté, faut dire que je n’ai pas de copine sous la main et que cela y va la "veuve poignet".

Je pique discrètement des culottes à ma tante dans le panier à linge sale et les humes en me masturbant.

Au début je ne reniflais que les auréoles, la partie de devant si vous voyez ce que je veux dire, l’entre-jambe, parfums intimes de femme, mouille et pipi.

Puis imperceptiblement j’ai glissé vers les tâches plus foncées de l’arrière, le rapport à l’anus, je touchais le mien en me masturbant, un doigt pas plus, en imaginant que c’était ma tante qui me le faisait.

J’éjaculais dans la culotte et la remettais en place au linge sale.

Un après midi où je la croyais à faire son potager, elle m’a surprise en pleine action dans la buanderie.

La culotte dans la bouche, la verge à la main et un doigt dans le cul, mais contrairement à la réaction de reproches que j’attendais, elle est entrée et a refermé la porte avec le verrou puis me regardant, elle a sourit.

— Ahhhh, c’est toi le petit cochon qui fouille dans mon linge sale !?

  Un moment j’ai pensé que c’était ton oncle.

  Mais bon, je le connais et il a tout ce qu’il veut avec moi.

— Heuuu …

    Pardon tata …

  Je ne le ferais plus !

— Oh, tu peux continuer, ça ne me dérange pas si tu aimes mes parfums ! !

  Fais-moi voir ton bel oiseau.

Je suis surpris par la tournure des évènements.

Voila ma tata qui veut voir mon sexe que je cache désespérément avec mes mains et sa culotte.

— Enlève ça et fais donc voir ce que tu fais !

Me dit-elle en m’enlevant les mains.

— Eh ben dis donc mon neveu, tu as un beau manche de pelle !

  C’est avec ça que tu fais des grosses tâches dans mes culottes ?

— Heuuu …

  Oui tata …

  Pardonne-moi.

— Il faut bien que jeunesse se passe !

Dit-elle en me prenant la verge à pleine main.

— Je sais bien qu’il n’y a pas de filles de ton âge par ici.

  Et qu’il ne te reste que cette solution pour te soulager.

  Mais tu sais que tu peux demander à ta Tata chérie de te faire un gros câlin ?

Me propose-t-elle en me massant la queue.

— Vraiment Tata …

    Je …

    C’est gentil …

    Mais que va dire Tonton ?

— Ton Tonton est très large d’esprit tu sais, et bien sûr, il faut savoir lui faire plaisir aussi.

    Je peux lui en parler si tu veux ?

— Tu veux dire qu’il aime les garçons ?

— Il aime tout, si tu vois ce que je veux dire, ça va lui plaire une belle chose comme la tienne !

Tout en discutant, ma Tata a humecté mon prépuce avec de la salive et a glissé un doigt dedans, elle me tripote le gland et l’urètre sans me décalotter et c’est très agréable, j’ai une gaule de fer et j’attends la suite.

— Je lui en parle ce soir si tu es d’accord.

  Pour l’instant, je vais m’occuper de toi toute seule.

  Tu vas voir ce que ta tata sait faire !

Joignant le geste à la parole, elle s’accroupit et du bout des lèvres commence à me téter le prépuce.

Puis elle me décalotte avec sa bouche en me prenant les testicules dans une main.

Les malaxant comme pour en faire sortir le jus.

Elle me branle de l’autre, alternant suçage, léchouille, pompage, une vraie gourmande, sa main sur mes couilles remonte dans ma raie et un doigt vient caresser mon anus que j’avais mouillé de salive avant qu’elle ne me surprenne.

— Mais dis-donc mon neveu, je vois que ton petit trou est tout trempé !

  Serais-tu amateur de plaisirs spéciaux comme ton Oncle ?

Me demande-t-elle en le caressant.

— Heuuu … non…

    Je transpire !

— Ah ouiiii …

  Je vois …

  Lui aussi transpire de là quand il veut que je lui prenne sa température avec mon doigt.

  Tu veux ?

— Ben …

  C’est que …

  Je ne …

— Aller, laisse-toi faire, je suis certaine que tu aimes ça !

Dit-elle en me le rentrant dans les fesses.

Effectivement, j’apprécie de suite sa façon de faire, elle me doigte en douceur en me suçant le sexe. Elle va plus profond dans mon sphincter que moi pendant mes attouchements solitaires.

Je ne tiens pas longtemps, la double caresse provoque rapidement la montée de mon plaisir.

La situation troublante y est aussi pour quelque chose, je me retiens encore un peu mais la sensation est trop forte.

Je lui éjacule dans la bouche avec un râle de jouissance bestial.

— Hum …

  Hummm …

Fait-elle.

— Tu avais les couilles pleines mon neveu et quel régal ! !

  Tu as gâté ta Tata avec tout ce bon sperme !

— Merci Tatie pour la …

  Enfin je veux dire …

  Le câlin.

— Oh tu sais, tu peux dire la pipe, ne te gêne pas avec moi !

    Il faut appeler une chatte, une chatte.

  D’ailleurs à ce propos, j’aimerais bien que tu t’occupes de la mienne !

  Tout cela m’a fait mouiller ma culotte et elle est en feu, surement parfumée comme tu aimes.

Elle retrousse son tablier et sa robe campagnarde devant moi, m’exposant son sous-vêtement en coton blanc qui pend à l’entre-jambe, alourdit par ses sécrétions, laissant dépasser les poils hirsutes de son buisson non taillé.

Elle tire vers le haut sur l’élastique de la taille pour faire rentrer le tissu dans sa fente, ses grandes lèvres broussailleuses s’en échappent, sa mouille lui lustre le pelage, sur le devant j’aperçois une grande tâche d’humidité jaunâtre.

Elle s’est laissé aller depuis ce matin sans doute !

Pensais-je.

— Viens là …

Me dit-elle en s’asseyant sur le rebord du lavoir, jambes largement écartées.

— Viens sentir ta tata qui mouille pour toi !

Me voila penché entre ses cuisses, lui humant la culotte, effectivement, elle sent bon la femelle en chaleur et le pipi.

Elle me prend par les cheveux pour m’attirer sur sa motte odorante et me fait comprendre que je dois la lécher ce que je fais avec plaisir, pour une fois que j’ai son parfum en direct, à la source.

J’écarte le tissu et pose ma bouche sur les chairs brûlantes de désir, sa vulve est énorme, ses grandes lèvres sont gonflées comme des pneus et les petites pendent comme des escalopes flétries mais juteuses, de deux doigts.

Elle décalotte son clitoris qui n’est pas comme la moyenne.

C’est un demi cornichon en forme de petite bite qui dégage un parfum entêtant.

Je mange le tout comme un affamé, fouillant dans ses replis intimes, buvant son jus délicieux, fourrant ma langue dans son puits d’amour qui suinte de liqueur.

Ma Tante se met à glousser comme une pintade.

— Ouloulou …

  Ouloulou comme tu manges bien Tata !

  Ouloulou n’oublie pas ma petite rosette non plus ! !

Comprenant qu’elle parle de son anus, je descends lui humer la raie, direction le petit trou.

Là non plus, ce n’est pas une rondelle ordinaire, la chose est bombée vers l’extérieur, comme un volcan, il n’a plus de plis mais un rebord comme les lèvres d’une bouche en anneau prête à sucer un sucre d’orge.

D’après moi, elle doit s’en servir souvent pour autre chose que celle pour lequel il est prévu.

L’odeur qui s’en dégage sent bon la campagne si vous voyez ce que je veux dire.

C’est supportable, même quand j’y passe la bouche, il est souple et entre-ouvert.

On dirait qu’il me parle, j’y rentre la langue continuant à doigter la vulve de ma tante.

— Ouloulou …

  Ouiiii c’est bien comme ça !

  Plus profond en bas ! !

Elle réclame une pénétration plus envahissante pour son sphincter et je remplace ma langue par mon index.

Je le lui enfonce complètement et lui fouille le conduis.

— Plus gros …

  Plus grosssss ! !

Me supplie t-elle.

Je rajoute mon majeur dans l’orifice qui l’accueil sans résistance.

Elle prend bien ma Tata !

Mon oncle doit lui ramoner souvent la cheminée pour qu’elle soit aussi souple.

Je me mets à espérer un éventuel coït anal avec elle et recommence à bander rien que d’y penser.

J’active mon doigtage rectal et suce son cornichon avec une telle avidité que ma Tante en est secouée de spasmes, elle m’encourage à garder le rythme.

— Ouiii

  Ouiii

  N’arrête pas

  Haaaaaa

  Bouffe-moi

  Bouffe-moi le cul ! ! !

  Haaaaaa ! !

Elle jouit sur ma bouche en laissant échapper de petites giclées de liquide qui m’arrosent le visage, j’en avale pour goutter, ce n’est pas du pipi.

Elle remet le devant de sa culotte sur sa moule dégoulinante en la faisant bien adhérer à sa fente.

— Cela c’est pour ton Oncle, il va adorer l’odeur, il est comme toi !

Elle avise ma nouvelle érection que je n’arrive pas à ranger dans mon pantalon tellement je suis encore excité.

— Oh mais dis donc, tu as encore du répondant.

  Faut que ton Tonton voit ça, je suis sûre que ça va lui donner envie.

— Envie de quoi Tata ?!

— De se la prendre dans le derrière ! !

  Ton Oncle est un gros cochon sodomite, il aime bien m’enculer mais aussi "se faire enculer" ! ! !

  Et avec le morceau que tu as, tu vas lui faire plaisir.

— Mais je n’ai jamais fais ça avec un homme Tata !?

— L’appétit viens en mangeant, tu verras, tu n’auras qu’à commencer par moi !

Me dit-elle en me prenant fermement par le bras.

— Viens, on va le rejoindre dans l’étable, il est en train de changer les litières !

M’ordonne-t-elle en accélérant le pas.

Je me dirige donc avec ma tante qui me tient par la main vers létable pour y rejoindre son mari.

à suivre …

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