Bonjour,

Après de longues lectures, j’ai décidé de vous raconter mon histoire. Etant donné que cette derniere est récente, j’ai pris la décision de changer les noms des protagonistes.

Je m’appelle donc Aurélien et j’ai aujourd’hui 18ans. L’histoire que je vais vous raconter remonte à quelques années, j’avais 16 ans.

J’étais en vacances dans la maison familiale en vendée avec toute ma famille dont ma (petite) cousine Lucie de 17 ans à l’époque.

C’était la première fois que je revoyais ma cousine depuis un an et entre sa 15 eme année et sa 16 ème, elle s’était transformée. Finit le garçon manqué qu’elle était, c’est maintenant une fille prenant soin d’elle, avec de longs cheveux brun, fine, de taille moyenne et avec un très jolie visage.

Sans avoir forcement d’attirance envers elle, je remarquais qu’elle avait pris énormément de poitrine en ces quelques mois. Impossible de vous dire le fameux chiffre suivit de la lettre car à 16 ans je ne savais même pas ce que ça voulait dire. Alors approximativement : 90 C.

Nous occupions une chambre au premiere étage composée de deux lits simples. C’était une évidence pour nous il fallait que l’on dorme ensemble. (rien d’ambigu, juste le plaisir de dormir avec sa cousine). Nous avions donc rapproché les lits afin d’en faire un grand lit double.

La première journée fut calme. Plage, gouter, douche, repas puis dodo.

Le soir, nous étions donc tous les deux, allongés l’un à coté de l’autre à discuter de tout et de rien. J’étais vétu d’un simple calecon et Lucie d’une nuisette + une culotte.

Ma cousine aimait quand je lui faisais des messages/papouilles dans le dos.

— « Aurelien, tu peux me faire des papouilles dans le dos s’il te plait ? »

Chose habituelle pour moi, j’acceptais. Je déviais quelques minutes plus tard sur son ventre et par simple curiosité j’allais vers sa poitrine. Nous étions dans le noir et elle se laissa faire, toute aussi curieuse que moi.

Moi : « Ca te fait du bien quand je les touches ? »

Elle : « Pas plus que ça. Il parrait que plus tu masses, plus ils grossissent. »

Je massais donc et nous parlions toujours. De temps en temps elle me prennait la main, me l’enlevait de sa poitrine et me disait « Si tu veux recommencer, masse moi le dos ». Je m’executais puis je re-massais ses seins. Elle faisait de même mais sur mon torse.

Quand soudain, un peu plus tard dans la soirée je decendis vers son ventre. Elle faisait de même sur mon corps puis :

« Si tu veux aller plus loin, laisse moi toucher la tienne »

Très pudique à l’époque je refusais. Elle était toute petite, encore une taille d’enfant. Mais elle insista alors j’ouvris mon caleçon, pris sa main et la déposa sur mon sexe. Elle le parcouru doucement et sensuellement en me demandant si ca me faisait du bien.

Puis elle entama un mouvement de va et viens. Très doucement afin de bien prendre le temps de découvrir mon sexe. J’étais fou, prêt à éjaculé dans sa main.

Je pris donc sa main, l’enleva et m’exclama :

« C’est mon tour maintenant »

Voulant négocié encore quelques minutes avec mon sexe je lui dit qu’elle pourra le retoucher après mais que pour linstant, c’était à moi de découvrir son jardin secret.

J’entamai alors des papouilles sur son ventre en descendant petit à petit, l’air de rien. Arrivé au seuil de la culotte, je pris quelques doigts et commença à caresser sa chatte au dessus du tissus. Elle soupirait un petit peu. (de plaisir bien sur)

Puis je soulevais sa culotte et entra dans cette espace restreint entre peau et tissus.

Je commencais à faire des vas et viens entre son vagin et son clitoris quand elle se mit à pousser des petits cris, signe de plaisir.

La tete un peu arrière, bouche ouverte, elle me demanda d’arrêter.

Je m’arrête immédiatement. Je me rallonge correctement.

Elle enleve sa nuisette et enlève la couete qui me recouvert. Puis ses doigts se replongent doucement sous mon calecon.

Ma cousine se met à me masturber délicatement mais énergiquement. Je sens la jouissance arriver, je commence même à gémir sans le faire expres.

Exitée par mes petits cris elle se met à me lecher mon nombril tout en gémissant elle aussi. Il à fallut que quelques secondes pour m’entendre gémir à haute voie et sortir tout mon jeune sperme. Ce dernier attérit sur mon torse. Ma cousine s’empresse de le touché afin d’en découvrir la texture.

Et la ou habituellement un homme n’est plus exité, j’étais dingue. J’en re-voulais et je n’ai pas du attendre très longtemps.

Elle me proposa un deal :

« Je te propose un truc cousin. Tu me leche la chatte et je te suce après.  Si tu pendant que tu me leches tu me fais atteindre un orgasme, j’avale. Si j’en ai deux, on fera l’amour ».

La suite arrive bientôt..

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