— Le contrat –
"Architecte cherche secrétaire compétente et dévouée.
Vous avez le fantasme de la secrétaire, ça tombe bien moi aussi !
À côté du travail classique de secrétariat, vous devrez aussi ’gérer’ le stress de votre employeur.
Merci de me faire parvenir CV avec photo topless.
Annonce sérieuse. Salaire en conséquence."
Voici l annonce que j’ai passé sur un fameux site dannonces suisse aujourd’hui fermé.
Bien sûr j’ai reçu une multitude de réponses en de plaisantins et d’escort ou de prostitués, mais dans le lot une réponse émergea.
Agnès, 35 ans, mariée et mère de 2 enfants. Une jolie brune, avec une jolie paire de seins. Je lui envoyais donc une réponse par email pour fixer un rendez-vous dans un lieu public. Nous nous sommes donc retrouvés quelques jours plus tard dans un bar vers midi. Une fois les présentations faites, je la rassurais immédiatement quand à la suite de l’entretien, nous n’étions là que pour discuter du poste et de ses motivations et que rien de spécial ne lui serait demandé avant la signature du contrat. Elle se détendit un peu, nous avons commencé par parler de la partie officielle du poste – puisqu’après tout – j’avais réellement besoin d’une secrétaire.
Ses références étaient plus que correctes, elle semblait même surqualifiée pour le poste. Je saisis le prétexte de sa surqualification pour aborder la partie "spéciale" du poste et surtout pourquoi elle était prête a accepter un tel emploi. Elle fut très directe, déjà elle avait besoin d’argent et rapidement, et de plus c’était un des fantasmes de son mari, il la pressait depuis des années pour qu’elle prenne des amants, cela semblait l’exciter au plus haut point. C’était même lui qui lui avait fait parvenir l’annonce. Aussi était-elle prête à tenter l’expérience.
— j’en déduis donc que vous êtes un couple libertin, comme on dit ?
— non, pas du tout, en fait je n’ai connu que peu d’hommes avant mon mari et c’est le seul depuis
— quelles sont vos préférences ?
— j’aime à peu près tout, mais je ne suis pas une grande fan de l’anal. Les rares fois où lon a essayé j’ai eu très mal, en fait je n’ai que peu d’expérience de ce côté. J’aime beaucoup sucer, j’adore voir l’effet d’une fellation sur homme !
— vous m’en voyez ravi !
— je n’en doute pas !
— qu’est-ce qui vous attire dans ce poste ?
— et bien le coté soumission, d’être une femme-objet à disposition me tente beaucoup ! Je sais que ce n’est pas dans l’air du temps, mais ça doit être bon de se laisser commander parfois. Et puis cela fait tellement longtemps que mon mari me tanne avec ses histoires que c’est l’occasion de voir si ça lui plaît vraiment de savoir sa femme avec un autre …
— avez des tabous, ou des interdits ?
— aucun ! tant que cela reste entre adultes et sans violences, vous pourrez profiter de mon corps comme vous le souhaitez
— y compris par-derrière même si vous n’aimez pas ?
— oui, et si vous vous y prenez bien peut-être que j’y prendrais goûte …
Je lui donnais mon accord verbal, et lui donnait rendez-vous à mon bureau pour la signature du contrat un soir de la semaine suivante, histoire de lui laisser un délai de réflexion.
Elle se présenta le jour dit, très finement maquillé, habillée d’un tailleur sombre très chic, et d’un superbe décolleté plongeant qui mettait ses seins en valeurs. Je sortit le contrat et le lui tendit, elle le lut en diagonale et le signa immédiatement.
— voilà qui est fait lui dis-je, j’espère que votre mari sera content.
— oh, il l’est déjà. Cette histoire le met dans un tel état qu’il me baise tous les soirs !
— bien, au moins ça règle le problème de ce coté, pas besoin d’inventer des excuses bidons pour les heures supplémentaires
Elle se leva, enleva sa veste et commença à déboutonner son chemisier :
— puisqu’on en parle … que diriez-vous d’une petite démonstration de mes talents ?
— je n’osais pas vous le demander …
Sur ce, elle s’agenouilla entre mes cuisses et entrepris de dégrafer mon pantalon. Elle sortit mon sexe – je bandais déjà comme un taureau – et le pris immédiatement en bouche, elle me suça comme reine , me lécha la hampe et les couilles, se délectant de mon gland, pendant ce temps je lui enlevais son chemisier et libérait ses seins. J’enlevais complètement mon pantalon et m’assis dans un fauteuil.
— montrez-moi comment vous vous servez de vos seins.
Elle sourit, se dirigeât vers moi à quatre pattes, et entoura mon sexe de ses seins. Elle commença un long et lent va-et-vient en me léchant le gland chaque fois qu’il était a portée de sa langue.
— ça suffit. Une vraie merveille. Déshabillez-vous complètement.
Elle se leva, retira lentement sa jupe et sa culotte, mais garda son porte-jarretelles, ses bas et ses chaussures à talons. Elle fit un tour complet sur elle même pour me faire admirer ses formes, son cul était aussi beau que le reste, et revint vers moi et s’assit sur mes genoux, elle écrasa ses seins sur ma figure, attrapa mon sexe et s’empala dessus. Elle montait et descendait lentement sur moi comme pour sentir chaque centimètre de la pénétration. J’empoignais ses seins à pleines mains et les tétait comme si ma vie en dépendait. Elle accéléra le mouvement, elle n’était pas loin de jouir, aussi je la basculais sur la table de réunion, et la prit en levrette.
Agnès se cambrait à fond, poussait des petits cris à chaque coup de boutoir. Je profitais de la position pour jouer avec son petit trou, et lui enfonçait un doigt dans le cul. Elle se lâcha complètement, tout ce qui se trouvait sur la table fini par terre. Sentant que j’allais jouir, elle se retourna, se mit à genoux et me branla en direction de son visage, que j’arrosais copieusement.
Puis elle prit son téléphone, remit mon sexe dans sa bouche, et fit une photo de son visage couvert de sperme et l’envoya à son mari avec ce commentaire "Le contrat est signé".
Je retournais masseoir – nu – à mon bureau.
— Bon, et bien, voici une affaire bien négociée, Agnès, pouvez mettre un peu d’ordre avant que je vous libère?
— déjà ?
— oui, je suis sûr que votre époux a hâte d’entendre le récit de notre entretien, on se voit demain 9h pour discuter plus en détail de vos tâches et organiser tout ça.
— très bien monsieur, pas de problème.
Elle ramassa tout ce qui était tombé, le rangeât bien classé sur la table, le tout sans prendre le temps de rhabiller ni d’essuyer son visage encore maculé de sperme.
J’en profitais pour prendre quelques photos a mon tour.
— pour mes archives personnelles, cela ne vous dérange pas ?
— pas le moins du monde
Elle finit son rangement :
— y a-t-il un endroit pour me débarbouiller avant de retrouver ma famille ?
— bien sûr, vous pouvez utiliser ma salle de bain si vous le souhaitez
Elle disparut par la porte avec ses vêtements, et ressortie 10 minutes plus tard, habillée, maquillée à la perfection, comme si rien ne s’était passé.
— a demain Monsieur.
— a demain Agnès.
