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Missionnaire à Ngasobil – Chapitre 1




La journée avait commencé comme tous les dimanches. Il s’était réveillé avec une légère gueule de bois. Il rentra dans la cuisine pour se préparer un café. C’était une journée ensoleillée ; il devait être dix heures. Il prit son ordinateur portable et consulta son courriel pour commencer son tri dominical.

Cet homme s’appelait Sammy White.

Sammy passa une bonne heure à consulter son ordinateur. Il y avait quelques courriers intéressants et des spams sur de prétendus gains de loterie sur des sites qu’il n’avait jamais fréquentés.

Tout à coup, quelqu’un frappa à la porte.

Il leva des yeux perplexes et se leva avec indifférence. La personne frappa à nouveau contre la porte.

J’arrive, j’arrive…

Sûrement un ami qui voulait lui demander un service.

Sous son porche se trouvait une toute petite blonde. Peut-être une vingtaine d’années, et encore, avec un gabarit mince. Une allure mignonnette. Elle portait une chemise blanche boutonnée, une jupe rose pâle, des chaussettes blanches hautes et des espadrilles compensées. Elle avait même un joli petit ruban rose dans les cheveux. Des yeux bleus, aussi, et un grand sourire montrant son appareil dentaire.

Bonjour, Monsieur !

Bonjour, euh, Mademoiselle. Vous êtes laitière ?

Hein ? Non, je…

Dommage, j’avais besoin de lait pour mon café. C’est quoi dans vos mains ? Vous m’apportez des brochures ?

Plus ou moins. Je vends des…

Ah, vous vendez des torchons ? Vous les vendez pour votre plaisir ou pour une société capitaliste esclavagiste ? Je ne suis susceptible de vous acheter quelque chose que si ce sont vos propres torchons.

Désolée de vous déranger, Monsieur, mais je fais du porte-à-porte en vendant des magazines pour récolter des fonds. C’est pour le voyage missionnaire des jeunes de ma paroisse !

La jeune femme était plutôt énergique. Et puis, si c’était une action pour le catholicisme, il pouvait se permettre de faire une exception, d’autant plus qu’il était lui-même chrétien et connaissait bien les prêtres du village.

Oh, ouais, la charité, hein ?

Exact !

Il fait chaud dehors, je sens l’air frais de ma maison partir. Je veux bien lire vos machins en buvant mon café sans lait, mais si vous restez sous mon porche, vous laissez sortir tout l’air frais. Vous rentrez ?

À ces mots, l’homme se retourna et passa dans la cuisine en laissant la porte ouverte. Il prit la tasse dans la cafetière et revint vers la blonde qui était encore sur le seuil de la porte, un peu timide.

Venez, rit-il, nous allons discuter de votre projet. Fermez juste la porte ; il n’y a pas besoin de la verrouiller à clef.

Oui, j’arrive ! sourit-elle en tenant ses magazines.

*

La femme franchit le palier et ferma la porte. Elle fit une ronde en suivant l’hôte jusque dans le salon et elle s’exclama :

C’est une chouette maison !

Merci. Asseyez-vous. Vous voulez à boire ? Comme vous êtes une missionnaire, j’imagine que de l’eau fraîche vous convient ?

Elle acquiesça de la tête avec enthousiasme.

Oh, oui, c’est très gentil ! sourit-elle. Au fait, je suis Diana.

Enchanté, Diana. Vous pouvez m’appeler Sam, mais je suis Sammy. Peu importe. Je reviens tout de suite.

Diana sourit et s’assit sur le canapé en posant son sac à dos sur la table basse. Elle avait sorti un gros catalogue, et quand l’hôte revint avec une bouteille de Contrex fraîche, elle était déjà en train de feuilleter son répertoire.

Nous avons le choix entre toutes sortes de magazines : Life, Time, Rolling Stones…

La blondinette s’arrêta et attrapa la bouteille en le remerciant. Elle ouvrit le bouchon et but quelques gorgées. Ils étaient en plein mois de juillet et la chaleur était au rendez-vous.

Je vois, je vois, dit-il en s’asseyant à côté d’elle pour voir ses fameux magazines ennuyeux. Si je comprends bien, les gentils prêtres vous font sortir par une journée super chaude pour vendre des magazines super chiants ?

Elle se mordit légèrement la lèvre avant de répondre :

Oh, non, ils ne m’y obligent pas ! Mes parents n’ont pas les moyens de me payer un voyage et j’ai vraiment envie d’y aller, dit-elle un peu honteuse.

Où voulez-vous aller ? dit-il en buvant son café.

Au Sénégal pour faire de l’aide humanitaire et propager la foi chrétienne.

Ah. Vous êtes humaniste. C’est bien, ça. Et la seule façon de récolter de l’argent, c’est de vendre des abonnements pour des magazines ? La paroisse n’est-elle pas censée être riche ?

Possible, mais…

Je connais le curé et il vit bien. Je ne serais pas étonné de le voir sur un yacht avec de jolies femmes en bikini en ce moment même.

Vraiment ? Ce n’est pas son genre ! rit-elle. Mais je n’ai rien trouvé d’autre comme boulot pour récolter des fonds…

J’imagine bien, ouais. De combien d’argent avez-vous encore besoin pour atteindre votre objectif ?

Je n’ai pu vendre que trois abonnements à des magazines ces deux derniers jours, et à ce rythme, je n’y arriverai jamais…

D’accord, mais combien d’argent avez-vous besoin ?

Presque trois cents euros, ce qui fait que je dois vendre à peu près…

Euh, ouais, écoutez. Je ne lis plus de magazines. Plus personne ne le fait. Vous ne gagnerez probablement jamais autant d’argent en faisant ça.

Diana détourna le regard d’un air déçu et répondit :

Oui… c’est vrai… Je commençais à penser la même chose, marmonna-t-elle.

Détendez-vous, Diana. Vous avez l’air d’être quelqu’un de bien. Essayer de récolter de l’argent pour une si noble cause est plutôt cool. (Il finit son café et le pose sur la table basse.) Je pourrais vous donner cet argent tout de suite, vous savez.

Vous feriez ça ? demanda-t-elle les yeux scintillants.

Eh bien, oui, je pourrais. C’est différent entre « pouvoir » et « vouloir ». Je pourrais vous donner cet argent, mais je ne veux pas le faire sans rien en retour. Je ne fais pas l’aumône.

Sammy posa une main sur la cuisse de Diana. Les yeux de la blondinette s’élargirent et elle le regarda fixement la bouche entrouverte, révélant son joli appareil dentaire, et secoua la tête :

Oh, non, Monsieur ! Je suis désolée, je pense que vous vous êtes peut-être fait de fausses idées, bégaya-t-elle en se levant.

Calmez-vous, je n’ai encore rien dit. Asseyez-vous, je vous prie, et discutons tranquillement. Quel âge avez-vous, Diana ?

Dix-huit ans ; mon anniversaire était le mois dernier.

O. K. Eh bien, je pense que nous pouvons nous tutoyer. Pense à tout le bien que tu pourrais faire pendant ce voyage.

Oui, c’est la volonté de Dieu de répandre notre foi par les bonnes uvres ! dit-elle en le fixant comme un petit agneau innocent.

Exactement. Je vais parfois à la paroisse. C’est pour ça que je suis susceptible de vous aider dans cette tâche. Je ne veux pas grand-chose en retour. Je vais te dire ce que tu dois faire : si tu te déshabilles et que tu me laisses voir ton corps, je te donne l’argent en cash tout de suite.

Hein ? Moi, nue ? Tu veux dire… toute nue ? Je… Je ne sais pas… c’est gênant… marmonna-t-elle en se mordant la lèvre.

Personne ne t’a jamais vue en tenue d’Ève ?

Eh bien, les filles de mon école, pour les cours de sport… murmura-t-elle en regardant ailleurs.

Eh bien ce sera pareil, mais cette fois-ci, tu seras payée… et pour une cause juste. Ça m’a l’air d’être un bon compromis ! Dis-toi que tu auras fini ta récolte d’argent dans les dix minutes qui suivent.

Dix minutes… murmura-t-elle.

Diana était assise à côté de Sammy, les bras croisés, et les pensées embrouillées. Elle réfléchit et finit par le regarder en demandant :

Donc, euh… tout ce que j’ai à faire, c’est de te laisser me voir nue ?

C’est ça. Il n’y a pas de piège, je te rassure, tout le monde me connaît dans le quartier. Même ceux de la paroisse. Parles-en au curé, c’est Jerry Kahler.

Oui, c’est bien lui…

Je te l’avais dit, tu vois. Je le connais. Enfin, bref. Je ne bougerai pas du canapé, je reste assis. Tu vois ? C’est tout simple et sans risque. Tu n’as pas à avoir honte de ton corps, tu es jolie, je ne vais pas te juger.

Bon, eh bien… je peux essayer…

Prends le temps qu’il te faut. Je ne veux pas te brusquer.

Diana se détourna de lui en déboutonnant lentement sa chemise, mais Sammy s’éclaircit la gorge et suggéra une approche différente :

Tourne-toi, je veux te regarder.

Euh… oui, oui, d’accord…

Diana se tourna vers lui en essayant de détourner le regard. Elle déboutonna sa chemise, bouton après bouton. L’habit se détacha et elle le déposa sur le canapé. Son soutien-gorge était blanc. Elle se pencha légèrement en avant et détacha son soutien-gorge qui tomba sur ses cuisses et le déposa sur la chemise.

Diana se leva pour pouvoir retirer sa jupe, mais l’homme intervint :

Attends, pas tout de suite. Tourne-toi et soulève-le.

Elle rougit et se frotta le visage sur son épaule en essayant de cacher son sourire. Elle se pencha un peu et souleva lentement sa jupe. Sa petite croupe apparut, très mignonne, et plutôt mince. Sa culotte était rose vif avec de petits nuds.

Comme ça ? demanda-t-elle.

Oui, parfait. Tu peux enlever ta jupe.

Diana s’exécuta et l’habit tomba jusqu’à ses chevilles. Elle le retira, puis fit de même avec ses espadrilles et ses chaussettes hautes. Elle se retourna, le visage rouge comme une cerise, et demanda :

Je… Je dois enlever ma culotte ? C’est ça ?

C’est ça.

C’est très gênant ! Tu es sûr que c’est nécessaire ?

Parfaitement. Pense au billet.

Bon… ben…

Elle retira sa culotte et dévoila son intimité.

Ah ! Splendide. Une vraie nymphe. Comme… Aphrodite. C’est chrétien, non ?

C’est… Elle est dans la mythologie grecque… Comme Vénus de la mythologie romaine…

Oh, une nymphe cultivée ! J’aime bien comme tu parles. Laisse tomber tes cheveux. Ils semblent longs.

La blondinette enleva son ruban. Ses cheveux brillants tombèrent sur ses épaules et le long de son dos. Ils étaient effectivement très longs. Elle se tenait là, rougissante, la peau pâle, le visage et la poitrine rouges. Il sourit et elle lui rendit ce sourire.

Voilà, j’ai tout enlevé, alors… C’est tout ? Je peux m’habiller ?

Hm…

Quoi ?

Je te donne un billet de cinq cents euros pour un bisou. Qu’en penses-tu ?

Euh… Juste un bisou ? bégaya-t-elle, les mains devant la poitrine.

Oui. Un smack. Rien de plus.

Diana se tenait nue devant lui et réfléchit avant de conclure :

Si c’est juste un bisou… Je suppose que ça ne peut pas faire de mal… dit-elle en souriant bêtement. D’accord, d’accord, mais c’est tout, et après je serai payée ?

Oui. (Il sort un billet de sa poche.) Tu vois ce billet ? Il est presque à toi. Viens, assieds-toi.

La blonde vint s’asseoir à côté de lui en mettant son bras sur l’épaule de l’homme. Elle ferma les yeux en se penchant lentement vers lui.

Attends, attends, dit-il. Je ne veux pas t’embrasser sur ces lèvres.

Diana le regarda fixement, confuse, et il se leva pour se mettre à genoux devant elle. Il lui écarta les jambes et elle posa une main devant son sexe en secouant la tête.

Tu disais un bisou !

Oui, un bisou, mais sur ces lèvres-là.

Mais je ne peux pas te laisser m’embrasser là !

Relax. C’est juste un baiser comme n’importe où ailleurs.

O. K., O. K., très bien… souffla-t-elle. J’accepte.

Elle posa un pied sur la table basse pour mieux s’exposer et il déposa un baiser sur le clitoris. Elle gémit en tremblant un peu.

Oh !

L’homme se releva et conclut :

C’est bon, tu peux te rhabiller.

C’était… C’était agréable…

Quoi ? Le baiser ?

Oui… Tu… Tu peux le refaire ?

Je ne préfère pas.

La jeunette saisit la main de l’homme et la posa sur son petit bouton rose afin qu’il puisse caresser la blondinette. Sa respiration devenait plus intense, elle tremblait et se tortillait en gémissant. Tout à coup, son souffle se raccourcit et son corps s’arqua. Diana haleta et se mit à mouiller.

Oh mon Dieu ! Je jouis ! Oooh ! cria-t-elle alors qu’elle s’effondra sur le torse de Sammy qui s’assit en la tenant dans ses bras pour qu’elle ne vacille pas.

Tout va bien, Diana ?

C’était… C’était tellement bon… murmura-t-elle la tête baissée, les cuisses plaquées et les mains contre son sexe humide.

Sammy se mit à réfléchir et commença à s’inquiéter.

Seigneur ! Je suis désolé ! dit-il en se frottant la tête.

Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

Tu ne sais pas ce que tu viens de faire ?

Euh, non ! J’ai fait quelque chose de mal ? Dis-moi !

Je voulais te payer pour un baiser et tu viens d’avoir un orgasme. Ça veut dire que tu t’es adonnée à la débauche. C’est immoral ! Totalement immoral ! Je ne voulais pas te faire jouir. Je suis désolé.

La blondinette haleta, saisissant ses vêtements et essayant précipitamment de couvrir son corps nu.

Quoi ? Je suis… Mais, euh, tu m’as forcée ! lança-t-elle en se levant.

Je ne t’ai rien fait faire, je voulais te payer pour un baiser chaste sans arrière-pensées ! Mais, en vérité, tu m’as forcé à te caresser pour jouir. Je ne pensais pas en arriver là ! Quelle indécence ! Une fille de l’église ne peut pas faire ça, non, elle ne peut pas ; et je ne devais pas céder ! Je suis… Je dois avertir le curé.

Diana fut si choquée que ses habits tombèrent sur le tapis et protesta :

Mais ! Non, non, non ! Par pitié, personne n’a besoin de le savoir ! Je t’en supplie, ne lui dis rien ! Je ne sais pas ce qui m’a pris !

Non, ça ne suffira pas. Je vais devoir appeler la paroisse. Quel genre d’homme serais-je si je laissais une jeune femme comme toi faire de l’humanitaire si tu ne respectes pas les règles bibliques qui interdisent la débauche ? Je serais complice si je ne dis rien, mais Dieu… Oui, Dieu voit tout. Il sait tout.

Diana haleta, se couvrit la bouche de ses mains, les yeux écarquillés. Les larmes commencèrent à couler le long de son visage d’ange.

Non ! S’il te plaît ! Je ne voulais pas en arriver là, je te jure, je suis tellement désolée !

Je vais devoir le dire aux prêtres ou au curé, et une fois qu’ils sauront ce qui s’est passé, ils ne manqueront pas de te virer… Je suis navré, mais je dois les avertir. Je veux avoir bonne conscience, dit-il en se levant.

Mais… Mais…

Diana était envahie par une tristesse infinie. Ses rêves s’écroulèrent comme un vulgaire château de cartes. Les larmes tombèrent sur sa poitrine dénudée et elle n’avait même plus la force de se rhabiller. Elle avait les jambes en coton et se laissa tomber sur le canapé en pleurant comme une enfant qui aurait fait une vilaine bêtise.

J’ai peut-être une idée pour te faire pardonner, proclama-t-il.

Hein ? dit-elle en essuyant ses pleurs. Une… Une idée ?

Je ne sais pas. Ce serait sûrement trop dur pour toi.

Diana se jeta sur la jambe gauche de Sammy, à quatre pattes, et serra fort.

Pitié, pitié, pitié ! N’importe quoi ! Je ferais n’importe quoi pour que tu me pardonnes ! Quoi que ce soit ! supplia-t-elle. Dis-moi ce que tu veux !

Il ne me reste qu’une seule chose à laquelle je puisse penser.

S’il te plaît ! N’importe quoi ! Tout ce que tu veux pour que je redevienne sage !

Tu as versé ta cyprine sur mon tapis. Tu as été souillée par la prostitution, car j’allais te payer. Je vais devoir te libérer de ce plaisir malsain en te donnant la baise la plus dure, la plus rude et la plus dégradante de ta vie. Ce ne sera pas facile. J’espère que tu ne voudras plus jamais penser au sexe.

Me… Me baiser ? sanglota-t-elle. Mais je ne peux pas faire ça !

Agenouille-toi sur le tapis et prie le Seigneur pour qu’il pardonne ta perversion.

Non ! S’il te plaît ! Je ne peux pas ! Je… Je… Oh mon Dieu, je suis encore en train de jouir…

Je sais, je le vois, tu as pris goût à la luxure. Fais ce que je te dis.

Je me préserve pour le mariage !

Sammy se frotta le menton en soupirant profondément.

Personne ne voudrait épouser une prostituée. Tu comprends ce que je te dis ? Ce que je te propose va laver ton honneur et pardonner ton péché. Personne ne saura jamais rien de cette journée après ça. Tu seras libre et bénie pour ta bonne foi. Tu pourras aller au Sénégal en toute sérénité.

Diana gémissait et regardait Sammy.

Tu le jures ? Personne ? Personne ne le saura ?

Je te le jure. Laisse-moi m’occuper de ça. Je veux te donner ta chance, mais tu dois me faire confiance, d’accord ? Agenouille-toi ici et plaque tes mains sur le tapis. Je veux voir ta croupe.

Oui ! D’accord, d’accord ! Baise-moi fort, si fort que je ne veuille plus jamais me faire baiser !

Diana se mit en position et Sammy ouvrit sa braguette. Il cracha sur sa main et frotta sa queue jusqu’à ce qu’elle soit mouillée, puis il l’introduit lentement dans la fente de la jeunette.

Ah ! Aaah ! Sainte-Mère de Dieu… Je…

Sammy ignora les propos. Elle était mouillée, mais incroyablement serrée. Comme il introduisait sa verge lentement à l’intérieur d’elle, il pouvait sentir l’hymen serré céder la place.

Oh ! Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! C’est trop grand !

Tu vas avoir mal, mais c’est pour ton bien.

Il commença lentement à enfoncer sa bite à l’intérieur d’elle, travaillant de plus en plus profondément avec chaque poussée, et la bourra sans pitié.

Oooh ! Dieu, que ça fait du bien ! Baise-moi plus fort ! Je dois souffrir ! Fais-moi mal ! supplia-t-elle.

Elle se mordait la lèvre et gémissait, criait, haletait, marmonnait… Tout cela était du charabia ; comme si elle parlait en latin. Elle était à quatre pattes, la tête baissée, et lui, à genoux, les mains tenant sa croupe. Elle avait les yeux qui commençaient à rouler et commençait à s’affaisser sous la pression.

Je sens que… je vais encore jouir…

Encore ? Tu es une vraie traînée, ce n’est pas vrai !

Pardon… Fais-moi mal, je veux être dégoûtée du sexe !

Je fais de mon mieux, Diana.

Sammy lui donna des fessées pendant qu’elle criait, puis, finalement, quand il sut qu’elle commençait à déverser, il lui saisit la gorge, et enfonça sa bite aussi profondément qu’il le pût dans son vagin étroit. Des poussées profondes et puissantes à plusieurs reprises. Elle n’avait pas giclé depuis un certain temps. Elle semblait avoir mal. Il n’a pas pu s’en empêcher, le plaisir était trop intense. Il éjacula une charge chaude dans sa chatte, encore et encore, la remplissant de son sperme.

Oh mon Dieu ! Est-ce que… est-ce que tu viens d’éjaculer ?!

Je n’ai pas pu m’en empêcher. Désolé.

Mais je ne suis pas sous contraception !

Tant pis.

Sammy se leva. La pauvre fille s’adossa contre le canapé en serrant ses jambes dans ses bras, le sperme coulant lentement de son vagin.

Allez, c’est presque fini. Ouvre la bouche.

D’accord…

La mâchoire s’ouvrit et il poussa sa bite à l’intérieur. Elle avait l’air de ne pas savoir quoi faire, alors il lui attrapa les cheveux et il bougea la tête de la gamine d’avant en arrière.

Même avec son appareil orthodontique, c’était quand même une pipe assez décente, et en l’espace d’une minute ou deux, sa bite était à nouveau aussi dure qu’une pierre.

Il la regardait fixement, cette innocente petite chipie naïve qui la fixait de ses grands et innocents yeux. Une innocente gamine avec une queue dans la bouche. C’était amusant de voir une adepte du catholicisme dans cette posture. Il lui attrapa plus fermement les cheveux et commença vraiment à lui faire mal à la gorge.

Elle avait craché et toussé, s’étouffant sur la verge. Elle bavait le long de son menton qui s’égouttait le long de son corps.

Finalement, il sortit sa verge, et la blonde tomba raide sur le tapis.

Pitié… Je… J’ai compris la leçon…

Tant s’en faut, Diana ! Tu continues de mouiller.

C’est que… j’aime ça… Je n’arrive pas à me défaire de ce vice !

Alors on va devoir finir avec le dernier orifice qu’il te reste.

Oh ! Oh non ! S’il te plaît, pas là ! supplia-t-elle.

C’était trop tard. La queue humide était déjà en train de s’enfoncer dans le cul de la blonde. Elle était à bout de forces. Il la pilonna pendant deux minutes jusqu’à ce que Sammy lui bourra le cul de son sperme. C’était bestial. Elle s’effondra sur le flanc et ne bougea plus. Pauvre petite.

Sammy se leva, rangea sa queue, ferma sa braguette et se posa sur son canapé. Il laissa Diana par terre, tremblante, haletante, et fort bien mouillée. Il prit un verre de whisky à moitié vide sur la table, puis il somnola…

*

Quand il se réveilla, c’était le soir, et Diana le regardait fixement en lui caressant une joue, puis elle chuchota :

Tu es réveillé ?

Hm. Désolé, je ne voulais pas m’endormir, soupira-t-il. Tu crois vouloir encore te faire baiser comme avant ou j’ai réussi à te dégoûter du sexe ?

Honnêtement ? (Silence.) Oui… J’ai… J’ai aimé ça…

Ah… C’est fâcheux, Diana. À ce stade, on peut dire que tu n’es pas prête pour ton voyage de missionnaire. Ce serait risqué de te laisser vagabonder dans les rues avec de beaux mâles bien membrés qui…

Diana mit une main sur son sexe pour cacher sa cyprine qui se déversa quand elle imagina la scène. Elle se sentait gênée que la simple pensée d’y être pouvait lui déclencher une telle excitation.

Je suis une traînée ! C’est tout ce que je suis ! sanglota-t-elle.

Non, non. Ne dis pas ça. Tout va bien. Sèche tes larmes.

C’est vrai ? dit-elle en essuyant ses pleurs.

On va continuer à travailler sur ce problème jusqu’à ta guérison.

Vraiment ? Tu aurais la patience de faire ça pour moi ?

Oui, une fois par semaine devrait suffire. Tant que tu continues à venir chez moi pour te purifier de ce péché, tu finiras par être libérée. En attendant que tu partes au Sénégal, tiens, prends déjà ce billet. Promets-moi simplement de revenir pour laver ton péché et soulager ma conscience.

Ses yeux s’illuminèrent et son sourire fut rayonnant. Diana le serra dans ses bras et lui donna des bisous sur la joue, encore et encore.

Merci ! Merci infiniment ! Je te le promets ! Je le jure, oh, tu ne sais pas à quel point je suis si heureuse !

Diana posa sa tête sur l’épaule de Sammy en se frottant la vulve.

Mais, je ne suis pas sûre d’une chose, dit-elle en regardant ailleurs.

Pas sûre de quoi ?

Je ne suis pas sûre qu’une fois par semaine suffira.

Diana lui ouvrit la braguette et se pencha…

*

Diana était heureuse d’être arrivée à Ngasobil, au Sénégal, avec sa petite communauté. Ils avaient passé un matin merveilleux à flâner dans les longues ruelles étroites. Les rues étaient remplies de cannelle et d’oranges. C’était l’une des rares villes christianisées dans ce pays majoritairement rempli de mosquées. Les hommes en qamis et les femmes en jilbab se fondaient dans la foule. Il y avait un grand respect des valeurs religieuses. Les enfants entraient et sortaient en courant pour jouer à des jeux ou faire de petits délits. Le soleil était chaud et projetait des ombres dures sur le sol, les murs et les visages.

Le curé de sa paroisse avait indiqué à Diana la maison où elle devait rencontrer un prêtre local du Petit séminaire de Ngasobil. Elle se débrouilla pour s’y rendre, avec son sac à dos, jusqu’à sa destination.

Lorsque Diana toqua à la porte, un homme apparut. C’était un grand gaillard d’une trentaine d’années vêtu d’un débardeur blanc, d’un short vert et de sandales.

C’est pour quoi ? dit-il.

Bonjour, Monsieur ! Vous êtes l’un des prêtres de l’église ?

Oui, oui. Je suis le Père Kagiso Mokone. Vous êtes ?

Je suis Diana Kröger. Je fais mon voyage de missionnaire. Je veux aider à répandre la foi chrétienne à Ngasobil avec ma communauté !

Oh, je comprends. Entrez, entrez, dit-il d’un geste accueillant.

Au moment où Kagiso referma la porte, la gamine lui demanda :

Mon Père ?

Oui, Diana ?

Je peux vous poser une question ?

Dites-moi ce que vous souhaitez.

De hautes fenêtres très lumineuses laissaient passer le soleil de l’après-midi dans de longues ombres sur le sol marbré. Une brise froissait les rideaux de dentelle et apportait les parfums de la rue. Cardamome, citrons, sauge…

Vous aimeriez vous taper une jolie fille Blanche comme moi ? (Elle lui coupe la parole.) Oui, je sais, je sais ! J’ai dit que je voulais répandre la foi chrétienne, mais on ne va pas se mentir, on a tous des vices. Non ? Je suis en manque et j’ai besoin de vous.

La peau de la nymphomane brillait avec la sueur accumulée par la chaleur de l’après-midi. C’était un temps idéal pour faire ressurgir le vice enfoui au plus profond d’elle. Il fallait croire que la « thérapie » entamée en France avait empiré son appétit sexuel féroce.

Diana s’approcha de Kagiso et lui fit un baiser sur les lèvres. Il ne fut pas trop interloqué. Elle plongea alors sa langue pour l’embrasser. Il ne se retira pas. Elle pressa sa poitrine contre son torse musclé. Toujours pas de réaction négative.

Elle prit la main gauche de Kasigo avec sa main droite et la posa sur son sein, en la passant sous son tee-shirt. Toujours rien. Alors elle prit la main droite de Kasigo avec sa main gauche et la posa sous sa jupe dépourvue de culotte. Elle mit alors ses mimines sous l’entrejambe de Kasigo et sentit que ce short était bien rempli.

Diana posa un genou à terre et baissa le short du beau mâle. Une énorme érection. Un pénis sombre si épais à sa base qu’elle ne pouvait presque pas mettre toute sa main autour. La verge s’incurvait vers le haut dans un arc long et épais, telle une lance en acajou à la tête carmin brillante.

Diana se précipita pour gober la longue queue et pompa cet homme avec une étonnante expérience pour son âge. Kagiso recula légèrement, mais elle était totalement soumise au sexe viril dans sa bouche qui gonflait, gonflait… gonflait…

Que Dieu me pardonne… souffla-t-il en courbant la tête en arrière.

La chipie engloutit toute la longueur du sexe sans s’arrêter, n’écoutant que les longs râlements de Kagiso, et sentant la grosse main de l’homme posé sur sa tête blonde. Elle sentit tout à coup la bite se contracter, et un flot de sperme jaillit directement dans sa gorge, jusqu’à la dernière goutte.

Baisez-moi, baisez-moi ! supplia-t-elle en se léchant les doigts.

Vous voulez que je vous baise ?

Oui ! dit-elle avec un grand sourire.

Où cachez-vous votre petite chatte ?

Diana se leva d’un bond et souleva sa jupe.

Elle a l’air sensible, mais elle aime être malmenée, chuchota-t-elle.

Dieu ne pardonnera jamais ce que je vais faire…

Oubliez Dieu et fourrez-moi ! Je veux jouir, jouir, jou…

Kagiso empala cette chatte et un cri aigu retentit dans la demeure. Diana n’avait jamais été pénétrée par une verge aussi grosse… et c’était… génial ! Elle était couchée par terre et l’homme, par-dessus, lui bourrait le minou avec sa longue verge. C’était comme s’il n’avait pas baisé depuis des siècles. La petite, malgré son gabarit, arrivait à encaisser les à-coups.

Petite salope Blanche !

Oooh, oui ! Je suis… Aaah… Je suis votre petite salope Blanche ! Ah… Aaaah… Putain ! Videz-vous dans… Dans ma… Oh !

Lorsqu’il déversa un deuxième flot de sperme dans cette chatte étroite, la gamine sourit les yeux fermés, et l’homme en profita pour l’embrasser. C’était passionnel et divin d’embrasser une minette qui servait de vide-couilles.

L’odeur des oranges et de la cannelle entra dans la pièce.

Un autre homme descendit les escaliers. Il était plus mince et plus intellectuel, avec son pantalon blanc, son tee-shirt blanc et sa chemise rouge. Il portait des mocassins lustrés.

Qu’est-ce que tu fais, Kasigo ? demanda-t-il.

C’est une jeune femme qui fait un voyage de missionnaire.

Tu lui as fait quoi ?

Du calme, Boka, je n’ai rien fait de mal.

Tandis qu’ils discutaient, la chipie s’était élancée jusqu’aux pieds du dénommé Boka, s’agenouilla et lui tailla une pipe d’enfer. Boka resta stoïque, mais sa verge devenait de plus en plus dure. Il était difficile pour lui de se défendre avec la sacro-sainte parole de Dieu avec sa bite en érection dans la bouche d’une petite Blanche.

C’est… C’est fou… dit-il.

Je te l’avais dit, elle fait de l’humanitaire.

Je ressens tout son humanisme avec ma queue entretenue. (Il reprend son souffle.) Merde, quelle surprise, tu nous as ramené une gourmande, Kasigo !

Elle a un appétit étonnant. Je croyais avoir calmé ses ardeurs après l’avoir baisée, mais vu comme elle te pompe, je l’ai sous-estimée.

Diana vit Kasigo se rapprocher, la bite à la main, et elle commença à le branler, tout en continuant à pomper son ami Boka. Puis elle alterna entre les deux queues dressées sous son nez.

Tu l’as baisée, tu dis ?

Comment je pouvais résister ?

*

Voilà deux heures que Diana fut prise en sandwich par les deux hommes. Elle se faisait malmener par tous les orifices féminins. Ils étaient deux beaux mâles à échanger leur place à mesure que l’orgasme montait.

Diana avait presque toujours une bite dans le cul et une autre dans la chatte. Boka était beaucoup plus endurant. Quand Kasigo sentait l’orgasme arriver, il se retirait, et empalait la gorge de la missionnaire pour faire durer le plaisir.

La blondinette était remplie de foutre et d’énergie sexuelle qu’elle ne pouvait pas expliquer. Tout son corps était une zone érogène et le moindre contact sensuel lui envoyait des frissons de luxure jusqu’à sa vulve ravagée.

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À la fin de son voyage, tous les prêtres locaux lui étaient passés dessus, mais elle devait retourner en France. D’un accord commun, le prêtre de sa paroisse accepta que son voyage puisse durer plus longtemps, et toute sa communauté retourna dans l’Hexagone.

Diana était enfin seule à Ngasobil.

Une vidange à foutre pour tous les prêtres.

Ce fut l’une des plus mémorables pérégrinations de sa vie.

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