Ma petite soumise, j’ai un nouveau jeu pour toi !
Depuis ce matin, je t’ai fait boire 1,5 litre d’eau et je t’ai interdit d’aller aux toilettes. La porte des WC est fermée à clé. Tu es donc là, à genoux, à mes pieds, pendant que je regarde tranquillement la télévision. Tu te retiens mais c’est dur, tu te dandines, la vessie pleine de toute cette eau. L’envie d’uriner commence à se faire pressante.
Comme à ton habitude, tu es toute nue avec juste un collier et une laisse. Tu ne dis rien mais je remarque que tu commences à être au bout de ta patience. Tu lâches de temps en temps des petits gémissements et ta main se crispe sur ton entrejambe. Tu te retiens piteusement. Je le remarque et au bout d’un temps qui te semble une éternité, je décide qu’il est temps de m’occuper de toi !
J’éteins la télévision, je me lève et je me tiens droit devant toi. Tu lèves la tête et tu me regardes avec des yeux suppliants. Je t’ordonne alors de te mettre à quatre pattes. En bonne soumise, tu t’exécutes sans discuter. Je sors alors d’un tiroir un serre-tête avec des jolies petites oreilles en fourrure ainsi qu’un gros plug anal serti d’une petite queue de chien toute grise. Je me baisse et j’enfonce le plug dans ton cul sans même te préparer. Tu es tellement dilatée avec tout ce que je te fais subir qu’il rentre sans problème ! Ensuite je te mets le serre-tête. Je sors aussi du tiroir un tout petit museau de chien en plastique avec un élastique que je fixe autour de ta tête et que j’applique sur ton nez. Je regarde mon uvre, satisfait !
Tu ressembles vraiment à un petit animal, une vraie petite chienne salope ! A genou devant moi les deux mains repliées, tu fais la belle en espérant un su-sucre ! Mais tu seras bien surprise…
Pour finir le tableau, je vais chercher des escarpins noirs vernis compensés à talons aiguilles de 25 cm de haut. Ils sont gigantesques. Je te les passe et je te demande de te redresser. Tu mets les deux pieds par terre mais tu tombes tout de suite à genou. Les talons sont tellement vertigineux et fins que tu n’arrives même pas à te mettre debout. Je suis très fier, comme ça tu pourras rester à quatre pattes comme une bonne chienne que tu es. Je sors alors ma queue de mon pantalon et je te la présente. Tu l’as saisi dans ta bouche et tu commences à la sucer avidement. Tu me têtes le gland comme le veau le ferait avec le pis de la vache. Tu es gourmande.
Mais au bout d’un moment de cette fellation, l’envie de pisser refait surface ! Impérieuse et impossible à contenir. Tout en me suçant, tu frottes tes cuisses, tu gigotes ton derrière dans tous les sens ! Tu n’en peux plus. Tu espères que je le remarque et que je t’autorise à aller te soulager ! Mais je fais mine de ne rien voir… C’est si bon de te voir en souffrance comme cela ! Dans un ultime effort, tu tentes de te retenir mais tu ne peux t’empêcher de lâcher quelques petits jets de pisse sur le sol. Malheureusement pour toi, je m’en aperçois ! Je retire ma queue de ta bouche et te donner une grande claque sur le visage.
« Petite pute dégueulasse ! Tu pisses sans mon autorisation ? Tu n’es vraiment qu’une chienne mal élevée. Je vais te punir bien comme il faut ! Et comment punir un animal mal élevé? »
Je regarde ce que je peux trouver sous la main pour t’infliger un châtiment à la hauteur de ta faute ! Je remarque alors que nous avons près de la fenêtre une petite raquette à décharge électrique contre les moustiques. Je m’en saisis et je m’approche de toi. Je te saisis par la nuque et je pose la raquette délicatement sur ton cul avec un sourire sadique. Je déclenche une décharge. Tu sursautes violemment tout en lâchant un petit cri car la douleur est très aiguë ! Tu ne t’attendais pas ce que cela fasse si mal ! Une petite trace de brûlure rouge sur ta fesse marque l’endroit où la décharge est passée. Tu sens que tu vas souffrir de ton manque de retenue ! Je recommence avec une autre décharge ! Tu cries de douleur cette fois ! Malheureusement pour toi la décharge a focalisé toute ton attention et tu n’as pu retenir ta vessie. De nouveaux jets sortent de ton trou… Tant pis, tu cèdes ! Tu lâches tout salement sur le sol. Quel soulagement ! Tu ne t’arrêtes plus de pisser. Une énorme flaque couvre le parterre. Tu as les genoux dans ta pisse, tu sanglotes comme une enfant.
« Pardon mon maître… Pardon… Je ne pouvais plus me retenir… »
La rage m’emporte ! Je plaque la raquette sur tes fesses et je lance plusieurs décharges daffilée. Tu hurles, tu te trémousses, tu gigotes pour échapper à ce supplice. Mais je te maintiens fermement et je continue la torture ! Tes fesses sont marquées de plusieurs impacts rouges. Je pose enfin la raquette et je te finis par une monumentale fessée à main nue. Tu pleures sous la rudesse du traitement, mais l’excitation du châtiment est là ! Tu mouilles !
« Tu es une pute malpropre qui n’arrives même pas à se retenir de pisser ! Sale chienne, tu vas voir ce que tu vas prendre. »
J’arrache d’un coup le plug queue de chien de ton fion. Il sort avec un « plop » dégueulasse. Je me place derrière toi et je plonge ma bite bien au fond de ton trou du cul. Tu cries sous la pénétration de mon engin. Je te baise alors sans ménagement. Tu es à quatre pattes dans ta pisse, le cul offert, en train d’être défoncée par ma grosse bite. L’humiliation que tu subis t’excite au plus haut point ; tu mouilles à grosses gouttes. Je te baise comme ça pendant au moins 15 minutes ! Je te plaque la tête à même le sol, dans ta pisse. Tu as de l’urine sur le visage. Tes cheveux sont trempés. Mais tu te dis que c’est bon d’être ma chose ! Mon trou à sperme !
Moi je redouble d’ardeur dans ton cul. Ça claque à tout va. Mon bassin tape sur tes fesses à un rythme effréné. Tu n’en peux plus et finalement tu pars dans un orgasme foudroyant. Tu hurles ton plaisir ! Tu me dis que tu n’es qu’une chienne, une pute, que tu aimes que je t’humilie comme cela.
Je plante alors ma bite bien profondément dans ton fondement et je me vide de tout mon sperme. Tu sens le liquide chaud couler dans tes intestins. Les spasmes de mon gland qui gicle, quel bonheur. Tu es remplie. T’as vessie est vide mais ton cul est bien plein.
Je me dégage enfin de ton fion et je te traîne alors dans la salle de bain. Je te mets sous la douche et j’ouvre le jet. Je te lave sans ménagement. Quand tu es bien propre et encore humide de la douche, je te sors du bac et je te plante à nouveau ma queue dans la bouche.
« Allez suce-moi à nouveau petite pute j’ai encore du sperme pour toi. »
Et je te rebaise la bouche avec ardeur ! Tu as gardé ton serre-tête et avec tes petites oreilles, tu ressembles vraiment à une petite chienne. Docile, tu ouvres bien ta bouche et je te rentre ma queue jusqu’à la garde. Mes couilles bien plaquées contre ton menton, tu étouffes, tu râles, mais je me vide quand même au fond de ta gorge. Le sperme déborde de ta bouche et coule sur tes nichons. Je retire d’un coup ma bite et je te mets une grande claque.
« C’est comme ça qu’on traite les petites chiennes souillon ! »
Tu me regardes les yeux rouges, la bouche défoncée et les nichons couverts de sperme. Tu me souris car tu as bien pris ton pied toi aussi !
« Merci Maître ! Votre sperme est divin ! Je mérite d’être traitée comme une chienne. » Tu es heureuse !
Satisfait je t’autorise un peu de repos avant la suite…