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Vacances en camping-car – Chapitre 10




Après les péripéties de la veille avec André et Fred, je voyais maintenant Marion d’un autre il. Elle qui était si novice au début de ces vacances, je ne réalisais pas encore que je l’avais vu de mes propres yeux chauffer, sucer et avaler la semence de deux parfaits inconnus. Et le pire, c’est qu’elle avait été déçue de ne pas pouvoir aller plus loin avec eux, preuve qu’elle était de moins en moins farouche en matière de sexe, et ça promettait pour les garçons avec lesquels elle sortirait dans les années à venir.

En tout cas, les parents ne s’étaient pas inquiétés de notre absence prolongée puisque, après la rencontre avec André et Fred, nous étions allés prendre une douche, si bien que nous nous étions absentés près de quarante-cinq minutes du camping-car, prétextant un problème aux sanitaires qui avait mis un peu de temps avant d’être résolu.

Ensuite, la soirée se passa comme si de rien nétait : d’abord l’apéritif, puis le repas, et enfin un jeu de cartes ponctué de rires et de bonne humeur avant d’aller se coucher, car nous allions reprendre la route tôt le lendemain, comme d’habitude.

Lorsque je grimpai dans la capucine, Marion s’y trouvait déjà, allongée dans son duvet, et elle m’accueillit d’un sourire.

— Salut, beau gosse, me chuchota-t-elle.

— Salut, gourmande…

Elle me répondit par un petit rire puis, après avoir souhaité une bonne nuit à nos parents qui vont aussitôt s’enfermer dans leur chambre, je ferme le rideau de la capucine pour que nous puissions nous aussi avoir un peu d’intimité.

— Alors, remise de tes émotions ?

— Oui, me répond Marion, et ça m’a beaucoup plu !

— À moi aussi, je réponds, même si j’étais un peu…

— Jaloux ?

— Exactement…

Tout en lui parlant, je dézippe un côté de son duvet, dévoilant petit à petit son corps caché par de jolis sous-vêtements rouges.

— Qu’est-ce que tu fais ? Demande-t-elle.

— Je me venge…

— Pas maintenant, les parents sont en bas, et…

— Tant pis, je prends le risque !

Une fois le duvet complètement dézippé, je l’ouvre entièrement et, pendant quelques secondes, mon regard ne peut se détacher du corps de Marion qui, une fois de plus, réveille en moi des envies de cochonneries.

— C’est pas une bonne idée, rajoute Marion.

— Et alors ?

Je pose aussitôt mes mains sur les seins de Marion que je pelote doucement, sans les sortir de leur soutien-gorge puis, rapidement, je m’empare de sa petite culotte que je baisse jusqu’aux genoux.

— Quentin…

Quand ma bouche se pose sur son sexe que je me mets aussitôt à aspirer et à lécher, Marion se cambre de plaisir, tout en m’agrippant les cheveux. Quant à moi, je lui dévore intégralement l’entrejambe, léchant ses fines lèvres, les écartant avec les doigts pour pouvoir plonger davantage à l’intérieur, et mordillant aussi légèrement son clitoris gonflé par le plaisir. Bref, je me régale et, quand j’entends Marion commencer à gémir doucement, ma main se pose sur sa bouche pour l’empêcher de faire du bruit, tout en continuant à lui bouffer l’abricot.

Je pourrais aussi très bien la branler et la finir avec mes doigts, voire même la baiser tout de suite alors que les parents étaient en train de se coucher à quelques mètres de nous mais non, ça ne m’intéressait pas. À l’instant présent, je n’avais qu’une seule envie : lui bouffer le sexe sous toutes les coutures, et la faire jouir sous mes coups de langue.

Ainsi, je continue de lui brouter le minou pendant encore quelques minutes, m’attardant davantage sur son clitoris que je titillais du bout de la langue puis, d’un coup, Marion se contracta brutalement, avant de me repousser la main qui lui bâillonnait la bouche et de me regarder en souriant.

— T’es trop fort, me dit-elle, haletante.

— Merci.

J’embrassais ensuite son sexe trempé du bout des lèvres, puis lui remis sa culotte avant de remonter ma bouche jusqu’à la sienne pour l’embrasser tendrement.

— Bonne nuit, ma belle…

— A toi aussi, me répond-elle, avant de refermer son duvet.

Nous nous mettons ensuite tête-bêche puis, quelques minutes après, nous nous endormons paisiblement.

Je rêve aussitôt que je me trouve dehors, en plein cur d’une forêt peuplée d’arbres qui me paraissent immenses. Il fait jour, la température est douce et, quand je baisse les yeux, je me rends compte que je suis nu comme un ver, la bite à l’air et raide comme un barreau de prison. Je regarde autour de moi, mais il n’y a personne. Tout d’un coup, au loin, j’entends quelqu’un gémir, tout en scandant mon prénom. Je me dirige aussitôt dans cette direction en courant. Je suis toujours seul dans cette immense forêt et, plus ça va, plus j’ai chaud, et plus j’apprécie pleinement cette tenue d’Adam.

Soudain, j’arrive dans une petite clairière, avec le sol parsemé de pissenlits. A quelques mètres de moi, je vois Marion, nue elle aussi, adossée contre un arbre, et un homme cagoulé lui matraque l’entrejambe par-derrière avec un sexe énorme. Elle hurle de plaisir en criant mon nom, et en me regardant avec malice. Ma main se porte aussitôt vers ma bite que j’agite dans tous les sens face à ce divin spectacle mais, en entendant une personne crier mon nom au loin, je repars dans cette autre direction.

Cette fois-ci, je cours à travers les arbres, le sexe bougeant dans tous les sens entre les jambes et, après quelques secondes, j’arrive devant une petite rivière au clapotis relaxant. À ma gauche, sur un gros rocher couvert de mousse, Marion est en train de se faire baiser par deux hommes cagoulés, l’un s’occupant de son sexe et l’autre de son cul. Une fois de plus, elle hurle de plaisir au rythme des coups de reins prodigués par ces deux inconnus, et je ne peux m’empêcher de me palucher à nouveau en les regardant faire. Seulement, après quelques secondes, je suis à nouveau interrompu par une voix au loin qui crie mon nom, donc je m’enfonce à nouveau dans la forêt.

Je reprends donc ma course à travers les arbres, mais je suis vite essoufflé. Je m’arrête donc quelques secondes pour faire une pause, en profitant au passage pour me tripoter à nouveau la bite, mais mon nom résonne dans la forêt encore plus fort que précédemment. Du coup, je reprends ma course, et j’arrive après quelques secondes dans une autre clairière. Cette fois-ci, le spectacle qui s’offre à moi est complètement différent, puisque ce sont les deux hommes cagoulés qui sont en train de baiser ensemble, pendant que Marion est allongée à quelques mètres d’eux et se doigte le sexe avec frénésie.

— Quentin, gémit l’un des hommes, alors que son acolyte est en train de le sodomiser.

Je me réveille aussitôt en sursaut et en sueur, et je me rends compte que nous sommes déjà en train de rouler. Un rapide coup d’il sur mon téléphone me permet de constater qu’il est six heures et demie du matin, ce qui veut dire que notre père a été, une fois de plus, bien matinal.

En tout cas, je n’ai pas vu la nuit passer, comme si le rêve érotique que je venais de faire avait duré toute la nuit, et j’ai une gaule d’enfer. Seulement, plutôt que de me soulager tout seul, je me dis que ça serait bien mieux de mêler l’utile à l’agréable.

En me redressant un peu, je constate que Marion est couchée sur le ventre, par-dessus son duvet, endormie, et la voir ainsi en sous-vêtements de bon matin n’arrange rien à mon érection ? Je me repais donc de ce beau spectacle pendant quelques secondes puis, tout d’un coup, j’ai envie d’être coquin. Quelques jours auparavant, Marion m’avait réveillé de bon matin avec une agréable gâterie, donc c’était à mon tour de lui rendre la pareille.

Après un rapide coup d’il sous le rideau de la capucine pour m’assurer que les parents sont tous les deux installés devant et que nous sommes donc tranquilles là-haut, je me redresse davantage, puis pose tout doucement mes mains sur les fesses rebondies de Marion qui ne bronche pas. J’attends quelques secondes dans le silence le plus complet puis, je me mets à lui tripoter les fesses, tout en douceur. Marion émet aussitôt un léger grognement, gigote un peu sur son duvet puis, elle s’immobilise à nouveau.

J’attends à nouveau quelques secondes puis, mes mains passent sous le tissu de sa culotte, caressant ainsi avec précaution ses fesses nues et, je la baisse doucement, suffisamment pour pouvoir apercevoir son petit trou. Je continue ensuite de lui masser les fesses puis, du bout du pouce, je lui caresse délicatement la rondelle. Je sens aussitôt Marion gigoter dans son sommeil. Fait-elle semblant de dormir afin de profiter pleinement de ce câlin matinal, ou dort-elle réellement ? Aucune idée mais, en tout cas, cela ne me stoppe pas dans mon élan.

Après quelques secondes, je me penche vers ma sur, et je me mets aussitôt à lui lécher le petit trou avec appétit, lui écartant les fesses afin de l’ouvrir davantage, et ma langue s’en donne à cur joie en lui mangeant l’intérieur. Si on m’avait dit un jour que je prendrais autant de plaisir à manger un cul, jamais je n’y aurais crû, et pourtant, c’était bien vrai ! Je continue donc de me repaître de son intérieur pendant quelques secondes, accentuant mes coups de langue au fur et à mesure que mon excitation montait et, bientôt, mon index s’insère dans son petit trou.

— Hum, j’adore ce réveil…

Je me redresse aussitôt, et vois Marion me regarder en souriant, les traits du visage encore engourdis par le sommeil.

— C’est vrai ? Tu veux que je continue ?

— Oui, sil te plaît…

Il ne faut pas me le dire deux fois. Je replonge aussitôt ma langue entre ses fesses, tout en lui titillant l’intérieur avec mon doigt, bientôt rejoint par un deuxième, ce qui me donne envie d’accélérer la cadence du doigtage sans plus tarder.

Je continue de lui prodiguer ce massage buccal pendant encore quelques minutes puis, d’un coup, Marion change de position en se mettant sur le dos.

— Vient par là, mon mignon, me dit-elle en me tendant les mains.

Je lui réponds aussitôt par un sourire et me couche sur elle avant de l’embrasser tendrement, comme si nous étions deux amants qui venaient de se retrouver après des années de séparation. Notre baiser dura pendant de longues secondes puis, alors que j’embrassais son cou, elle porta ses mains à mon entrejambe.

— Dis donc, c’est dur comme du bois, par ici ! S’exclama-t-elle.

— Tu me fais de l’effet, ça t’étonne ?

— Non, plus vraiment…

Je lui réponds pas un sourire, puis je lui embrasse la naissance du cou, suivi rapidement par la gorge et, lorsque j’arrive à sa poitrine, je prends ses seins à pleines mains pour les peloter fermement.

— Tu veux que je l’enlève ? Me demande Marion.

— Volontiers…

Quelques secondes après, Marion envoie valdinguer son soutien-gorge dans le fond de la capucine, et j’en profite aussitôt pour prendre ses jolis tétons en bouche, afin de les sucer et de les mordiller. Qu’est-ce que j’adore faire ça, je pourrais le faire pendant des heures !

Pendant que je joue avec sa poitrine, ma main droite descend jusqu’à son sexe déjà humide. Je me mets aussitôt à le caresser mais, pour une fois, Marion me stoppe dans mon élan en me repoussant la main.

— Pas si vite, mon mignon. Moi aussi, j’ai envie de jouer…

Elle me repousse alors gentiment et je tombe sur le dos à côté d’elle. Aussitôt, Marion se couche sur moi et recommence à m’embrasser avec appétit puis, ses mains se glissent dans mon boxer et se posent sur mes testicules qu’elle se met à masser gentiment.

— T’aimes bien quand je fais ça ? Me demande-t-elle.

— Oh que oui…

— Tant mieux…

Sa langue descend ensuite de mon menton jusqu’à nombril, puis jusqu’à mon pubis légèrement poilu. D’un geste rapide, elle me débarrasse ensuite de mon boxer puis, sa bouche repart à l’assaut de mon entrejambe, en commençant par mes testicules qu’elle s’amuse à gober l’un après l’autre, tout en me tripotant la bite.

Moi, je me laisse faire en fermant les yeux, savourant l’instant présent et, lorsque Marion prend mon sexe en bouche pour l’enfourner à plusieurs reprises jusqu’au fond de sa gorge, je ne peux m’empêcher de pousser un râle de plaisir. Et quand elle s’attarde sur mon gland, titillant même l’urètre du bout de sa langue, c’est l’apothéose, si bien que je suis à deux doigts de jouir. Pour empêcher ça, j’essaye de penser à autre chose mais, quand Marion se met à me lécher la bite de haut en bas, tout en me regardant dans les yeux, c’est de plus en plus compliqué.

— T’es prêt ? Me demande-t-elle.

— Prêt à quoi ?

— À me la mettre…

— Pour ça, je suis toujours prêt, oui…

Elle me répond par un sourire puis, après un dernier coup de langue sur mon gland, elle se dirige à tâtons vers son oreiller, plonge sa main juste derrière, et en ressort une capote encore emballée. Elle retourne ensuite vers mon entrejambe, reprend mon sexe en bouche tout en ouvrant l’emballage en alu puis, elle m’enfile l’étui en latex sur ma bite encore bien dure.

— Comment tu veux que…

— T’en fais pas, me coupe Marion, je m’occupe de tout…

Elle se remet ensuite à califourchon sur moi, attrape mon sexe d’une main puis, elle le guide aussitôt vers le sien. Une fois complètement empalée sur mon chibre, Marion laisse échapper un petit gémissement puis, quand elle commence à aller et venir dessus, elle se couche sur moi, et m’embrasse pour éviter de faire davantage de bruit.

Quand ses seins nus s’écrasent sur mon torse, j’en ai la chair de poule. Mes mains se posent ensuite sur ses fesses nues que je prends un malin plaisir à caresser et à peloter, au fur et à mesure que je lui matraque l’entrejambe. D’ailleurs, j’ai tellement envie de lui donner du plaisir que je finis par l’enserrer de mes bras et à accompagner ses mouvements avec cadence et excitation.

— Tu me défonces, me dit-elle, haletante.

— Tant mieux…

Ravi d’entendre ça, je continue de la baiser pendant quelques minutes puis, constatant qu’elle avait de plus en plus de mal à se retenir de gémir, je ralentis légèrement le rythme. Mes mains glissent sur ses fesses que je caresse à nouveau, puis je glisse doucement un doigt dans son petit trou que je recommence à doigter, comme quelques minutes auparavant.

— Tu l’aimes mon cul, dit Marion.

— Ouais, tu aimes ce que je te fais ?

— J’aime pas, non, j’adore !

Je lui réponds par un sourire puis, un deuxième doigt va rejoindre le premier, et je l’agite dans tous les sens et à toute vitesse dans ce petit conduit que j’aime de plus en plus, tout en continuant mes allers-retours dans son sexe.

— Tu veux qu’on change de position ?

— Si tu veux, me répond Marion.

Je m’extirpe aussitôt de sa minette, puis, je l’embrasse avant de gober et mordiller une nouvelle fois ses tétons tous durs. Une fois que j’ai terminé, je pousse Marion sur le côté, me mets dos à elle, puis, quelques secondes après, c’est dans son petit trou que je glisse mon sexe enrubanné de latex et trempé de cyprine.

— Ca va ? Je demande.

— Oui, t’en fais pas…

Je commence donc à aller et venir dans son cul et, comme je l’ai bien travaillé avec ma langue et mes doigts à plusieurs reprises quelques minutes auparavant, le passage se fait sans grande difficulté. Tout en la sodomisant, ma main se pose sur sa poitrine que je prends à pleine main, comme pour m’y agripper, alors que Marion, elle, se caresse la chatte.

— Je crève de chaud, me dit-elle après quelques secondes.

— Moi aussi, mais c’est pas grave…

Je continue de la sodomiser en accélérant la cadence mais, tout d’un coup, sans que je m’y attende, Marion ouvre le volet de la capucine en grand, laissant ainsi entrer de l’air frais, et dégageant la vue sur tout le camping-car.

— T’es folle, pourquoi tu fais ça ? Je lui demande à voix basse.

— Pour qu’il fasse meilleur…

— Et si les parents nous voient ?

— Ils verront rien, t’en fais pas, papa conduit, et maman est beaucoup trop occupée par la route…

— Mais tu…

— Ferme-la, et continue de me baiser plutôt que de stresser !

Bien que légèrement déconcentré maintenant que le volet était ouvert et imaginant la tête de nos parents s’ils nous voyaient dans une pareille situation, j’ai du mal à me remettre dedans, et Marion semble s’en apercevoir aussitôt.

— Bah alors, tu ralentis la cadence ? Me demande-t-elle.

— Mais non, c’est juste que…

— Que quoi ? On a passé toutes les vacances à baiser et à risquer de se faire surprendre, je te signale, donc pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

— C’était quand même un peu différent, donc…

— Pas vraiment, non !

Elle marque quelques secondes d’arrêt, puis :

— Bon, tu me baises, oui ou merde ?

Cette fois-ci, c’en est trop. Elle me cherche ? OK, alors elle va me trouver, cette petite salope !

— T’as eu raison d’ouvrir un peu le rideau, finis-je par lui dire.

— Pourquoi ?

— Parce que je vais te faire transpirer encore plus !

Avant qu’elle ne réponde quoi que ce soit, ma main se plaque sur sa bouche, et l’autre se glisse autour de sa taille. Je recommence aussitôt à l’enculer et, cette fois-ci, je n’y mets aucune douceur, seulement de la brutalité, et du rythme, beaucoup de rythme, même. Pour ainsi dire, je lui défonce le cul, et j’espère que le bruit de mes testicules tapant à toute vitesse sur ses fesses ne fait pas trop de bruit dans tout le camping-car car ce serait un coup à se faire griller très bêtement.

Je continue donc de la baiser sauvagement pendant quelques minutes et, ayant beaucoup de mal à se retenir de gémir, je sens les dents de Marion se planter dans ma main et se serrer d’un coup. Je ressens aussitôt une vive douleur mais, plutôt que de me stopper dans mon élan, c’est tout l’inverse. Non seulement je continue de lui pilonner le petit trou mais en plus, ma main qui me permettait de lui enserrer la taille descend jusqu’à son entrejambe, et je glisse aussitôt trois doigts dans son sexe trempé.

Je continue donc de lui faire son affaire des deux côtés pendant quelques minutes supplémentaires puis, sentant que Marion essaye de repousser ma main qui lui sert de bâillon, je ralentis le rythme d’un coup.

— Ca va ? Je lui demande.

Elle m’attrape aussitôt la main que je venais d’utiliser pour la branler, et me lèche les doigts de haut en bas.

— Très bien, finit-elle par répondre, haletante.

— C’est vrai ?

— Oui, tu m’as bien défoncée, je vais avoir du mal à marcher demain, et…

Je lui bâillonne à nouveau la bouche puis, j’extirpe mon sexe de son petit trou, et le glisse aussitôt dans son sexe avant de recommencer à la baiser sauvagement. Je la sens aussitôt se cambrer, et ses dents se plantent à nouveau dans ma main. Elle qui pensait être rassasiée, elle ne devait pas s’attendre à ce que nos ébats continuent, et c’est tant mieux.

Une fois de plus, après quelques minutes de baise intensive, je la sens à nouveau repousser ma main, et je m’arrête aussitôt de la pilonner, à bout de souffle, et me couche sur le dos, bientôt imité par Marion.

— C’était… wahou ! Finit-elle par dire après quelques secondes de silence.

— T’as joui ?

— Oh que oui, et pas qu’un peu ! Et toi ?

— Non, pas encore…

— Tu veux que je te finisse ?

— C’est demandé si gentiment…

Marion se couche à nouveau sur moi, m’embrasse tendrement puis, ses lèvres reprirent le chemin de mon sexe qu’elle débarrasse rapidement de son étui en latex avant de le prendre en bouche. Je la regarde faire sans rien dire puis, en la voyant empoigner fermement mon sexe de la main droite et l’agiter de haut en bas à toute vitesse, je sens que je vais bientôt venir.

— Je veux que tu m’en mettes plein le visage, me dit Marion en me regardant en souriant.

— T’es sûre ?

— Oui, dis-moi quand ça va venir.

— OK, ça va pas tarder.

— Tant mieux…

Elle accélère ensuite la vitesse de son mouvement, sans me lâcher des yeux et en se passant la langue sur ses lèvres, comme pour me chauffer, ce qui se révèle d’ailleurs efficace puisquaprès quelques secondes, j’allais exploser.

— Ca va venir…

Aussitôt, Marion pencha son visage juste au-dessus de mon sexe, ferma les yeux puis, rapidement, deux jets de sperme atterrirent sur son joli minois, recouvrant une partie du contour de sa bouche, et aussi son il droit.

La voir ainsi le visage recouvert de ma semence m’excite un maximum, surtout quand elle essaye de récolter le liquide autour de sa bouche d’un coup de langue avant de l’avaler sans broncher.

— C’était vraiment… génial ! S’exclama-t-elle après quelques secondes.

— C’est vrai…

Elle se saisit ensuite d’une bouteille d’eau qui traînait dans un coin de la capucine, et d’un kleenex qu’elle humecta avant de se nettoyer le visage. Je la regarde faire sans broncher, toujours allongé sur le dos, et la bite à l’air, fier de notre performance et, quand elle se recouche à côté de moi, je continue de la fixer, ce qu’elle remarque aussitôt.

— Quoi ?

— T’es belle…

— Toi aussi, mais tu devrais te rhabiller. À mon avis, on va bientôt s’arrêter pour le petit-déjeuner.

— Je pourrais aussi descendre la bite à l’air, non ?

— Ça me déplairait pas…

— C’est vrai ?

Sans qu’elle n’ait le temps de répondre quoi que ce soit, ma bouche repart à l’assaut de son sexe humide que je recommence à laper dans tous les sens. Je sens aussitôt tout le corps de Marion se cambrer sous l’effet de mes coups de langue.

— Arrête, Quentin, il faut que…

— Que quoi ? Je réponds avant de plonger un doigt entre ses lèvres.

— Il faut que… que…

Elle ne peut finir sa phrase car mon doigt vient de se poser sur son clitoris que je prends un malin plaisir à agiter dans tous les sens. Sentant que Marion a encore du mal à ne pas gémir, je lui bâillonne à nouveau la bouche et suce un de ses tétons pendant que je lui fouille le sexe à toute vitesse avec trois doigts. Rapidement, des gouttes de cyprine jaillirent de son antre chaud, et elle me poussa aussitôt la main que je ressortis trempée de son entrejambe.

— T’es infatigable, me dit-elle, essoufflée.

— Je sais, t’as aimé ?

— Oui, j’ai joui une deuxième fois…

— Tant mieux !

Nous nous rhabillons ensuite silencieusement, très contents de cette séance de galipettes que nous venons de partager. Une fois que c’est terminé, nous nous couchons sur le dos, l’un à côté de l’autre, et Marion m’attrape le bras afin de le passer autour d’elle pour pouvoir se blottir confortablement contre moi.

— Tu sais quoi ? Me demande-t-elle après quelques secondes.

— Non ?

— J’ai envie que ce trajet en camping-car ne s’arrête jamais…

— Si seulement…

Nous restons ainsi, silencieux, et nous endormons, paisiblement.

Une heure après, nous nous arrêtons sur une aire d’autoroute pour prendre le petit-déjeuner. Pendant le repas, notre mère a les yeux rivés sur une carte routière qu’elle étudie scrupuleusement, si bien qu’après quelques minutes, le verdict tombe.

— Nous devrions arriver à la maison demain, en milieu d’après-midi, répond-elle.

Marion et moi faisons semblant d’être contents mais, au fond, ça nous fait plus chier qu’autre chose, car cela marquera probablement la fin de nos aventures. Nous échangeons donc un regard qui en dit long puis, une fois de retour dans la capucine du camping-car et à nouveau sur la route, nous en parlons à mi-voix.

— Ca va ? Me demande Marion.

— Pas vraiment, et toi ?

— Bof…

Elle marqua un silence de quelques secondes avant de reprendre.

— Il faut qu’on parle, décida-t-elle.

— De quoi ?

— De nous. Toi et moi, on s’est bien amusés pendant ces vacances, mais…

— Je sais, il faut plus qu’on recommence.

— Exactement, même si ça va me manquer, beaucoup me manquer, même, mais on a pas le choix.

— Je suis d’accord…

— Donc sans regrets ?

— Si, avec beaucoup de regrets, mais on a pas le choix, comme tu dis…

— C’est vrai…

Nouveau silence de quelques secondes.

— En tout cas, je répète : j’ai vraiment adoré nos galipettes, dit-elle. Tu mas fait découvrir plein de choses et c’était… inattendu !

— Moi aussi, et je te regarderais plus du même air, dorénavant.

— Moi non plus, et j’envierais toutes les filles qui partageront ton lit…

— Pareil pour tes futurs copains, je les déteste déjà !

Marion rigola puis, elle s’approcha de moi et me déposa un baiser sur la joue.

— Je t’aime, tu le sais, ça ?

— Moi aussi, répondis-je, en lui rendant son baiser.

Ma bouche faillit déraper sur la sienne, mais je m’abstins, et nous nous recouchons aussitôt, sans rien dire.

— Marion ?

— Quoi ?

— Il reste de la route jusqu’à la maison, donc on a encore largement le temps de…

— Quentin !

J’éclate aussitôt de rire, et Marion me répond en me balançant son oreiller que je me prends en pleine tronche. Je reniflai rapidement son parfum qui se trouvait dessus, et lui renvoya.

— Je peux te demander quelque chose ? Finis-je par demander.

— Je t’en prie…

— Tu peux me montrer une dernière fois tes seins, s’il te plaît ? Histoire que je les mémorise bien…

Marion poussa un grognement puis, alors que je pensais qu’elle allait m’envoyer balader, elle se redressa puis souleva son tee-shirt et son soutien-gorge pour me montrer sa jolie poitrine.

— T’es content ? Demanda-t-elle.

— Attends…

Je me saisis aussitôt de mon téléphone qui se trouvait dans ma poche et le braqua vers elle.

— Je vais les prendre en photo, ce sera plus simple…

Une nouvelle fois, je me pris son oreiller en pleine tronche.

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