J’ai été pendant un an, garçon de restaurant, durant mes études. Un restaurant, à la cuisine traditionnelle, avec le patron en cuisine.La clientèle est surtout composée d’habitués.Je me rappelle d’un soir où j’ai vu arriver deux jeunes femmes. L’une d’elles, une blonde aux cheveux courts ne m’était inconnue.Elle venait souvent avec son mari et ses deux enfants.Elle était difficile à oublier car elle est toujours vêtue d’une longue jupe ample et d’un chemisier largement ouvert sur une splendide poitrine. L’autre, une brune aux grands yeux foncés m’était tout à fait inconnue. Comme à chaque fois, je propose de les débarrasser de leurs manteaux. De fait, ma cliente blonde était vêtue d’une jupe couleur blanc cassé fermée par des boutons, et un chemisier à fleurs. L’autre était vêtue d’une jupe portefeuille foncée et d’un pull. La soirée était déjà avancée, et je pris directement la commande. Comme à chaque fois, qu’elle était là, je ne pouvais m’empêcher de plonger mon regard dans son décolleté. C’est toujours à ce moment là qu’elle croisait mon regard et surpris je me sentais devenir pivoine. Elles semblaient avoir bien le temps. En leur servant le café, je vis que l’un des pans de la jupe avait glissé et laissait apercevoir une jambe galbée habillée d’un bas.

Comme elles étaient ma dernière table et que la soirée touchait à sa fin, elles m’ont proposé de prendre un verre. Je me suis donc assis à leur table et appris qu’elle étaient deux grandes amies d’enfance. La blonde se prénommait Sylvie et l’autre Anne mais ça je ne le sus que plus tard dans la soirée. On s’est mis à discuté de tous et de rien. Comme, elles n’avaient pas l’air pressée et que mon patron en cuisine voulait fermer, je leur proposait d’aller prendre un dernier verre ailleurs. Elles acceptèrent.

à la sortie du restaurant, Sylvie me proposa de prendre le dernier à l’appartement d’Anne. Nous sommes donc partis dans la voiture de Sylvie. Durant le trajet, elle m ’expliqua que dans la petite ville où nous étions, il n’était pas sérieux pour deux dames de prendre un verre avec un jeune homme. Pour moi, c’était la même chose. J’étais assis, à l’avant. En regardant Sylvie, je pouvais voir sa jambe dénudée. Elle portait portait des Dim up blancs. Elle me jetait des regards malicieux. Alors, j’ai posé discrètement ma main sur son genou. Elle s’est laissé faire. J’ai donc remonté le long de sa cuisse. Elle desserra un peu les cuisses. Je suis arrivé sans difficulté juste au-dessus du bas. Je sentis sa chair quand Anne dit derrière nous:’

Tiens notre petit serveur a les mains baladeuses’. Je pense qu’elle était un peu pompette. Sylvie aussi d’ailleurs.

Surpris, je voulus retirer ma main mais Sylvie plus rapide plaqua la sienne sur la mienne en disant:’ Arrête, idiot, tu n’es pas bien là?’.

Tout en parlant à Anne, ma main remontait vers l’intérieur de la cuisse jusqu’à sa culotte. Sylvie se trémoussait à côté de moi. Arrivé à l’immeuble d’Anne, nous sommes sortis de la voiture. Anne habitait un appartement au 4? étage et nous nous sommes engouffrés en riant dans le minuscule ascenseur. Nous étions coincés les uns contre les autres. j’en profitais pour me serrer contre Sylvie. Elle cambra les fesses et ne pu ignorer l’état dans lequel j’étais. La soirée s’annonçait du plus belle augure. Anne nous fit entrer. Elle nous installa dans un salon agréable, mis un disque d’ambiance. Elle dit à Sylvie de nous servir un verre et s’éclipsa. J’étais assis dans un profond divan et pour arriver au bar Sylvie devait passer devant moi. Je la pris par les hanches et le renversa sur mes jambes. Elle riait en se débattant et pour la faire taire je décidai de l’embrasser. Sa bouche était de la lave en fusion. Elle m’aspira. J’en profitais pour partie à la découverte de ses seins. Je défis les boutons de son chemisier et me mit à les caresser. Ces seins que j’avais tant lorgnés. Ils étaient pareils à deux pommes bien fermes avec deux minuscules tétons que je sentais s’hérisser sous mes doigts.

’ Alors vous deux, on s’amuse bien …’

C’est Anne qui nous regardait en souriant. Elle en avait profité pour se changer. Elle avait passé une longue chemise qui lui descendait à mi-cuisse et dont les premiers boutons étaient ouverts. Je pouvais voir la naissance de deux petits seins bien fermes.

’Je peux jouer avec vous’ dit-elle? Je les regardait tour à tour interloqué. Elles se mirent à rire. Anne s’est mise à mes genoux et à enlever mes chaussures avant de s’attaquer à mon pantalon. Pendant ce temps, Sylvie après avoir enlevé sa blouse et son soutien-gorge me fit cadeau de ses seins. Mes mains essayaient d’être partout à la fois. Je sentis la bouche d’Anne autour de ma queue. Elle l’engloutit avidement. Moi, j’avais glissé deux doigts dans le sexe de Sylvie qui gémissait à côté de moi. Elles se levèrent et m’entraînèrent dans la chambre d’ Anne. Un grand lit bas devant lequel Anne releva sa chemise, se mit à genou, la croupe dressée. Sylvie me prit la queue et la plaça contre le sexe de sa copine. Je n’avais plus qu’à me laisser glisser en elle. Sylvie se colla derrière moi pendant que je baisai Anne. Elle était toute mouillée et jouit presque tout de suite. Devant son plaisir, j’explose au fond d’elle. Sylvie me retira se mit à genoux et enfouit ma bite au fond de sa gorge pour la lécher et la sucer. J’en pouvais plus. Elle leva les yeux sur moi et me dit que maintenant c’était son tour. La nuit allait être longue et délicieuse.

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