Bonjour,
Je m’appelle Franck, j’ai vingt deux ans et je tiens à vous raconter une des aventures les plus érotiques que j’ai pu vivre, j’étais alors adolescent et je fréquentais une jeune fille du nom de Clara adolescente elle-même, nous sortions ensembles depuis quelques mois quand celle-ci se décida à me présenter à sa famille, ou du moins à sa mère car celle-ci vivait seule du fait d’un divorce.
Clara était une très belle fille au corps idéal, très entretenu mais malheureusement n’était pas très portée sur le sexe, je me souvient même d’une fois où pour son anniversaire je lui avait offert un porte-jarretelles avec des bas, elle l’avait mal pris, me rétorquant : ’ tu me prends pour une pute ?’, enfin au lit c’était la tristesse même si caracteriellement on s’entendait plutôt bien…
Enfin, vint ce jour où Clara me présente à sa mère, Lise, une femme de trente huit ans, très belle avec l’assurance qu’ont les femmes à cet âge là. Grande, blonde rousse avec un corps qui à travers un ensemble de mousseline noire me rappelait les formes généreuses de sa fille. ’ Enchantée de faire votre connaissance jeune homme’ son regard se posa sur moi et je senti une bouffée de chaleur, comme une aura magnétique…
Elle était divorcée du Père de ma copine mais d’après ce qu’elle me disait continuait à vivre… cette femme dégageait le sexe et je n’y étais pas insensible, cependant la différence d’âge étant importante, je ne prêtais pas d’importance à quelques signes que ce fut. Nous passâmes à table, et firent un repas royal et très arrosé, ayant assez peu l’habitude de l’alcool, je fut vite enivré et demanda vers le dessert d’aller me reposer un peu, pour cuver, Lise rit de bon coeur et dit à sa fille ’ Clara , emmène ce jeune homme se reposer dans ma chambre, il ne tiens pas la boisson…’ Clara m’emmena dans une grande chambre décorée avec goût, un lit à deux places m’attendait, je m’y laissa tomber, entraînant ma fiancée avec moi, mes mains devinrent baladeuses et j’empoignait la généreuse poitrine de Clara sous son soutien-gorge…. ’ Tu ne penses donc qu’à cela et puis tu es saoul ……’encore une frustration, l’alcool aidant, je m’imaginais en train de culbuter Clara les deux jambes sur mes épaules , elle, cette beauté en dessous noirs humm…. clara referma la porte et me laissa à mes fantasmes, je m’endormais.
Je me réveillais deux heures plus tard, mes yeux à la hauteur du placard de Lise, je fixais un morceau de tissu dépassant de la porte. On aurait dit un morceau de tulle noir que quelqu’un aurait coincé dans la porte en fermant le placard, intrigué et poussé par je ne sais quel sixième sens, je me levais et, me dirigeais vers le tissu prisonnier, j’ouvris discrètement la porte et je libérais un bas noir à couture, cette vision me fit un effet troublant, je décidais alors de continuer mon investigation, découvrant ça et là, un porte-jarretelles, des guêpières de couleur rouges et noirs, des bas de soie, des escarpins à haut talons, Lise était une femme de goût qui devait avoir conscience du désir masculin, je tomba en arrêt devant des sous-vêtements en cuir noir, plutôt du latex quand soudain j’entendis des pas, je refermais la porte du placard en catastrophe, et mejeta sur le lit, Lise entra, me sourit et me dit ’ Alors, ça va mieux?’ à ce moment là, un bruit se fît entendre dans le placard, ’qu’est ce donc ?’, s’étonna t’elle, Je suppose que j’avais dû fermer le placard trop violemment et, sous le choc j’avais déstabilisé une étagère qui était tombée au mauvais moment. Lise s’approcha du placard et mon coeur se mit à battre de plus en plus vite, je rougis malgré moi, Lise ouvrit le placard et ramassa tous ces dessous qui étaient tombés, elle remarqua mon embarras. Alors qu’elle rangeait porte-jarretelles, guêpières culottes et bas, elle se retourna et me dît, ’ cette armoire et si vieille, ce n’est pas la première fois que cela arrive puis rit en me voyant rougir ’ tu reconnais? c’est la lingerie que tu avais offerte à Clara et qu’elle n’a jamais voulu mettre, elle me l’a donné, quel dommage! moi aussi j’aimerai qu’un homme me fasse de tels cadeaux ….’ Je rougis très embarrassé.
Le week-end suivant, je fus réinvité par Clara car étant seul à la maison, Lise m’avait proposé de rester quelques jours en leur compagnie, ’si cela ne te dérange pas …’ m’avait dit Lise au téléphone. J’arrivais a leur maison, et j’apprit que Clara était couchée pour cause d’une grippe qui s’était déclenchée entre temps, ’ quel dommage et dire que clara devait m’accompagner cet après midi pour faire des courses vestimentaires, cela va m’être pénible de porter tous ces paquets…..’ je me proposait d’accompagner Lise pour ses courses.
Nous flânèrent une bonne demi-heure dans un grand centre commercial quand celle-ci m’emmena dans un commerce de Lingerie féminine, repensant à ma mésaventure de l’autre fois, je ne pût m’empêcher de rougir et Lise le remarquait ’ je crois que (tu as bon goût en la matière, il me semble…’ je tournais au pivoine. Elle rit et me demanda de l’attendre vers les cabines d’essayages, elle y entra, au bout de quelques minutes, elle m’appelait ’ Franck , peux tu reposer ces articles en rayon s’il te plaît?’ elle me passait par dessus le rideau des porte-jarretelles, bas slips brésilien, j’étais gêné, mais m’exécutais, elle ressortit au bout d’un demi-heure et il me semble que quelque chose de trouble de produisit, Lise était devenue plus jeune, adolescente, riait beaucoup et me frôlait souvent. Nous revenions à la maison , les bras chargés de courses, Lise me proposa un Thé, j’allais voir Clara qui dormait terrassée par une fièvre carabinée, alors que je retournais à la cuisine, j’entendis un bruit sourd dans la chambre de Lise, elle sortit, en éclatant de rire, ’ cette armoire me joue vraiment des tours’, ’peux tu m’aider s’il te plaît?’ En entrant dans la chambre , je remarquais que Lise était en peignoir, mais le reflet sur ses jambes me fit réaliser qu’elle portait des bas, je me mis malgré moi à bander très très fort, j’essayais de remettre l’étagère sur son emplacement et … patatras tout retomba, cette fois-ci la lourde étagère m’entraîna dans la chute et également Lise qui tentait de me retenir. Lise tomba sur moi et dans la chute, son peignoir s’ouvrit, dévoilant le porte-jarretelles, les bas que j’avais offert à Clara, et également de superbes seins (du 95) qui dans la chute étaient sortis du soutien gorge qui les emprisonnaient. nous restâmes quelques interminables secondes en nous regardant dans les yeux, puis Lise m’embrassa à pleine bouche, nouant ses bras dans mon cou, la bosse de mon pantalon était si énorme, son souffle était chaud,son corps offert, j’étais dans un autre monde.
’ Nous allons faire une bêtise Franck, il ne faut pas…. tu es le petit ami de ma fille…. ’Nous ne faisons jamais l’amour, j’aime Clara mais je veux te faire l’amour….’ Elle tenta de se dégager mais étant plus fort, je la retins et fis sauter son soutien gorge révélant deux seins lourds, énormes, elle était devenue gênée, elle qui réalisait que son petit jeu était allé trop loin à la boutique de dessous, comme elle se cachait la poitrine, je la forçait à baisser les bras, elle finit par céder, j étais comme fou. ’arrêtes Franck, je vais appeler…’ ’ dans cette tenue ? ’ lui répondais-je.
Lise, évidemment compris qu’au moindre appel, sa fille viendrait et noustrouverait dans une situation facile à comprendre mais difficile à justifier, c’est pour cela, que lasse, et prise au piège de son propre jeu elle se résigna…
Elle baissa les yeux comme soumise et écarta les bras de sa poitrine, me révélant des seins fermes et énormes, ils étaient blancs et laiteux en forme de poire ; je pris un téton entre mes dents, Lise ne réagissait pas, je choisi de pincer l’autre entre mes doigts, et au bout de quelques minutes, je sentis son ventre aller et venir. La scène était folle, Lise était debout,appuyée contre la vieille armoire, le peignoir à ses genoux, j’étais recourbé sur elle en train de dévorer ses seins, mes mains courraient de partout, sur ses bas, son sexe etc. soudain, j’entreprit d’écarter sa culotte, je découvrais un sexe inondé, et moelleux, elle émit un petit cri lorsque j’y glissa un doigt. Entre temps la main de Lise s’affairait sur la bosse de mon pantalon, elle haletait de plus en plus vite et jouis une première fois. j’en profitais alors pour dégager mon sexe, je la pris par les cheveux pour la mettre à genoux, Lise résista, puis m’adressa un regard trouble, un sourire étrange puis se mit à genoux, pris mon sexe dans sa bouche et d’un coup se déchaîna dessus allant et venant au plus profond, elle s’arrêtait de temps à autre pour enrouler sa langue agile autour de mon gland puis le ravalait jusqu’à la racine, il ne fallut pas cinq minutes pour que je jouisse dans sa bouche, elle était comme folle. elle se releva ’ s’appuya contre l’ armoire; objet de tous les délits, me tournant le dos, elle me présenta sa croupe, imaginez la scène; cette magnifique femme de trente huit ans entièrement nue, sauf son porte-jarretelles bas et talons au corps épanoui était dans cette position, elle se pencha, fit saillir sa croupe en avant, et par dessus son épaule m’adressa un ’baise moi!’ ; j’approchais mon sexe encore tendu de ses fesses et la pénétra d’un seul coup de reins, elle cria ’ oooh’ . J’entrepris dès lors un mouvement lent de va et vient, les deux mains crispées sur cette croupe magnifique, Lise haletait, suppliait de ne pas m’arrêter ; de temps à autres je me retirais complètement pour la pénétrer à nouveau, chaque fois, cela s’accompagnait de râles profonds de la part de cette somptueuse femelle. Un miroir renvoyait l’image de notre coït, mes mains crispées sur ses mamelles et mon sexe qui allait et disparaissait dans sa toison blonde.
La cavalcade de cette belle pouliche dura un bon quart d’ heure, elle jouit 5 fois avant que je ne me répande en elle. A la fin’ elle se retourna, les yeux brillants m’adressa un ’ j’ai eu envie de toi, nous avons fait une bêtise’ bêtise que nous recommençons fréquemment d’ailleurs car cela fait 4 ans que nous sommes amants Lise et moi, elle m’a tout appris , la sodomie et beaucoup d’autres choses, nous avons même récemment fait l’amour à trois avec une autre femme dominatrice, je vous raconterais cette histoire bientôt. Enfin un dernier mot pour dire que, nous avons rompu avec Clara mais désolé c’était mieux ainsi ,car Lise je dois te dire……….. je t’aime