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Les Complices – Chapitre 1




Bonjour à tous.

Je mappelle Patrick et jai cinquante-neuf ans et je viens tout juste de minstaller dans la maison de Véronique que je fréquente depuis huit mois. Véro a quarante-sept ans, elle est divorcée et mère dun lycéen de tout juste dix-huit ans : Steve.

Steve est en sport-études Natation et gaulé comme un nageur de haut niveau, évidemment

En tant que mâle alpha de la maison, Steve a, vous vous en doutez, plutôt mal vécu mon arrivée sur son territoire, dautant que je culbute sa mère allégrement presque tous les soirs !

Il me fait la gueule et mignore depuis le début, jai pense avoir réveillé en lui un dipe contrarié

Faut dire que sa mère, Véro, nest pas vraiment discrète lors de nos ébats et que je ne fais rien pour la faire taire. Au contraire, son corps de MILF, comme dirait Steve, est un pur régal, autant pour les yeux que pour la langue. Un mètre soixante-quinze pour une soixantaine de kilos parfaitement répartis là où je les aime : les seins lourds et fermes et les fesses rondes. Véro est brune aux yeux bleus, les cheveux longs et elle est particulièrement coquine, pour ne pas dire franchement salope

Pour couronner le tout, elle tient une boutique de lingerie dans le centre-ville : cette femme est un millier de fantasmes à elle toute seule et cest moi qui la saute – enfin la plupart du temps, je vous raconterai

Elle et moi nous sommes rencontrés sur un site de rencontres, tous les deux intéressés exclusivement par la catégorie des rencontres « hot » et sans lendemain dabord. Et puis, nous nous sommes plus. Au plumard, elle et moi sommes parfaitement en phase, je peux me lâcher complètement avec elle et elle avec moi. Nous avons passé lâge de taire nos désirs les plus forts et nos perversions. Nous aimons les plaisirs de la vie et sommes toujours prêts à assouvir les fantasmes de lautre, sans jalousie, sans égoïsme.

Elle est de loin le meilleur coup de ma vie !

Jai toujours été un gros baiseur et quand je ne baise pas, je me masturbe souvent. Oui je fais partie de ce genre là. Quand je regarde du porno, toutes les catégories y passent. Je peux parfois simplement être excité par une jeune femme qui se déshabille lentement et dautres, par des gang-bangs zoophiles visqueux dans lesquelles les drôlesses finissent submergées de foutre chevalin

Cet après-midi là, javais une furieuse envie de regarder des vidéos assez crades de lesbiennes en pleine action aspergées de giclées de sperme en continue, je connais un excellent site pour ça, il est payant et je suis un abonné VIP

Je suis en RTT et je nai prévenu personne, Véro fait nocturne à la boutique et son crâneur de fils a entrainement jusquà vingt heures, comme tous les soirs de la semaine.

Il est seize heures, jai tout le temps, de prendre du bon temps !

Et quand jai le temps justement, jadore morganiser mon petit « porno time » comme je lentends. Jai mes petites habitudes. Je baisse les stores, me sers un verre de whisky, étale une serviette sur le canapé, sélectionne une ou plusieurs vidéos et me déshabille entièrement. Ah ! Et pour profiter du son des films au maximum sans me faire entendre par les voisins, je branche un casque audio.

Les volets sont baissés, mon verre à côté de moi, ma playlist vidéo est prête ! Je métends sur la serviette et mapprête à enfiler mon casque quand jentends la clef dans la serrure

Cétait moins une ! Comme quand je risquais de me faire surprendre par mes parents lorsque jétais ado et matais des films pornos en crypté. Comme àlépoque, mon sang ne fait quun tour !

Jai tout juste le temps dattraper mon ordinateur et la serviette avant de foncer dans notre chambre à Véro et moi pour me rhabiller. Je retrouve mes vêtements là où je les ai laissés, sur le lit.

Mais alors que je commence tout juste à renfiler mon jean, jentends des pas rapides dans le couloir.

— Patrick cest toi ? Ya quelquun ?

Merde, Steve ! Quest-ce quil fout là à cette heure ?

Cest idiot mais je me mets à paniquer, je fonce vers le dressing de Véronique (immense) et referme la porte sur moi juste au moment où Steve entre dans la chambre.

Un timing digne dun film despionnage !

Mais quel drôle despion je suis Jaurais mieux fait de prétendre sortir de la douche ! Javais même la serviette !

De là où je suis, au travers des persiennes du dressing, je peux voir Steve qui savance vers mes fringues et mon ordinateur, encore ouvert sur le lit. Heureusement celui-ci est en veille depuis que je lai débranché en lemportant du salon mais sil touchait seulement le trackpad

— Patrick cest toi ? Maman ? Oh oh ?

Oui, caché dans le placard juste derrière toi abruti, en jean mais sans slip et avec une demie-molle honteuse

Le petit merdeux, il ma saboté mon après-midi branlette !

Après quelques secondes il appelle encore, mais quelquun dautre cette fois-ci

— Cest bon Mathilde ! Ya personne.

Mathilde ? Tiens ! Il ne nous lavait pas mentionnée celle-là On a bien déjà croisés une Caroline de temps en temps (pas dégueulasse dailleurs) mais jamais de Mathilde

Et quel dommage Quand je la vois entrer, je tombe sous le choc : la jeune fille est une véritable bombe sexuelle ! Elle est grande, rousse aux cheveux courts, mince et musclée, très certainement nageuse elle aussi. Elle a les yeux verts et un joli petit minois bardé de tâches de rousseur.

Le salaud ne semmerde pas ! Elle dépose un sac à dos au pied du lit et roule une pelle enflammée au lycéen. Elle porte une jupe à carreaux noirs et blancs, des Doc-Martens montantes et des bas noirs ainsi quun chemisier blanc dont les motifs du col rappelle savamment ceux de sa jupe. Le satin de la peau quelle laisse apparaître entre le haut de ses bas et sa jupe est hypnotisant

Plus quune belle gosse la Mathilde, cest un vrai beau morceau.

— Cest la chambre de tes parents ?

— De ma mère

— Et ça ? Fait-elle en désignant mes frusques sur le lit.

— Ca cest rien, cest les fringues de Patrick, son jules du moment. Il aurait pu ranger ce connard ! Ma mère et lui, ça va durer quelques semaines et puis elle sen lassera. Enfin jespère Je les entends baiser tous les soirs, cest pas croyable ce que ma mère peut gueuler, mais elle doit simuler cest sûr.

Le petit con

— Ben tu vois, jaimerais bien que tu me prennes dans la chambre de ta mère, et que tu me fasses gueuler moi aussi !

— Tes une vraie salope toi

Mais alors que Steve lui répond sur le ton de la complicité que peut tolérer un couple dans lintimité, Mathilde lui décoche une claque retentissante ! Dans mon placard, jen suis moi-même tout ébranlé

— Cest toi la salope ! Baisse les yeux et dessape-toi !

A ma plus grande surprise, Steve lui obéit sans sourciller Je nen reviens pas ! Ah il se la joue moins le sportif à la grande gueule de mes deux devant sa nouvelle petite copine.

Une fois Steve en tenue dAdam comme elle la exigé, Mathilde fait claquer un nouvel ordre :

— A genoux, petite pute !

Et de nouveau, le grand, le fier, larrogant Steve, ce nageur décérébré sexécute devant sa copine, ou devrais-je plutôt dire sa Maîtresse Et cest vrai que ça lui va bien, petite pute Décidément, je laime de plus en plus cette fille !

Face à ce spectacle, caché dans mon placard, je ne puis réprimer une érection naissante Ils sont tous les deux sculptés comme des dieux et vont baiser là devant moi dans les instants qui vont suivre ! Cest presque aussi bien que certains de mes films ! Ya pas de doute, je suis super excité par ce qui se passe sous mes yeux et je ne pensais pas un jour retirer autant de plaisir à mater des gens Je me rends à lévidence, je me découvre voyeur et cest un sacré pied ! Mais jy pense

Je passe une main sur la poche arrière de mon jean et bingo Mon téléphone sy trouve ! Je passe en mode silencieux et déclenche la caméra Plus quun simple voyeur opportuniste, je filme la scène et me fabrique un pur souvenir en HD ! Cest à peine si lidée de mexcite pas davantage !

Steve est agenouillé devant cette fille qui ouvre lentement son chemisier devant lui. Elle (nous) laisse découvrir sa poitrine de taille moyenne mais vraisemblablement soutenue par des push-up. Jai hâte de voir ses tétons mais elle sarrête là la garce !

Elle caresse le visage de Steve de sa main gauche et lui enfonce ses doigts dans la bouche. Ce dernier les avale goulûment et les lèche un par un. Elle sourit, ils ont des habitudes de toute évidence

De sa main droite, elle déboucle sa ceinture de sa jupe, une mince lanière de cuir brun Je devine la suite ou plutôt, lespère de toute mon âme !

— Contre le lit, salope !

— Tout ce que tu voudras

Et un violent coup de ceinture fend lair pour cingler le derrière de Steve, qui pousse un grognement de surprise !

— Tu vas la fermer espèce de salope ! Evidemment que je fais ce que je veux de toi ! Tu nes quune petite pute que ça fait bander de se faire dominer ! Tes une vraie lopette Steve tu le sais ! Et tu aimes ça nest-ce pas ? Maintenant enfonce ta face de giton sur le lit et mets les mains dans le dos. Je ne veux entendre que des râles de plaisir, tu peux couiner autant que tu veux mais je ne veux plus un mot ! Les chiens ne parlent pas, souviens ten !

Oulah ça prenait carrément un tour SM mais sincèrement, je trouvais ça extraordinaire

Devant moi, la grande Mathilde assène de petits coups de fouet secs sur les fesses de Steve qui gémit à chaque coup. Mathilde ma tout lair dune experte parce quaucun de ses coups ne marquait la chair en profondeur. En revanche, le cul de Steve ne tardait pas à rougir. Entre deux fessées, elle insulte et provoque ce pauvre Steve, qui prend visiblement un pied denfer à se faire fouetter et traiter comme un moins que rien.

— Alors comme ça, on naime pas entendre sa mère se faire mettre tous les soirs ?

— Han

— On est jaloux peut-être ?

— Humpfh

— Tu vois, moi je suis sûre quelle ne simule pas ! Son mec, il doit juste avoir une bite énorme pour faire jouir une salope comme ta mère !

— Hannnn

Merci Mathilde !

— Parce quil en faut une grosse pour défoncer la chatte poilue et ramollie de celle qui ta mise au monde. Tu te rends compte que cest toi qui lui as écartelé la vulve espèce de petite pute !

Ouf Cette petite a un tempérament de feu, je sens les battements de mon cur taper contre le bout de mon gland et un petit jus en découle doucement. Elle mexcite comme un dingue !

— Tandis que ma chatte à moi Elle est ferme, elle est serrée, elle est lisse et toute mouillée Je sens que ça me coule entre les cuisses, tu vas venir me lécher maintenant, je veux sentir ta grosse langue baveuse sur moi, je veux que tu ramasses tout, que tu nen perdes pas une goutte tas compris ? Allez, retourne toi maintenant !

Steve a le visage tout rouge, tout échauffé. Mathilde recule et soulève sa jupe. Je peux moi aussi voir un joli petit string blanc.

— Retire le ! Mais noublie pas, tes mains restent dans ton dos !

Cette fille tient son rôle à la perfection Je nen manque pas une seconde et mon téléphone non plus

Ce pauvre Steve, toujours à genoux devant cette déesse vacharde fait de son mieux pour retirer la culotte de sa maîtresse. Il y parvient néanmoins et le petit linge blanc légèrement humide arrive jusque sur les chevilles de Mathilde.

— Fais briller mes chaussures tant que tu y es, jaime ça te voir me lécher les pieds et faire briller le cuir.

Je nen revenais pas, Steve ne discutait même pas !

— Regarde moi salope !

Et à Steve de lui obéir une nouvelle fois, tout en continuant sa basse besogne.

— Cest drôle, tu es en train de me lécher, je ne sens pas ta langue sur moi mais je mouille quand même Tu vas vouloir me lécher la fraise maintenant quelle est toute juteuse, non ?

Javais presque envie de crier « Non Steve, ne réponds pas ! » Mais inutile, je crois quil avait compris sa leçon du jour

— Ca suffit !

Alors que Steve se redresse, Mathilde lève la jambe et pose son pied sur le haut de la poitrine de son esclave. Elle lui sourit et sans prévenir, le pousse violemment en arrière. A genoux, les mains toujours dans le dos, Steve est maintenant coincé entre Mathilde et le pied du lit. Elle pousse encore sur son torse, jusquà ce que sa nuque touche le matelas. Il est plié en deux, dans une position loin dêtre confortable mais il ne bronche pas.

Je nai pas lhabitude de voir un homme ainsi humilié et conciliant Et cest vraiment plaisant !

— Tu as été une bonne petite lécheuse, mes chaussures brillent à nouveau, pour te remercier, je vais te donner mon jus de chatte à boire, tu as soif jespère ?

Pour tout réponse, Steve opinait lascivement.

— Brave petite chienne

Brave petit gars oui

Sans prévenir, elle sassoit littéralement sur la bouche ouverte du soumis et commence à onduler. Sous la jupe qui recouvre une partie de ses fesses et le haut du visage de Steve, on devine assez nettement quelle plaque de toutes ses forces sa cramouille suintante contre lui et se fait du bien sur sa langue et son nez.

La respiration de Mathilde se fait haletante, en dessous, le visage et le torse de Steve virent au rouge alors que les mouvements ondulatoires de la dominatrice se font plus fort encore.

Elle se frotte maintenant sons ménagement contre Steve mais quelque chose ne lui convient pas, elle narrive pas à jouir ! Elle se redresse et se penche sur lui pour lui cracher violemment plusieurs fois de suite à la figure.

— Avec ça, je vais pouvoir bien glisser sur ta petite gueule daspirateur à mouille !

Le pauvre Steve est inondé des crachats lubrifiants de sa maîtresse mais cela semble être pour son plus grand plaisir ! Il bande comme un fou, son gland est gonflé à bloc, et tout violet !

Je ne suis pas le seul à le remarquer car :

— Tu sais quoi petite pute, je vais tautoriser à te branler Mais tu vas le faire dans une des culottes de ta mère pendant que je me donne du plaisir en me frottant la chatte contre ta face de sous-merde. Où est-ce quelles sont ?

Oups Elles sont juste à ma droite, dans le tiroir du milieu

— Je tautorise à me répondre petite pute !

— Derrière toi, dans lun des tiroirs, je ne sais pas lequel Merci Maîtresse

Mathilde se retourne sur le dressing, et par extension sur moi Elle a un regard magnétique et elle est belle à se damner Dans un instant, elle va ouvrir la porte et découvrir le voyeur misérable que je suis en train de se masturber. Je narrive pas à décoller ma main de mon chibre dur et brûlant et pourtant, je suis impuissant !

Cest trop bête ! Pas maintenant, pas ça ! Pas tout de suite ! Ou alors

Faîtes que je sois puni par elle

A suivre

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