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Perte de contrôle – Chapitre 11




La Vente

Cela ne se passa pas comme prévu initialement par Maitresse. Je cru comprendre que le projet prenait de lampleur et Maitre y consacra beaucoup de son temps. Jétais à la fois honteux dêtre la source de tant de travail, mais aussi désespéré de cette échéance. Je redoublais de dévotion pour Maitresse, tant Elle me remplissait.

Il fallut plus de deux mois pour lorganisation de la soirée, et jeus ainsi parfaitement le temps de me préparer. Dabord en ouvrant ce nouvel organe que Maitresse mavait offert : chaque jour je passais des heures entières sur une fuck machine à me faire défoncer par des gods de plus en plus gros, jusquà ce que le plus gros puisse rentrer, une fois mon sexe bien huilé. Jy prenais un profond plaisir, dautant que mon cul était fermé en permanence par mon plug permanent, à la taille maximal, ruinant ainsi mes sphincters et me rendant totalement dépendant pour mes besoins intimes, rares puisque je navais droit quà quelques déchets chaque jour. Japprenais ainsi à jouir de mon vagin, et je connus de nombreux orgasmes, en tous cas ce que jassimilais à des orgasmes. Je me sentais devenir plus femelle que jamais.

Une semaine avant le jour J, Maitresse cessa de me fouetter comme Elle le faisait de nombreuses fois dans la journée. Elle voulait que ma peau soit belle et lisse, avec juste la badine au dernier moment pour joliment la marquer. Je fus enfermée dans une caisse en bois, chargée dans un break et nous roulâmes plus de deux heures, avant que je ne sois déchargée et mise en attente pendant près de 24 heures. Nous étions dans un château, où allait se dérouler la vente, et je découvris que je ne serais finalement pas seule à être vendue. Quatre cages attendaient, avec des écriteaux female 1, female 2, female 3, male 1. Maitre me fit rentrer dans la cage female 1, et jattendis comme javais appris à le faire. Une couverture vint me plonger dans le noir. Jentendis plus tard des pas, des ordres, des claquements, des raclements. Les autres esclaves devaient être amenés dans leur cage, mais je ne pouvais rien voir, et bien entendu, je némis aucun son. Nous entendions les respirations des uns et des autres, des reniflements, parfois des pleurs, mais rien de plus. Nous restâmes ainsi 24 heures, juste hydratés par une gamelle remplie de lurine de Maitresse pour ma part.

Enfin Maitresse vint me chercher pour me préparer. Je narrivais pas à quitter Ses pieds et à les vénérer et il fallut quElle me donne un coup de pied pour que je la suive dans une chambre luxueuse du château où je devais me faire la plus belle. Mes cheveux avaient beaucoup poussé, avaient été lissés et décolorés dans un blond très clair, tout comme mes sourcils fin comme un trait. Javais fait une queue de cheval assez haute, celle-ci retombant entre mes omoplates. Javais appliqué un maquillage vert autour de mes yeux, pour affiner encore le travail de féminisation quavait opéré le chirurgien. Maîtresse mintroduisit dans la bouche un rond très large mobligeant à ouvrir au maximum ma mâchoire, et faisant de mes lèvres un bourrelet entourant linstrument forçant mon ouverture. Mes lèvres maquillées dun rouge vif faisait un contraste saisissant avec le noir de ma bouche ainsi forcée.

Tirant la langue, Maîtresse maccrocha un poids de 500 g, forçant celle-ci à pendre à lextérieur. Cela me rendait ridicule, mais Lui plaisir beaucoup. Cela faisait de nombreuses semaines quaprès mavoir percé la langue, Maitresse me faisait porter des poids de plus en plus lourds. 500 grammes métaient devenus habituel, et Elle avait poussé jusquà deux kilos, provoquant des douleurs atroces, mais surtout un étirement et un développement de la langue, qui me permettait alors de lui procurer bien des plaisirs. Pas tant le cunnilingus quElle nappréciait guère, mais surtout le fait de pouvoir bien la lécher et la nettoyer analement, ma langue rentrant profondément dans son trou le plus sombre. Elle pensait aussi que pour la vente ce serait un argument appréciable.

Mon cou était enfermé dans un collier magnifique en acier, il pesait plus dun kilo et se fermait par un cadenas judicieusement masqué dans son anneau central auquel était rattachée la laisse quutilisaient Maitres pour me promener. Très haut, il me forçait à garder la tête relevée, ce que je faisais maintenant naturellement après avoir été tant corrigée à ce sujet. Maîtresse voulait de Son esclave, un port de tête princier. Jaimais beaucoup ce collier, que je portais en permanence depuis si longtemps maintenant. Les hormones continuaient à faire leur effet et Maîtresse était surprise de voir que ma poitrine continuait à gonfler, rendant sans doute les implants posés assez superflus. Je devais être passée à une taille de bonnet E ou F, rendant leur port fatiguant pour mon dos, mais aussi la peau et les tétons dune sensibilité très forte. Chacun des deux était percé par un trou de 10 mm maintenant, dans lequel était insérée une barrette, maintenant en place une sorte de cage qui étirait très fortement le téton, le décollant de lauréole de plus de deux centimètres. Le résultat était vraiment fascinant à la fois par la tension sur la peau, et la douleur permanente ainsi créée. Pour compléter le décor, Maitresse accrocha deux petites cloches dorées aux seins, laissés libres et visibles à tous. Plus tard, Maitresses me les flagellera longuement pour les marquer partout.

Maitresse approcha avec une longue aiguille remplie dun liquide jaune et gras. Elle mindiqua quil sagissait dacide hyaluronic, pour gonfler et maintenir mes seins fermes quelques mois. Elle menfonça laiguille en de nombreux points et minjecta près de 500 ml dans chacune des mamelles qui semblèrent gonfler démesurément, me provoquant une tension très forte sur la peau. Le résultat était affolant, je découvrais une poitrine hyper tendue et ronde, mexcitant ainsi terriblement rien quà me voir. Maitresse me dit espérer me vendre un bon prix car cet acide était très cher, et quElle avait beaucoup investi sur moi ! Je redoublais alors deffort pour me faire plus belle : mes ongles de de main étaient parfaits, dans un vert sombre rappelant le maquillage des yeux, Maîtresse était ravie de leffet. Elle défit mon corset usuel pour me passer un corset under bust, rose clair avec de la dentelle et des porte jarretelles larges pour mes bas, roses clairs également. Sans surprise, Elle me le serra au maximum, ne laissant que 2 cm de jeu derrière, réduisant ma taille à environ 41 cm. Le contraste avec mes seins énormes créait un effet très violent. Personne naurait pu même imaginer que javais été autre chose quune poupée femelle faite pour satisfaire ses Maîtres. Pour compléter laccoutrement, javais bien sur des ballets boots, mais rose vif, et remontant à mi mollet. Cela métait totalement naturel de marcher avec, voire de courir quand Maîtresse me lordonnait. Je trouvais mon accoutrement très excitant et faisant bien ressortir limposant tatouage que je portais dorénavant sur le pubis.

Maitresse mavait fait tatouer en rouge foncé le symbole BDSM, un cercle découpé en trois morceaux, avec écrit au-dessus et en arc de cercle ESCLAVE MEO et en dessous mon numéro denregistrement desclave. Celui-ci permettait davoir toutes les informations me concernant, et renvoyait sur le blog que Maitre tenait de mon dressage progressif et continu, y compris avec mon vrai nom, afin que chacun puisse savoir ce que jétais devenue. Avec un sadisme incroyable, Maitresse mavait fait la démonstration dans Google, et le blog sortait en troisième position lorsquElle tapa mon nom. Jétais effondrée et en pleurs, ce qui me valut une mémorable punition, car Elle voulait que je sois fière dainsi Lui appartenir. Le tatouage était très visible et disparaissait partiellement sous le corset. Il restait mes deux trous à décorer.

Pour derrière, mon plug métallique permanent de 8 cm en métal était bien positionné. Maîtresse remplaça le bouchon en caoutchouc du centre, pour menfiler une queue de cheval, dont plus de 20 cm se trouvèrent dans mon fondement. Elle avait pris soin de la colorer en rose pour ne pas dépareiller. Pour mon sexe que javais appris à chérir, Maitresse pris un long plug en bois laqué, quElle introduisit au maximum jusquà buter sur mon bassin. Il nétait pas si épais, peut-être 6 cm, mais je le sentais bien. Maitresse tira sur ma grande lèvre droite pour recouvrir lolisbo avec ma chair, puis planta un clou fin au travers de mes chairs sensibles sur le bois, un deuxième vint bien fixer cette lèvre, tandis quElle fit de même avec lautre : le gourdin était ainsi maintenu en place au plus profond de moi à laide de ces clous tirant ma chair intime. Bien sûr je ne réagissais pas à la douleur vive quElle mavait causée, mais au contraire, en esclave éduquée, je la remerciais chaudement, me mettant difficilement et douloureusement à 4 pattes pour baiser Ses semelles, maladroitement à cause du poids distendant ma langue et de lanneau mempêchant tout mouvement des lèvres. Depuis quelques semaines, cétait la seule partie de Ses pieds qui métait autorisée. Maitresse me fit relever, enduisit mes grandes lèvres du même rouge à lèvre que ma bouche, et vérifia dans la glace que je correspondais à ce quElle désirait. Je me trouvais à la fois obscène et magnifique, plus femelle que toutes les femmes que javais pu croiser. Jétais un fantasme construis par la folie destructrice de Maitresse et Maitre. Bouclant ma ceinture, Maîtresse me fit sortir de la chambre, il était temps de me présenter aux invités.

La vente se déroulait en extérieur sur la partie arrière du château. Peut-être trente personnes étaient présentes, assises sur des fauteuils, et servies par des esclaves males qui leur apportaient champagne et petits four. La musique donnait un peu dépaisseur car personne ou presque ne parlait, la tension était palpable. Sans surprise, je reconnus quelques connaissances, il y avait bien sur une majorité dhommes, quelques femmes, mais beaucoup évidemment soumises et aux pieds de leur propriétaire. De façon étrange, une femme voilée de blanc, accompagnée de deux autres femmes était assise dans un coin. Sans doute les esclaves dun des acheteurs. Ce qui était frappant, cest quelles étaient intégralement voilées, y compris les yeux, mais leur burqa était très seyante, marquée à la taille, serrée à la poitrine, laissant deviner des corps très féminins, ce qui me semblait aller à lencontre de lusage de ce vêtement. Mais Maitresse me tirait et je navais pas le loisir dobserver plus, dautant que je devais garder mon regard perdu dans le vide. Devant lassemblée, étaient disposées les cages dans lesquelles nous avions attendus, et, sur chacune des cages, à genoux, les esclaves à vendre étaient exhibés. Les acheteurs pouvaient passer les voir, sans les toucher pour linstant, consulter une fiche détaillée. Jétais le dernier arrivé et Maitresse minstalla comme les autres, les grilles de la cage meurtrissant mes tibias, les bras ramenés en arrière, les coudes joints lun à lautre. La cérémonie nallait plus tarder, et je fus surpris de voir Didier apparaître comme lanimateur de la soirée et le Maître priseur de cette vente spéciale. Je le connaissais très bien depuis des années, javais même dressé sa femme, et nous avions été assez proches à une époque. Il devait savoir qui javais été, mais rien en moi ne pouvait plus rappeler ce passé, il ne maccorda pas un regard, mais je sus plus tard quil savait qui jétais avec la férocité avec laquelle je fus traitée.

Je nosais pas regarder les autres esclaves vendus, jen aurais loccasion plus tard et en détail ! Nous apprîmes alors les conditions de la vente. Pour pouvoir être présent, chaque spectateur avait dû débourser 1000 pour assister, tandis que le droit denchérir nécessitait le dépôt dune somme de trente mille euros en sus. Tous les paiements étaient en liquide et les esclaves seraient livrés à la fin de toutes les ventes. Chacun des acheteurs avait dû remettre le projet quil avait pour son ou ses achats. Seul le commissaire-priseur connaissait ces projets. Celui qui emportait un lot, venait alors expliquer à lassistance ce quil allait faire de son lot, à quel usage il destinait son achat. Nous écoutions tous les quatre la procédure qui allait décider de notre nouvelle vie. Lassistance bouillait, et il était temps de commencer les choses sérieuses. Pour une fois quil vendait de réels esclaves, pour de vrais prix, Didier allait faire un travail exceptionnel.

Lesclave male fut le premier à être mis en vente. Lhomme devait avoir 45 ans, une musculature impressionnante, il donnait limpression dêtre un gladiateur. Il était présenté nu, sans un seul poil sur le corps ni un cheveu sur la tête, il se dégageait une notion de puissance brute vraiment impressionnante, contrastant avec son regard baissé et son attitude très humble. Le plus frappant était bien sur son sexe en pleine érection et qui me fit incroyablement envie. Une double envie, le souvenir de telles érections énormes où le sexe semble prêt à exploser, mais aussi et cétait nouveau, le désire de recevoir ce sexe en moi dans mes trois trous. Maitre mavait bien initiée au plaisir dêtre ainsi prise, et celui-ci était tellement énorme et plein de vie, que je ne pouvais y être insensible. Lesclave portait un collier avec une chaine en guise de laisse, ses bras puissants attachés dans le dos. Didier le présenta comme un esclave dressé depuis sa plus tendre enfance, ayant toujours vécu dans la servitude et la contrainte. Il avait été acquis il y a une vingtaine dannées par ses propriétaires actuels qui désiraient sexpatrier et ne voulaient pas lemmener. Il avait été dressé à tous les travaux domestiques, la tenue dune maison, mais aussi les travaux dans le jardin ou de bricolage poussé. Il était régulièrement utilisé en sex toy, et avait été éduqué à bander sur commande, comme en attestait son état actuel. Je doutais beaucoup de ce dernier point et pensait quil avait été bourré de viagra, mais qui étais-je et que savais-je des dressages finalement ? Il subissait un entraînement permanence pour sa musculature, et était présenté comme totalement docile. A une question de lassistance, Didier répondit quil ny avait pas de limite particulière avec cet esclave, quil était plus un esclave domestique quun sujet sado maso, mais après tout une fois acheté, chacun en faisait ce quil voulait. A une autre question, les propriétaires répondirent, choqués, que non leur esclave nétait pas un wc et quils lavaient toujours bien traité. Je frémis en me demandant ce quils penseraient de ma déchéance. Lintérêt de lassistance était mitigé. Pourtant cétait là un spécimen parfait de lesclave que chacun attend chez lui, assez stylé pour servir de chauffeur ou de majordome et tout à fait servile en tous points. Didier lança les enchères et je fus surpris alors de découvrir que nombre de personnes étaient intéressées. Je pensais bien que le pédigrée des esclaves avait été communiqué à lavance pour sassurer du succès de la vente.

Lhomme ne tressaillit pas pendant toute la vente, il ne semblait pas concerné. Finalement une vieille dame fit lenchère la plus élevée et il fut vendu pour 45 000 . La dame qui devait avoir 60 ans, et beaucoup de classe, monta alors sur scène comme le protocole lexigeait. Elle présenta à Didier la somme complémentaire au 30 000 déjà versés, et sans un regard pour son acquisition, elle se tourna vers lassemblée. Elle avait acquis lesclave pour la servir dans sa vie quotidienne. Elle avait toujours rêvé dun esclave, essayé sans succès den dresser un et sétait finalement convaincu quil était bien plus facile den acheter un. Elle lutiliserait aussi bien en esclavage domestique que sexuel, car elle avait encore de nombreux désirs à assouvir. Elle laissa entendre quelle serait intéressée par compléter son achat par une femelle et son regard était très insistant sur moi, enfin je le cru. Lassemblée applaudit et après cette première vente, les esclaves de service vinrent remplir les verres des convives. Lesclave vendu dû se mettre à genoux dans le coin de la scène, pour attendre la fin de la vente.

Il était temps de passer à la suite, et à la vente de la première femelle. Celle-ci était une jeune femme blonde assez pulpeuse malgré de petits seins ronds. Elle ne devait pas avoir 20 ans, et clignait des yeux, effarouchée. Je ne laurais jamais imaginée esclave, mais plutôt du côté des Maîtres, avec une allure assez classe, des cheveux aux épaules lisses et magnifiques, et une taille très marquée avec un serre taille blanc du plus bel effet. Outre le serre taille, elle portait des bas blancs et des escarpins vernis blancs également de 15 cm. Etonnamment pour son âge, elle se déplaçait très bien avec, elle avait dû être éduquée depuis longtemps. Son pubis était bien entendu parfaitement lisse, et son sexe paraissait très joufflu. Didier la fit se pencher en avant pour que tout le monde puisse voir le rosebud fiché dans son cul, tandis quelle était rouge de honte de se montrer ainsi. La Maître priseur la présenta plus en détail, et je découvris quelle venait tout juste de fêter ses 18 ans, et que cétait à cette occasion quelle était vendue. Ainée dune fratrie de 12 enfants, elle avait été ainsi éduquée à prendre soin dune maison, denfants, mais aussi de ses parents. Elle était restée vierge, ce qui provoqua un fort murmure dans lassemblée, mais avait développé ses qualités buccales que ce soit sur homme ou femme. Le reste de son éducation serait à faire. Je trouvais la situation plutôt révoltante, mais je semblais être la seule à penser cela, car lassistance semblait fascinée par cette femme offerte et vierge de bien des tourments qui lattendaient. Comme pour le premier esclave, il ny avait aucune limite à lutilisation qui en serait faite. Les enchères prirent rapidement de la hauteur et la barre des 100 000 fut franchie par de nombreuses voix excitées. Je fus surpris de constater que la femme voilée enchérissait. Il ne semblait donc pas sagir dune esclave assistant à la vente mais dune acheteuse potentielle, puisquelle avait dû remettre les 30 000 pour enchérir. Il se dégageait delle un grand calme qui était assez fascinant. Dailleurs personne ne sétait assis à côté delle et de ses deux accompagnatrices. A 200 000 elle cessa de surenchérir et laissa deux hommes se battre pour la jeune fille. Celle-ci semblait stupéfaite de voir le désir quelle suscitait mais aussi les montants en jeu. A 350 000 lun des deux hommes demanda au commissaire-priseur sil était possible de verser une partie du paiement autrement quen liquide. La réponse négative lui fit cesser denchérir, et lesclave femelle fut vendue pour cette somme astronomique. Lheureux acheteur était un très bel homme, mince et aux cheveux grisonnants. Il parlait avec un léger accent dont jignorais la provenance. Monté sur la scène, il prit du temps pour voir son acquisition et chuchoter un mot à loreille de lesclave. Celle-ci lui répondit avec un sourire incertain, perdue dans ses émotions. Homme daffaire italien, il venait de perdre sa femme dans un accident dhélicoptère et ne souhaitait pas la remplacer. Il sétait alors décider à prendre une esclave pour combler ses besoins sexuels importants, tout en sassurant quelle resterait toujours à sa place, cest-à-dire nayant aucun droit et aucune existence publique. Il indiqua que la jeune fille serait marquée dès le lendemain par un tatouage dans le cou et sur le pubis, afin que sa possession soit définitive. Elle sera ensuite envoyée dans un centre de dressage en république Tchèque pour être préparée suivant ses instructions. Il lui promit une vie paisible et à labri de tout autre besoin que celui de le satisfaire. Là encore lassemblée applaudit et la jeune fille alla se mettre à genoux dans le coin, à côté du colosse toujours en érection. Elle regarda sa queue avec inquiétude, même si elle savait que ce ne serait pas lui qui la prendrait la première fois.

Didier enchaina directement, présentant la prochaine vente comme un simple remplissage avant le clou du spectacle que tous attendaient. Il vint chercher lautre femelle, pour la présenter à lassistance. Elle devait avoir une quarantaine dannée et avait un corps terriblement marqué de partout. Traces de brulures, cicatrices, décolorations, des tatouages obscènes même sur le visage où était écrit en rouge vif SLUT. Ses seins pendaient terriblement, ils avaient dû être gros, mais à force dêtre étirés et battus ils pendaient sur son nombril, malgré un cerclage à leur base qui les comprimait en permanence. Les tétons étaient percés et élargis, et des poids les maintenaient en permanence en tension. Tout comme les lèvres de son sexe qui pendaient ornées dune multitude danneaux épais qui faisaient beaucoup de bruit quand elle marchait. Didier la fit aussi se pencher pour montre son cul, quelle dut montrer en écartant ses fesses. Les spectateurs écurés découvrir quelle était totalement béante, ses sphincters ayant lâchés depuis longtemps. Il était temps de la présenter, et Didier y alla gravement dans lhumiliation. Cette femme était une authentique masochiste, qui sétait dabord révélée dans la musique avant de découvrir le masochisme sexuel. Elle avait alors planté son mari et ses 4 enfants pour aller vivre sa passion qui lavait laissée dans cet état lamentable au bout de 5 ans. Personne ne la possédait et cétait elle-même qui avait voulu se vendre pour aller au bout de sa destruction, après sêtre fait tatouée ce mot infamant sur le visage, afin de ne pouvoir plus reculer. Si pour les autres esclaves tout était possible, avec elle il était impératif que tout soit possible ! Elle sétait faire bruler le clitoris au fer rouge lannée davant, cela avait pris plusieurs jours de brulures répétées, ce qui lui interdisait tout orgasme et donc tout plaisir.

Un assistant accrocha une corde à chacun des cerclages de ses seins, et elle fut suspendue ainsi, pantin torturé sans défense. Lassistant pris un martinet lesté et la flagella longuement devant un parterre silencieux et fasciné, faisant couler son sang sur chaque partie de sa peau, mais se concentrant plus sur son ventre, son sexe et surtout ses seins qui ne devinrent plus quune plaie. Alors Didier lança les enchères et de façon assez méprisante, à 100 . Lassistance semblait tétanisée, et il fallut du temps pour que les enchères commencent vraiment. Mais elles restèrent modestes, et le lot fut attribué pour seulement 10 000 à sur américain qui faisait assez peur. Son projet pour cette esclave était simple, lenvoyer sur ses chantiers pour servir de jeu à ses équipes et les divertir. Il indiqua quil devait renouveler régulièrement la marchandise car le temps de survie était assez limité, même avec une telle salope désireuse de se donner totalement. Il indiqua que les femmes de son pays étaient très violentes, et faisaient partie de lencadrement de la police militaire, et que torturer une blanche était un plaisir quil leur offrait pour garder leur protection. Il demanda quelle reste ainsi suspendue jusquà ce quil en prenne possession à la fin de la vente. Avant de partir, il décocha un coup de poing violent dans le ventre de son nouvel objet, qui se cabra malgré la suspension, le souffle coupé. Lassistance entendit son cri, un Merci Maitre, puissant mais plein de râles. Elle navait pas fini de le remercier semble-t-il.

Jétais la dernière à être vendue, et je découvris alors être le clou du spectacle.

Didier vint me chercher, toujours sans un regard, et me présenta comme jétais préparée. Lassistance était muette. Puis il lança le scoop, indiquant que javais été un mâle dominant dans une vie antérieure. Un écran se déplia, et il passa en revue les étapes de ma transformation, à ma grande honte : jétais gênée aujourdhui de ce que javais été, ayant pleinement intégré le corps que Maîtresse avait imaginé pour moi. Jaurais aimé quElle soit là, Elle me manquait tellement. La vente serait un peu différente des trois précédentes. Didier avait un prix bloqué, en dessous duquel je ne serais pas vendue. Mais réciproquement, ce prix dépassé, les enchérisseurs avaient le droit de me mettre au défi de ce quils voulaient pour évaluer mes capacités. Il ny avait quune seule limite : ne pas abimer la marchandise si elle était finalement vendue à un autre acheteur. Didier samusait à me faire marcher en tirant sur la laisse, pour faire tinter les clochettes, bouger mon poids sur la langue, montrer comme je me déplaçais naturellement en ballet boots (plus dun an sans discontinuer, cela était devenu naturel pour moi), mais aussi tendre lolisbo en moi qui me défonçait au plus profond. Il montra mes marques fraiches de quelques heures maintenant, il était temps de commencer les enchères, le brouhaha se calma quelque peu. Jétais stressée, mon avenir se dessinait là.

Les enchères fusaient de tous côtés, la liste de ce que javais subi et de ce que jétais capable de faire semblait avoir excité les appétits de nombreuses personnes. La barre des 300 000 fut vite atteinte, deux enchérisseurs ne prenant pas la peine de réfléchir pour augmenter les sommes lun sur lautre. Le premier était le bel homme daffaires qui avait déjà acheté la première femelle. Lautre était la femme voilée, dont la voix métallique mattirait irrésistiblement. Elle semblait déterminée et renchérissait encore plus vite que lautre homme. Cétait tout à fait fascinant de ne pouvoir connaître delle que sa voix, aucune partie de son corps nétait visible, même si ses formes semblaient superbes, dessinées par le tissu quelle portait. Bien loin de lapparence dune dominatrice telle que jaurais pu le faire, mais il est vrai que Maitresse était sublime tout en paraissant une jeune fille sage et dynamique, dans lair du temps. Mais au sadisme sans fond comme javais pu le découvrir.

Didier fit alors une pause, et proposa aux deux protagonistes, sils le souhaitaient, de mimposer une épreuve de leur choix, ce quils firent, bien entendu. La femme mystérieuse fut la première à proposer une épreuve. Une de ses servantes lui apporta une gamelle fermée, quelle fit porter à Didier. La servante lui chuchota à loreille et la grimace de Didier ne passa pas inaperçu. La gamelle contenait les déchets dun dîner vieux de plusieurs jours, macérant dans lurine de la Maitresse mais aussi dans ses propres excréments. Lodeur et laspect étaient insoutenables, du moins pour la salle et Didier, mais javais été dressée pour cela, durement, et javais appris à ne plus penser et à obéir. Me mettant à 4 pattes, après que Maitresse apparue comme par magie me soulageait de mon poids à la langue, et soucieux de donner envie à cette femme, je me précipitais sur la gamelle et engloutis en quelques minutes son contenu immonde. Ce ne fut pas facile avec lanneau en place dans ma bouche et mes bras toujours écartelés en arrière. Pour faire bonne figure, je léchais correctement pour la rendre presque comme lavée. Maitresse me remis mon poids à la langue et je repris ma position. Un peu dégoutée, lassemblée applaudit quand même ma prestation, mais je ne plus savoir si la femme avait été satisfaite.

Lhomme demanda à ce que je montre mes capacités sexuelles, en particulier buccales. Il ordonna que je fasse jouir les autres esclaves devant nous, avec laide de ma bouche. Cétait une demande plutôt agréable, compte tenu des esclaves présents. Maitresse à nouveau menleva mon poids, laissant toujours lanneau en place, mais me détachant les bras. La douleur fut atroce, mais je neus pas le temps dy penser, déjà javançais vers lesclave male dont la queue était toujours aussi tendue. Maitre mavait totalement formée à la fellation, et il ne fallut que quelques instants avant quun râle puissant naccompagne son orgasme. Comme Maitre me limposait, je gardais la semence en bouche attendant un ordre que Maitresse me donna après que jeu montré à toute lassemblée de la décharge de lesclave. Là encore jétais totalement neutre sur le gout, ayant appris à avaler tout ce qui métait donné. Pour la première femelle, la jeune fille était déjà excitée lorsque je lapprochai. Cela me fit penser quelle était peut-être moins victime que je ne pensais. Jétais moins agile avec une femme, Maitresse ne voulant que rarement que je La satisfasse ainsi, même si je métais entrainée sur dautres Maitresses et esclaves femelles. La jeune femme faisait des bonds dès que japprochais trop son clitoris, sans doute très sensible, mais minonda de son excitation, ne faisant que mexciter moi-même davantage. Elle aussi jouit très vite, avec plus dapplaudissements cette fois ci. Mon visage était ruisselant, chacun pouvait voir quelle ne jouait pas du tout.

Pour la dernière esclave, javais compris que son clitoris avait été brulé et quelle ne jouissait plus. Aussi je me demandais comment jallais faire. Je la léchais longuement ma langue la pénétrant profondément. Elle mouillait beaucoup, mais était loin du plaisir que je devais lui donner. Je commençais à paniquer. Je dardais ma langue dans son cul pour essayer de nouvelles sensations, qui semblaient lui plaire, mais ne lamenant pas à cet orgasme quelle navait plus connu depuis des années. Lenchérisseur me permit alors dutiliser mes mains pour la stimuler. Son cul était incroyablement souple, et je menfonçais facilement après avoir enduit mes doigts de sa mouille. Ma main gauche était profondément enfoncé dans son cul, la ramonant, tandis que la droite la fistait par devant. Cette femme était totalement béante. Ses râles se firent plus puissant, jessayais de stimuler la zone supérieure de ce qui avait été son clitoris, et la travaillait ainsi encore près dun quart dheure mais en vain. Du coup lordre me fut donné de cesser. Je me sentais penaud mais tout le monde sentit bien que javais donné mon maximum. Didier proposa en compensation que je lui taille une pipe, ce que je fis en me remettant à genoux. Je le fis jouir très vite et il put confirmer à lassemblée le bon travail que Maitre avait fait sur Son esclave. Je dus rester la bouche pleine de son sperme tandis que les enchères reprenaient.

Les deux clients étaient toujours aussi accroc, neut été ma position desclave, jaurais pu être flattée. Mais jétais surtout heureuse pour Maitresse et Maitre qui avaient tant donné pour moi, heureuse de pouvoir ainsi Leur rendre une partie de ce quIls avaient fait. A la somme astronomique de 500 000 , quils devaient obligatoirement avoir chacun en liquide, Didier proposa aux deux personnes de faire un nouveau test sur moi. Ce fut encore la femme voilées qui la première choisit lépreuve. Elle revint sur ce que javais pu subir comme dressage et désira me faire monter par un poney devant tout le monde. Tout le monde se regarda, mais Maitre apparut en tirant un de ses mâles, que je reconnu sans peine, ayant été souvent son ânesse pour me faire saillir. Toujours en étant apeurée de me faire déchirer. Didier lui demanda si elle voulait que je sois saillie par devant ou par derrière. Jugeant mon vagin très rempli ainsi, elle décida que ce soit par mon anus. Maitresse vint alors derrière moi pour menlever le plug qui navait pas bougé depuis plusieurs semaines. Une caméra filmait lopération de près en envoyant les images sur lécran, car ce fut difficile de le faire bouger, puis de lenlever. Bien entendu jétais tout à fait propre, subissant des cycles de lavements aspirations deux fois par jour, et de toute façon mangeant si peu que je navais guère de rejets.

Je me sentis comme à chaque fois plus nue que jamais sans cette présence envahissante dont jétais accoutumée. Incapable même de resserrer mon petit trou, je réalisai que je devais être tout aussi béante que la seconde esclave de tout à lheure. Maîtresse à nouveau menleva mon poids sur la langue, afin que je puisse mettre lanimal en chaleur en le flattant sur son sexe et ses couilles, puis en le léchant goulument. Les spectateurs nen perdaient pas une miette et virent le pénis grandir très rapidement. Lâne mayant reconnu savait que jétais une femelle pour lui. Lorsquil devint assez dur Maitre me passa un frein à lui mettre, afin que ses 35 cm ne me transpercent pas complètement, je le mis comme dhabitude à 25 cm, car Maitre aimait que lanimal cogne et me défonce un peu quand même et nétait satisfait que lorsque je saignais après laccouplement. Je montais à genoux sur des bottes de foin, tandis que lanimal habitué vint se positionner au-dessus de moi. Je neut guère à le guider, il trouva mon trou béant rapidement, et senfonça avec un son rauque. Je sentis toute la longueur de son membre menvahir, brulant lintérieur de mes intestins. Moi-même jexhalais un profond soupir qui fit rire lassistance, Didier soulignant mon plaisir manifeste. Et cétait vrai que jaimais ces accouplements forts et puissants, jen avais aussi subi dans la chatte et cétait quelque chose de très spécial. Lanimal bougeait rapidement, cognant sur les os de mon bassin, et je sentis monter son plaisir, guettant la douleur quil occasionnerait. Son membre gonflait fortement et jétais à chaque fois déchirée, malgré ma grande souplesse, et cette fois-ci encore, je me sentis mouvrir tandis quil envoyait au fond de mes entrailles sont jus. Cela devait faire longtemps quil ne lavait pas fait, ou alors il avait reçu un traitement particulier, car je me sentis me gonfler malgré la pression impressionnante du corset. Lanimal se retira, la caméra montrant bien mon anus béant, dégoulinant dun mélange de ma mouille, de son jus et du sang de la déchirure. Sans attendre et dressée ainsi, je me mis à genoux pour bien nettoyer lanimal qui mattendait, parcourant tout son sexe flasque maintenant de ma bouche avide. Jétais épuisée, mais cela nétait pas fini.

Ce fut au tour de lhomme de décider quel supplice il voulait me voir endurer. Il regretta de ne pouvoir me battre au sang car la femme qui enchérissait sy opposa, arguant que si elle emportait lenchère, et sa voix indiquait clairement que ce serait le cas, elle voulait la marchandise en bon état. Il hésita longuement, senquit auprès de Maitresse et finalement demanda que je sois remplie dun lavement de trois litres, pimentés, avant dêtre refermée, puis suspendue par mes gros seins. Les prothèses étaient si petites par rapport au reste de la masse que Maitresse lui avait assuré quil ny avait pas de risques. Jétais tout de même inquiet de ce que cela pouvait faire avec tout lacide que Maitresse venait de minjecter, mais je Lui faisais totalement confiance. Ceci étant, ce nest pas comme si le choix mappartenait.

Pour le lavement je reconnus Sa patte, sur le pimenté qui lamusait beaucoup. Après mêtre faite défoncer par lâne, cela allait être pour le moins douloureux. Lhomme choisit que leau soit bouillante, pimentée au Tabasco. Deux flacons furent versés, et jignorais ce que cela procurait avec une telle dose, nayant jamais vu la préparation de Maitresse. Cétait en fait plus du double de ce que jendurais régulièrement. Il fallut monter beaucoup le boc contenant le liquide qui sinsérait dans mes intestins, car il avait du mal à se frayer en chemin. En effet jétais déjà atrocement serrée dans mon corset, remplie du sperme de lâne, et trouver trois litres supplémentaires ne pouvait se faire quau détriment de douleurs épouvantables et de crampes à répétitions. Leau bouillante était plutôt agréable, je préférais à leau glacée qui me donnait des vapeurs et me faisait défaillir. Néanmoins je sentis rapidement la brûlure du piment monter, et malgré le poids remis sur la langue, je me mis à gémir de plus en plus fort. Je demandais pitié, voulant soulager cette terrible brûlure intérieure, mais au contraire elle était à chaque instant plus forte. Cest à moitié inconsciente que je sentis Maitresse me remettre en place mon plug permanent, vissant fortement le bouchon pour que la pression ne le fasse pas senvoler.

Les cordes passées autour de mes seins proéminents les rendirent encore plus indécents, durs comme de la pierre et pointant droits, dans une position totalement surnaturelle. Les clochettes sonnaient à tout va tandis que la tension sur la corde me fit me redresser, puis me mettre sur la pointe des pieds, avant que je ne décolle tout à fait. Jétais tellement sonnée par la douleur et les crampes de mes intestins, que je réalisais à peine que jétais suspendue, ma peau tendue à craquer. Jaimais bien cette sensation des seins bondés très fort, cela les rendait encore plus sensibles. Tandis que je pendais gémissante, Didier repris les enchères et le match entre les deux prétendants. Je ne comprenais pas lhomme qui me semblait plutôt soft avec la jeune esclave, je ne correspondais pas vraiment, mais je nétais pas en position de penser quoi que ce soit. La femme était totalement déterminée, et autant elle avait lâché pour la première esclave, autant tout le monde sentait sa résolution et je désirais plus que tout lui appartenir. Je me sentais si triste de quitter Maitresse qui était tout et resterait toujours tout, mais cette femme semblait de sa trempe. Didier rappela plusieurs fois quils devaient avoir la somme en liquide, ce qui ninterrompit ni lun, ni lautre. Cela semblait sans fin, quand au seuil dun million deuros, lhomme laissa enfin filer le marché. La femme remporta les enchères comme je le souhaitais sans la moindre émotion. Jallais vite comprendre que la somme pour elle ne représentait rien. Elle demanda à ce que je sois détachée et vidée, puisque ces deux supplices avaient été infligés par son concurrent. Une fois mes esprits revenus, je pus entendre alors sa présentation, et ce à quoi elle me destinait. Toute lassemblée était suspendue à ses lèvres, et cest avec une autorité tranquille que nous apprîmes quelle était la fille ainée du prince régnant des Emirats du Golfe, et quen échange dune totale neutralité politique et une absence de revendication autre que financière, un territoire grand comme la Corrèze lui avait été attribué des années auparavant. Elle y était totalement souveraine, seules les lois quelle décidait simposait dans son fief, et elle seule rendait justice, y compris avec la peine de mort. Les hommes étaient totalement interdit sur son territoire et tout contrevenant était immédiatement pendu par ses parties génitales jusquà ce que mort sen suive. Ses sujets étaient ses esclaves, à divers degrés, certaines étant les favorites. Et si chacune était libre de quitter le territoire avant sa majorité, aucune ne le faisait : la vie y était bien plus prolifique, et si la propriétaire était dure, intransigeante et parfois cruelle, elle était toujours juste. Ce qui lavait amené à cette vente, et lavait intéressé avec moi, cest que jétais un être ayant changé de genre, un homme à détruire à encore plus petit feu que les autres. Elle me trouvait superbe et allait achever ma déchéance. Je me demandais comment descendre plus bas. Elle répondit à mon interrogation, indiquant que je serais dorénavant son WC personnel. Où quelle aille je devrais laccompagner, en étant la plus belle et la plus mystique, mon seul usage, en dehors des tortures quelle minfligera, sera de me nourrir et de mabreuver delle et de ses favorites, de façon exclusive et sans fin. Mes seuls plaisirs seront lenclos des ânes où je serais régulièrement saillie pour ma satisfaction sexuelle. Ce nétait pas tout, et là je meffondrais mentalement. WC vivant, je naurais dautre utilisé que dêtre un jouet à exhiber et à torturer. Ma nouvelle Maitresse décida donc que je me ferais enlever les cordes vocales nayant plus à parler, mais aussi retirer toutes les dents afin à la fois quen papier toilette je sois la plus douce possible, mais aussi que les excréments ne restent pas entre mes dents. Jaurais voulu pleurer mais je ne le pouvais plus. Elle fit monter ses deux esclaves, qui, remontant larrière de leur tchador, montrèrent à lassistance les marques dappartenance que toute femme majeure de son enclave portait. Deux lettres occupant toute la hauteur des fesses, profondément enfoncées dans les chairs : P pour princesse et C pour Chania. Les spectateurs purent alors voir que les deux femmes avaient été durement fouettées, les marques zébrant leurs fesses et leurs jambes. Je porterai cette marque au fer rouge dès le retour chez elle. Par contre, contrairement à ses deux favorites, je naurais pas le sexe infibulé comme elle. La Maitresse demanda aux esclaves de soulever lavant du voile et le public découvrit quelles avaient subi une infibulation pharaonique : leurs lèvres avaient été incisées tout le long, avant dêtre cousu ensemble pour cicatriser et fermer totalement leur sexe. Beaucoup dans lassistance découvrait cette pratique, et le brouhaha devint intense. Mon sort était jeté. Cette femme était cruelle avec ses favorites, quen serait-il avec moi ? Elle memmena en laisse, sans même que je puis baiser les semelles de Maîtresse. Je disparaissais cette fois ci pour de bon, son avion nous attendait.

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