J’avais rencontré Angélique lors du mariage d’un ami commun. Nous étions deux trentenaires célibataires que l’alcool ne tarda pas à rapprocher, aussi bien sentimentalement que physiquement, puisque nous finîmes la soirée en levrette dans les toilettes de la mairie ! Je n’avais pu résister à cette brune aux yeux bleus, dont la robe noire avait échoué à cacher ses formes généreuses. La semaine suivante, nous débutâmes une relation qui déboucha même sur un mariage civil un an plus tard. J’étais comblé, Angélique me paraissait à l’époque être la femme parfaite.
A l’aube de ses 40 ans, ma femme tomba enceinte de notre premier enfant. Au contraire d’autres couples dans la même situation, notre sexualité ne connut pas de sursaut, elle dépérit. Je n’avais plus aucun désir pour elle, n’étant pas (par exemple) admirateur des gros seins laiteux dont Angélique se trouva nouvellement pourvue. Cette abstinence perdura après la naissance de notre fils, qui prit une place prépondérante dans notre intimité. Ce passage à vide, à l’origine provisoire, dura 7 ans.
Comprenant bien vite que la masturbation ne pourrait satisfaire l’entièreté de mes besoins, je commençai à fréquenter d’autres femmes, toutes plus jeunes que moi. Je parvins même à réaliser le fantasme de beaucoup d’hommes de mon âge : me taper une jeunette. Elle avait 19 ans, s’appelait Éva, et était la fille de nos voisins. Cette délurée ne cherchait qu’à s’envoyer en l’air, et cela me convenait parfaitement. Notre premier rapport ne dura pas très longtemps, du fait de son manque d’expérience, mais me permit de redécouvrir le plaisir de la sodomie. Ce fut d’ailleurs le seul de mes rapports extra-conjugaux où je consentis à retirer mon préservatif, afin de lui cracher ma semence au visage.
Toutefois, et contre toute attente, Éva s’attacha à moi. Cette blondinette développa une véritable dépendance sexuelle vis-à-vis de moi ! La fréquence de nos rapports évolua rapidement, passant d’un coït par semaine à un coït par jour ! Nous cacher devint un véritable challenge. Il nous arrivait régulièrement de faire ça dans les bois tant la crainte d’être surpris était grande. Éva effaçait les traces de nos actes en buvant mon sperme et en enterrant les capotes sous un vieil arbre. Elle savait se montrer inventive lorsqu’il s’agissait de sexe.
*****
Angélique ne soupçonna jamais mes tromperies, mais s’aperçut néanmoins de la longévité de notre abstinence. Elle en souffrait également. C’est ainsi qu’après un débat particulièrement tendu sur le sujet, elle m’imposa un ultimatum : en cas de non-rapport sexuel avant la fin de la semaine, elle quitterait le domicile conjugal avec notre fils. Je pris très au sérieux cette menace, ne souhaitant pas voir ma vie de famille s’effondrer. Je promis donc à Angélique de coucher avec elle dès le lendemain soir, bien que je n’en ressentais pas l’envie.
Pourtant, cette baise se trouva être, à mon grand étonnement, l’une des meilleures de ma vie ! J’eus l’impression de redécouvrir le corps de ma femme, de retrouver ce qui m’avait tant plu chez elle 15 ans plus tôt ! Angélique, que je n’avais plus vue nue depuis bien longtemps (elle dormait en pyjama et je n’osais plus la déranger sous la douche), était encore parfaitement bien conservée pour une femme de 46 ans ! Ses seins étaient certes moins fermes qu’auparavant, mais je pris rapidement goût à téter ces collines moelleuses. Elle m’autorisa même à y placer mon pénis, commençant ainsi notre rapport par une branlette espagnole !
Notre coït se poursuivit par une masturbation mutuelle. J’avais oublié la douceur de sa chatte, cette vulve qui avait donné la vie. J’y introduisis ma langue, ainsi que plusieurs doigts. Son corps ne tarda pas à produire un précieux liquide que je m’empressais de savourer. Angélique mouilla abondamment durant de longues minutes, preuve qu’elle ne s’était pas vidée depuis longtemps. Quant à moi, j’eus le plaisir de me faire sucer langoureusement jusqu’à l’éjaculation, que ma femme avala jusqu’à la dernière goutte. Aucune amante, Éva comprise, ne m’avait sucé avec autant d’amour.
Lorsque nous passâmes au rapport vaginal, Angélique refusa catégoriquement que j’enfile un préservatif. Elle voulait sentir la peau de mon sexe contre la sienne, recevoir à nouveau ma semence divine. Je respectais son choix et commençais à la baiser en levrette, afin de rendre hommage à notre première rencontre. Sa chatte, moins serrée que celle juvénile d’Éva, était un bonheur à piner. J’aurais pu y rester des heures tant je m’y sentais bien. Angélique encaissait amoureusement mes va-et-vient violents en poussant de grands cris. Je ne l’avais jamais entendue gémir aussi fort ! Elle me criait les pires obscénités : "je suis ta pute !", "baise ma chatte" ou bien "branle mon gros cul !".
Au bout d’un certain temps, je me décidais à l’enculer. Nous n’avions que rarement pratiqué la sodomie, même au début de notre relation. Il me fallut m’appliquer pour enfoncer dans son intégralité mon chibre vigoureux dans son anus, mais j’y parvins tout de même ! Là aussi, ce fut une expérience indescriptible. Angélique bougeait les fesses pendant l’acte, s’enfonçant d’elle-même sur toute la longueur de mon pénis. Mon engin était prisonnier de son trou protégé par ses fesses rebondies sur lesquelles je crachais irrespectueusement. Je n’avais plus l’impression de baiser la femme de mon fils, celle avec qui j’avais passé 7 ans d’abstinence et que je trompais sans vergogne avec une minette de 19 ans. Je baisais une véritable salope, une accro au sexe !
Au total, cette soirée vit mon sexe cracher trois fois. Une fois dans sa bouche, une autre fois dans son anus et une dernière fois dans son vagin que je pris plaisir à repénétrer après notre sodomie. Ma dernière éjaculation était loin d’être spectaculaire, mais visiblement assez puissante pour procurer un orgasme si intense à ma femme qu’elle gicla plus fort que jamais. Notre lit était humide tant les draps y étaient imprégnés de sueur, de sperme et de mouille féminine. Je n’osais imaginer la réaction de notre fils s’il avait vu ses parents ainsi. Nous paraissions être les pires débauchés que la Terre eut connus.
Ainsi, après 7 années d’abstinence, ce rapport sexuel relança définitivement notre couple. A mon grand bonheur, je redécouvris ma femme et compris qu’une quarantenaire expérimentée pouvait être bien meilleure qu’une adolescente perverse. Je ne mis cependant pas fin à ma relation avec Éva, qui continua malgré tout mais à un rythme moins soutenu. Elle me proposa un soir, alors que je lui suçais le vagin, d’organiser un plan à trois avec Angélique. Une idée, qui me resta en tête un moment…