Nous montâmes dans notre petite chambre, Marie et moi, des images plein la tête. Nous avions décidé de regarder un peu la télé.

Comme il n’y avait qu’une seule salle de bain avec une douche (la nôtre ne disposant que d’un lavabo), nous avions décidé de laisser nos parents la prendre en premier pour enlever le sel et le sable.

Nous étions fatigués, le soleil avait tapé fort. La télé passait un film monotone, mais nous étions bon public. On frappa. Mon père passa la tête dans l’entrebâillement de la porte et nous proposa une petite ballade avec eux, après notre douche.

— Ho, si ça ne t’embête pas, je pense que je vais rester regarder la fin du film. Je suis vannée, je crois que j’ai trop pris le soleil. Mais profitez-en, allez à la pointe sur la falaise, le coucher de soleil est magnifique.

Marie mentait à la perfection. Je fis un signe las pour indiquer que j’étais du même avis. Mon père sourit, nous regarda l’un et l’autre. Je tressaillis. Merde, on avait peut-être manqué de discrétion.

— Je vois, répondit-il. Une soirée sans vos vieux ça vous dit ? Vous pourrez discuter tout votre saoul, même si je me demande ce que vous avez encore à vous raconter !

— Attends, Franck, reprit Marie dans un rire, tu ne crois tout de même pas que 10 mois se résument en à peine un jour et demi tout de même ? Et puis Hervé a dormi comme un bébé cet après-midi à la plage.

Je feignis un sourire coupable. La mécanique était parfaite. Mon père partit d’un grand éclat de rire.

— Et bien j’espère qu’il ne va pas s’effondrer ce soir encore alors !

Et il sortit. Nous avions notre soirée, tranquilles.

La ballade allait durer plusieurs heures, sans compter qu’il était fort possible qu’ils restent dîner à l’extérieur, nous laissant le soin de préparer le nôtre à la maison.

Dernière proposition pour les accompagner, dernier refus poli, et ils partirent. "On reviendra quand on en aura assez" nous lancèrent-ils en cur. Tant mieux.

Nous remontâmes à la chambre. Le sel commençait à me gratter. Marie aussi.

— Bon, qui passe en premier ?

Marie fit les yeux ronds.

— En premier ? Il faut la prendre à deux ce type de douche, le sel dans le dos est difficile à enlever tu sais…

La pire excuse du siècle. La meilleure aussi pour moi.

— Et puis tu sais, la douche est grande, il y a de la place pour deux, ajouta-t-elle en souriant.

— Je crois bien que oui. Allez je vais te frotter le dos mon abricot.

Nouveau regard amusé. Jamais je ne lui avais donné de surnom, jusqu’alors c’était Marie. Gare à ne pas l’employer sans y réfléchir, devant les autres.

On se leva, Marie éteignit la télé, qui passait un film définitivement nul, et nous nous dirigeâmes vers la salle de bains. La douche était en effet très grande, quand j’étais petit, je pouvais m’y coucher en travers. Quoique une petite ne m’aurait pas dérangé pour celle que nous allions prendre…

Ma cousine me regarda, et me fit le geste "J’ai pas de mains". Elle était vraiment joueuse. Je lui retirais son haut. Elle se retourna et je la serrai contre mon corps, ses seins au creux de mes mains. Le bas glissa le long de ses jambes. Elle se retourna à nouveau vers moi et déposa un tendre baiser sur mes lèvres. Pendant ce temps, elle fit glisser ses mains sur mon dos, et les descendit le long de celui-ci, jusqu’à buter sur l’elastique de mon short, qu’elle élimina de la liste des obstacles jusqu’à mes fesses.

— J’adore ces petites fesses rondes.

Ses caresses étaient douces, et j’avais un début d’érection. Elle baissa mon short. Nous fûmes nus face à face.

Tout en se caressant, mon pénis entra en contact avec sa peau, et son sexe, nos corps furent parcourus d’un courant éléctrique de bien-être. Nos respirations étaient saccadées par ce plaisir intense.

Mais mes lèvres quittèrent les siennes, et je répondis à son compliment en l’embrassant dans le cou, en descendant vers sa poitrine.

Je m’occupais à présent de ses tétons, aussi durs qu’à la plage, et ma langue continua vers son ventre.

Marie me fit relever.

— Pas avec tout ce sel.

Et elle m’entraîna vers la douche.

Elle me plaqua tout de suite contre le mur de la cabine, elle voulait dominer l’instant, je la laissai faire.

Elle commença par de petits baisers, sur mes lèvres, dans mon cou, sur mes tétons, et descendit vers mon ventre, je ressentis le plaisir que je lui avais donné juste avant.

Elle prit mon sexe dans ses mains, et commença à me masturber, elle me procura un bien fou, j’étais aux anges.

Concentrée sur mon pénis, qui devenait de plus en plus dur, elle s’appliquait à astiquer son sexe d’une main devenue experte.

Mais elle stoppa soudainement, me laissant échapper un soupir de frustration, j’étais à deux doigts d’éjaculer. Elle était la maîtresse de mon corps, elle l’avait décidé.

Elle fit couler l’eau chaude, prit du savon, et commença à me laver.

C’était merveilleux, cela faisait longtemps qu’on ne m’avait plus lavé, et jamais de cette manière ! Ses mains délicates me donnait énormément de plaisir, passant le savon sur chaque millimètre de ma peau, sans oublier mon sexe bien entendu, elle passait du temps sur lui, elle me masturbait avec les mains pleines de mousse, plus doucement, c’était chaud et tendre.

Mais je n’en pouvais déjà plus, et j’éjaculai dans ses mains. J’étais plié en deux, mon sexe, qui pourtant n’avait pas chômé depuis hier, lâchant des grands jets de sperme.

Après quelques secondes d’extase, je pris les commandes.

J’inversais nos positions, elle prit donc ma place, j’amenai délicatement le jet vers elle, pris le savon, et commençai à caresser son corps doucement. Je lui déposais un petit baiser sur ses lèvres, lui murmurai "Merci", et lui demandai de se retourner.

Elle s’exécuta, et fit un demi-tour, je voyais ses petites fesses, je souhaitais lui faire un maximum de bien, donc je commençai par un massage, et le savon arrangeait les choses.

Je descendis de plus en plus, jusqu’à atteindre ses fesses, en pris le plus grand soin en frottant doucement son intimité. Elle aimait ça, sa respiration se fit saccadée.

Je descendis vers ses jambes, je massais ses cuisses jusqu’à arriver à ses pieds, j’y déposai des petits baisers avant de les masser.

Je la sentais languir, les pieds c’était bien, mais il y avait bien plus top. Je me vengeais de sa petite domination de tout à l’heure. Cependant j’arrêtai le supplice et remontai vers son sexe. Je m’étais redressé complètement, et elle faisait de nouveau face à moi, je l’embrassais doucement dans le cou, sur ses seins pendant que me main explorait son pubis, caressait, frottait. Elle échappa de mon étreinte, déposa mes lèvres sur les siennes pendant un long moment.

Je recommençais mes caresses, en commençant par le haut, sans décoller ses lèvres des miennes.

Et je repartis pour une descente vers son ventre, je caressais cette zone tellement douce, mais je me dirigeai à présent vers son sexe.

Je commençai par son clitoris, je savais qu’il était devant, apparent, et pas au fond, comme beaucoup de garçons de ma classe croyait. Il suffisait d’ouvrir et de LIRE une encyclopédie pour ça. Regarder quelques… documentaires aussi. Elle adorait ca, elle gémit, et fut secouée de tremblement, un vrai bouton à plaisir.

Même en dépit de l’eau, je voyais ce doux petit liquide s’echapper de son sexe, la cyprine.

J’insérai directement deux doigts débarrassés du savon dans son vagin, elle tressaillit, je commençai mes va-et-vient, de plus en plus rapidement.

Je me relevai, et en même temps l’embrassai, ce qui étouffa ses cris de jouissance, même si cela était inutile, nous étions seuls.

Elle attrapa mon sexe, qui s’était relevé, et me branla en même temps. Cela fit un peu mal mais c’était bon.

Nous étions tous les deux tellement excités, que l’orgasme ne tarda pas. En première, Marie, je libérai ses lèvres des miennes, et elle lâcha un hurlement de jouissance, je stoppai mes caresses pour lui laisser le temps de récupérer.

Elle reprit ses mouvements sur mon membre, et elle allait de plus en plus vite, je lâchai moi aussi quelques giclées de sperme, mais beaucoup moins que la première fois, j’éjaculais pour la troisième fois de la journée.

Fatigués, mais heureux, nous nous embrassions, et l’eau enleva les dernières bulles de savon sur nos corps brillants.

Nous sortîmes de la douche, je pris une serviette, et essuyai le corps de Marie, chaud, mais doux, elle se laissa faire, j’effleurai délicatement ses zones érogènes. Mais elle était trop sensible et se soustrayait à ces caresses en riant.

Une fois sèche, elle fit de même avec moi, nous étions secs, nus, et nous échangions un dernier câlin, et un dernier baiser.

Nous quittâmes la salle de bain, en direction de la cuisine. Nous restâmes nus, guettant le retour des parents pour ne pas nous faire surprendre. Je l’aidai à préparer le dîner, qui fut frugal, notre faim avait déjà été assouvie… C’était drôle de la voir déambuler comme ça, et moi de même à ses côtés. Nous mangeâmes, fîmes la vaisselle et remontâmes dans notre chambre. Il ne se passa rien d’autre ce soir là, nous avions eu notre compte. Elle s’endormit presque immédiatement, j’essayai de lire, mais bientôt les yeux virent flou et je sombrai à mon tour. Nos parents durent être surpris de nous trouver endormis en rentrant…

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