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Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie – Chapitre 7




Nous fûmes réveillés par des coups sur la tente et le bruit de la fermeture éclair :

 – Ohé, Rémi et Emilie ! On se lève, les marmottes !

 La tente s’ouvre brusquement. J’ai encore la tête entre les jambes de Rémi, et réciproquement. Mal réveillée, je ne me dégage pas à temps, mais je vois la tête de Fred, hilare, et des Allemands curieux qui regardent derrière lui. Ils se mettent alors à rire.

 -Ah les Français, hein, les Français

 Fred renchérit sournoisement :

 – Les Françaises, surtout, les Françaises

 Fred relâche la toile de la tente, qui retombe. Rémi murmure : « On s’en fiche, au point où on en est » et il me lèche doucement la chatte, en commençant à me doigter. Il a raison. Surtout qu’aujourd’hui il risque d’y avoir du réseau et que je n’ai toujours pas effacé mes photos sur le téléphone de Fred. Je prends Rémi dans ma bouche. Il m’allonge sur le dos et se positionne au-dessus de ma tête. Son érection matinale accélère les choses, il fait à peine quelques mouvements de bassin qu’il jouit dans ma bouche en haletant bruyamment. Il continue ensuite à m’enfoncer des doigts dans la chatte ; il me faut quelques minutes de plus pour lâcher des gémissements étouffés, la bouche toujours pleine de son sexe et son sperme. Lorsque nous sortons de la tente, tous les Allemands nous regardent en riant, envoient des claques dans le dos de Rémi et essaient de plaisanter avec lui. J’en profite pour ranger en vitesse la tente : plus vite nous serons en route, moins la situation se prolongera.

 Petit déjeuner. Joyeux pour certains. Pour ma part, je me concentrais sur le souvenir de ce que Rémi m’avait fait cette nuit.

 Rando. Les Allemands tenaient à marcher avec nous (« Nous aussi c’est notre dernière étape, c’est plus sympa de la faire ensemble ! »). Ils forçaient le pas (d’habitude ils ne marchaient pas plus vite que nous, mais partaient plus tôt, ce qui expliquait le décalage), peut-être pour nous impressionner ? ils n’arrêtent pas de parler en allemand avec Fred, qui rit beaucoup avec eux.

 Pause de midi, dans une bergerie déserte. Repas. 

 Fred et Thomas se levèrent.

 –  Bon, la balade à plusieurs c’est sympa, mais à ce rythme-là on ne va pas tenir Nous on va prendre de l’avance et partir devant. Rémi, tu viens avec nous. 

 Je blêmis. Non, ils n’allaient pas lui faire quelque chose, pas à lui ?… Rémi contracta les mâchoires et commença à se lever. J’agrippai son bras, il me repoussa doucement en murmurant : « Après tout ce qu’ils t’ont fait, je peux bien prendre ma part ». Les Allemands, très joviaux, me servirent un verre de je ne sais quoi, que je refusai, en regardant le trio s’éloigner. Je ne savais que faire. Comme si, de toute façon, je pouvais quoi que ce soit Si, prévenir les Allemands ! On y avait pensé, avec Rémi ! C’est alors que mon téléphone sonna. Je me glaçai, et finis par répondre.

 Fred au bout du fil.

 – Emilie joliiiie

 –

 – Comme tu vois, il y a pas mal de réseau ici. Alors ne commence pas à raconter des bêtises aux Allemands. Par contre, eux, ils savent que tu es bien chaude, que tu as baisé avec nous trois depuis le début de la rando et que tu es ouverte à tout Il faut dire que certaines photos étaient bien parlantes, avec notamment la vidéo où tu dis vouloir une queue dans ta chatte. Alors quand vous nous retrouverez ce soir, je veux que les Allemands aient des belles histoires à me raconter à ton sujet Et si j’apprends que tu as fait ta mijaurée, ça risque de ne pas très bien se passer pour Rémi-chéri. Un des Allemands est chargé de m’appeler, je lui ai dit « par sécurité », si tu n’étais pas volontaire, pour que je m’assure que personne ne te fasse « ce que tu ne voulais pas », ma petite pute Alors tu voudras tout ce qu’ils te proposeront, sinon je serai au courant.  Tu leur feras prendre des photos, avec ton téléphone, que tu m’enverras : il y a un bon réseau par ici. Je veux voir au moins sept pénétrations.

 – Mais Fred, ils ne sont que cinq

 – Sept. C’est mon chiffre porte-bonheur.

 Fred raccrocha.

  ¨"°ºº°"¨¨"°ºº°"¨ 

Le repas était fini ; nous étions à l’extérieur de la bergerie. Un des Allemands me sourit et me fit signe d’entrer. C’était celui qui parlait le moins bien français. Les trois autres nous rejoignirent à l’intérieur, le cinquième restait à l’extérieur.

 Sans rien me demander, ils commencèrent à me tripoter : je ne sais pas ce que Fred leur avait raconté, mais pour eux il allait de soi que j’étais partante. Ils m’ôtèrent mon short, ma culotte, mais me laissèrent mon débardeur. L’un d’eux me fit un clin d’il : « On sait que tu préfères comme ça ! » Je me forçai à lui sourire en retour. Je leur tendis mon téléphone :

 – Ca ne vous dérange pas, si on prend quelques photos et vidéos ? Mais juste quelques-unes, et seulement avec mon téléphone.

 – Pas de problème !

 Le premier Allemand me plaqua, debout contre lui, mon dos sur son torse, plongeant ses mains dans mon décolleté. Il se mit à malaxer mes seins en déformant mon débardeur et en murmurant :

 –  C’est bon, tu sais, ton ami avais raison, tu es très chaude, ça me plait beaucoup, tu es très belle aussi il nous a dit que tu en avais très envie de nous Nous aussi on a envie de toi 

 En même temps, il pinçait mes tétons et les tirait.

 – Il nous a dit que tu aimais ça aussi C’est vrai ?…

 – Je oui, c’est vrai

 Pendant ce temps, les autres s’étaient débarrassés de leurs shorts et se masturbaient en me regardant. Le premier Allemand abandonna un de mes seins pour me mettre un doigt dans la chatte. Le deuxième Allemand avança ; il avait mis un préservatif et me regardait avec gourmandise.

— Tu veux bien ? Tu es d’accord ?

— Oui

— Il parait que tu aimes bien être debout, ou allongée sur le ventre ?

— Comme tu veux

— Comme ça, ça me va.

— Il se colla à moi, fléchit les genoux et pénétra entre mes jambes écartées. L’Allemand derrière moi continuait à me peloter et servait de butoir. L’Allemand qui me baisait y allait avec force, me plaquant à chaque fois contre le premier Allemand.

— Ecarte un peu plus les jambes, s’il te plait, tu es un peu serrée

— J’écartai donc davantage les jambes. Il se mit à haleter et à me besogner vigoureusement. Les deux autres se branlaient toujours. Il finit par jouir en grognant. Il se retira, me fit une bise et me dit

— Merci, c’était bon avec toi

— .

— Le troisième Allemand se présenta et me pénétra de la même façon, sans grande passion, mais avec plaisir. Celui contre lequel je m’appuyais venait de passer une main entre lui et moi. Je sentis alors sa queue dénudée contre mes fesses. Elle était déjà bien en érection. Il commença à la frotter contre moi, tandis que l’autre continuait à me baiser, à priori loin de jouir.

— Et ça, tu veux bien ?

— Je Oui

— Très bien. Ca me plait beaucoup, tu sais ! Tu me plais beaucoup aussi.

— Il décolla son bassin, fit tout un trafic (je devinais un préservatif enfilé) et pointa son gland sur mon anus. Les deux autres Allemands, celui qui avait déjà joui et celui qui se masturbait, changèrent de position pour mieux voir. Mon enculeur appuya. Après la double pénétration de Fred et Thomas et les deux sodomies de Rémi, il entra sans problème. Il dit quelque chose en allemand ; les autres rigolèrent, l’encourageant manifestement, et me firent de grands sourires, pouce en haut.

— Il dit que tu n’es pas très serrée, il aime bien ça, avec son gros engin il a toujours peur de faire mal

— Son

— gros engin

— me pilonnait méthodiquement le cul, tandis que l’autre Allemand m’enfilait la chatte. J’étais ballottée entre les deux, qui s’étaient synchronisés pour me pénétrer en rythme. A chaque fois un grand coup pour me pénétrer, qui me prenait en sandwich serré entre les deux et me soulevait au-dessus du sol (mes pieds étaient à une bonne dizaine de centimètres au-dessus), un retrait lent pendant lequel, manquant d’appui, je tombais presque même si tous les deux me tenaient, puis à nouveau un grand coup qui me remplissait totalement : ils étaient bien plus grands que moi, je me retrouvais à chaque fois empalée sur leurs deux pénis, en hauteur. Le dernier Allemand prit ma main et la posa sur son pénis, me faisant le masturber. Celui qui me fourrait la chatte finit par soulever mes jambes et les passer autour de sa taille. Mon enculeur me saisit sous les fesses pour m’imprimer le bon rythme.

— Ils accélérèrent tous.

— Je remarquai alors que l’Allemand qui avait joui était sorti ; le dernier, le guetteur, avait pris sa place. Il saisit une vieille chaise dans la bergerie et s’avança vers moi, bite tendue. Je ne comprenais rien à ce qu’il fabriquait. Il mit la chaise à mes côtés et monta dessus. Il me présenta alors sa queue. J’ouvris la bouche. L’un des Allemands grogna quelque chose. Je reconnus « française

dans ce qu’il dit. Les autres marmonnèrent une approbation, mais haletaient trop pour vraiment répondre, même celui que je branlais. J’étais debout, prise dans une double pénétration de plus en plus rapide, en train de branler un mec et d’en sucer un autre. J’essayais de m’appliquer, pour qu’ils finissent vite. Etonnamment, le premier à jouir fut l’Allemand que j’avais dans ma bouche : il devait s’être trop excité à imaginer ses potes me baisant à l’intérieur. Il se retira précipitamment et éjacula en partie sur l’Allemand qui me fourrait la chatte. Ce dernier l’insulta (manifestement) et se planta violemment en moi. A défaut de sentir son sperme gicler, je perçus les contractions de sa queue, immédiatement relayé par celui qui m’enculait.

 Celui que je masturbais ne venait toujours pas. Il repoussa brutalement ses amis et me fis m’allonger sur le ventre, m’écarta rapidement les jambes et pénétra ma chatte. Il m’écrasait sur le sol en terre battue. Il haleta plus fort, en donnant de grands coups de reins, au point de ressortir complètement avant de me repénétrer. Dans un de ces mouvements exagérés, par erreur il m’encula. Je ne pus m’empêcher de crier, de surprise plus que de douleur. Il resta alors planté en moi en marmonnant quelque chose et en jouissant tout ce qu’il pouvait. Il pesait de tout son poids, m’enfonçant sa queue (pas très grosse, mais franchement longue) au maximum.

 Il finit par se retirer.

 Ils me relevèrent avec douceur, en souriant.

 – C’est rare, une femme comme toi, c’est vraiment de la chance pour nous ! On a beaucoup aimé ! On espère que tu as aimé aussi ?

 – Oui, bien sûr, c’était très bien

 L’un d’eux utilisa son tee-shirt pour essuyer le sperme dont m’avait un peu aspergée celui que je suçais, et la transpiration. Il s’attarda sur mes seins, qu’il finit par venir lécher avec douceur, en mordillant les tétons. Ils me prirent tous dans leurs bras, à tour de rôle, en me remerciant, en me disant qu’ils avaient aimé, que j’étais gentille. On ne peut pas dire que j’aie vraiment apprécié le moment, mais leur délicatesse me touchait. Ils ne me traitaient pas comme un objet, eux, ils m’avaient demandé plusieurs fois si c’était bien ce que je voulais et ils pensaient que c’était mon idée

 Je regardais les photos et les quelques vidéos qu’ils avaient prises à tour de rôle. Heureusement que celui que j’avais masturbé avait fini par me pénétrer, on arrivait à 5 pénétrations au total. Peut-être que Fred s’en contenterait

 Nous nous rhabillâmes et reprîmes la balade. Les Allemands riaient entre eux, me prenaient parfois le bras. Au cours des quelques pauses que nous fîmes, certains vinrent m’embrasser, me caresser ou me lécher les seins par le décolleté déformé de mon débardeur (il était maintenant tellement plongeant qu’on voyait presque les tétons), me mettre un doigt dans la chatte et me masturber avec douceur. Lorsque l’un d’eux vint me présenter sa queue avec la désapprobation des autres, (manifestement, il était convenu que les pénétrations se limitaient à la bergerie), je donnais quelques coups de langue malgré tout et le suçai une petite minute. Bêtement, j’oubliai de prendre une photo, pour valider cette sixième pénétration.

 Lors de la dernière pause, je m’éloignai pour trouver un coin discret. Je m’aperçus vite que l’Allemand qui avait fini en dernier dans la bergerie me suivait. Il sortit sa queue en vitesse, enfilant un préservatif.

 –  J’ai beaucoup aimé la fin, dans quand je suis allé dans l’autre trou, anal, mais je n’ai pas pu en profiter longtemps S’il te plait 

 Je lui tendis mon téléphone, me mis face à un arbre, m’appuyai dessus et lui tendis mes fesses (j’avais déjà baissé mon short pour ma pause-pipi). Il m’encula rapidement : j’étais encore bien élargie. Il s’activa, vite, en me tenant par les hanches, sans vraiment se soucier de moi. En moins d’une minute, je le sentis prêt, vu ses mouvements accélérés. Je contractai mes fesses. Il jouit tout de suite, dans un cri rauque. Il se retira rapidement et remit son short.

 –  Merci. C’était vraiment bon. On ne dira rien aux autres. 

 Je relevai mon short et regardai les quelques photos qu’il avait prises : c’était parfait, on voyait sa queue qui me sodomisait, et on voyait bien que ce n’était pas dans la bergerie : Fred verrait que ce n’était pas la même sodomie. Je me dépêchai d’envoyer les photos exigées, une vidéo qui montrait bien la double pénétration et celle où l’Allemand qui me baisait au sol me sodomisait par erreur. Fred allait aimer celle-là, sans doute, surtout le sursaut de mes jambes et mon cri J’espérais qu’il se montrerait moins brutal avec moi le soir, en me voyant obéissante, même s’il n’y avait que six pénétrations.

 La rando se termina sans autre écart.

  ¨"°ºº°"¨¨"°ºº°"¨ 

Lorsque nous arrivâmes à Vizzavone, Rémi, Fred et Thomas nous attendaient au camping. Le réseau téléphonique était excellent. Rémi vint rapidement me voir et m’entraina à l’écart. Je lui expliquai rapidement ce qui s’était passé en lui disant, d’un air las, qu’il allait devoir bien s’activer cette nuit pour moi Je crois qu’il ne savait plus que dire, face à cette situation qui se prolongeait et empirait. Je repris : « Laisse-moi gérer. J’ai une idée, et tu peux m’aider Mais pour le coup, il va vraiment falloir y mettre du tien, comme moi »

 Nous rejoignîmes les autres. Les Allemands proposèrent un resto pour fêter la fin de la rando et « la journée » (gros clin d’yeux à mon égard). J’acceptais. Ils passèrent le repas à parler à moitié français, à moitié allemand, à m’empoigner les seins (nous étions dans une alcôve, plutôt à l’abri des regards). 

 L’un d’eux (celui que j’avais sucé) souleva mon débardeur pour me lécher et me mordiller, en me mettant un doigt dans le cul (que je sentis à peine), puis m’assit sur lui en riant et en continuant à malaxer ma poitrine. Tandis que les autres continuaient à discuter et à un peu me peloter, il sortit discrètement sa bite, enfila je ne sais comment un préservatif (ils tenaient tous beaucoup à la capote, je ne pouvais que les approuver) et me baissa maladroitement mon short. Il rabattit la nappe, assez longue, sur nous, pour cacher ma nudité. Fred nous fixait en souriant. Il leva les deux mains en m’indiquant des doigts « sept ». Je me résignai. L’Allemand me chuchota que les autres lui avaient dit que c’était très bien dans mon sexe et que c’est ce qu’il voulait, si j’étais d’accord. Je lui souris en réponse. 

 Il finit, tant bien que mal, par m’insérer sa queue en érection dans la chatte. Il resta planté en moi sans bouger, me faisant juste remuer d’un côté ou de l’autre, en apparence pour mieux me peloter, en fait pour me faire bouger sur sa queue. Il avait aussi attrapé un des couteaux sur la table (ils avaient un manche épais, rond et long) et me l’avait à moitié enfoncé dans l’anus. Il murmura : « Comme cet après-midi, petite Française, devant et derrière en même temps c’est bon, on a vu que tu aimais ça, hein ? Ton ami a dit que tu préférais même le sexe anal Mais moi je préfère dans ton sexe. » Il finit par éjaculer en riant, m’ôter le manche du couteau et me rassit à côté de lui. Je tentai de remonter mon short aussi discrètement que possible, mais rien n’avait échappé à Fred, Thomas, ni Rémi, assez pâle. 

 Ils nous offrirent même le Champagne. A la fin du repas, alors que la nuit commençait à tomber, nous nous levâmes et Fred se rapprocha de moi.

 – Il parait que tu t’es bien comportée, cet après-midi, et je t’ai vue très appliquée pendant le repas. Les photos que tu m’as envoyées sont très réussies ; les vidéos franchement bandantes. Tu te fais vraiment défoncer à mort dessus. Je dois dire que je suis plutôt surpris, ça fait plaisir de te savoir aussi généreuse Plus qu’un petit effort avant que j’efface les photos.

 Je me collai alors à lui et lui léchai les lèvres puis l’embrassai en frottant ma poitrine contre son torse, à sa grande surprise. Il commença alors à me dévorer la bouche en saisissant et malaxant mes fesses. Sifflets admiratifs des Allemands. Je collai mon bassin contre le sien et murmurai :

 – Ecoute Franchement, ils m’ont épuisée, ce soir je n’arriverai pas à tenir le coup pour quelque chose d’aussi exigeant Mais je sais qu’il faut finir ce que j’ai commencé pour avoir les photos Est-ce que tu accepterais que ce soit juste avec toi, pas les Allemands ni Thomas, dans ta tente ?

 – Hum Thomas ne va pas être content Il voulait ton cul

 – Tu préfères que ce soit lui plutôt que toi ?

 Il rit.

 – Non. D’accord alors, entendu, toi et moi. Je te rejoins plus tard, va dans ma tente et tiens-toi prête.

 Il me laissa, en me faisant signe d’y aller. Je quittai le restaurant et me rendis sous sa tente. En partant, j’entendis à peine Thomas commencer à râler alors que Fred lui expliquait la situation. Je souris.

 J’arrivai à la tente. Fred et Thomas avaient choisi un coin totalement à l’écart. Pas difficile, dans ce camping immense en partie dans une forêt de chênes : malgré la haute saison, les coins les plus à l’extérieur étaient vides. La disposition en terrasses et des haies de buissons garantissaient une bonne isolation sonore. Ils s’étaient assuré que personne n’entendrait mes gémissements, supplications et cris, à part les Allemands qui avaient installé leurs tentes près des nôtres.

 Je me déshabillai, à part le débardeur, comme d’habitude. Je m’allongeai sur le ventre, jambes écartées : Fred serait sans doute content de me trouver dans cette position soumise, il se montrerait peut-être plus clément. Je me doigtai un peu, pour me lubrifier à l’avance : je me souvenais, la veille Fred avait dit à Thomas qu’il voulait prendre ma bouche et ma chatte. 

 J’étais en train de m’activer sur ma main, lorsque la toile de tente s’ouvrit dans mon dos puis se referma. J’arrêtai de me masturber et soulevai mon bassin pour tendre les fesses vers l’arrivant. Bruit de vêtements qu’on baisse, sans un mot. Un corps qui se plaque contre le mien et prend position entre mes jambes. Un pénis à l’entrée de mon sexe et une poussée entre mes cuisses ; sous la pénétration je ne pus m’empêcher de gémir.

 Fred commença à s’activer, son pénis déjà très dur. C’était étrange, il me semblait qu’il était un peu moins épais que les autres fois, et

 – Chut, ma puce, pas de bruit

 Ce n’était pas Fred mais Rémi. Il me baisait rapidement, en haletant légèrement.

 – J’ai réussi à m’éclipser avant les autres, on a un petit quart d’heure. Je voulais qu’on se fasse un peu plaisir ensemble, la nuit va être difficile pour toi. Pour moi aussi, vu ce qu’on a prévu pour effacer les photos

 J’avais en effet fini par lui parler de mon plan, qui ne l’enchantait vraiment pas. Mais depuis le début de la rando je laissais Fred et Thomas me pénétrer dans tous les sens, là j’avais besoin de son aide. Il allait falloir, quand Fred serait avec moi, qu’il fasse diversion pour que je reste seule dans la tente avec le téléphone de Fred.

 – Ca te soulage un peu, ma puce chérie ? Ma bite pour te détendre, avant celle de Fred ?

 – Rémi

 – Ma puce Tu es toujours aussi bonne, désolé de ne pas pouvoir te faire du bien plus longtemps. Tu m’excites, je vais venir

 Je sentis sa queue se tendre davantage.

 – Pas dans mon sexe ni sur moi, s’il te plait, si Fred s’en rend compte il sera furieux

 Rémi accéléra, m’écrasant davantage à chaque insertion en ahanant.

 – Dommage, j’aime tellement décharger dans ta chatte !

 Mais il se retira, me retourna et força mes lèvres pour éjaculer immédiatement dans ma bouche. Il plaqua son ventre sur mon visage en gémissant sourdement, au rythme des pulsations de sa queue qui m’étouffait. Il resta ensuite un peu, murmurant :

 – Avale bien, ma puce, tu as raison, il ne faut pas de traces pour le retour de Fred.

 Je déglutis plusieurs fois : il avait abondamment giclé.

 Rémi se retira lentement, par étapes : il attendait que je lèche le sperme qui menaçait de goutter de sa queue.

 Des bruits de pas se firent entendre à l’extérieur. 

 – Merde, ils reviennent bien plus vite que prévu ! Heureusement que tu m’as fait jouir rapidement !

 Rémi m’embrassa furtivement, remonta son short et sortit très vite de la tente. Je me remis sur le ventre, jambes écartées, finissant de lécher le sperme qui avait coulé au bord de mes lèvres. Je me masturbai à nouveau, rapidement : la pénétration de Rémi, trop rapide, m’avait peu lubrifiée.

 A nouveau, la tente s’ouvrit dans mon dos, puis se referma. A nouveau, un froissement de tissu indiquant des vêtements retirés.

 Une main m’écartant les fesses, deux doigts dans mon cul. Je gémis un peu. Ils ne bougeaient pas. Je compris ce que voulait Fred : je me mis à remuer le bassin et les fis pénétrer puis ressortir, plusieurs fois, m’empalant sur les doigts serrés.

 Ils se retirèrent. Sachant à quoi m’attendre, j’écartai mes fesses à deux mains, tâchant d’élargir mon anus. Deux jambes vinrent alors autour des miennes, comme lorsque Fred m’avait sodomisée la première fois, puis une queue m’encula brutalement : le gland et la hampe, d’une seule poussée. Je criai de surprise et tentai de me débattre : ce n’était pas Fred je connaissais désormais son pénis, très épais ; celui-ci était fin. Mais on me maintint au sol d’une main, en m’enfonçant sans ménagement la queue longue et étroite dans l’anus et en me traitant de pute. Je criai à nouveau, de peur cette fois : c’était la voix et la queue de Thomas

 – Alors comme ça tu voulais pas de moi, salope T’inquiète, ton Fred va arriver, une fois qu’il aura fini d’échanger avec les Allemands les histoires où tu te fais baiser par tous les trous Moi je préfère la réalité aux histoires

 Il me besognait violemment le cul. Tous mes efforts pour me dégager étaient vains, il pesait de tout son poids sur moi. Je sentais peu sa queue, fine, dans mon anus élargi par les journées précédentes. Il s’en rendit compte.

 – Je m’en doutais, avec la moitié de la Corse qui t’est passée dans le cul, c’est devenu un vrai garage D’ailleurs je viens de te voir faire, tu tends les fesses et tu te laisses mettre par le premier qui entre dans la tente, sans même savoir qui c’est ! Mais t’en fais pas ma belle, j’ai quelque chose que tu vas bien sentir ! Et arrête de bouger. J’ai le téléphone de Fred avec moi, tu sais ce que ça veut dire.

 Je m’immobilisai alors et le laissai faire. Je tâchai de contracter mon anus à chaque retrait, espérant le faire jouir plus vite.

 – Hum, c’est bon quand tu te fais étroite comme ça, petite salope ! Tu aimes vraiment te faire enculer, hein

  Il me tringla le cul encore quelques minutes puis se retira sans avoir éjaculé, mit du lubrifiant sur mon anus (ce qui ne me rassura pas) et remplaça sa queue par un objet, un peu moins large qu’une bite mais très dur et froid.

 – Allez, maintenant tu vas prendre ça

 Il commença à me l’enfoncer. Je compris rapidement que c’était une bouteille de vin, côté goulot ; je recommençai à me débattre.

 – Putain mais ça va pas, je vais jamais arriver à prendre ça, en plus c’est dangereux il paraît ! Enlève-la moi ! Reviens plutôt me mettre ta queue !

 – T’inquiète, il y a toujours le bouchon et elle est pleine, elle ne risque pas de casser ni de rester bloquée par l’aspiration

 Il continua de l’enfoncer, en rajoutant du lubrifiant au fur-et-à-mesure. Le goulot s’évasait et m’élargissait douloureusement l’anus. 

 – Je te rappelle qu’on a de plus en plus de photos et de vidéos de toi, avec presque dix personnes différentes qui te baisent dans tous les sens alors sois bien gentille, veux-tu ?

 Thomas s’était assis sur mes jambes légèrement écartées, qu’il maintenait plaquées au sol. Résignée, j’écartais mes fesses de mes mains pour faciliter l’insertion et haletais pour me détendre, comme me l’avait montré Rémi. Cette sodomie extrême provoquait des sensations inédites, que j’appréciais presque, mais la poussée impatiente de Thomas ne me laissait pas en paix. Dès que je m’étais habituée à une certaine largeur, davantage de bouteille s’enfonçait, me dilatant un peu plus. Je commençai à gémir fort. Je ne pouvais m’empêcher d’aimer la sodomie en soi, d’autant que le goulot s’enfonçant profondément en moi appuyait sur la partie interne de mon clitoris, mais là c’était trop gros

 – Ouaaaaais, vas-y, tu la prends bien

 Alors que jusque-là il me l’enfonçait très progressivement, manifestement attentif à ne pas faire de dégâts (la zone est très sensible aux déchirements, à l’intérieur, tant que le rectum n’a pas été dépassé) il poussa, d’un petit coup sec, la bouteille d’au moins 2 centimètres dans mon cul. Je hurlai longuement. La bouteille m’agrandissait plus que la double sodomie. Je le suppliai d’arrêter là, de ne pas aller plus loin. Il se mit à rire et attrapa mon téléphone, que j’avais pris avec moi.

 – Attends, on fait une pause, c’est un grand moment, cette sodo J’avais déjà fait avec des bouteilles de bières, notamment en boite avec une fille trop bourrée pour arriver à l’enlever, mais jamais rien d’aussi gros. Je te prends quelques photos-souvenirs 

 Il prenait manifestement des photos. Puis il arrêta de pousser et commença un lent mouvement de rotation, qui me fit tout d’abord gémir, plus fort, puis crier par à-coups. Je m’agrippai au duvet en-dessous, en essayant d’écarter davantage les jambes.

 – Huuuum oui vas-y, crie ton plaisir de bonne pute, ça va bien rendre sur la vidéo, tu verras, c’est génial de te voir comme ça Ca fait trop envie, si j’avais une autre bouteille je me l’enfilerais bien pour voir ce que ça fait.

 La tente s’ouvrit brusquement, alors que je criais et gémissais désormais en continu, ne parvenant plus à faire la part du plaisir et de la douleur.

 – Putain Thomas, je vais te défoncer.

 Fred, qui venait d’arriver et avait vu d’emblée la situation, poussa Thomas sur le côté puis me retira lentement la bouteille. Il plaqua alors Thomas qui se débattait sur le ventre et commença à lui enfoncer la bouteille.

 – Tu es un vrai connard, je voulais l’enculer et maintenant tu me l’as élargie, salaud T’es pas capable de laisser les autres profiter un peu.

 Il poussa dans son cul jusqu’à ce que les gémissements et excuses de Thomas deviennent des cris. Il l’enfonça encore un peu, en lui écartant les fesses. Thomas multipliait les excuses balbutiantes en gémissant et en disant qu’il préférait la queue de Fred, qu’il voulait bien une sodomie mais que là c’était trop gros pour lui (manifestement, la souffrance et le plaisir le disputait dans ses cris). Fred le saisit ensuite par la taille en l’empêchant d’enlever la bouteille qui le sodomisait presque aussi profond que moi précédemment, le traina et le jeta dehors, tel quel, puis il referma la tente sur nous.

 – Hum, désolé pour ça, ce gars était frustré de ne pas encore t’avoir enculée seul En tout cas, joli, la bouteille ! Tu m’étonnes qu’on entende tes cris de loin !

 Dehors, Thomas pleurnichait, s’enlevant sans doute la bouteille.

  ¨"°ºº°"¨¨"°ºº°"¨ 

Fred me massa délicatement l’anus avec le lubrifiant qu’avait laissé Thomas et me laissa souffler un moment. J’entendais les Allemands dehors qui était arrivés du restaurant, complètement bourrés : ils riraient et chantaient.

 – Ils sont bien beurrés Tant mieux, ils ne nous remarqueront pas, avec le boucan qu’ils font, et je compte bien te faire crier, Emilie jolie ! Bon, allez, à nous deux maintenant Il emmerde, Thomas, moi qui voulais commencer par t’enculer !

 Il resta habillé, baissa juste son short, me fit asseoir, souleva son tee-shirt et me fourra sa queue déjà à moitié bandée dans la bouche. Visiblement, l’épisode de la bouteille ne lui avait pas déplu. Je le léchai et le suçai, jusqu’à ce qu’il durcisse davantage. En même temps, il pétrissait mes seins, d’abord sur le débardeur déjà bien déformé par les Allemands, doucement, puis il baissa les bretelles et les empoigna violemment. Au bout de quelques minutes à coulisser dans ma bouche et à me torturer les seins il avait une belle érection, j’avais désormais du mal à prendre sa queue devenue très large, même en écartant les lèvres au maximum. 

 – Tu suces vraiment bien, Emilie jolie Tu l’aimes, ma queue dans ta bouche, hein ?…

 Je ne pus que gémir vaguement en réponse.

 Il se retira et se masturba un peu entre mes seins, me faisant le sucer rapidement lorsque son gland arrivait au niveau de mon menton. Ensuite il m’allongea, sur le dos, étonnamment. Il m’écarta les jambes, releva mes genoux sur mes épaules et me pénétra d’un coup. Je haletai sous la poussée et il grogna de contentement.

 – Putain, franchement depuis que Thomas m’a dit comment tu l’avais sucé, et depuis la vidéo où il baise ta chatte, j’en rêve C’est clair que c’est aussi bon que dans ton cul, j’aurais dû commencer par là

 Il me besognait fort, me bourrant la chatte de sa grosse queue. Je gémissais à chaque insertion, tellement il m’élargissait. Je ne pouvais, en même temps, empêcher le plaisir de monter lors des frottements de son bas-ventre contre mon clitoris.

 – Hum tu aimes, oui, tu aimes te soumettre à ma bite Tu aimes te laisser fourrer la chatte

 Il s’excitait de plus en plus entre mes jambes, en haletant. Il avait à moitié déchiré mon débardeur en passant ses mains à l’intérieur pour triturer mes seins. Il pinçait fort les tétons, donnait des claques sur les lobes, griffait, malaxait brutalement. Il finit par se retirer et me tourner sur le ventre, jambes largement écartées, à sa merci. Mon propre poids sur mes seins douloureux m’arracha un cri. Il m’enfila à nouveau d’un coup sec, au même rythme. Je continuais à gémir doucement, en continu maintenant. Mais il fallait penser au téléphone. Je mordis mes lèvres et tentai de me maîtriser.

 – S’il te plait Fred

 – Quoi ?

 – Tu pourrais pendant que tu me bourres si bien la chatte avec ta grosse bite me remontrer la vidéo celle où tu me sodomises pour que j’imagine ahhh c’est bon ta queue dans mon cul en même temps, en train de m’élargir je veux m’entendre, aussi oh continue, continue

 – Oh putain, ils t’ont vraiment bien chauffée, les Allemands ! Et la bouteille de Thomas aussi ! Attends, je cherche ça.

 En continuant à me limer la chatte, il sortit son téléphone, le déverrouilla, le cala sur des habits devant nous et lança la vidéo.

 – Voilà C’est bon, cette vidéo, hein ? On voit bien ma bite dans ton cul, qui rentre et qui sort, et toi qui ne bouges pas en dessous, bien consentante, bien soumise, et ensuite acceptant deux bonnes queues qui t’enculent Tu gémis, comme maintenant Franchement, c’est du vrai bon porno jusqu’à tes cris quand on y va un peu fort J’adore la façon dont tu acceptes tout et les bruits que tu fais. Et le son mouillé de ton cul quand je le baise, tu l’entends ? Même quand tu hurles, il est là, en fond… La nuit dernière je me suis fait plaisir en revoyant ça, avec Thomas. Thomas aime beaucoup la sodomie, tu sais On n’avait jamais fait une double anale avec une fille consciente, juste avec des meufs complètement out. Tu as vraiment assuré, ma belle

 Il me fourrait avec brutalité, rien avoir avec la prévenance des Allemands. Je gémissais toujours, de plus en plus fort, écho de  mes gémissements sur la vidéo. Il m’attrapa aux épaules :

 – Bonne petite pute Bien ouverte, pour qui veut la bourrer Tu as bien pris, hein toute la journée, toute la rando Même ton pote Rémi t’a bien baisée, le salaud. Il a fait son dégoûté quand on t’a enculée, mais il en a bien profité lui aussi, je parie qu’il t’a planté sa bite dans le cul après nous, en mode « ma pauvre chérie, laisse-moi te faire du bien » et qu’il s’est bien soulagé en toi. Allez profite ma belle, c’est la fin des vacances, après tu n’auras plus que ton Mathias, ce sera morne

 Il accéléra en grognant. Au moment où je crus qu’il allait jouir, il se retira et m’encula aussi sec, forçant mon anus déjà bien dilaté en m’enfonçant son gland et sa queue d’un coup. Je criai. 

 – Oui, vas-y, je veux t’entendre crier, ma jolie pute, je veux que tu hurles sous ma queue

 Il me pilonna le cul sans tenir compte de mes cris à peine étouffés, mes supplications (« S’il te plait ne m’encule pas aussi fort, ça fait mal après la bouteille ») et mes réflexes de tortillement pour lui échapper. La toile de la tente se releva brièvement, j’entendis des rires et des mots en allemand. Fred se poussa un peu. J’entendis un Allemand s’installer à genoux près de moi, me tripoter les fesses. Puis, très vite, un liquide chaud gicla sur mes épaules et en partie dans mes cheveux : il devait se masturber et venait d’éjaculer sur moi. Il tourna ma tête et me présenta sa queue pour que je suce et lèche ce qu’il restait, puis ressortit. 

 Je criai sans retenue encore plusieurs minutes en le suppliant de jouir vite, avant que Fred me remplisse de foutre. Il éjacula longtemps, en me refourrant sa queue bien loin dans le cul à chaque giclée. Il s’affaissa alors, haletant, sur moi. Puis il se retira et pressa mes fesses, mon ventre dans tous les sens pour voir le sperme s’en écouler et glisser sur mes fesses et mes cuisses. Il me l’étala, remontant jusqu’à ma chatte et dans mon dos.

 – Voilà Les chiens pissent sur mon territoire, moi je jute, c’est plus classe Tu es à moi Vraiment trop bon T’es vraiment super soumise, Emilie, tu nous laisses tout faire sans être ivre ni rien : c’est la première fois que je vois ça. Alors que tout le monde t’a élargi le cul ces derniers jours, même Rémi je suis sûr, tu restes relativement étroite. Je devrais garder tes photos pour qu’on se revoie. Ou au moins pour me branler dessus, tu me fais avoir de ces éjaculations de folie

 Je restai allongée sur le ventre, jambes écartées, haletante, gluante, gémissant encore faiblement. Au bruit que j’entendais derrière, Fred se masturbait, espérant une nouvelle érection. La vidéo tournait en boucle sous mes yeux, remontrant ma sodomie puis double sodomie, avec le mouvement hypnotique des deux queues alternant dans mon cul. 

  ¨"°ºº°"¨¨"°ºº°"¨ Fred, à moitié bandé, se repositionnait au-dessus de moi lorsque des cris parvinrent de l’extérieur, ainsi que de gros rires. C’était les Allemands.

 – Fred ! Fred ! Freeeeeed ! Viens voir tes amis ! Ton ami Thomas et ton ami Rémi !

 Fred ne prit même pas la peine d’enfiler un slip (il était manifestement pas mal bourré, pas assez pour ne pas bander, mais trop pour réfléchir clairement). Il sortit de la tente, la bite à l’air. Je passai ma tête par l’ouverture.

 – Ouaaaaah, trop bon ça !! Si j’avais su !!

 Rémi était à genoux devant Thomas. En train de le sucer, avec application. Thomas avait saisi sa tête et lui pilonnait la bouche. Rémi se laissait faire, yeux fermés, essayant manifestement de ne pas étouffer. Les mouvements de Thomas le soulevaient par moment vers le haut. Je serrai les poings. Oui, lui aussi, il faisait le nécessaire. Fred s’esclaffait, envoyait des bourrades aux Allemands, encourageait les deux. Il s’apprêtait à revenir lorsqu’un Allemand vint de se placer derrière Rémi et le fit mettre à quatre pattes ; il sortit sa bite, enfila un préservatif et se positionna sur ses fesses, en se masturbant. Fred, intéressé, resta dehors, caressant machinalement sa queue. Je vis Rémi, suffocant sur la queue de Thomas qui s’était agenouillé pour continuer à se faire sucer, écarter ses fesses à deux mains.

 Je rentrai en vitesse sous la tente et saisis le téléphone. J’effaçai toutes les vidéos, toutes les photos, les miennes, les autres J’avais récupéré ce que je voulais sur mon propre téléphone. Mais restait la crainte que cette ordure ait un dossier caché ou ait mis des images sur un dossier dans le cloud. Il aurait fallu prendre le téléphone lui-même. C’était un petit iPhone, avec un de ces minuscules écrans. Fred était bourré, mais peut-être pas au point de ne pas remarquer la disparition de son téléphone.

 Au point où j’en étais Je le mis en mode silencieux, et trouvai où le cacher. 

 Dehors, ça rigolait toujours ; Fred interpelait quelqu’un en allemand. Un ahanement avec quelque chose marmonné en allemand suivi d’un cri bref mais étouffé provoqua de nouveaux rires et des encouragements. J’entendais désormais des halètements en fond, ceux de l’Allemand sans doute ; seuls de profonds gémissements lui répondaient, rythmiques, à chaque pénétration sans doute, gémissements manifestement assourdis par la queue de Thomas. Je repensai à Rémi qui m’avait sodomisée de cette façon la veille, près du refuge de Capannelle. L’Allemand poussa quelques cris rauques puis se tut. Bruit de succion humide, d’un pénis qui se retire. J’entendais Thomas et Fred rire, lorsque Thomas se mit à crier : « A moi, maintenant, à moi ! Un cul pour moi, à défoncer ! » Fred rit de plus belle :

 – Tu parles, avec ta queue étroite, tu vas rien défoncer du tout

 – Je lui mettrai quelques doigts en plus, il va bien me sentir, je t’assure !

 Bruit mouillé d’une queue sortant d’une bouche et, quelques secondes plus tard, nouveau ahanement, de Thomas cette fois. Cri plus audible cette fois de Rémi, suivi de trois gémissements aigus. Je fermai les yeux : un par doigt inséré, sans doute Thomas marmonnait des remarques sur un cul trop bon, trop serré, mieux qu’un cul de fille.

 Fred revint sous la tente, masturbant toujours sa queue maintenant débandée.

 – Trop bon, les deux Finalement Thomas l’a eue, sa soirée Lui qui voulait un cul, c’est pas ce qu’il croyait mais il est servi ! Bon, il a fallu qu’il lui mette trois doigts pour se sentir bien serré, mais il va prendre son pied Sacré Thomas ! Je dois dire que ça m’a un peu coupé les jambes, je ne vais pas bander avant quelques heures, et je ne suis pas du genre à me satisfaire de te voir te mettre des trucs dans le cul ou la chatte si ce n’est pas ma queue en érection. On remet la suite à plus tard ?

 Je lui fis mon meilleur sourire.

 – Tu peux toujours me sucer un peu, pour finir

 Il essuya son pénis et me refit allonger. Il se positionna sur mon visage, je léchai sa queue et la prit, molle, dans ma bouche. Il fit quelques va-et-vient dans cette position.

 Dehors, Thomas se mit à gémir et crier, en traitant Rémi de bonne pute qui allait prendre cher. Ses coups de reins étaient tellement forts que je l’entendais claquer sur les fesses de Rémi. Je ne pouvais m’empêcher d’imaginer sa queue en pleine pénétration comme quand il m’avait sodomisée un peu plus tôt Les gémissements de Rémi s’intensifiaient. Manifestement ça excitait Thomas, qui se mit à ahaner fortement, poussant des cris rauques à chaque pénétration, provoquant un cri éperdu en retour à chaque fois. « Ah ouais, tu aimes ça, la prendre profond dans ton cul bien élargi, hein tu aimes »

 Fred se retira de ma bouche, la queue toujours molle.

 – Hum, ça vient pas, alors que tu es une bonne suceuse. On se voit demain, on profitera bien tous les deux et ensuite ciao les photos.

 Je remontai mon short sur mes cuisses, qui collaient.

 – Ok, demain matin, quand on aura un peu décuvé Je vais dormir dans ma tente, ici on s’est trop activé, il fait trop chaud.

 Il ricana.

 – Ouais, c’est ça, va dans ta tente Je parie que ton pote Rémi te passera dessus et que tu écarteras bien tes jambes ou ton cul pour sa queue quand il aura fini de se faire prendre par Thomas. Dis-lui de pas trop t’élargir s’il te sodomise, je veux te reprendre comme ça demain. Et s’il te prend le matin, qu’il ne gicle pas dans ton cul : je ne veux pas mettre ma queue dans son sperme. Mais n’oublie pas de venir ! souviens-toi, les photos !

 Dehors, Thomas cria encore une fois, longtemps. Un hurlement, presque simultané, lui fit écho, qui s’acheva en gémissement prolongé entrecoupé de cris. J’entendis un bruit de succion, puis Thomas se relever. Le g&

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