Je me présente. Je m’appelle Julia, j’ai 16 ans et je suis fille unique.

Je fais environ un mètre 65 pour 55kg. J’ai une longue chevelure brune, bouclée et un mignon petit 80B.

Depuis toujours j’ai les yeux bleus de mon père que j’aime souligner d’une touche de maquillage pour les mettre en valeur.

Du plus loin que je me souvienne, mes parents ont toujours été séparés. Je vis donc avec ma mère et je ne vois mon père qu’une fois par an ou par deux ans, ça dépend.

Mais cette année tout va changer. Je rentre en seconde et je vais dans le lycée où mon père travaille, à 80 km de chez moi. Par soucis de facilité ma maman a tenu que j’aille habiter chez lui le temps que je finisse mes études.

21 Juillet, 6 heure du matin

— Julia prépare toi on va y aller ! me cria ma mère du bas des escaliers

— grmbl maman il est trop tôt … (j’enfouis ma tête dans mon oreiller pour ne plus l’entendre)

Elle entra dans ma chambre d’un coup de vent et ouvrit mes rideaux sans se soucier de mes petits yeux qui prenaient feux

— Je ne veux rien entendre Julie, tu te prépare en vitesse. On y va dans cinq minutes.

La tête encore endormie, je m’extirpai de mon lit et attrapai le débardeur rouge qui traînait sur mon bureau depuis une semaine ainsi qu’un petit short blanc, simple

Le voyage fut bref (il faut dire que j’ai dormis un peu) et nous arrivâmes rapidement devant sa maison. Maman ne prit pas la peine de sortir de la voiture mais me salua, me demandant une énième fois de venir lui rendre visite assez souvent

Comme si j’allais l’oublier, vraiment

Et je me retrouvai là, plantée devant cette imposante maison située à l’orée de la forêt et non loin d’une plage. Le lieux parfait pour passer mes vacances. Je ne prit pas la peine de sonner, après tout c’était mon chez moi maintenant et passai la porte pour me diriger en vitesse dans la petite chambre qui m’était réservée.

Elle n’avait pas changée, tous les objets étaient encore à leurs place on aurait dit une chambre d’enfant.

Fatiguée du voyage je me jetai comme une masse sur le lit et fermai les yeux, humectant les parfums qui se dégageaient de cette ancienne chambre qui fut un jour mienne. Je repensai aux moments passés dans cette maison, avec mon père. On n’était pas très proches et pour cause, à chaque fois que je venais en vacance chez lui ce qui était déjà rare, il avait une nouvelle petite amie. Je suis sûre qu’il les préféraient à moi de toute façon, ça se voyait. Je n’avais jamais vraiment eu ma place chez mon père disons que les minutes étaient longues … Je repensai à lui, mon père. Il était assez protecteur à mon égard. Il avait 37 ans et était tout de même resté un très bel homme. C’était surement du à ses origines italiennes et son petit accent qui m’avaient fait craquer étant enfant. Je me souviens que quand j’avais 6 ans je voulais me marier avec lui mais bon, c’était avant.

Je me relevai et croisai mon reflet devant la glace. Depuis mes 14 ans j’avais quand même bien changée. Ma ligne plate d’enfant s’était transformée pour former de belles courbes et mon petit A s’était transformé en beau B.

J’aimais bien mon corps après tout. J’avais déjà eu plusieurs petits amis mais jamais je ne les avait laissé le toucher. Je ne connaissais pour ainsi dire pas les hommes.

Je sortis de ma chambre dans l’espoir de voir mon père pour le saluer et lui dire que j’étais là mais je ne le trouvai pas. J’en conclu donc qu’il était sortit faire une ou deux courses. Juste au moment où j’allais allumer la tv, j’entendis crisser les pneus de sa vielle 500, je remis mes cheveux en place et prit un livre pour ne pas laisser croire que j’étais là à rien faire.

-Tiens, coucou ma petite fille adorée, tu es déjà là ? me demanda-t-il à peine rentré

— Oui, maman m’a déposée tôt ce matin et j’en ai profité pour ranger mes affaires dans ma chambre

— D’accord pas de soucis, dis tu peux m’aider à venir vider la voiture ? J’ai prit des provisions pour un régiment !

Je le suivit donc guillerette vers la voiture.

Tien Julie c’est fou ce que tu as … changée depuis deux ans. J’ai l’impression que tu ressemble de plus en plus à maman.

En parlant d’elle, elle te laisse t’habiller comme ça depuis quand ? Tu ne trouve pas que c’est un peu court ?

— Tu sais papa je ne suis plus une petite fille et puis t’as vu la chaleur ? J’ai bien le droit de me montrer un petit peu mexclamais-je

J’eu alors l’impression que son regard avait changé vis à vis de moi. Il ne me regardait plus comme une petite fille je pensai même qu’il avait laissé vagabonder ses yeux et qu’il s’était plongé dans ma poitrine ce qui, entre nous était assez gênant.

La suite de la journée se déroula d’une banalité affligeante et très vite on se retrouva au soir.

J’étais en train de lire pour la deuxième fois un livre fantastique quand soudain il fit son apparition dans ma chambre.

Vêtu seulement d’un maillot de bain. Je me surpris à admirer son corps, parmi tous les garçons que j’avais pu côtoyer dans ma vie, jamais je n’en avait vu de la sorte. Du haut de ses 37 ans, il avait toujours ses abdos bien dessinés et deux beaux pectoraux. J’étais en train de le regarder quand il répéta sa question

— Alors, tu viens te baigner dans la piscine, oui ou non ?

— Oui oui j’arrive, laisse moi le temps d’enfiler mon maillot de bain ai-je maladroitement balbutié

Je me sentais dans un état spécial … Comme si des papillons volaient dans mon ventre

Je n’y fit pas attention et sortit mon maillot bleu, celui qui m’allait si bien d’après mes amies et l’enfilai en vitesse avant de le rejoindre en bas. En fait, ma chambre donnait sur la piscine et mes rideaux étaient ouverts … S’il avait voulu il aurait très bien pu me regarder. Rah mais à quoi étais-je en train de penser ! C’était mon père quand même !

Je descendis, gênée des mes pensées et m’installai dans le sofa avec le dernier magazine people en date. Mon père était déjà dans l’eau en train de faire des longueurs. Il avait toujours été très sportif mon papa et semblait ne faire qu’un avec l’eau.

Le soleil commençait déjà descendre et très vite il fut sombre. Je la regardait. C’est fou ce que ce maillot lui dessinait deux petits seins tout croquants. Elle était là, simplement allongée sur le sofa dans lequel plus tôt je m’étais moi même couché. Elle ne faisait rien de spécial mais était de toute beauté. Ses petits yeux timides, ses formes envoûtantes, son teint bronzé du pays … C’est fou que je pense ça quand même. J’étais en train de songer sérieusement qu’il me fallait une copine quand soudain je sentis une main sur mon dos. Je me retournai sur le qui vive et vit ma fille dans l’eau à côté de moi.

-T’avais un cheveux dans ton dos me dit-elle surprise de ma réaction

-Ah, merci ma chérie.

Je la vit rougir. Peut-être que je ne devais plus l’appeler comme ça je n’en savait trop rien. Prenant ma vision pour une lubie, je l’invitai à faire une petite course avec moi pour voir comment elle se débrouillait dans l’eau

Diable ! Quelle bonne nageuse elle était. Elle s’élançait avec douceur et se fondait dans l’eau. Lorsqu’elle se releva, elle fit un mouvement de tête qui propulsa ses cheveux en arrières d’une façon très sensuelle

L’eau lui faisait le corps brillant elle était magnifique et je la désirait. Je voulu penser à autre chose et réengager la conversation

-Tu as prit des cours pour rivaliser avec moi ?

-Haha non papounet ça doit être naturel. (Je n’avais pas rêvé, elle venait de me donner un petit surnom affectif, je commençais à me sentir mal à l’aise dans mon maillot)

-Bon, il se fait tard va prendre une douche et au dodo

-Mais il n’est que 23h !

-Justement Julie, tu ne devrais pas aller dormir si tard, c’est mauvais pour ta croissance

-D’accord d’accord, j’y vais papounet bonne nuit

Je montai dans ma chambre et massit sur le lit, rêveuse

Les papillons dans mon ventre ne m’avaient pas quittés et je ressentis soudain l’envie de me soulager

Est-ce mon père qui me faisait cet effet ? Je n’en savait rien, si c’était le cas c’était quand même bizarre … Malsain même mais je ne pouvais mempêcher de repenser à lui et à son corps musclé ondulant sous l’eau et avant même que j’y pense ma main se retrouva dans ma culotte à parcourir mon clitoris. Je survolai mon bouton et je me rendis compte que ça me faisait un bien fou, pourquoi n’y avais-je jamais songé avant hmm la masturbation c’était trop bon

Je me surpris à gémir le nom de mon père lorsque j’entendis du bruit dans le couloir

Prise de court, je m’obligeai à m’arrêter, laissant ce feu ardant assaillir mon sexe.

J’avais les joues rouges et le souffle court mais j’étais heureuse et désireuse d’en avoir plus. Comme rien ne se passait je passai ma tête par la porte de ma chambre mais il n’était pas là j’avais du rêver. Je me dévêtit complètement et éteint la lumière avant de rejoindre la fenêtre. J’espérais que mon père s’y trouverait, j’avais tant envie de le voir encore un peu. Et il était là. Il avait eu l’excellente idée d’installer des lampes donnant sur la piscine ce qui me laissait une vision parfaite pour le regarder. J’eu un frisson … Il s’était dénudé lui aussi. Et il continuait de nager les fesses à l’air, se montrant au naturel devant les étoiles et la lune. Je pensais alors à nos deux corps qui auraient pu ne faire qu’un, à ses fesses que j’avais tant envie de toucher, à ses lèvres que j’avais envie d’embrasser et à son coup sur lequel j’aurais voulu déposer un doux baiser … Nos corps étaient nu tous les deux et nous n’étions pourtant pas bien loin mais je ne me résolvais pas à mes idées incestueuses, si maman savait ça.

Je finis par aller me coucher pour une nuit sans rêve mais dans l’envie que papa vienne me réveiller pour me faire du bien, pour me satisfaire. J’y avait réfléchit et bien que ce soit non conforme aux règles qu’on m’avait toujours inculquées je pense que je désirais bel et bien mon père. J’avais envie de son corps chaud contre le mien et de sa tendresse, j’avais envie qu’il dise mon nom en allant trop loin avec moi … Rien que de penser à ça, les papillons revenaient dans le creux de mon ventre et le réveil sonnait déjà 8h. Je me dis que c’était une bonne heure pour me lever et enfilai mon chemisier blanc sous lequel j’avais préalablement mit un soutien-gorge noir en dentelle. J’assortis le tout à une petite jupe noire sous laquelle je mis un tanga rouge. Je descendis dans la cuisine où mon père m’attendait déjà. Il avait mit une chemise en flanelle bleue et un pantalon noir, c’était classique mais ça le rendait encore plus beau qu’il ne l’était déjà à la base. Il me sortit de mes pensées

— Bonjour ma chérie, tu veux du café ?

— Houla non merci, je déteste par contre je veux bien un verre de jus d’orange papounais dis-je d’un grand sourire

— Je t’en prie, sers toi

— C’est où déjà les verres ?

— Juste derrière toi, dans l’armoire du haut

— Ah oui c’est juste, merci

Elle se retourna vivement et se mit sur la pointe des pieds pour attraper son verre me laissant une vue imprenable sur ses petites fesses rebondies que malheureusement sa jupe gâchait en partie

— Julia ça te tente une petite promenade dans les bois cet après-midi ?

— Oh oui pourquoi pas, tu peux me faire découvrir la région comme ça me dit elle d’un petit sourire en coin

— En route alors !

Nous partîmes donc en direction de la forêt. Je pris un sac avec quelques provisions et une couverture au cas où elle aurait froid et Julia ne prit rien, elle resta dans son petit short qui lui moulait les fesses d’une façon juste agréable pour mes yeux et dans son chemiser danse sous lequel je devinais un soutien gorge noir. Ma fille émanait un tel charisme, elle me faisait littéralement fondre de bonheur à chaque minute passée à ses côtés. La frôler n’était plus un désir, c’était une souffrance tant je désirais épouser les formes de son corps avec le mien.

Nous avançâmes sous la chaleur torride et à un moment, elle se rapprocha de moi pour me demander toute timide si elle pouvait enlever son chemisier car elle étouffait de chaleur. Retenant mes pulsions je lui dis que oui, elle pouvait se balader dans la tenue de son choix mais que je restais quand même son père donc elle ne devait pas exagérer.

Elle enleva donc son chemisier pour s’offrir dans un appareil assez simple. Elle avait effectivement comme je l’avait pensé avant un soutien gorge noir en dentelle qui lui dessinait de magnifiques seins … Ils étaient plus beaux que ceux de sa mère, j’aurais pu les prendre dans ma main, les toucher, les sucer même mais je me contentai de rester à ma place et de l’admirer du coin de lil sans qu’elle n’y prête attention.

— Ôh, regarde papa, après ce gros chêne il y a un petit étang avec un îlot sur lequel se trouve une maison au milieu !

— Oui Julia, je venais parfois ici avec ta mère autrefois cet étang s’appelle l’étang des cygnes, regarde comme ils sont beaux

Un sourire embellit son visage et elle me regarda avec des yeux pétillants, quelque chose que je n’avais pas encore remarqué chez elle. Nous avançâmes encore un peu et j’osai prendre sa main dans la mienne. Elle paru surprise mais me gratifia d’un petit sourire timide qui la rendait magnifique. J’avais tellement envie de l’embrasser

-Tiens Julia regarde la barque là-bas, tu veux qu’on aille faire un tour pour voir les cygnes de plus près ?

— Génial ! C’est une super journée papounet je t’aime tu sais

Elle m’avait dit ça naturellement mais comme si ça faisait un moment qu’elle se retenait pour me l’annoncer, elle l’avait dit d’une façon qui sous entendait plus … Enfin après tout c’était peut être mon esprit qui me jouait des tours, elle m’aimait peut-être juste comme un père et sa fille ce qui était normal mais si ça avait pu être plus … Si seulement

Elle monta dans la barque et marqua une pose lorsqu’elle se pencha en avant pour descendre m’offrant ainsi, la jupe relevée une superbe vue qui laissa même entrevoir ce qu’elle portait en dessous, un magnifique tanga rouge. C’était pas possible, elle le faisait exprès ou quoi ?

— Hum Julia, depuis quand tu portes ce genre de sous-vêtement ?

— Je l’ai acheté juste avant de venir me répondit-elle en prenant une mine de petite fille. Elle m’excitait.

— Tu portes ça parce que tu as un petit copain ?

— Non non, je n’ai jamais eu de relations sérieuses j’aime juste me sentir jolie … Puis pour que tu me trouve jolie aussi

— Tu sais Julia, je suis ton père … Tu ne devrais pas penser à ça

Sans que j’y prête garde, ma main s’était mise à caresser sa cuisse. Elle me fit des grands yeux mais je m’arrêtai de suite, net.

Nous naviguâmes jusqu’au petit îlot et il s’avéra que la petite maison qui s’y trouvait était ouverte et aménagée.

-Papa, on peut rester dormir ici ? Me demanda-t-elle d’un air sournois

— Si tu veux ma chérie, mais je n’ai prit qu’une couverture pour passer la nuit et il n’y a qu’un seul lit. Je pense que ça va être un problème

— Oui, tu peux dormir dans le petit canapé qui est là bas, je peux prendre le lit

— ça me va

Elle sortit et se mit en sous vêtements, devant mes yeux presque pour m’aguicher je pense. Outre sa poitrine bien ferme qui m’attirait comme jamais, elle était aussi dotée de deux longues jambes parfaitement épilées qui laissaient entrevoir un petit tanga rouge. Elle était magnifique mais je commençais à avoir des pensées fort malsaines … Et puis tempis, je fantasme sur ma fille, je l’assume tant que ça ne va pas trop loin …

Elle sauta et plongea dans l’eau de l’étang.

La soirée passa bien vite et on se retrouva tous deux couchés vers minuits après une bonne soirée passée ensemble.

Je m’étais couchée dans le lit et papa sur le divan. La lune était déjà bien haute dans le ciel mais je n’arrivais pas à fermer l’oeil ces papillons étant toujours présent dans le bas de mon ventre. Je n’arrivais à les faire partir que quand je me masturbais mais papa dormait dans la même pièce que moi … Je me laissai aller, au pire des cas peut être qu’il viendrait ?

Je m’était déjà fait une dizaine de scénario qui nous mettaient tous les deux en scène, moi et mon papa mais jamais au milieu d’une forêt dans une petite maison. Je posai ma main sur mon sexe et déjà que j’étouffai un gémissement de plaisir en pensant à papa. Je me mis à faire des va et viens, faisant onduler mon bassin jusquà ce que je n’arrive pas à étouffer un cri de bonheur. Je criai

-Han papa !

Il dormait à point fermé. N’en pouvant plus, je me levai et allai m’installer à ses côtés. Je n’en croyais pas mes yeux, il dormait nu, ses muscles saillants s’offraient à moi, son parfum envoûtant et par dessus tout sa queue aussi. Bien que cachée par le drap blanc, je savait qu’elle était là. D’un geste timide, je dégageai le drap et la vit. Elle était telle que mes amies m’en avait parlée. Je voyais enfin en vrai une queue. Je ne pouvais pas faire ça, c’était contraire à l’éthique je me sentais mal mais d’un autre côté qui d’autre saurait ? Je la voulait de trop …

Du bout des doigts, je la caressai. Elle eu alors une réaction inattendue, comme si elle était vivante. Elle se mit à grandir et grandir encore entre mes doigts. Mon père remua et finit par s’éveiller … Mince

— Ôh Julia, que fais tu à ton papa ?

— Heu … Je ne sais pas comment dire, je n’avais jamais vu de queue en vrai et tu m’attirais tellement papa

— Tu es vierge Julia ?

— Oui papa. Elle roula des yeux

— Ah je comprend mieux, tu sais Julia tu m’attire aussi viens donc près de moi ma chérie

Elle s’approcha enfin comblant mon désire, ce moment tant rêvé était arrivé. Elle allait s’offrir à moi

Ses boucles brunes cachaient ses petits seins et je les remit en arrière. Je la fit coucher sur le lit et mon corps de mâle ce plaça au dessus du sien.

— Julia, tu veux faire plaisir à ton papa ?

— Oui papa, je te désire aussi !

— Oh ma chérie, ce n’est pas bien ce qu’on fait il ne faudra pas en parler

— Promis papa mais maintenant fais moi plaisir s’il te plait … Elle me faisait les yeux doux, jamais je ne l’avait vue aussi sensuelle et attirante.

Je me plaçai entre ses jambe et laissai ma langue vagabonder sur son clitoris. De ma main droite je lui saisit les seins que je malaxai doucement de sorte qu’elle commence à gémir de bonheur et de ma main gauche je lui caressai délicatement le sexe

-Han papa c’est bon, continuuue !

Je continuai de plus belle et osai de mon doigt gauche la pénétrer doucement. Elle était vierge.

Son odeur me faisait tourner la tête, son corps ondulait sous mes soins précis et elle gémissait mon nom. J’étais un papa comblé.

Je commençai à faire des va et viens avec ma main sans m’arrêter au niveau de ma langue. Elle gémissait de plus en plus et fut finalement prise d’un tremblement. Un grand cri s’échappa de son corps. Son premier orgasme

Elle était plus belle que jamais et j’avais envie d’aller plus loin mais elle fit quelque chose qui me désarçonna.

Elle s’agenouilla et prit ma queue dans sa bouche. Elle la lécha de haut en bas et avec ses petits doigts elle me caressa les couilles. Jamais une femme ne m’avait tant fait du bien, c’était un don né. Je me sentais venir et orientai donc ma queue vers sa bouche. Dans un son rauque, j’éjaculai et elle en eu partout sur son petit visage ce qui ne la déstabilisa pas une seconde. Elle avala, tout simplement me souriant d’un air coquin

— Tu es sûre de vouloir aller plus loin ma chérie ?

— Oui papa, vas-y je veux te sentir en moi

Elle se mit à genou et se pencha vers le sol, m’offrant ses fesses pour mon plus grand plaisir

Je me mit derrière elle et enfonçai doucement ma queue en elle. Elle cria un peu mais ne sembla pas avoir trop mal

-ça a été ?

— ça fait un peu mal mais tu peux continuer, ça me fait tant de bien papa

Je me mit à faire des va et viens dans ma fille, nous ne fûmes plus qu’un et j’adorai ça.

Allant de plus en plus vite, elle se cambrait, se tortillait et ondulait à mon rythme.

-ah tu aime ça hein Julia ?

— Oui papa, ouiii !

Clak ! Je lui claquai ses petites fesses rebondies qui devinrent rouges.

Elle fit un petit cri puis commença à en faire plus. Je sentais l’orgasme venir et à priori elle aussi.

Je déversai ma semence en elle dans un râle et momentanément et jouit également.

Depuis, ça nous arrive assez souvent de revenir à l’étang des cygnes. Je suis déjà allé trop loin avec elle à beaucoup d’endroit dont sur la berge et dans une salle de classe, après les cours.

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