Comme prévu, Muriel, belle blonde de vingt et un an, amène son jeune frère Bastien, passionné de cyclisme, voir l’arrivée de la course.

Son mari, Florent est resté à la villa pour faire une petite sieste.

Il fait un temps caniculaire. Muriel est vêtue d’un petit short et d’un débardeur, et Bastien, d’un bermuda et d’un sweet.

Ils arrivent de bonne heure pour pouvoir être contre les barrières de sécurité.

Bastien s’y colle, protégé par Muriel, juste derrière lui.

Elle passe une jambe sur le côté, et pose son pied sur la barrière.

En une demi heure, une foule considérable s’est formée derrière eux. Ils sont littéralement plaqués contre le dispositif de sécurité.

D’un coup, Muriel sent une main d’homme se poser sur sa cuisse droite. D’un mouvement de la jambe, elle la repousse.

L’assaut se répète deux ou trois fois.

Muriel, les mains encrées sur la barrière ne peut guère se défendre.

Cette fois, la main se pose sur les fesses, et s’insinue doucement entre les cuisses de Muriel.

Elle avance son bassin pour éviter le contact, en vain.

Les doigts écartent le short, et commence à parcourir les lèvres de la chatte de bas en haut, jusqu’au clitoris.

Muriel se sent prise. Les doigts pénètrent légèrement la fente. La situation est dangereuse. Mais n’est-il pas excitant de vivre dangereusement. Elle ne peut pas se retourner. Mais le veut-elle vraiment. Ne préfère-t-elle pas se laissé faire sans savoir.

Les lèvres de Muriel commence à devenir humides.

L’homme en profite pour ajouter un deuxième doigt, et pénètre la chatte de la jeune femme.

"Quel salaud, pense-t-elle, il a sorti mon bouton" Le bassin de Muriel ne se dérobe plus, au contraire. Elle cambre ses reins pour mieux se faire prendre. elle mouille de plus en plus, son clitoris est en feu.

Les doigts commencent leurs va et vient. Muriel décale son pied de la barrière pour s’écarter d’avantage.

Sa poitrine durcit, elle sent le bout de ses seins tendus sous le débardeur.

Et ces doigts qui sont en train de la mener vers la jouissance. Sa respiration s’accélère. Elle veut retarder l’échéance, c’est tellement bon. Si bon qu’elle ne peut plus résister, elle joui.

Elle profite du passage du peloton, et de la fougue des spectateurs, pour hurler son plaisir.

Elle parvient à libérer une main, et la porte entre ses cuisses pour retenir les doigts qui la fouille.

Elle sent la cyprine couler sur ses cuisses.

Les doigts se retirent. elle prend vite un mouchoir pour colmater les fuites.

Les spectateurs se déplacent vers la ligne d’arrivée.

Muriel se retourne. Mais qui cela peut-il être?

Vers dix huit heure, elle pose son frère chez ses parents, et rentre chez elle.

-Alors ma chérie, c’était bien, demande Florent.

-Super , répond Muriel. Mais je suis en nage. Avec cette chaleur. Je vais prendre une douche.

-Vas-y, dit-il, j’irai après.

Quand elle revient, Florent est avec Bruce, son frère ainé âgé de vingt cinq ans.

-Tiens, le beau gosse, sourit Muriel, quel hasard de te voir, çà va.

-Très bien, répond-il en l’embrassant. J’étais dans la région, je suis passé vous dire bonjour.

-On peut l’héberger? Demande Florent à sa femme.

-Bien sur, répond-elle, il y a la chambre d’ami.

-Bon, c’est réglé, dit Florent. Allez, pendant que tu prépare l’apéritif, je vais prendre une douche.

-Tu veux un coup de main, propose Bruce.

-C’est gentil, répond Muriel, prépare les glaçons.

-Du as passé un bon après midi? Demande Bruce.

-Trop de monde, çà va que c’est pour mon frère.

-C’est bien quand il y a du monde, poursuit Bruce, on peut se faire doigter sans se faire remarquer.

Muriel s’arrête net. Devient toute rouge. Elle se retourne lentement.

-Rassure moi, c’est pas toi qui m’a fait çà. Tu aurais pas osé faire çà a ton frère, dit Muriel en haussant la voix.

-Chut, calme toi, dit Bruce, Florent peut nous entendre.

Je sais, j’ai fais une bêtise, mais tu étais tellement attirante, j’ai pas pu résister.

Muriel s’assied, le visage entre ses mains.

-Mon dieu, si mon mari apprend çà. Et en plus tu m’as faite jouir, que c’était bon.

-Florent n’en saura rien, promet Bruce. Tu vois que tu t’es régalé.

-Mais je suis une femme, répond-elle en larmes.

-Demain, je serai parti, poursuit Bruce. En attendant il faut que Florent ne se doute de rien. Allez, ne pleure plus.

-De quoi parlez vous tout les deux? demande Florent

-De tout et de rien, répond Muriel.

Ils passent vite à l’apéritif.

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