Mon mari est lâchement mort quand javais 48 ans. Javais encore besoin de lui, de son sexe en moi. Depuis je me contente seule, mais ce nest pas pareil, même si ma main sait exactement où se placer. Je suis passée hier dans un magasin pour acheter un soutien gorge. Jai demandé à la vendeuse de venir voir comment je serais avec celui choisi. Elle ma à peine effleurée. Pour la première fois jai eu envie dune fille, elle. Drôle de surprise quand le soir au restaurant elle était là au bar. Son sourire ma autorisé à la faire venir à ma table. Nous avons bavardé de la vie, de la sienne de la mienne. Après quelques minutes nous nous sommes tutoyées comme des amies. Je nai pas osé lui demande de venir avec moi, chez moi. Je lui ai donné mon numéro de téléphone
Plus tard, chez moi, elle ma appelée pour me dire des choses tendres que je nattendais plus. Elle ma donné envie delle, je le lui ai dit. Alors :
-« Tu es habillée comment ? Si tu es nue, ne te caresse pas, surtout pas maintenant. Je te dirais quand le faire. »
Pourtant le son de sa voix me donne envie de me caresser. Cest dur de rester ainsi avec lenvie au ventre.
-« Jai envie de toi, de ton corps, je veux te faire jouir. Je suis nue moi aussi, je caresse mes seins. Tu peux te caresser la poitrine, dis moi ce que ça te fais. »
— Jai envie de toi, de tes mains. Dis-moi de me caresser la chatte.
-« Non, pas encore. Mes bouts durcissent sous mes paumes. Toi aussi, ils grossissent sûrement. »
-Je dois me branler, même si tu ne veux pas.
— « Attends que je le demande, je mouille rien que tentendre ta voix. Il me semble même que mon cul participe à notre amour. »
— Sil te plait, laisse-moi me toucher.
— « Pas encore, patiente, ce sera meilleur tout à lheure. Tu sais : je me toucherais aussi, nous pourrons jouir ensemble, se sera bien meilleur. »
— Je me caresse à peine le bout de la poitrine. Je te veux.
-« Moi aussi je te veux, je voudrais te lécher partout, les seins, les bras, le ventre, mm !! Le ventre. Il doit être tendre à ma bouche. »
— Je te mords aussi : tu es douce à ma bouche. Je te veux, je veux te bouffer toute.
— « Oui, mordille moi, cest bon. Mes mains caressent tes seins, encore ton ventre. Elles sont sur tes fesses. Elles sont agréables à caresser, il me semble sentir ta raie. Ah, ta raie.
— Oui, passe ta main dans la raie. Elle sécarte pour te laisser passer. Mets-moi un doigt dedans.
-« Tu sens passer mon doigt dans ton cul ? Il est doux, jentre facilement, tu aime te faire branler le cul, salope. »
— Oui, je suis une salope pour toi, rien que pour toi, mon cur. Et toi, est ce que tu te touche ?
-« Pas encore, je passe ma main entre les cuisses. Il me semble que cest toi. Tu peux te toucher lanus et, je suis gentille, tu peux faire entrer ton doigt au fond. Branles toi le cul »
— Oui, mon doigt entre comme si cétait toi. Je me baise le cul, cest bon. Et toi, tu tencules ?
-« Oui mon doigt est en moi : je le fais aller et venir. Tu peux te toucher la moule, ne bouge pas ta main, bouge ton corps autour de la paume. »
— Cest difficile de bouger comme ça. Jai envie de te désobéir, te me toucher normalement.
-« Et puis quoi encore, je dirige ta masturbation. Cest moi qui commande, qui te fais jouir comme je le veux, pas comme tu veux. Contentes toi de ton cul. »
-Oui, mais jai envie de me faire jouir. Je te suce labricot. Il a bon goût. Suçons nous, faisons un 69. Tu aimes.
« Bien sur jaime les filles, leur jus, surtout leur jus. Tu as déjà léché un con ? »
-Jamais. Je me goûte de fois en ma caressant.
« Tu ne sais pas ce que tu manque. Cest bon la cyprine dune autre dans la bouche. Jaime lécher les filles. Tu me lèches, là. ?
-Oui je te lèche lentement. Il me semble que ma langue trouve ton con juteux. Tu dois beaucoup mouiller ?
— « Oui, je suis trempée. Ta langue me fait du bien, lèche moi profond, entres-là dans le fond de mon vagin. »
— Je ny tiens plus, je veux jouir.
-« Oui, touche toi bien fais aller et venir lindex seul sur le clitoris. Cest bon ? »
-Oh, oui, cest bon, Jaime me branler. Il me semble que cest tes doigts qui me caressent. Tu sais je vais jouir. Et toi ?
— « Je fais comme toi, je me caresse doucement tes doigts me font du bien. Maintenant tu vas jouir, je le veux. Jouis !!
— Oui, je pars je délire sur les doigts qui me font du bien, cest bon je sens que je viens. Ça y est, je jouis. Et toi ?
-« Moi aussi je jouis, je sens ma chatte palpiter, cest bon de te baiser. »
Je raccroche après lavoir laissée seule. Je sais que demain je vais marranger pour passer la nuit avec elle, ma première fille. Je verrais après si je continue avec elle.