Salut c’est votre folle de lycra
Je suis Sophie, une grande et jolie fille vivant avec ma maman à Méréville le weekend et le reste de la semaine à Gif pour pouvoir suivre mes études. Je vis chez Élodie, une grande et jolie fille qui me ressemble beaucoup, qui elle vit chez ses parents. Ma maman Muriel est la meilleure amie d’enfance de Caroline, la mère d’Élodie, petits détails nous avons juste un jour d’écart et je suis la benjamine. L’année dernière nous suivions des cours de biochimie mais Élodie a jeté l’éponge car elle pataugeait, cette année, elle se lance dans une école de commerce bref elle change complètement d’orientation. Nous nous connaissons depuis notre plus tendre enfance, je n’ai jamais connu mon père et celui d’Élodie se prénomme Gilles. Toutes les deux adorons aller nous promener sur Paris car nous sommes bien belles et nous adorons voir le regard des hommes se retourner sur nous. Du haut de nos mètre quatre-vingt-deux, nous sommes très fières de nos plastiques, mais nous désirerions aussi avoir une tête bien pleine.
Avec mon amie d’enfance, nous étions très intimes au point de quelquefois jouer à touche-pipi, en fait notre grand plaisir était de sentir nos culottes et nous nous tapions des délires dessus. Il nous est même arrivé de sentir les culottes de sa maman, c’est Élodie qui m’avait convertie au lycra, nous aimions les tangas mais surtout les grandes culottes qui couvraient le maximum de notre corps. La douceur de cette texture nous faisait des frissons partout, voilà pourquoi nous prenions grand plaisir à nous caresser. Dans la maison de Caroline il y avait deux chambres d’amis, mais l’une chambre m’était réservée, bien que souvent je dorme dans le lit d’Élodie. Quand l’une avait des pulsions sexuelles, l’autre avait les mêmes au même moment, régulièrement nous échangions nos culottes, nous adorions ce mélange d’odeurs. Depuis peu nous étions passées à la vitesse supérieure, à savoir que nous nous amusions désormais à nous doigter le minou. Ensuite nous nous sucions les doigts, il y avait un érotisme torride lors de ces séances de dégustation, d’autant que chaque fois nous prenions grand plaisir à avoir un regard provocateur.
Caroline savait que nous jouions à touche pipi, car elle nous avait surprises à plusieurs reprises, elle prenait ça avec beaucoup de recul et surtout le sourire. Tout comme je ressemblais beaucoup à Élodie, Caroline ressemblait beaucoup à ma maman. Depuis une semaine ou deux nous avions envie de passer à la vitesse supérieure, à savoir nous donner des coups de langue sur nos abricots. Déjà quand je sentais les culottes de sa maman, je m’imaginais en train de lui butiner la friandise. Bien évidemment c’est Élodie, Plus délurée que moi, qui a passé le cap en se faufilant un jour sous les draps et en venant s’attarder entre mes jambes. C’était la première fois qu’elle faisait ça mais sa prestation était divine, pour la première fois de ma vie, je lui tenais la tête car je voulais qu’elle continue, qu’elle me fasse le plus de bien possible.
— Vas-y ma chérie tu me fais un bien fou
Elle s’y prenait tellement bien que rapidement je me suis mise à crier, j’ai été obligée de prendre l’oreiller pour me faire taire.
Quelle ne fut pas ma honte de me faire surprendre par Caroline en train de me faire butiner la friandise par sa fille. Comme d’habitude elle a pris ça avec le sourire et a demandé à sa fille de ne pas cesser.
— Je constate que vous êtes en train de passer un cap.
— L’important c’est que vous preniez du plaisir, quelle que soit la façon dont vous y parvenez.
Avec mes grands yeux bleus, je la regardais mais surtout je l’écoutais, j’étais rassurée que l’on ne se fasse pas réprimander. De son côté Élodie était imperturbable et continuait à me brouter mon minou.
— Bon les enfants, je vais vous laisser car vous êtes en train de me faire mouiller ma culotte.
J’appréciais beaucoup le naturel de sa maman, car elle avait toujours le talent de nous rassurer. Élodie a insisté avec sa langue, tant et si bien que j’ai fini par jouir de sa prestation. C’était la première fois de ma vie que quelqu’un me faisait jouir avec sa langue et cela m’a complètement secouée et épuisée, tant la jouissance venait de loin.
J’ai tellement crié fort que Caroline est revenue, je n’avais même plus honte tellement j’étais dans les nuages du septième ciel.
— Tu te rends compte ma chérie, on t’entend dans toute la maison quand tu cries de plaisir.
Sa fille sortait de sous les draps, avec un grand sourire, ses beaux yeux bleus et le visage plein de ma cyprine. Pas du tout gênée par sa maman, elle est venue m’embrasser devant elle et j’ai ainsi pu de nouveau avoir le goût de mon minou dans ma bouche. Nous étions en train de devenir de véritables bisexuelles, mais cela n’avait pas du tout l’air de gêner sa maman.
— Bon les Minettes, vu que vous êtes en pleine forme, vous allez pouvoir descendre manger dans peu de temps.
— Par contre je suis au regret de vous informer qu’il n’y aura pas de tarte aux poils au menu ce midi.
Il n’y a pas à dire Caroline prenait très bien, en plus elle n’était pas dénuée d’un certain sens de l’humour. Elle nous a quittées et nous, nous avons fini de nous embrasser, avant de nous rhabiller pour descendre à table.
Le plus beau c’est que pendant que nous étions en train de devenir des petites gougnottes, à côté de ça, nous prenions un plaisir monstrueux à draguer les hommes et même aller un peu plus loin que ça. Nous étions donc en train de devenir aussi des petites allumeuses, vu que nous allions un peu loin avec les hommes, nous faisons attention à opérer toujours ensemble. Toutes deux allions sur nos vingt ans et je peux vous promettre que nous avions déjà embrassé beaucoup d’hommes, caressé beaucoup de sexes, pris beaucoup de priapes en bouche et fait dégorger beaucoup de poireaux. Par contre nos minous, il n’y a que nous qui y touchions. Tous les hommes avec qui nous avions eu des rapports en gardaient toujours un très bon souvenir, imaginez un jeune de notre âge qui à l’occasion de se taper deux jolies filles en même temps, en général ça marque à vie. Le plus beau c’est qu’à ces occasions, c’est nous qui dirigions les débats, nous aimons beaucoup prendre du plaisir mais aussi en donner.
Quand nous sommes descendues à table, Caroline et son mari nous attendaient, nous prîmes place et tous les quatre, nous sommes mis à parler de l’évolution de nos programmes scolaires. La mère d’Élodie était prof en fac et elle était toujours à la pointe de l’évolution scolaire dans son secteur de l’éducation. Le père lui était chef d’entreprise c’était une famille qui s’en sortait bien dans la vie. C’est à cette occasion que les parents d’Élodie lui proposèrent pour son stage, de partir en Asie, car à leurs yeux c’est là que tout se jouait et surtout l’avenir est là-bas pour ce qui est du commerce. J’ai trouvé ça super pour l’avenir de mon amie adorée, mais quand j’ai regardé à deux fois, je me disais que sur ce coup-là je ne verrais plus Élodie pendant très longtemps. Toutes les deux parlions très bien anglais, car nous partions régulièrement ensemble aux États-Unis, en Angleterre ou en Australie. Après le repas bien que toujours en chaleur, nous sommes reparties travailler nos cours, en général le matin nous nous laissions un peu aller par contre l’après-midi on travaillait plus que de raison sans que cela ne soit une corvée.
Malgré les odeurs de petites culottes souillées que nous portions, nous réussissions à nous concentrer sur le travail. Toutes les deux heures, à peu près, nous nous accordions cinq minutes de pause sous forme de baisers et de petits attouchements indiscrets, c’était un break très intime. Bien évidemment Caroline était au courant de tout et cela ne faisait que la faire sourire, de son côté le père était plus tracassé par l’état de santé de sa société car il la voulait toujours plus prospère, ce qui était déjà le cas. À la fin de la journée nous étions assez contentes de nous avions bossé jusqu’à 21h juste avec nos petites pauses coquines. Le plus beau c’est que c’est moi qui allais l’aider dans ses cours de commerce, alors qu’elle avait jeté l’éponge l’année dernière pour la biochimie. Quand nous sommes passées à table, le papa n’était plus là, il était reparti à son bureau; il ne pensait qu’à son travail. Caroline me considérait un peu comme sa deuxième fille, elle était toujours aux petits soins pour moi, comme elle l’était pour sa fille.
Après le repas toutes les trois sommes parties nous coucher bien évidemment Élodie et moi nous sommes endormies dans le même lit. En fonction des soirs nous dormirons chacune dans une chambre où toutes les deux dans la même, quand nous dormirons ensemble nous avions le choix, où toutes les deux dénudées ou alors habillées de longues et douces chemises de nuit toutes douces. Dès que nous étions ensemble sous les draps, cela sentait bon la femme en chaleur, cela avait la particularité d’éveiller nos sens à toute vitesse. Ce qui me plaisait avec Élodie, c’est que nous avions toujours les mêmes envies en même temps, que ce soit nous embrasser, nous caresser ou nous chatouiller le minou. On aurait dit un peu les frères Bogdanoff car nous étions même par moment capables de poursuivre la phrase de l’autre heureusement nous n’étions pas repoussantes comme eux le sont. Je pense sans vouloir me vanter qu’Élodie et moi avons dû inspirer beaucoup d’hommes lors de leurs plaisirs solitaires.
Quand nous étions au lit ensemble je prenais grand plaisir à picorer le corps de mon amie, j’adorais son odeur intime et corporelle, le must étant de sentir nos longs cheveux s’emmêler. Comme je vous l’ai dit depuis peu nous prenions grand plaisir à doigter nos minous et ensuite nous sucer les doigts. À ces occasions nous nous astiquions le berlingot, au point de nous faire jouir de plus en plus régulièrement. Ce soir-là pour rendre la pareille à Élodie je me suis glissée sous les draps pour descendre à la cave, le moindre de mes mouvements la faisait sursauter de désir. Le fait d’être sous les draps conservait les odeurs plus concentrées et cela sentait vraiment la marée mais surtout le désir. Je me suis bien positionnée entre ses jambes, j’ai posé mes mains sur ses cuisses. Je connaissais l’odeur et le goût de son nectar intime mais je ne supposais pas une seconde combien elle était excitée. À chacun de mes coups de langue elle donnait un coup de bassin, ce qui fît qu’en peu de temps j’avais le visage recouvert de cyprine.
De temps à autre, quand même, j’essayais de remuer un grand coup les draps pour renouveler l’air car il m’arrivait d’en manquer quand même. Ce qui m’embêtait, c’est qu’à chaque fois cela diluait l’odeur de son minou dont j’étais si friande, mais il fallait quand même que je respire. Je prenais un plaisir monstre à la butiner car elle était très réceptive, son clito, que je prenais déjà grand plaisir à exciter avec les doigts, là je le gobais. Avec ma langue je lui nettoyais le moindre recoin de ses lèvres et de temps à autre j’allais donner un petit coup de langue dans son vagin et même plus loin, vers son issue de secours. Tout son entrejambe était une zone érogène, même mon nez quand il frôlait ses parties intimes, lui faisait de l’effet. De temps à autre pour divertir mes mains, je les envoyais aller exciter la pointe des seins de ma partenaire qui, en plus d’être magnifiques, étaient vraiment très expressifs. Tout comme la mienne, sa poitrine était très proche de celle de Sophie Marceau, peut-être un peu plus opulente.
Par contre, à l’image des miens, la pointe de ses tétons était vraiment de grande taille, de grand diamètre de grande hauteur et surtout très fermes. Toutes les deux étions gênées quand ces derniers étaient érigés car ils étaient juste un peu plus petits qu’un dé de couture, du coup aucun vêtement ne pouvait dissimuler notre excitation. C’était vraiment un plaisir que de pouvoir offrir cette nouvelle prestation à Élodie, bien évidemment c’était mon coup d’essai mais je trouve que pour une première je m’en sortais bien et je lui procurais beaucoup de bonnes sensations. Maintenant Élodie poussait des cris qui sans aucun doute devaient sortir de la chambre, j’étais persuadée qu’elle avait pris l’oreiller pour essayer d’étouffer ses miaulements. Compte tenu de l’intensité de ces cris, ce n’est pas un oreiller qu’il aurait fallu, mais carrément la couette voire le matelas. J’étais vraiment fière de moi, de ce que j’arrivais à procurer comme sensations à mon amie. Par moment il lui arrivait de resserrer ses cuisses, elle ne voulait nullement m’immobiliser mais c’était juste nerveux. Je continuais, j’insistais je persistais avec mes coups de langue, car je voulais qu’elle aussi prenne son pied comme elle me l’avait fait prendre ce midi.
Pendant que je la savourais, il m’arrivait de lui caresser l’intégralité de ses cuisses tant sa peau était douce. Nous venions de franchir une nouvelle étape dans notre relation intime, elle était limite en sueur tant elle se dépensait à donner des coups de reins en réponse à mes coups de langue. Maintenant Élodie était en train de jouir, j’étais vraiment heureuse d’être arrivée à terme de ma première entre les jambes de mon amie. Je suis restée encore de longues minutes à lui exciter son petit abricot, elle en arrivait maintenant à me supplier que j’arrête. J’ai fini par céder à sa supplique, je suis donc réapparue de sous la couette pour venir me coller contre elle et surtout l’embrasser. Nos corps dénudés étaient collés l’un à l’autre, et je sentais que le sien était beaucoup plus chaud que le mien. Elle était légèrement en sueur ce qui faisait que ma peau accrochait à la sienne, les sensations en étaient décuplées. Vu l’état dans lequel était Élodie j’étais conscient qu’il allait lui falloir plusieurs minutes pour se remettre et ce qu’elle venait de vivre.
Pendant ce temps je ne faisais que l’embrasser et elle ne faisait que subir, je crois que c’est ça que l’on appelle être au septième ciel. J’avais l’impression qu’elle regardait le plafond de sa chambre mais elle se limitait à le voir. J’essayais de la faire revenir parmi nous en lui embrassant et suçant un peu la pointe de ses tétons érigés, mais elle était complètement déconnectée. J’en profitais pour savourer la douceur et le goût de sa peau. Au bout d’une bonne demi-heure Élodie s’est reconnectée à notre planète et elle s’est mise à m’embrasser avec passion en frottant son bassin contre le mien. Au fond de moi je me disais qu’un jour ou l’autre il allait falloir que l’on se fasse pénétrer car il ne manquait plus que ça un notre plaisir qui était déjà énorme. Ce qui me plaisait, c’est que maintenant à chacun des mouvements de nos jambes une odeur de minou remontait à la surface pour mon plaisir olfactif. Bien que prenant grand plaisir à chauffer des hommes, nous étions en train de devenir de sacrées gougnottes.
Après cela nous nous sommes endormis dans les bras l’une de l’autre, tel un couple amoureux après l’amour.
— Allez les petites goudous, il va falloir songer à se réveiller.
C’est sur ces mots que Caroline nous a réveillés le lendemain matin vers onze heures. Nous avions dormi d’un trait et je pense que nous avions dû nous endormir vers minuit et demi. Sa maman était vraiment ouverte d’esprit, car nous voir toutes les deux nues l’une contre l’autre sous les draps au réveil cela aurait pu troubler plus d’une maman.
— Alors comme ça on fait des galipettes la nuit et le lendemain matin on est cassées.
— Je ne sais pas ce que tu as fait à ma fille cette nuit, mais elle a vraiment crié très fort.
Les propos de la maman étaient en train de me faire rougir, et elle en remettait une couche.
— Manifestement Sophie tu es experte pour faire quelque chose car même moi je n’ai jamais crié comme ça.
J’étais encore un peu plus mal à l’aise quand elle est venue s’asseoir sur le lit et qu’elle s’est mise à caresser les cheveux de sa fille puis les miens. Déjà mon minou était en train de se liquéfier de nouveau Caroline était en train de me faire de l’effet. En même temps c’est vrai qu’elle était magnifique, dans sa robe fourreau en lycra qui mettait les moindres courbes de son corps en valeur. En plus de ça, elle était très joliment maquillée, mais surtout elle s’était parée d’une fragrance formidablement excitante. Peut-être était-ce un peu paranoïaque, mais j’avais l’impression qu’elle était en train de vouloir m’exciter, de vouloir me chauffer, de vouloir me faire craquer pour elle. Je n’allais pas lui dire, mais maintenant mon minou était complètement trempé rien qu’à y penser. Elle était maintenant penchée sur nous de sa main droite elle nous caressait les cheveux de sa main gauche et s’appuyer sur mon bas ventre pour garder l’équilibre. La maman d’Élodie me faisait mouiller, mais nous en parlerons dans le chapitre suivant.
En espérant que cette nouvelle histoire vous plaise, je vous fais de gros bisous.
