— Tu te rends compte du chemin parcouru en six mois, Lou ?
— Non, tu sais bien que je n’ai pas de podomètre…
— Je veux dire…On navait rien et parties de ce parking où on montrait nos nichons… et maintenant, nous voilà en partance pour la gloire !
— Et puis ce stage intensif avec ton père… il nous a bien formées, quand même !
Les deux filles marquèrent un long silence tandis que le paysage défilait sous leurs yeux remplis d’étoiles. Elles montaient sur la capitale en train. Un casting pour une nouvelle saison de Bonn’Ass-Story, la plus populaire émission de télé-réalité. Lou et Anna réalisaient la première partie de leur rêve et elles imaginaient bien que le père de Lou était un sacré coach tant il s’était investi dans sa fille et sa copine au propre comme au figuré. Il avait longuement sondé leurs âmes pour savoir si elles voulaient vraiment devenir des people-stars soit environ dix minutes- et surtout leurs corps à coups de bites de façon purement altruiste -officiellement- le reste de ces six mois pour les préparer à affronter ce monde médiatique de petites salopes et connasses du PAF. Bien sûr, elles avaient déjà des prédispositions, surtout immenses pour la deuxième partie… et incommensurables pour la première.
Lou ne s’était pas posé la question du rapport père-fille quand son papa et alors futur coach, lui avait présenté sa bite pour la première fois. Elle avait juste minaudé et rougi avant d’engloutir cette queue bien épaisse et raide devant les promesses alléchantes de son daron. Il lui avait ensuite rapidement défoncé ses trous tant elle buvait ses paroles sur cet avenir merveilleux qui se présentait à elles. Éberlué par les photos et vidéos de sa salope de gamine et de sa copine, il n’avait pas laissé passer sa chance.
Épaté par les capacités d’absorption de ces deux filles, il s’était monté un petit commerce parallèle avec des mecs trouvés sur des sites d’annonces. Il avait convaincu les filles de se faire baiser environ trente fois par jour pour les préparer au jour J, la montée à Paris afin de se tenir prêtes à…
au cas où un producteur voudrait les tester.
Il s’était bien gardé de parler des milliers d’euros que cela lui rapportait par mois. Il fallait ne pas les perturber dans leur ascension vers la gloire et cet argent n’était, après tout, qu’un petit salaire normal pour son investissement personnel. Il donnait tellement de sa personne.
Et puis voir sa fille et sa copine côte à côte ramonées à la chaîne par des inconnus le faisait quasiment gicler sans se toucher. Et pendant ce temps il pouvait compter tranquillement ses billets et se préparer des très longues vacances loin de là, au soleil.
— J’espère qu’on ne tombera pas sur des gens qui abuseront de notre naïveté…
— Non, grâce à papa qui a su nous ouvrir les yeux sur ce milieu qu’on ne connaît pas encore.
— C’est vrai. Ton père est un honnête homme.
— C’est un saint.
Arrivées à Paris, elles se rendirent en taxi à l’adresse indiquée pour le casting. Un vaste entrepôt en banlieue, immense studio de création et d’enregistrement de toutes les émissions culturelles financées par le gouvernement dans le cadre d’un nouveau programme alliant l’éducation et l’emploi et destiné à offrir du rêve à toute la jeunesse tout en éludant les questions terrorisantes pour les générations futures : l’apprentissage du français, des connaissances scientifiques et la quasi-dissolution de la nation suite à la destruction massive de l’homogénéité du peuple par des intérêts purement électoralistes.
Des dizaines de milliers de jeunes, nourris aux réseaux sociaux et aux émissions toutes plus profondes les unes que les autres convergeaient chaque année vers ces castings incroyables comme on allait autrefois faire son service militaire.
La différence était que la jeunesse de maintenant n’était forcée à rien. Des brillants économistes, intellectuels, journalistes et surtout politiciens s’étaient attaqués à ces lois qui entravaient les jeunes. Il était désormais convenu que la béatitude habituelle de ces basses tranches d’âges allait désormais être un mode de vie. Tout le monde s’y retrouvait. Les jeunes, qui avaient applaudi ces mesures tellement merveilleuses et les dirigeants qui s’étaient alors concentrés sur la refonte du pays en arasant les fondements de la société.
Lou et Anna étaient cette jeunesse-là. Tellement représentatives, ces deux sublimes femmes. Mais leur irrésistible envie de grimper tout en haut de la pyramide de la célébrité était bien plus forte encore que celle de la plupart des autres jeunes.
— Tu as vu, il y a une queue énorme !
— Il faut déjà sucer ?
— Non, je parle de la file d’attente.
— Tant mieux parce que je nai encore digéré le boudin antillais…
— Tu as tout avalé ?
— Bin oui. Il m’a bien dit que sucer et engloutir la crème d’un chauffeur de taxi antillais était la première chose à faire quand on arrivait à Paris, tu as entendu comme moi ?
— C’est vrai. Bon, on y est, ma belle ! À nous la gloire ?
— À nous la gloire !
— Et tu souviens de ce qu’ a dit le patron de l’hôtel où on est installées ? Vous, je vois que vous êtes des futures stars et je parie que vos nichons sont parfaits ! La tête satisfaite qu’il a eu quand on lui a montré qu’il avait raison…
— Et après, qu’il a dit : toi, ma jolie, j’espère que tu suces bien, sinon, pour le casting, ça va être dur.
— Et comment que je l’ai eu ! Tu as vu ça, comme je me suis précipitée sur sa queue et que je l’ai pompé ! Il a pas tenté de m’en empêcher, hein ! Il a vu et il a fermé sa grande bouche, ensuite !
— Houais, ça se voit trop, qu’on est au-dessus du lot !
— Oui. Les gens sont gentils, ici.
— Oui, ils sont gentils.
Après avoir trouvé la salle d’inscription et validé leurs fiches de renseignements, les deux amies se promenèrent un peu dans ce qui ressemblait à une vaste cour de lycée où erraient comme elles, des centaines de jeunes, garçons et filles, en attente d’être convoqués pour passer les tests d’aptitude.
— Tu as vu les filles ? Que des pétasses !
— Elles sont belles, quand même…
— Oui mais ça fait pas tout ! L’intelligence qui illumine nos visages, tu la vois sur elles ?
— Non…
— Elles ont que des gros nichons et des bouches de suceuses… et des jambes fines et parfaites, et des jupes très courtes et…oui, la plupart n’ont pas de culottes…
— Comment tu sais ça ?
— Ça sent la marée et je t’assure que ce n’est pas Rungis !
— Rhôôôôô ! T’es méchante ! Drôle mais méchante…
— C’est de la morue à deux balles, ça ! Tiens, justement, ça ne pourrait que travailler dans un truc comme ça. Rungis ou bien je ne sais pas…quelque chose qui ne sert à rien… tiens, l’éducativité Nationeuse…Non… comment qu’on dit ? Aide-moi ! Tu sais ce truc dézingué par notre vénéré gouvernement…
— La…du cassion. Na…je sais plus, c’est si loin et totalement obsolète, ce genre de mot, d’une désuétude effarante !
— Putain Lou ! Tu as dit des mots qui datent de cette époque, d’éduc… là ! Comment ça se fait ?
— Je ne sais pas ! Tu crois que c’est grave ? Je vais devenir…conne ?
— Non mais…
— Oh, je sais ! L’autre jour chez papa, quand lui et les huit messieurs venus pour vérifier encore notre potentiel t’enculaient et que moi, j’avais un peu mal à la tête…j’étais assise à son bureau et j’ai regardé un livre…c’était un truc qui apprend le français. Et j’ai lu ça, je pense.
— Et tu as retenu !
— Dingue !
— Fais gaffe,, quand même ! Ça peut te vriller les sens ! Le cerval !
— Le cerveau, non ?
— On s’en fout.
— L’un ou l’autre, c’est flippant !
— Grave !
— On nous appelle ! Là-bas, sur l’écran géant, c’est nous qu’on appelle !
— Génial !
En effet, l’appel des candidats se faisait par inscription des noms et prénoms sur un écran comme ceux affichés dans les stades de football.
Les deux filles se précipitèrent à travers la nuée des candidats devant elles, n’hésitant pas à les bousculer en jouant des coudes.
— Poussez-vous les boudins, on est les futures stars !
— Nan, c’est moi !
— C’est moi !
— N’importe-quoi, c’est que moi !
— Moi moi moi !
— Taisez-vous les nulles, c’est moi !
— MOI !
Et ainsi, une clameur monta de mille gorges sans argument, monocorde mais tellement enthousiaste…
— C’est moi !
Lou passa la première. On lui demanda d’avancer dans une minuscule pièce sans fenêtre. Elle se trouva face à quatre hommes assis devant une table métallique pliante. On la laissa debout, intimidée.
— Bonjour mademoiselle. Je suis Dave L’arnak, le producteur, voici Roger Lanque, producteur associé, Fabien Zigou, le chef de casting et Mamadou médur, testeur de put…de candidats. Déclinez votre identité, s’il vous-plaît…
— Lou Princesse Spears de Las Vegas.
— D’accord. Et avant ?
— Heu…Lou Dupont.
— Bien mademoiselle Lou… On commence. Qu’est-ce qui vous fait penser que vous pouvez intégrer la saison quinze de Bonn’-Ass-Story ?
— J’ai des gros nichons.
— C’est vrai mais c’est juste la base, ça. Je veux savoir comment vous envisagez les épisodes ? De quelle façon votre participation pourrait engendrer des pointes d’audimat ?
— Je fais le poirier.
— Bof…
— Toute nue.
— Oui…
— En me coiffant.
— ???
— Et bien, ma brosse à cheveux, comme je supporte pas qu’elle traîne par terre, quand j’ai finite, je la met…
— C’est un début intéressant. Mais vous savez que les exhibitions sexuelles sont encadrées. On ne fait pas n’importe quoi, tout de même. Il faut que cela soit plus… par accident. Les filles font ça depuis des années. Les candidates trouvent toujours des petits subterfuges pour cela. Et vous ?
— Et bien…je vais être somnambule et j’irai m’empaler involontairement- sur le totem du conseil.
— Il est énorme !
— Oui mais par mon petit trou…
— Pas mal, ça ! T’en penses quoi, Mamadou ?
— Je veux voir.
— Bien. Mademoiselle, notre chef testeur de candidats est un expert en la matière. Acceptez-vous de nous montrer votre anus ?
— Oui.
— Ça vous fait sourire ? Pourquoi ?
— Oui, en fait, c’est parce que j’ai eu droit à un entraînement intensif, alors…
Lou présenta son cul nu aux quatre hommes qui se reculèrent alors un peu de la table en soupirant, extrêmement satisfaits. Mamadou se leva, préoccupé.
— Mademoiselle, vous permettez que je touche ?
— Bien sûr !
L’homme caressa les fesses de Lou. Elle remarqua ses yeux plissés, son interrogation profonde.
— C’est quoi, le problème ?
— Je me dis…le totem, il est énorme. J’ai peur que cela ne rentre pas et que l’on perde de l’audimat à cause de ça…ç
— Ça rentrera !
— Sûre ?
— Oui !
— J’aimerai voir…
— Allez le chercher ce fichu totem !
— On ne peut pas… mais j’ai une idée…si mes collaborateurs sont d’accord…
— C’est quoi, votre idée ?
— Et bien, je suis monté comme le totem. Alors…on pourrait…
— Bien. Allez-y ! enculez-moi, Monsieur Mamadou !
Les quatre hommes se redressèrent en tirant sur leurs pantalons, très intéressés par cette fille qui était naturellement une gagneuse.
Mamadou extirpa de son pantalon une énorme bite. Rapidement Lou eut un sourire de dédain devant les quasi trente centimètres de chair noire. Sans attendre, il la força à sec. Il l’encula centimètre par centimètre, inexorablement. Au bout de trois minutes, la bite était entièrement en elle. Toute rouge, Lou rigola, fière.
— Alors ?
— Bien bien bien… mais il faudra monter et descendre sur le totem, que la scène dure et que ça luise dans l’obscurité… je vous rappelle qu’il fera nuit.
— Mais je sais faire. Monsieur Mamadou, couchez-vous par terre, vous allez voir !
Aussitôt, Mamadou se coucha et Lou, accroupie sur lui, empalée comme une oie blanche s’activa à coulisser sur la tige de chair de bas en haut. L’homme ne put se contenir plus de deux minutes et il gicla au fond de son cul.
— Oh la put… la candidate parfaite ! Je valide !
— J’ai réussi !
— Pas si vite vous n’êtes pas la première candidate qui sait utiliser son cul, ce matin…
— Nan ? Les putasses !
Et là, Lou sentit que son rêve ne tenait qu’à un fil. La concurrence s’avérait rude. Il fallait cravacher davantage pour obtenir ce fameux ticket pour la célébrité. La barre était haute. Elle embua ses yeux, ses lèvres tremblèrent.
— Mais je ne sais rien faire d’autre que star, moi ! C’est ma vie, ma passion ! Je suis née pour ça ! Je n’envisage pas autre chose, jamais ! Je préfère me tuer si je n’y arrive pas ! Qu’est-ce que je pourrais faire d’autre de ma vie hein, je vous le demande ?
— Bin put…
— Vous avez le potentiel, Lou ! C’est indéniable !
— C’est vrai ? Merci…
Tandis qu’elle se relevait et que la bite de Mamadou sortait de son cul dans un gargouillis liquide. Elle regarda dans les yeux les trois autres hommes en secouant la tête, éplorée.
— Je suis prête à tout ! Vous savez, avec mon amie, on a même fait un stage intensif avec des hommes qui nous ont travaillé le corps des mois avec l’aide de mon papa. C’est pour vous dire la volonté !
— Avec…papa ?
— Oui ! Il cherchait des messieurs sur les réseaux sociaux puis on mettait en pratique des séances intensives. Pour être prêtes à passer tous les castings et faire…je sais pas, moi, par exemple la somnambule sr un totem, des trucs comme ça…Je vous dis qu’on est super-prêtes, ma copine et moi ! Je dis ma copine parce que c’est ma meilleure copine, on est comme les dix doigts de la main, on fait tout ensemble ! Je la veux avec moi, voilà mes conditions si ce n’est quoi, None !
Les quatre hommes se regardèrent, estomaqués par les dires de cette put…candidate. Ils semblaient penser la même chose, et en un accord tacite très rapide, ils acceptèrent les candidatures des deux filles.
— On n’a pas encore vu votre copine mais on dit oui. C’est quatre oui !
— Oh trop trop contente, je suis ! Vous êtes génials !
— Géniaux…
— Oui, aussi !
— Mais on a un petit truc à voir ensemble. C’est comme une dérogation pour votre amie alors…on a besoin d’un renvoi d’ascenseur en retour… on fait accord ainsi ?
— On fait ça ! Ma copine, elle va être super contente ! Mais pour l’ascenseur, je ne vois pas…si il y en a un à l’hôtel…
— Quel hôtel ?
— Celui du bout de la rue…
— Parfait. Et votre copine, elle est jolie, au moins ?
— Comme moi ! Presque deux surs !
— Génial ! Deux put…ains de candidates, vous allez être adulées !
— Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Notre rêve !
Le soir venu, les quatre hommes, ainsi qu’une dizaine d’autres gars, essentiellement des gros blacks qui étaient en postes de vigiles pour le casting de la journée les baisèrent dans la chambre d’hôtel qu’elles avaient louée. Elles avaient été tellement contentes de voir arriver les quatre recruteurs avec du champagne et ces quelques "amis" pour faire la fête et célébrer leur réussite…
Lou et Anna avaient dansé, rageuses, ivres de bonheur d’avoir supplanté des centaines d’autres nanas juste avec leur talent pur…
On les emmena ensuite dans un loft de luxe. On leur expliqua que la saison ne débutait que dans six semaines mais que d’ici là, elles pouvaient amener leurs affaires ici et vivre ensemble, tous frais payés. Elles devaient juste refaire un stage intensif pour être au top le jour J et pour cela, l’idée géniale du père de Lou de les faire travailler sans cesse avec des hommes s’imposa. Bien sûr elles contestèrent mollement, arguant que ce la était bien inutile désormais qu’elles étaient des stars en devenir mais on stoppa net cette suffisance avant l’heure. Il fallait encore progresser dans les attitudes, les postures de filles qui font ça, ces émissions. Alors elles devaient en montrer davantage. On leur imposa des bas résille et des escarpins noirs pour seuls vêtements, histoire de travailler les cambrures.
Ces séances se passèrent six jours sur sept dans une cave sombre et humide d’une cité. On leur expliqua que plus c’était sordide, plus le luxe à venir allait les magnifier et les faire gagner haut la main la compétition. On leur expliqua que jamais la production n’avait eu entre ses mains des filles tellement…des filles tellement, quoi.
Des mecs que Mamadou encadrait et qu’il appelait "les profs " venaient à la chaîne sauter Lou et Anna dans ces pièces minuscules ou on avait jeté des matelas. Mamadou se faisait appeler le comptable pendant toute cette période. Les deux filles ne surent jamais pourquoi.
Peut-être parce que dans son village d’Afrique Mamadou, il était autrefois un monsieur qui disait des contes, à une table…alors…comptable ?
Anna avait dit ça un jour tandis qu’il brassait des dizaines et des dizaines de billets de cent euros. En tout cas, cela avait bien fait rire la cité. Anna et Lou s’étaient surtout dit que Mamadou, il devait être riche, et que ça rapportait, testeur de candidats !
Les filles, aujourd’hui, vous avez épongé cent dix-sept "profs" à vous deux. Bravo !
Le soir, dans le loft de luxe, les deux filles jubilaient. Les soirées de Prime, les caméras, le public, les dizaines de millions de téléspectateurs…c’était bientôt !
— On a réussi sans se faire avoir, parce que la capitale, c’est la jungle, quand même !
— Tu sais, il y a Kader, tu vois, Kader ?
— Celui qui vient tous les jours avec ses frères et cousins ?
— Oui, lui…et bien il m’a dit que quand je serai célèbre, il est prêt à m’offrir une vie de rêve au soleil dans une ville de son pays maghrébin. On pourrait alors postuler pour les émissions de télé-réalité de là-bas !
— Mais ? Tu crois qu’il y en , là-bas ?
— Bien sûr ! Il m’a dit ça s’appelle.."L’atret’déblanch "ou un truc comme ça… il riait fort avec ses cousins alors j’ai pas tout compris mais ça m’intéresse ! Il a déjà calculé que les "profs" de là-bas ne nous laisseraient quasiment pas de temps libre car c’est encore plus physique qu’ici mais on aurait une popularité de fou dans ce qu’il a appelé le bordel.
— Le bordel ?
— Oui, parce que c’est sûrement le bazar dans ces pays, tu sais…
— J’adorerais être entraînée au soleil… je crois que je vais accepter sa proposition pour la suite…