Jai décidé de poursuivre et de vous raconter la suite des aventures avec ma femme…
Je décidai de les rejoindre au paroxysme de leur plaisir et, après avoir remis en place le miroir, je rentrai dans leur chambre doucement, la queue à lair battant la mesure.
Je me postai derrière mon pote pour lui poser les mains sur le cul et laider à baiser ma femme en lui poussant le bassin pour aller encore plus loin et enfoncer son gland dans lutérus de ma femme !
Elle cria de douleur mais en même temps elle hurla « oui défonce-moi plus loin, entre en moi à fond, rentre tes couilles si tu peux, je te veux en entier dans ma chatte ! ». Puisquelle le demandait, il poussa à fond et je laidai. Je pris ses grosses bourses dont je rêvai dans mes mains pour les enfoncer dans la chatte écartelée de ma cochonne.
Je savais pour lui avoir enfoncé de très grosses aubergines dans le con et même une fois un melon, oui ma femme adore les fruits surtout dans la chatte, quelle pouvait recevoir la bite et les couilles de mon pote. Je ne savais pas jusquoù elle supporterait la longueur de sa queue mais pour linstant elle lencourageait, les yeux un peu révulsés mais consciente quelle se faisait littéralement défoncer la chatte.
Après quelques efforts elle poussa son cul à fond, mon pote poussa de toutes ses forces et tout rentra dans la chatte ouverte de mon épouse qui ne finissait plus de gémir et ne disait plus rien dintelligible.
Voir cette queue et ses couilles, dignes dun âne, enfoncées dans le sexe ouvert de ma femme, les cuisses grandes écartées, les Seins bandés à mort et les yeux révulsés me fit presque jouir sans me toucher. Elle semblait jouir sans discontinuer… elle était au bord de lévanouissement et je tirai le bassin de mon pote en arrière pour sortir sa queue et ses burnes, trempées et rouges comme de grosses prunes du sexe béant de ma femme. Elle saffala sur le lit, vaincue par le plaisir et jen profitai pour me jeter sur la queue de mon pote qui navait pas joui et qui mencouragea à le sucer. Je pris son gland mais nayant ni lhabitude ni la taille de bouche de ma femme je me contentai de lui aspirer le gland et de le branler à deux mains. Cétait divin et je bandai comme jamais !
Ma femme était allongée les cuisses écartées, la chatte défoncée et elle gémissait doucement sans nous voir.
Voyant quil était prêt à tout pour jouir, sa queue toujours aussi raide, je lui souris, je pris sa queue, me tournait à mon tour et lui dit « encule-moi mon salaud, je suis sûr que tu vas aimer » ! Jen avais tellement envie que javais limpression de mouiller du cul !
Il ne me répondit pas mais je sentis son gland appuyer sur mon anus et forcer doucement mon cul. Putain, quil était gros lenfoiré ! Habitué à me défoncer avec de gros engins je pouvais le laisser faire mais putain je le sentis passer et mon cul sen souvient encore… enfin il passa son gland et sans arrêter la pression il rentra doucement toute la longueur de sa bite. Énorme ! Je navais jamais été envahi et habité de la sorte, cétait chaud, palpitant, dur et il mécrasait la prostate me procurant un plaisir mêlé de douleur.
Sa queue étant bien lubrifiée par la mouille de ma femme et il commença un lent va-et-vient. Je lencourageai comme ma femme auparavant à me défoncer le cul. Ma femme sétait remise et était en train de lui lécher les couilles et lui doigter le cul pendant quil me baisait. Elle lencourageait également à me baiser et visiblement prenait plaisir à me voir à mon tour victime consentante de ce queutard !
En quelques allers-retours mon anus criait au secours et je sentis heureusement mon pote senfoncer à fond, se figer et je sentis au fond de moi ses jets de foutre gicler et arroser mon cul bien profond. Ma femme mavait saisi la queue et je jouis en longs jets dans ses mains expertes et mécroulai mon tour sur le lit.
Resté dans mon cul, je sentais son sperme menvahir le rectum et à regret je le sentis sortir son gros dard. Son jus mêlé à mes sécrétions coula de mon anus dilaté mais je ne fis rien pour lempêcher.
Ma femme lui nettoya la queue avec la langue et lui lécha les burnes et le cul à fond. Sa queue était merveilleuse et toujours dressée et fière de nous avoir fait jouir tous les deux.
Ma femme en profita pour le chevaucher et sempaler sur sa bite. En quelques va-et-vient sur cette belle queue elle jouit à nouveau et le laissa se défouler jusquà lui gicler à nouveau dans la chatte.
Épuisés, nous nous couchâmes tous les trois, ma femme entre nous deux et pour ma part je mendormis en entendant quil lavait reprise par-derrière pour la baiser à nouveau au grand plaisir de ma femme jamais rassasiée mais ni ses cris ni leurs mouvements ne mempêchèrent de mendormir…
Au matin je la trouvai blottie entre les cuisses de mon pote, la bouche sur ses couilles et la chatte encore dégoulinante de foutre et de son jus… cela me remit en forme et je me préparai à une nouvelle journée, quand je vis entrer une de nos copines avec son mec, tous les deux nus comme des vers, lui bandant comme un cerf en chaleur et elle ses gros seins pointés dans ma direction. Ils nous avaient entendus dans la nuit, avaient baisé de leur côté et avaient décidé de se joindre à nous…
Une belle journée sannonçait mais cest une autre histoire…