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Ce n'était qu'une simple soirée – Chapitre 20




Vanessa traverse le couloir principal et file vers le bureau de mon boss. Je la suis. Le bureau est fermé. Elle rit.

— Dommage

Ressources Humaines, fermées. Comptabilité, fermée. Dernière porte, celle du secrétariat. Vanessa s’amuse :

— J’ai au moins la tenue pour y entrer !

La porte résiste, mais de manière bizarre, il semble y avoir du jeu. Vanessa relâche la poignée puis la réactive. La porte s’ouvre. Nous entrons. Vanessa se promène dans le bureau en faisant claquer ses talons. Elle regarde chacun des trois bureaux avant de revenir vers moi. Elle me suce puis m’entraine vers le bureau du centre de la pièce. Comme dans le bureau de José, je la pénètre alors qu’elle s’est assise sur le bureau :

— Qui occupe ce bureau ?

— Madeleine.

— Excitante ?

— Non. Bientôt à la retraite. Une vieille fille dépassée. Chiante.

Vanessa me repousse.

— Alors changeons de bureau.

Elle s’assied dans le fauteuil de Sylvie.

— Qui travaille là ?

— Sylvie. 48 ans, mariée, trois enfants, un petit-fils. Pas un canon, mais une femme qui a beaucoup de charme. Du chien, comme on dit.

— Parle-moi d’elle alors.

Et elle commence à me sucer.

— Sylvie est l’assistante du Directeur. Des cheveux noirs et courts, une bouche large et excitante, des yeux expressifs. Une belle paire de seins et une cul bien large souvent moulé dans des pantalons de tailleurs, sa tenue la plus fréquente. Rarement en jupe, à mon grand regret.

Vanessa fait une pause dans la fellation.

— Elle t’excite ?

— J’ai envie de la baiser fort, de la défoncer sans ménagement. De baiser sa bouche, son cul puis à nouveau sa bouche. J’aime l’imaginer avec une double vie : rangée ici et très libre au dehors, du genre à le faire à plusieurs, à fréquenter les clubs échangiste, à pratiquer le sado-masochisme

Vanessa se lève et se penche sur le bureau. Je viens derrière et glisse en elle.

— Ferme les yeux, imagine que tu baises Sylvie.

— Tu es sûre ?

— Oui.

L’odeur devient mon principal repère quand je ferme les yeux. Je n’ai alors aucun mal à imaginer que ce sont les hanches de Sylvie que je tiens. J’accélère rapidement. Fortement. Je gifle le cul une fois, puis une autre. Puis je m’agrippe aux hanches et pilonne. Les pieds de Sylvie-Vanessa ne touchent plus le sol. Vanessa gémit, halète, crie. Je sens que je vais jouir. Je me retire et attrape Sylvie-Vanessa par les cheveux. Je la force à s’agenouiller, prends sa tête entre mes mains et baise sa bouche. Elle manque de s’étrangler à plusieurs reprises.

Je ne sais plus qui je baise, je ne sais plus si je baise vraiment ou si je suis en train de rêver. Je relève ma partenaire et l’allonge sur le bureau. Sur le dos. Assis dans le fauteuil, je dévore alternativement la vulve et l’anus de la belle. Mes doigts glissent dans les orifices :

— Ouvre bien ton cul, salope, tu n’auras pas de lubrifiant !

Je pénètre son vagin quelques instants puis m’insère lentement dans son cul.

— Doucement, s’il te plaît, doucement !

Je ne vais pas loin, mais je l’encule à sec. Elle gémit bruyamment. Je m’enfonce jusqu’à la moitié de ma queue.

— Descends de là et suce-moi !

— Tu es sûr que je peux

— Bien sûr que tu peux ! Je suis sûr que tu aimes ça !

Elle s’agenouille et me prend dans sa bouche. J’ai vite envie de jouir. Je la prends à nouveau par les cheveux et me retire de sa bouche.

— Ne bouge pas et ouvre la bouche.

Je me masturbe quelques secondes puis décharge sur son visage et dans sa bouche, dans laquelle je me réintroduis, dès l’éjaculation terminée. Je reprends alors conscience que je viens de baiser Vanessa. Je l’aide à se relever.

— J’ai Je suis désolé. J’ai vraiment pensé que tu étais Sylvie.

— A ce point ?

— Tes cheveux attachés, baiser ici, l’odeur de ce lieu, ces fesses assez similaires en apparence, vos bouches larges

Elle sourit.

— J’espère qu’un jour tu le feras vraiment et qu’elle prendra le même pied que moi.

Je l’enlace. Après un passage aux toilettes, nous revenons à mon bureau. Pour moi, la soirée est terminée. J’aide Vanessa ranger ses affaires. Elle a gardé la jupe et son porte-jarretelles. Elle passe un autre chemisier, toujours sans soutien-gorge. Nous sortons de l’entreprise.

— Tu as déjà mangé ?

— Oui, chez moi, avant de venir.

— On va boire un verre ?

— Avec plaisir.

— Tu veux aller quelque part en particulier ?

— Non, pas vraiment.

Elle réfléchit.

— En fait, si. Au Saint James Pub. On est mercredi et je suis sûr qu’il y a un mec de l’école, Jérémy. Il me fait chier à longueur de journée, me traite comme une gamine. Ça te dérange si on y va en couple ?

— Pas le moins du monde.

Sur le trajet, Vanessa se coiffe et se maquille. Je trouve une place à proximité de l’établissement.

Nous entrons. Il y a peu de monde. Un match de football est diffusé et Vanessa n’a aucun mal à repérer l’individu en question et elle me l’indique. Assis de travers au bar, il regarde effectivement le match. Il semble seul. Nous nous installons derrière lui, entre lui et la porte, c’est parfait. Au moment où il commande une bière, il jette un coup d’il distrait de notre côté et regarde Vanessa. Elle le salue. Durant un instant, Jérémy semble ne pas la reconnaitre, avant de percuter.

— Oh, c’est toi !

Il n’ajoute rien et la dévisage de la tête aux pieds. Comme je suis entre lui et elle, je ris du spectacle. Il ne m’a même pas regardé. Je profite que la serveuse dépose une bière devant lui pour me lever et embrasser la jeune femme. Je glisse ma main sur sa cuisse et remonte suffisamment pour dévoiler les jarretelles à Jérémy que je surveille du coin de l’il. Je pelote discrètement Vanessa et lui pince le téton. Elle rit et m’embrasse de plus belle.

Je me rassieds. Jérémy s’est tourné face au bar et il jette de fréquents coups d’il à Vanessa. Alors que la seconde mi-temps reprend, Vanessa se penche vers moi et murmure :

— Promets moi de jouer le jeu à fond.

Je ne comprends pas mais acquiesce de la tête. Elle se lève et me fait signe de prendre sa place. Elle se rend aux toilettes. En revenant, elle s’assied dos à Jérémy qui s’est à nouveau tourné vers l’écran. Vanessa sourit. Jérémy ne peut pas ne pas l’entendre quand elle me dit :

— Pour aller faire pipi, je dois reconnaitre que c’est bien pratique de ne pas porter de culotte !

Nous rions. Et Jérémy s’est soudainement redressé et il a légèrement tourné la tête pour mieux entendre. Je fais un clin d’il à Vanessa et en rajoute.

— Ce n’est pas la première fois, tu m’as dit.

— Pour sortir, oui. Mais sinon, ça m’arrive en été quand je sors de la piscine. Je remets ma robe sans les dessous. D’ailleurs, toutes mes copines font comme ça.

— Ah oui ? Mais vous rentrez directement alors ?

— Le plus souvent, oui. Il arrive qu’on reste encore une heure ou deux à discuter mais ça ne gêne personne, on a l’habitude !

Nouvel éclat de rire "légèrement" forcé. Jérémy n’en a pas manqué une miette.

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