Ce n’est que quelques jours plus tard que Jean-Luc se décida à tenter la sodomie avec sa jeune fille au pair. A son arrivé après une journée de travail, Sharon s’était arrangée pour que Oscar joue dans son parc, dans sa chambre. Quand le maitre de maison est arrivé, il s’est assis dans le canapé et demanda une bière. Comme la plus servile des employées, Sharon la lui apporta puis, pendant qu’il la décapsulait et commença à la boire, Sharon retira son chemisier puis son soutien-gorge. Elle se mit alors à genou entre les jambes de monsieur. Elle déboucla sa ceinture, ouvrir le pantalon pour en sortir son « outil de travail ». Elle commença alors à le branler avec ses seins puis à sucer ce Pénis qui pointait déjà fièrement dans sa direction. Ces rapports entre eux étaient devenu quotidiens, habituels et Sharon s’y conformait avec plaisir. Jean-Luc avait un sentiment de supériorité face à cette jeune fille qui lui obéissait sans sourciller. Elle avait bien essayé de le tutoyer, comme lui le faisait, mais pour confirmer cet ascendant qu’il avait sur elle, il lui a dit : « Même si je m’accorde le droit du tutoiement parce que je suis ton patron, pour toi ça restera « Vous » et « Monsieur »jusqu’à nouvel ordre ». Avec la pratique, Sharon savait ce qu’aimait son patron : Une fellation lente, douce et savoureuse au début et, quand les soupirs de son patron se faisaient de plus en plus pressants, elle accélérait de plus en plus jusqu’à arriver à un mélange de sauvagerie et de gourmandise.
Après diner, il n’était pas rare qu’ils se retrouvent tous les deux dans la tanière de monsieur pour se regarder un porno, comme ce fut le cas ce soir-là. Pour Jean-Luc, c’était à la fois l’occasion de mettre sa partenaire en condition mentalement et d’entretenir cette complicité coquine qu’il y avait désormais entre eux. C’était parfois aussi le moment qu’il choisissait pour se faire plaisir au lieu de faire ça dans un lit. Quand Jean-Luc ouvrait sa braguette durant le film, Sharon, blottie contre lui et très court vêtue, y glissait la main pour lui masser le service trois pièces. Quand elle sentait la queue patronale prendre du volume, elle la sortait à l’air libre pour la déguster. Ce n’est qu’après avoir jouis dans la bouche de la jeune fille que monsieur l’installa confortablement dans le canapé et plongea sa tête sous sa jupe pour une performance linguale dont il avait le secret. C’est ce qu’il s’est passé ce soir-là seulement cette fois, après qu’elle ait jouis, il lui demanda de se retourner face au dossier, à genou sur le canapé et les jambes légèrement écartées.
Sharon n’était pas inquiète. Tout ce que son patron lui faisait expérimenter, elle finissait par l’apprécier et il faisait en sorte que tout se passe pour le mieux. Cette fois ci, elle s’attendait à se faire lécher une nouvelle fois comme c’était déjà arrivé. Par contre elle fut surprise de l’endroit où ça se faisait. En effet, son patron était derrière elle, à genou, ses mains lui écartant les globes fessiers pour que sa langue lui titille la rondelle. Sharon était surprise par cette nouvelle sensation. Sa seule hantise, même si elle se lavait tous les jours, était pour l’odeur ou le gout mais, pour avoir déjà vu monsieur en faire usage sur ses mamelons et ayant senti quelques gouttes de liquide perler sur la zone, elle imaginait que monsieur se servait de la lotion parfumée qu’elle-même utilisait pour ses fellations. Tout ce passa bien jusqu’à ce qu’elle sente quelque chose, enduite d’une sorte de gel tiède, s’introduire dans son anus.
— Monsieur ? Que Ah ! Que faites-vous ? Dit-elle alors en se retournant en voyant son patron lui enfonçant son majeur.
— Je te prépare à une nouvelle pratique. Elle peut faire mal si elle n’est pas correctement préparée.
— Mais monsieur . C’est sale.
— Pas plus que le reste.
— Mais . Vous voulez essayer la sodomie c’est ça ?
— Exactement. Pas ce soir parce que j’ai déjà jouis mais je vais te préparer et, quand je te jugerais prête, oui, un jour, on essayera la sodomie.
— Mais . c’est interdit. Je veux dire . ça ne sert à rien, c’est douloureux et c’est contrenature.
— Ce n’est ni interdit, ni contrenature. En tout cas pas plus que la fellation. Après tout, dans les deux cas, l’homme n’éjacule pas au bon endroit. Même chez les animaux ça existe. C’est pratiqué par
— Les invertis ?
— Oui mais pas seulement.
— Comment ça ?
— Avec Cécile on le faisait souvent. C’était source d’autant de plaisir que le reste. Bon il faut dire que ça n’a pas toujours été le cas. Au départ c’est vrai qu’elle avait mal. On ne l’a fait plus souvent que quand on a découvert le « gel magique ».
— Le quoi ?
— C’est un gel conçu exprès. Il lubrifie, il est parfumé ce qui n’est pas désagréable mais surtout il a des propriétés anesthésiantes et il détend la peau et les muscles localement. Bref, il facilite le rapport anal avec un minimum de douleur. Revers de la médaille, il amoindri aussi un peu le plaisir.
— Je ne sais pas si j’ai envie.
— C’est comme tu veux mais réfléchi. Imagine-toi quand tu seras marié. Ton mari revient bourré et n’a qu’une envie : coucher avec toi. Seulement petit problème : c’est la mauvaise période du mois et tu es indisposé. Que va-t-il faire ?
— Aller voir une autre de ses femmes ?
— Tu le crois vraiment ? Elles ont quels âges ses autres épouses ?
— Je ne sais pas. Je crois que la plus jeune doit avoir quinze ans de plus que moi.
— Quinze ans ? En gros, pour résumer, tu es de la chair fraiche pour lui. Tu crois vraiment qu’avec une fille comme toi, avec une entrée de secours prête à l’emploi, il va aller s’emmerder avec une autre à moitié vermoulue ?
— ..
— Et d’après toi, que se passera-t-il ? Est-ce qu’il te préparera ? Vu la manière dont tu m’as parlé de lui, il risque de prendre ce qu’il veut que tu sois d’accord ou non, et certainement brutalement en plus.
— Vous le croyez ?
— J’en suis sûr. Avec ce que je te propose, tu seras préparée à ça. Tu auras moins mal quand il décidera de te prendre par derrière avec ou sans ton accord. Je te signale au passage qu’il n’aura pas non plus tous les produits que j’ai ici. Moi si je te propose ça c’est pour toi. Plus tu auras pratiqué, mieux tu seras préparé et mieux ça se passera . Bon je vais arrêter l’hypocrisie, je le fais aussi pour moi, pour mon plaisir. C’est du donnant donnant. Après si tu ne veux vraiment pas A tes risques et périls.
— Ce sera bon comme le reste ?
— Peut-être pas au début mais après . Alors que décides-tu ? Lui demanda-t-il en retirant son doigt.
— Je suis là pour expérimenter des choses que je n’aurais probablement jamais fait chez moi . C’est d’accord. Après tout personne ne le saura, mais je veux pouvoir arrêter si ça fait trop mal.
— Parfait. Tu vas voir. Je suis sûr que tu vas y trouver ton plaisir au final.
— Je l’espère.
Jean-Luc se remis alors à faire des vas et viens avec son majeur dans l’anus de Sharon. Son doigt badigeonné du fameux gel glissait tout seul et fini par arracher des gémissements à la demoiselle. Les jours suivants, même chose. Sauf que cette fois ci, il s’y essaya à deux doigts.
Ça faisait maintenant une semaine qu’en plus de sucer son patron et de se faire lécher, Sharon se faisait doigter l’anus. C’était nouveau et elle s’y faisait facilement seulement ce soir-là, c’était différent car Jean-Luc lui avait demandé d’arrêter sa fellation avant qu’il ne jouisse. Elle imaginait alors, à raison, que c’était ce soir que Monsieur avait décidé de passer à l’acte. Elle ne s’est pas trompé car, alors qu’elle se faisait doigter, elle en appuis sur le bureau de monsieur et lui à genou derrière elle, Jean-Luc retira alors ses doigts, se leva et lâcha alors un « Ma jolie, tu es prête ! ».
Sharon était anxieuse. Derrière elle, elle voyait son patron se mettre en position et s’astiquer un peu le manche pour qu’il retrouve sa vigueur. Puis, elle senti alors le gland de son patron se présenter sur son petit orifice. Il lui demanda si elle était prête, elle répondit par l’affirmative et c’est là qu’elle a senti le mandrin de Jean-Luc s’introduire progressivement dans son intimité.
Sharon sentait bien quelque chose s’introduire en elle mais hormis une gêne un peu désagréable, elle n’avait aucune douleur. Visiblement, le gel faisait effet. La progression du sexe de son patron dans son anus lui sembla plus longue que ce qu’elle imaginait et se fit par pallier. Quand elle senti alors le ventre de son patron toucher ses fesses, elle imaginait qu’il était arrivé au bout.
— Alors ? Pas trop douloureux ?
— Non ça va. Le gel marche. Je n’ai pas mal. Je sens mes fesses remplies un peu comme quand je dois faire comment vous dites ? « La grosse commission » ? Mais je sens bien que quelque chose est entré et me remplit le ventre.
— J’espère bien que tu sens quelque chose. Bon aller c’est parti.
Jean-Luc commençait alors à donner des coups de reins en la tenant par le bassin. Doucement au début puis il accéléra progressivement. Jean-Luc était content. Il était en train d’enculer cette jeune fille au pair qui lui faisait tant envie. Ses soupirs se firent de plus en plus rauques, de plus en plus pressant, et de plus en plus forts.
Au début, Sharon ne sentait pas grand-chose. Au fur et à mesure, elle sentait comme une sensation d’échauffement sur sa rondelle. Elle ressentait bien les mouvements de la queue de son patron en elle qui provoquaient chez elle des sensations nouvelles et agréables à cause des muscles de son vagin qui s’étaient contractés par reflexes. Jean-Luc était ravi de l’entendre soupirer sous ses assauts. Il voulait y aller plus fort mais, ne voulant pas la traumatiser, il préféra se montrer le plus doux possible. Plus ça allait, plus la respiration de Sharon se faisait de plus en plus haletante. Le plaisir était moins intense que quand elle se faisait lécher mais c’était loin d’être désagréable pour elle. Par moment, Jean-Luc la voyait souffler avec ce qui semblait être un léger sourire. Il s’imaginait donc qu’elle appréciait aussi ce moment ou, du moins, qu’elle en retirait un certain plaisir. Jean-Luc continua jusqu’à ce qu’il éjacule dans le rectum de Sharon. Une fois fait, il s’allongea sur le dos de Sharon qui, tout comme lui, reprenait son souffle. Il lui malaxa alors les seins puis d’une main il lui fit tourner la tête afin de pourvoir l’embrasser.
— Oh bon sang . C’était super. Et toi ? Tu as aimé ? Lui demanda-t-il en se retirant.
— C’était . Nouveau. Lui a-t-elle répondu en attrapant le rouleau de papier essuietout
— Oui mais qu’as-tu ressenti ? Du plaisir ? De la douleur ?
— Un peu de plaisir mais aussi une gêne. Continua-t-elle en s’essuyant les fesses du sperme qui en coulait.
— C’est la première fois c’est normal. En tout cas tu n’as pas eu mal grâce au gel et ça c’est l’important. Tu verras. Tu prendras plus de plaisir au fur et à mesure de .
— Parce que vous voulez continuer ?
— Oui pourquoi ? Il faut bien t’entrainer. Là tu n’as pas eu mal mais sans le gel tu l’aurais senti la douleur, crois-moi.
— .
— Ça a l’air de te gêner de devoir le refaire ?
— Ce n’est pas ça. C’est que, à la base, je ne comprends pas pourquoi il faut qu’on le fasse avec le gel si, plus tard, mon mari le fera sans.
— Tu ne l’as pas compris ? On le fait avec le gel pour que tu n’aies pas mal. Ton anus va donc s’habitué à la présence d’un pénis et s’adapter. Ainsi, quand tu devras le faire sans le gel, tu auras moins mal. Ce sera moins serré. C’est comme avec les chaussures.
— Comment ça ?
— Tu as toujours mal aux pieds avec des chaussures neuves. Il faut que le cuir se fasse. Là c’est pareil.
— OK, je comprends . On le refera quand ?
— Quand tu voudras mais au moins une fois par semaine. J’ai remarqué que tu avais moins de plaisir qu’avec ma bouche, je me trompe ?
— Non, c’est vrai.
— Bon . Pour ta première fois j’ai peut-être abusé sur la quantité de gel et j’ai aussi voulu y aller plus doucement. Pour les prochaines fois je rectifierai le tir.
C’est comme ça que Sharon commença une autre relation avec son patron. Jean-Luc avait fini par trouver le bon dosage pour Sharon. Il faut dire que suite à sa première fois Sharon sentait ses fesses un peu désensibilisées. A partir du moment où le dosage fut bon, le plaisir était là et la gêne pas trop désagréable.
Sharon s’aperçu qu’un changement s’était opéré en elle. Elle avait l’impression d’être plus femme depuis qu’elle se faisait enculer. Elle s’est également aperçu qu’elle aimait le sexe, en tout cas ce qu’elle faisait avec son patron, à tel point qu’ils sont progressivement passé à deux puis trois sodomies par semaines. Elle aimait aussi se sentir désirée par un homme. Jean-Luc sentait Sharon frétiller sous ses assauts. Ils s’essayèrent à différentes positions et Elle ne disait jamais non. Un jour Sharon avoua que sa position préférée était la cuillère. Quand ils étaient tous les deux couchés sur le côté, Jean-Luc lui caressant les seins d’une main et jouant avec son petit boutant de l’autre, tout cela avec le Pénis de monsieur qui ne cessait de faire des allées et venues dans son petit trou et elle, parfois tournant la tête pour se faire embrasser.
Sharon ne s’est jamais posé la question sur la raison de son nouveau goût pour la luxure. Jean-Luc, lui, s’en doutait. Il s’agissait surement des substances légèrement aphrodisiaques contenues dans la crème de jour qu’elle se mettait tous les jours. Les effets cumulatifs de ces substances avaient surement fini par développer chez elle de nouvelles envies. Il faut dire que Jean-Luc avait remarqué que si Sharon aimait quelque chose de nouveau, elle n’hésitait pas à en vouloir plus que de raison. Visiblement c’était le cas aussi pour le sexe.
Avec une jeune fille comme elle dans son lit, Jean-Luc était content. Il allait enfin retrouver une vie sexuelle aussi intense que celle qu’il avait connu avec sa femme sauf que là, c’était lui le chef, le mâle dominant. Avant il avait tendance à se laisser faire. Sharon de son côté voulait en profiter au maximum. Ainsi il allait pouvoir satisfaire ses envies avec Sharon qui, curieuse de tout et appréciant ce qu’il se passait entre eux, ne se refusait jamais à lui. Ne sachant pas ce que lui réservait sa nouvelle vie une fois revenu chez elle, elle comptait bien s’amuser et en profiter.
Un soir comme tous les soirs, aux alentours de minuit, la maison était plongée dans le noir et on entendait plus un bruit. Plus un bruit et totalement dans le noir ? Non ce n’était pas vrai car dans la chambre de Jean-Luc, on entendait le sommier qui grinçait. Dans le lit, Sharon était allongée sur le ventre, les jambes et les bras écartées, les mains immobilisées par celle de Jean-Luc. Sur elle, était allongé son patron qu’elle continuait à appeler « Monsieur » même dans l’intimité. Il avait son sexe enfoncé dans l’anus de Sharon et l’avait bloquée de manière à l’empêcher de bouger. Jean-Luc lui donnait des coups de reins forts et puissants. Sous ses assauts, Sharon ne cessait de gémir des « Oh oui monsieur ! C’est bon ». Ça faisait un moment maintenant que Jean-Luc avait volontairement choisi d’ajouter un peu plus de sauvagerie dans leurs rapports pour deux raisons. Tout d’abord, le gel atténuant le plaisir de Sharon, il s’est dit qu’en y allant plus fougueusement, elle aurait plus de plaisir. La deuxième raison c’était que Bah il aimait ça : le sexe violent et animal. En plus ça renforçait son ascendant sur Sharon en tant que mâle alpha. Ainsi Jean-Luc était en train de pilonner le petit trou de Sharon en l’empêchant de bouger. Sharon, comme à son habitude, encaissait la situation avec un large sourire. Il continua jusqu’à ce qu’il éjacule dans le fondement de sa partenaire en poussant un gémissement rauque.
— Oh bon sang, Quel pied ! dit-il en reprenant son souffle.
— Oui c’était bon.
— Je me trompe ou tu commences à devenir une vraie petite cochonne ? lui demanda-t-il avec le sourire et allongé à côté d’elle en lui passa sa main le long de son dos depuis la nuque jusqu’à ses fesses.
— C’est vrai que c’est meilleur quand vous y aller à fond.
— Je vois ça. Plus ça va plus je t’entends crier. Mais ce n’est pas tout. Quand on a commencé tu as dit que tu voulais . C’était quoi tes mots déjà . Ah oui « avoir le cul en choux fleur » ?
— . Oui je l’ai dit.
— D’où tu sors ça ?
— D’un film à la télé.
— Un peu vulgaire comme expression mais approprié à la situation. Dis-moi comme tu sembles aimer le sexe, peut-être que ..
— Non ! répondit-elle fermement en sachant pertinemment ce qu’il allait lui demander.
— Tu réponds non alors que tu ne sais pas ce que j’allais dire.
— Oh que si je sais. Si j’accepte le sexe anal et buccal avec vous c’est que ça ne laissera pas de traces. Vous, ce que vous voulez c’est prendre ma virginité.
— Et alors ? il n’y a aucun mal.
— Je vous l’ai dit. Je tiens à garder ma virginité pour mon futur mari qui m’attend aux Etats Unis. Vous le savez, je vous l’ai dit. Ne pas être vierge à un mariage mormon, pour une jeune fille c’est une insulte à nos traditions. C’est l’injure suprême.
— Tu tiens vraiment à y retourner ? Même sachant ce qui t’y attend ?
— C’est comme ça que ça se passe chez moi.
— C’est du gâchis, franchement.
— Pourquoi ?
— Si tu acceptais de t’offrir pleinement et de rester avec moi, je pourrais t’offrir une belle vie. Je gagne bien ma vie, Oscar t’aime bien et .
— Ce n’est pas ça.
— C’est quoi alors, Je le vois au quotidien. Tu aimes ta vie ici.
— Ce sont les traditions dans ma communauté. Si je ne m’y conforme pas, tout le monde chez moi le prendrait comme une trahison. Je passerais pour une fille facile et pour ma mère qui m’a élevé, les conséquences pourraient .
— Ok, ok j’ai compris. Je le redis quand même : c’est un beau gâchis.
Jean-Luc avait beau tenter sa chance, elle n’en démordait pas. Jean-Luc savait qu’il ne restait que presque trois mois avant la fin de son contrat. Il n’avait pas envie qu’elle parte, de se retrouver seul et de devoir rechercher une autre nounou pour son fils.
Les fêtes de fin d’années approchaient. Comme convenu, Sharon devait les passer avec ses parents. Elle avait donc pris quinze jours de congé pour ça et Jean-Luc aussi, ayant prévu d’aller chez ses beaux-parents avec Oscar.
A l’aéroport, Jean-Luc accompagnait Sharon pour son vol. Après avoir fait enregistrer ses bagages et fait valider son billet, Sharon se prépara à partir mais Jean-Luc lui attrapa alors le bras et la tira vers lui.
— Mais monsieur ? demanda-t-elle surprise par son geste.
— Reste . Reste avec moi.
— Mais je vais revenir d’ici quinze jours.
— Je veux dire reste définitivement s’il te plait.
— On en a déjà parlé. Je ne peux pas. Maintenant laissez-moi s’il vous plait. Dit-elle en s’extrayant de son étreinte.
C’est avec le cur gros que Jean-Luc laissa partir Sharon. Pour lui ça allait être deux semaines de jachère et il n’aimait pas ça. Comme prévu, il partit, direction Toulouse, où vivaient les grands parents du petit pour y passer les fêtes. Tout ce passa bien jusqu’à ce qu’une semaine plus tard, Jean-Luc reçoivent un coup de téléphone : c’était Sharon. Elle avait une voix différente de d’habitude et surtout elle était à Roissy, revenue une semaine à l’avance par le vol de nuit arrivé au matin. Jean-Luc sentait qu’il s’était passé quelque chose de grave à sa voix. Sachant qu’elle avait sa clé et un peu d’argent, il lui demanda alors de rentrer à la maison en taxi pour qu’il passe la chercher. C’est le lendemain qu’il partit alors en quatrième vitesse après avoir salué son fils, confié à sa grand-mère.