Mona était fille de paysan du Val de Loire, elle avait grandi presque sans parents, toujours dans leurs vignes et dans leurs champignonnières, levés dèd l’aube et au travail jusqu’à l’heure de la soupe, nacréede grumeaux, comme ceux de la jouine des femmes au plein de leur plaisir!
Mais pas sans l’attention et la tendresse de sa maîtrese d’école, que son physique ingrat et ses ongles rongés avait arrirée. Se penchant sur elle, en classe, avec son haleine parfumée à l’échalotte et ses relents de desoous de tablier pour surveiller son travail, et qui, un jour, l’avait fait monter dans son petit appartement de fonction pour lui apprendre la douceur de doigts papillonnant au creux de sa petite culotte de coton,soouvent tachée! Une douceur que Manon n’avait jamais pu oublier!Et qu’elle avait prolongée, au long des mois et des années, jusqu’à ce qu’elle rencontre, au moment de passer son Certificat d’Etudes, la fille du bourrelier, candidate comme elle, qui, l’examen terminé, l’avait conduite au coeur d(une grange à foin et l’avait déculottée pour lui dévorer la figue, encore vierge, en lui donnant l’envie que çà ne s’arrête jamais!
Cette compagne conquêrante, qui se prénommait Anne, était une fille étrange qui faisait un peu peur! Presque aussi large que haute, avec des cuises comme des jambons et des pieds en forme de battoirs à linge, des seins ronds, volumineux et fermes, avec des tétons ombiliqués et une touffe pubienne en forme de buisson touffu et impénétrable! Elle avait un visage rond et plus disgracieux encore, que celui de Mona, et de grosses lèvres toujours mouillées!
Mais l’éclat de ses yeux bruns, pailletés d’or était fascinant de tendresse, et son sourire, lorsqu’elle l’utilisait, la rendait irrésistible, surtout conjugué avec cette aura particulière de sensualité qui émanait d’elle comme le rayonnement d’un phare!
Entre Mona et elle, depuis leur première étreinte dans la grange, çà avait été une sorte de conquête réciproque et un lien très fort s’était établi entre elles! Alors quand son père le bourrelier, avec qui elle travaillait, la laissait partir, Anne embarquait à bord du trente tonnes, pour deux ou trois jours, et c’était là pour elles des sorties en forme de lune de miel, pendant lesquelles se perdait toute retenue! Vivant en short et Marcel dans la cabine du camion,cuisses nues et braguettes ouvertes, elles vivaient, mangeaient et se saoulaient ensemble le soir aux étapes, et faisaient l’amour à tous les moments de la journée où c’était possible, entre deux chargements et déchargements de la cargaison!
Anne avait appris à manier le charriot élévateur et le transpalette comme une professionelle, après quoi, le travail terminé, elles se mangeaient les lèvres se branlaient leurs chattes, devenues figues ou mangues, et se tétaient le bourgeon dès qu’elles le pouvaient, sur la vaste couchette embaumée de leurs parfums de cramouille en folie!
Quand elles débarquaient dans les bistros routiers, où tout le monde les connaissait, on les appelaient "les rouleuses!" et on leur demandaient des nouvelles de la santé de leurs chattes! Alors elle répondaient en riant:-" De ce côté là, çà va bien, mais tu n’y goûteras pas! Ma chatte est pour elle, pas pour toi, et elle mouille déjà!
Muscles d’acier, chatte mouillée et coeur d’or, c’était le portrait de Mona qui n’éprouvait aucune gêne à se gratter l’entrejambe en public, quand elle descendait de sa cabine, après un long parcours! Alors que, pendant le trajet, c’était Anne, sa passgère qui dégraffait son jean pour plonger sa main entre ses cuisses, écarter sa culotte pour titiller son bouton, gros comme une bite de garçonnet, et plonger ses doigts dans sa moniche, pour se se branler! Libérant, ainsi, dans la cabine, des senteurs aussi féminines que marines, et mettant ses doigts luisants de jouine sous les narines de Mona qui les léchait avec délices! (à suivre dans "La Radingue" (3)