Samedi 9 juin
Vous vous levez tôt. La journée nécessite divers achats et passablement de préparation. Vous vous réjouissez de la surprise que vous vous apprêtez à faire à vos invités. Vous espérez cependant ne pas tomber complètement à plat.
Le stress monte à mesure que la journée avance. Vous avez exactement huit invités. Sept arrivent avant 17h. Ils sont tous de sexe masculin. Ce sont vos meilleurs amis. Ils savent que votre pendaison de crémaillère cache quelque chose. Ils vous connaissent. A 17h15, vous recevez un message de Magali. Comme prévu. Vous donnez alors un masque vénitien à vos amis et leur demandez de patienter.
Vous sortez. Magali est là. Top ultra-décolleté, minijupe, porte-jarretelles apparent, talons compensés, lèvres trop rouges, elle est incroyablement excitante. Vous l’embrassez.
Tu es parfaite, vraiment parfaite.
Tu es sûre ? Ça te va ?
Je te mettrais bien sûr le trottoir.
Arrête ! J’y ai pensé…
Et ?
Et si je te sais à proximité, je crois que ça m’exciterait.
Vous laissez ses affaires dans la voiture et passez par le garage. Avant d’entrer dans la maison, vous dites à Magali :
Bon, voilà. Dans mon salon, il y a mes sept meilleurs amis.
Vous lui montrez un masque vénitien magnifique. Le sien.
Ils portent tous un masque comme celui-ci. Ils ne savent rien de ce qu’il va se passer. J’aimerais que tu sois la reine de sexe de la soirée, j’aimerais que tu fasses ce que tu as envie avec qui tu as envie.
Son sourire vous indique qu’elle est déjà d’accord. Vous poursuivez :
Je vais les briefer en ce sens : ils devront te faire plaisir. Et je vais leur demander de tous se dévêtir. Nous serons tous nus, sauf toi.
Mais je dois le faire devant tout le monde ?
Tu es libre de faire ce qu’il te plaît. J’ai dissimulé le canapé derrière un paravent, le lit au sous-sol est préparé, les toilettes, la salle de bains sont disponibles. Il y a des préservatifs et du lubrifiant de partout.
Alors, allons-y.
Vous l’embrassez une dernière fois et entrez avec elle. Tous les masques se tournent vers Magali dont vous sentez déjà l’excitation.
Messieurs, je vous présente une amie, que nous appellerons Zoé. Vous aurez tout loisir de faire sa connaissance dans les minutes à venir, mais je veux vous transmettre quelques éléments avant de commencer cette soirée. Zoé est la reine de la soirée. Vous la traitez donc avec tous les égards et tout le respect. Elle décide, elle choisit, vous êtes gentlemen. Rappels utiles : un "non" est un "non" et on se protège. En tout temps.
Vous pourriez entendre voler une mouche. Vous retirez votre chemise, puis votre pantalon. Vous finissez :
Maintenant, je vous prie, comme moi, de vous dévêtir. Nous poursuivons la soirée, nus.
Vous retirez alors votre boxer puis tendez un verre à Magali avec qui vous trinquez. Vous l’embrassez pendant que vous amis se dévêtissent plus ou moins rapidement, avec plus ou moins de gêne. Ce moment semble ravir Magali.
Je me suis fait beaucoup de films ces derniers jours, mais je n’aurais jamais osé imaginer cela.
On peut tout arrêter. Immédiatement.
Elle sourit.
Jamais de la vie.
Les quatre heures suivantes seront placées sous le signe du sexe et de l’alcool. Magali est de loin la personne la plus à l’aise de la soirée. Elle papillonne, discute çà et là, caresse des torses, fait dresser des verges. A l’occasion, elle masturbe doucement celui qu’elle sent plus à l’aise, celui qui n’est pas gêné par cette caresse devant les autres convives. Et puis, régulièrement, elle s’éclipse avec l’un d’eux. Puis avec un autre, puis deux autres. Elle ira jusqu’à trois.
Vous ne participez pas. Elle vous demande de l’accompagner, mais vous refusez. Votre tour viendra plus tard. A chaque fois qu’elle revient d’avec un de vos invités, Magali ne manque pas de vous faire un petit clin d’il complice.
A 21h30, vous indiquez qu’il n’est désormais plus possible de quitter le salon. Magali suce quelques instants un des vos amis au milieu des autres. En aparté, vous lui indiquez que ces messieurs ne doivent plus jouir. Mais ça ne l’empêche pas de se faire doigter et caresser par eux. Vous êtes ravis du respect qu’ils lui manifestent.
22h00, l’alarme. Tout le monde se tourne vers vous. Vous souriez.
Je vous ai indiqué que la soirée se terminerait à 22h. Nous y sommes. Mais toute bonne soirée se termine par un feu d’artifice.
Vous regardez Magali. Son sourire. Elle a compris. Vous poursuivez.
Et Zoé rêve d’un feu d’artifice qui ne serait tiré que pour elle.
Vous avancez au centre du salon. Magali vous suit. Elle s’agenouille devant vous et commence à vous sucer.
Messieurs, je vous invite à vous joindre à moi, en cercle autour de Zoé.
Les premiers instants, Magali semble ne plus savoir où donner de la tête et des mains. Puis, petit à petit, elle prend le rythme, suce l’un en masturbant deux autres. Pendant une dizaine de minutes, elle passe de bite en bite. Vous invitez ceux qui ne sont pas occupés par Magali à se masturber et maintenir un état proche de la jouissance. Ainsi, deux par deux, vous jouissez sur le visage de Magali. Sur sa langue tirée se mélangent bientôt huit semences différentes, huit spermes qu’elle avale par gorgées. Vous vous agenouillez auprès d’elle et la masturbez vivement. Elle jouit et s’effondre sur le sol.
Laisse-moi… Laisse-moi ce moment !
Vous vous relevez et prenez congé de vos amis qui quittent calmement votre maison. Vous revenez ensuite vers Magali qui s’est assise contre le canapé. Son sourire est immense.
Nous ne nous connaissons que depuis quelques mois, mais tu me connais intimement mieux que personne. C’est fou. Que me réserves-tu encore ?
Vous souriez.
Tu verras cela bientôt.
Tu bluffes, j’espère.
Tu verras.
Vous l’aidez à se relever et l’accompagnez à la salle de bains. Magali se nettoie rapidement la bouche pour vous embrasser. Vous descendez nettoyer le salon.
Plus tard, ne voyant par arriver Magali, vous montez, un peu inquiet. Vous découvrez Magali endormie sur votre lit. Elle est nue. Vous la recouvrez brièvement et redescendez finir de ranger. Avant d’aller prendre une douche à votre tour puis de vous coucher. Magali ne bronche pas.
