(écrit par Hélène, remanié par Éric)
Je m’appelle Hélène, j’ai 65 ans, je n’ai jamais eu la vie que je souhaitais. J’ai été marié à 18 ans avec le fils des voisins, autant vous dire que je ne l’ai pas choisi. Lui non plus à vrai dire, je crois même que je ne lai jamais réellement intéressé.
Mon mari est mort il y 5 ans maintenant, il a été un homme de son époque. Comme j’envie les jeunes femmes d’aujourd’hui qui ont un mari qu’elles ont choisi, qui est respectueux et la traite d’égal à égale.
Le mien ne pensait qu’à lui, ses envies, ses plaisirs, son plaisir, le clitoris pour lui était une plante aromatique. Me faire plaisir et me donner du plaisir étaient le cadet de ses soucis, du moment que lui avait ce qu’il voulait. Son Kamasutra à lui se résumait à une feuille simple, recto missionnaire, verso levrette. Le masturber, il navait pas besoin de moi pour ça, le sucer, bah non voyons, cette bouche sert à embrasser nos enfants. Enfin voilà, ce nétait pas la panade.
Je suis aide-soignante et je travaille avec mon amie de toujours, Monique. Elle est tout l’inverse de moi, elle a divorcé 3 fois, elle a 3 enfants de pères différents. Elle a toujours pris sa vie en main et c’est grâce à ce genre de femme que ma fille et les femmes de sa génération jouissent d’une vie pleine de possibilités.
Monique parle de sexe comme mon mari parlait de foot, elle a toujours pris ce qu’elle voulait, refusé quand elle voulait, viré de chez elle qui elle ne voulait plus. Je l’admire depuis toujours. J’aurais avoir un quart de sa force et son courage. Elle n’est pas particulièrement jolie, de ses dires, je suis ’la bombe’ et elle la guenon, mais j’ai l’impression que personne ne lui résiste.
Cest elle qui m’a montré qu’un patient chiant ou pleurnicheur devient très coopératif après une petite faveur. Ils étaient des enfants avec elle alors qu’avec moi, ils étaient de vrais connards. Je sais ce que vous vous dites, mais pour moi, c’était l’occasion de voir une autre partie de ce qu’on appelle sexualité.
Je n’ai trompé qu’une fois mon mari et c’était il y a très longtemps, j’avais environ 50 ans et c’était avec un jeune patient d’une vingtaine d’années. J’ai pu découvrir quelques pages en plus du célèbre livre, mais c’est une autre histoire (peut-être, si je trouve un public ici, je trouverais le temps de la raconter).
Aujourd’hui, ce qui m’amène ici, est mon gendre Éric. Il était un bon mari pour ma fille, pas parfait loin de là, mais il a toujours été très respectueux de la femme. Bien que beaucoup de copines de ma femme le trouvent égoïste, j’ai toujours dit que j’aurais aimé qu’elles voient nos hommes à nous, elle comprendrait ce qu’est le vrai égoïsme. Enfin je l’ai toujours apprécié et trouvé charmant.
Alors quand il s’est trouvé devant totalement désemparé, si vulnérable, il m’a un peu rappelé ce garçon de 20 ans cité plus haut, j’ai eu un désir de mère, de protection. Il était comme un fils pour moi et le voir comme ça était vraiment pénible.
Jai eu la bêtise de lui proposer ce que je proposais à mes patients en désarroi, une petite aide réconfortante. Je n’aurais pas dû, clairement. C’est comme ça que je me suis trouvé sur le bord du lit à masturber mon gendre.
Le réel souci est que j’ai plus qu’apprécié, et l’envie de recommencer était très forte, et on a recommencé, et là, ce n’est plus une petite aide que je lui ai apportée, je l’ai fait pour moi, uniquement pour moi.
Il n’y a pas à dire, une belle bite d’un homme jeune, c’est vraiment quelque chose. Ça regorge de vigueur, c’est bien dur et de faire bander un homme si jeune, ça gonfle un peu l’ego. Je le conseille à toute femme, arrêtez de penser qu’il a l’âge de votre fils, qu’il vous prend pour sa mère, qu’il cherche une mère de substitution. Passez une nuit avec, le lendemain, vous aurez qu’une envie, c’est de recommencer.
Le mardi soir, j’étais impatient qu’il rentre, j’étais impatient que ses enfants dorment et que je me dirige vers le lit conjugal de ma fille. Il était encore plus gêné que la veille, je suppose que jouir sur le visage de sa belle-mère, ça doit chambouler un gendre. Moi, ça m’a chamboulé, cet après-midi, je suis partie acheter une nuisette de jeune femme, la première fois que je me disais que je pouvais être sexy pour un homme sans jugement ou me dire que ça fait pute.
J’avais ruminé ça toute la journée, je savais que si j’y retournais ce soir, ça irait plus loin qu’une simple masturbation, je ne pouvais me mentir à moi même, si j’ai pris cette nuisette, ce nest pas pour rien. Mais la question est : pourrais-je ? Jai beaucoup d’affection pour ma fille, et cela est une vraie trahison que d’aller plus loin. À ce moment-là.
Dès qu’il est rentré, il était limite en pleurs, il avait passé une sale journée, ses supérieurs l’avaient totalement détruit par son bilan pire que mitigé, ce soir, il a vraiment craint pour son emploi. Sa seule chance était selon lui, de vendre du rêve pour l’année suivante pour qu’il soit reconduit. Il était tellement dévasté, il avait clairement besoin de sa femme à ce moment-là, mais elle n’était pas là. Lorsqu’il m’a dit ’à toute à l’heure’ après avoir couché les enfants, j’ai senti un appel, un SOS de réconfort.
Alors j’ai enfilé ma nuisette, je me suis vraiment bien coiffé, j’ai essayé d’être désirable. D’être aussi belle que pouvait l’être ma fille, sa femme. Je voulais même qu’il fasse un transfert, peu importe mon ego, je serais ma fille ce soir. Juste ce soir.
Quand je suis entré dans la chambre, il était là, les yeux presque exorbités, j’ai senti un tel désir dans ses yeux, j’aurais aimé qu’on me regarde comme ça toute ma vie,
Hélène: ça te plaît ?
Eric: c’est juste magnifique… vous êtes si belle
Hélène: c’est juste pour les yeux…
Je me suis approché du lit, il s’est décalé comme pour m’inviter à le rejoindre, j’ai regardé son caleçon, il était à l’étroit, complètement flatté par cela. Je montais sur le lit, à genoux devant lui, je le voyais ravi, comme si sa sale journée n’avait pas existé.
Eric: s’il te plaît, mets-toi comme ça.
Il me dirige pour que je me mette à genoux, mais le visage vers son caleçon, je comprends qu’il veut que je m’occupe de son sexe, il retire son caleçon, je reste toujours assez surpris du sexe d’Éric, je savais que mon mari n’était pas bien pourvu, j’ai vu des sexes d’hommes dans ma profession, mais celle-ci était particulièrement belle.
Le fait est que j’avais réellement envie de le sucer, mais il ne le fallait pas. Le soulager était une chose, prendre un peu de plaisir à le faire en est une autre, le prendre en bouche était une chose horrible. Jessaie de chasser cette image de ma tête, même si j’ai son sexe à quelques centimètres.
Eric: Hélène, un souci ?
Hélène: non… non, allons-y.
Je le prends entre mon pouce et mon index, j’aime cette circonférence. Ma fille a réellement de la chance, je le masturbe doucement, le regard fixe et plein d’envie. Qu’est-ce que j’aime tenir un homme par là, on peut ce que l’on veut, mais un homme est réellement à la merci de la femme dans cette position.
Je la presse, la caresse, la force à être toute gonflée, je relâche la pression, j’accélère le rythme, je tire vers la base. C’est presque un jeu où j’extirpe à mon gendre des sons qu’ils se refusent à faire. Il prend clairement son pied, et moi aussi il faut dire.
Je me tourne pour contempler son regard et réalise qu’il me reluque clairement sous ma nuisette, il me remarque, alors bêtement, je fuis son regard. Je continue de plus belle, mais je sens son regard sur moi. Je commence clairement à mouiller. J’ai honte, mais j’ai finalement envie de lui faire plaisir, après tout, je l’ai acheté pour ça.
J’écarte un peu mes jambes et relève ma nuisette, Éric a dorénavant mon cul devant ses yeux avec pour simple couvert, ma culotte fraîchement achetée. Cela lui a comme donné l’autorisation, je sens une main se poser sur ma fesse. À chaque fois qu’il me touche, c’est une décharge dans le corps, c’est dingue.
Je le caresse autour de la verge, lui malaxe un peu les testicules. Il apprécie et sa main me caresse le derrière. Une partie de moi trouve que ça va trop loin, l’autre a envie de ce contact. Je crois bien que je viens d’allumer mon gendre.
Hélène: Eric…
Eric: oh Hélène… c’est incroyable.
Mon sexe est trempé, ma culotte a clairement changé de couleur. Mon gendre a les 2 mains sur mes fesses et les malaxe. Moi je suis en pleine folie, mon corps est devenu si moite que j’ai l’impression de me liquéfier.
Et là, c’est l’apothéose, mon gendre pose son doigt sur mes lèvres à travers le tissu, c’est un ruisseau qui se trouve là. À croire que je suis fontaine tellement ça m’a manqué un tel contact. En un instant, j’ai son sexe qui gonfle, Eric pousse un gémissement qui pourrait réveiller ses enfants. Et moi je suis plus vraiment là, j’ai le feu en bas et j’ai une furieuse envie de me faire baiser.
J’étais prêt à lui dire de me prendre là, tout de suite. Quand j’ai senti son éjaculation venir, il a pressé son doigt contre mes parois et j’ai machinalement poussé à mon tour un cri. Puis j’ai dirigé ma bouche vers ce sexe en ébullition.
Eric a complètement été surpris d’être pris en bouche à ce moment-là, il ne sy attendait pas, il n’était pas préparé à ça. Je n’avais pas réfléchi et ma seule idée était de ne pas foutre du sperme partout comme la vieille et dans le feu de l’action, cela m’avait paru la meilleure idée.
Sauf que Éric a joui tellement fort, qu’il a avancé son corps, poussé sa verge à entrer encore plus en moi. Jai rapidement été submergé par ce sexe enflé. Il y a eu je ne sais combien de secousses, j’ai eu la sensation qu’il a éjaculé plusieurs fois. J’avais la bouche pleine, la culotte liquide, un doigt presque rentré à l’intérieur de moi.
Éric : mon Dieu… c’était divin, il a enfin relâché son geste, s’écroulant sur le lit, moi la bouche totalement pleine, je courus jusqu’à la salle de bain, j’en avais foutu partout, des gouttelettes jaillissaient de ma bouche trop pleine.
Après un bain de bouche, j’allais vers la chambre quand j’entends la voix de mon petit fils, celui-ci a eu peur d’un cri qu’il entendit et veut dormir avec son père. Je décide donc de retourner dans ma chambre.
Mercredi soir,
Aujourd’hui, j’ai pris conscience que mon gendre avait fait de moi une nouvelle femme, le sexe m’avait cruellement manqué toute ma vie et je m’étais juste fait une raison d’une vie qui aurait dû s’arrêter avec la mort de mon mari. J’aurais pu reprendre un amant, refaire ma vie, redécouvrir le plaisir. Je ne pourrais jamais remercier assez Éric de m’avoir ouvert les yeux.
J’ai décidé que ce soir, c’est surtout moi qui irais prendre mon plaisir chez mon gendre, je compte bien en profiter une dernière fois puis je mettrais le holà pour ma fille. J’ai bien pensé stopper tout direct et aller chercher directement un amant. Mais j’en ai un sous la main, désireux, et sincèrement, je pense qu’il faut qu’on le fasse une bonne fois pour toutes. Une fois fait, la tension redescendra, c’est sûr.
Après avoir couché les enfants, nous savons tous les 2 la marche à suivre. Nous filons chacun dans notre chambre et j’enfile ma nuisette. Je m’approche doucement de la chambre de mon gendre, en faisant attention à ne pas me faire remarquer de mes petits enfants, s’ils me trouvaient dans cette tenue dans les environs de la chambre de mon gendre, ils sont jeunes, mais pas bêtes.
Je rentre dans la chambre, Éric est en position, son sourire est un rayon de soleil, qu’il est beau comme ça, à m’attendre, moi, la vieille. Mais je vais lui montrer ce qu’une vieille est encore capable de faire.
Je monte sur le lit, pivote, chevauche mon gendre et soulève la nuisette sur les hanches.
Eric: oooooh putain !!!
Je n’ai pas mis de culotte, mon sexe est juste devant ses yeux, déjà humide. Il se jette dessus à pleine bouche, celle-ci bien ouverte pour prendre toute la surface en succion. Je ne peux réprimer un gros cri bien rauque de plaisir. Je me jette moi aussi sur la verge de mon gendre telle une furie.
Ce n’est presque pas du sexe, tellement on se dévore le sexe de l’autre. Quel plaisir d’avoir enfin ce membre dans ma bouche, de ne pas constamment me torturer à ce que je dois et ce que je veux faire. Je me laisse totalement emporter par ce plaisir.
Je tremble autant que lui, je mouille autant que son sexe rejette ce liquide si bon. J’accentue le contact en pressant mon cul sur son visage, lui bascule son bas-ventre vers moi, histoire de pénétrer encore plus dans ma bouche. Ce sexe si long, je ne pensais même pas pouvoir le prendre entièrement en bouche, chose que les jeunes appellent gorge profonde.
Je n’en peux plus, je vais soit étouffer soit devenir femme fontaine à ce rythme. Éric ne semble plus dans un état normal, il est comme un animal qui dévore sa proie. Je sens sa langue me pénétrer, je sens des fois ses doigts me foudroyer, je ne sais même plus combien, je pense quil pourrait enfoncer sa main tellement je me suis ’ouverte’.
Je lâche la première, je m’extirpe sa queue de ma bouche et lâche un gros râle de plaisir
Hélène: quelle bite mon gendre…(je me surprends à utilise ce terme)
Eric m’a toujours en bouche, puis aspire un gros coup avant de me lâcher avec une lampée très sonore.
Eric: quelle chatte, très chère belle-mère.
Hélène: je pensais pas que ça puisse être aussi bon
Éric: c’était la première fois ?
Hélène: oui, cela ne se faisait pas à mon époque.
Il me fit un gros bisou.
Eric: alors on va rattraper le temps perdu…
Hélène: je dois reprendre mon souffle, j’aurais l’air de quoi si je meurs étouffée !
Eric: ça serait dur à expliquer à Elsa, c’est sûr !
Nous nous mettons à rire.
Hélène: on arrête là ?
Eric: tu es malade…
Eric me saisit par les hanches et me lèche de haut en bas puis de bas en haut, jouant de sa langue sur les bords de mes lèvres. Je me redresse au-dessus de lui, à profiter de cette langue si experte.
Eric: Hélène, je veux encore jouir dans ta bouche, je me replonge dans l’absorption de ce sexe gonflé, je me délecte de sa virilité, je me suce comme si c’était la dernière bite que j’aurais en bouche. Je sens mon plaisir remonter, je sens le sien aussi. Je me concentre sur son gland et lui aspire. Comme par miroir, il se concentre sur mon clitoris.
Au bout de quelques minutes, je me sens tressaillir et mon cul se relève tout seul, pris de spasme. Machinalement, je bloque et m’enfonce au plus profond de ma gorge. Lui se redresse et me saisit le derrière, je ne sais pas à ce moment-là, si c’est ce qu’il a voulu ou s’il s’est trompé de trou, mais sa langue a été à mes fesses. J’avais littéralement mon gendre qui me mangeait les fesses. Quelle sensation bizarre, même je dois l’avouer, je n’ai pas trop eu le temps d’y réfléchir.
Mon gendre m’a soulevée, sa tête dans mes fesses, j’étais à la renverse, ce qui a eu pour effet de me faire tomber encore plus sur sa verge, j’avais la sensation que j’allais tout avaler, le service 3 pièces. Il a donné un violent coup de reins, puis un autre et j’étais littéralement en train de me faire baiser par la bouche. Il a éjaculé dans ma bouche tout en me bouffant le cul, je ne savais plus où j’étais.
Jai tout recraché sur lui, et on a basculé en arrière sur le lit. Je ne sais même pas combien de temps il s’est passé entre le moment où j’ai été pris de spasme et le moment où on a émergé de notre situation.
Éric: je… je m’excuse po…..
Hélène: tout va bien, Éric.
Je le regarde nu, du sperme sur les jambes, son haut de t-shirt mouillé comme s’il avait fait tomber une bouteille d’eau sur son torse. Je glisse ma main en bas, je pense que j’aurais y mettre une pomme tellement il m’a écartelé. Je glisse plus loin et sens que je suis bien dilaté aussi de l’autre côté.
Je viens de me faire baiser comme jamais, sans même me pénétrer avec son sexe. Cest bizarre, mais la seule chose qu’il mest venu était de partir, j’ai quitté la pièce sans un au revoir, sans même un regard malgré l’interpellation de mon gendre.
Je me suis couchée dans mon lit, perdue il faut l’avouer. Je n’arrêtais pas de me toucher le sexe ou le cul, alternant comme si j’essayais de savoir si ça avait été réel ou pas.
Aujourd’hui, je comprends mieux les femmes qui sont nymphomanes, qui aiment le sexe, qui aiment le sexe libre. Quand on peut prendre son pied comme ça, qui ferait la sainte-ni-touche. Mais j’avais peur, peur de devenir une nouvelle personne, qui était si loin de tout ce que j’avais été jusque-là. Je n’ai pas envie de devenir dépendante du sexe de mon gendre, je ne dois pas. Elsa, ma fille, désolée.