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Merci de votre passage et bonne année ! – Chapitre 1




« Merci pour votre passage et bonne année 2018 ! »

Je hoche la tête pour remercier, remballe mes articles et file vers la sortie. Il ne me reste que quelques heures avant mon réveillon et je dois absolument finir de préparer mon intérieur pour accueillir ma famille. Je dois d’ailleurs absolument

« Madame, veuillez me suivre s’il vous plait »

Mon corps se raidit, mon sang ne fait qu’un tour. J’ai un léger déclic. Je regarde l’homme qui m’interpelle, il s’agit d’un homme de la sécurité assez imposant, 2 mètres de haut pour 100kg facilement. Il est vraiment musclé, cheveux bruns rasés court. Son ton est sec, ce n’est pas une question, c’est un ordre.

Je ne réfléchis pas et décide de le suivre. Après tout, je n’ai rien volé et les caméras de surveillance pourront l’affirmer. Nous arrivons dans son « bureau ». En réalité, il s’agit d’un meuble avec un ordinateur installé dans une réserve. Les caissières et les employés passent par ici pour prendre leur pause ou chercher du matériel.

–    Vous savez pourquoi je vous ai demandé de me suivre ? me demande-t-il enfin.

–    Non, je n’ai rien fait de mal et d’ailleurs je

–    Soyons sérieux, nous n’avons pas de temps à perdre. Soit vous me donnez ce que vous avez volé, soit je le prends moi-même sur vous.

Je suis abasourdie. Moi qui n’ai jamais rien à me reprocher, me faire suspecter de la sorte ? Un employé passe et me regarde avec tout son mépris. Pour prouver que je n’ai rien volé et en signe de bonne foi, je retire ma veste. Il en inspecte toutes les poches et pour aller plus loin, j’enlève également mon pull. Je n’avais pas prévu de l’enlever, et il ne me reste plus qu’un débardeur blanc, et mon soutien bien visible dessous. C’est un modèle blanc à dentelles, assez imposant au vu de la taille de ma poitrine.

–    Je vais vous demander de lever les bras s’il vous plait, m’ordonne-t-il à nouveau sur un ton direct. 

Il palpe mes hanches et mon ventre, en évitant soigneusement mes seins. Je suppose qu’un code doit le lui en empêcher. A force de me toucher -et sans doute à cause du froid, je sens mes tétons se durcir légèrement. J’ai toujours eu du mal à contrôler ça et c’est systématique chez moi en cas d’excitation. Pourtant, je ne peux pas dire que cette situation me mette vraiment à l’aise.

Il me demande de me retourner et me courbe légèrement vers l’avant. Je prends appui sur son bureau et il se met à vérifier mon pantalon. Ses mains chaudes sur mon corps froid me font un effet fou. Je vois cette armoire à glace me toucher partout avec ses énormes mains. Je devrais lui dire que je ne peux rien cacher sous mon slim, que sa fouille est trop consciencieuse, mais je n’en ai pas envie. Je me penche vers l’avant, et je courbe mon fessier vers l’arrière.

Pour la première fois, je vois qu’il réagit. Il semble hésitant, puis monte légèrement ses mains vers mes hanches. J’adore cette sensation, celle d’avoir une influence sur quelqu’un qui pensait avoir mon ascendant. Pour accentuer ça, je soupire légèrement et je tends et relâche mes muscles, pour lui en mettre plein la vue. Il remonte les mains, les passe sur mes fesses, et moi je me courbe. La tension est palpable. Je sens qu’il marque un temps d’hésitation.

Soudain, il me retourne brusquement, me soulève et me dépose sur son bureau. Il m’embrasse d’un coup et m’empoigne avec ses énormes mains. Ça y est, j’ai gagné. J’ai fait craquer le mec de la sécurité. C’est une sensation de victoire indescriptible, celle de faire complètement perdre le contrôle à un homme.

Il retire mon débardeur, et mon soutien d’un claquement de doigt expert. Je ne me suis pas trompé sur son compte, c’est sûrement un bon coup ! Je m’occupe, presque par réflexe, de défaire sa ceinture et lui abaisse son pantalon.

Sa bite est déjà au garde-à-vous. Je la dévore des yeux, elle doit faire 19cm sur 5cm de circonférence. Une belle bête ! J’ai envie de la prendre en bouche mais mon prince rugit comme une bête sauvage. Aucune chance de le calmer avec une pipe, c’est certain ! Il arrache presque mon slim moulant en tentant de me l’enlever. Décidément, j’ai vraiment réussi à le rendre fou.

Il se place à l’entrée de ma vulve et sans prendre le temps de lubrifier, s’enfonce en moi d’un coup brusque ! J’ai le souffle coupé sous le choc. Heureusement que cette situation m’a trempée, il est entré d’un coup. Je me serre contre lui et il commence les va-et-viens.

Je remarque que sa bite n’était pas complètement entrée, puisqu’elle s’enfonce plus à chaque mouvement. Je la sens avancer en moi, je la sens me défoncer. Je perds aussi le contrôle et je me mets à crier. C’est trop bon ! Ma chatte dégouline de cyprine, tout mon corps bouge au rythme des pénétrations. Il accélère le rythme, je n’arrête pas de crier de plaisir.

–    Quelqu’un pourrait entrer dans la pièce, me souffle-t-il sans ralentir.

–    Je m’en fous, donne-moi tout !

Je me rends compte que j’ai presque hurlé cette phrase, et là je vois toute la malice dans les yeux de mon partenaire. Je me suis trompé, ce n’est pas moi qui lui ai fait perdre le contrôle, c’est lui qui me manipulait depuis le début. J’ai perdu, mais la défaite a un goût délicieux. Autant en profiter au maximum. Je ne contrôle plus rien :

–    Prends-moi par derrière !

–    Comme tu voudras, me répondit-il d’un ton presque enjoué. 

Il me retourne sur un bureau voisin au sien, j’ai les seins plaqués sur le meuble froid. Il veut me prendre en levrette. Il récolte un peu de cyprine qui coule le long de mes jambes, et enfonce deux doigts dans mon anus. La sensation est trop bonne. J’ai déjà pratiqué de nombreuses fois la sodomie, mais je ne l’ai plus fait depuis quelque temps.

Sa patience a des limites, il enfonce son chibre d’un coup en moi. Je n’ai pas le temps de profiter de la sensation qu’il commence déjà ses allers-retours. Il me pilonne sans vergogne. En même temps, il glisse sa main vers mon entrejambe. Je hurle :

–    Non, pas ça !

Il m’ignore volontairement. Il frôle à peine mon clitoris gonflé de sang que je jouis. Je crie de plaisir et j’ai des convulsions. Je m’effondre sur le bureau et il continue de me défoncer en jouant avec mon clito. J’ai perdu tout contrôle de la situation.

Quand je relève péniblement la tête, toujours en train de me faire fourrer, j’aperçois un employé.  Quand est-il entré ? Il me regarde avec des yeux remplis de pensées salaces Je me retourne et je vois mon partenaire me regarder avec un grand sourire, comme preuve ultime que c’est lui qui a gagné le contrôle sur moi. Je n’ai plus la force de lutter, je me fais défoncer le cul devant ce vendeur et ça m’excite.

Je descends lentement la main vers mon bas-ventre, et je stimule mon clitoris. Il me faut moins d’une minute pour être traversé d’un puissant orgasme. Je sens une décharge dans tout mon corps, j’ai des convulsions et je m’écroule sur le sol, épuisée par la puissance de ce que je viens de ressentir.

Le garde de sécurité ne compte pas m’offrir de répit et me saisit pas les cheveux pour me relever la tête. Il enfonce sa bite dans ma bouche. Elle est gonflée de plaisir et je goûte mon propre jus. Vu mon manque d’implication, il dicte lui-même le mouvement. Je sens son pénis se contracter, et un jet de sperme vient couler directement dans ma gorge. J’ai un réflexe de rejet, je veux tousser, mais il me maintient la tête. Plusieurs jets se répandent dans ma bouche. Je réunis le peu de force qu’il me reste pour lui nettoyer un peu la bite avec application.

Lorsqu’il se retire, je m’écroule comme si plus rien ne me maintenait debout. Je tente d’avaler un maximum de tout le sperme que j’ai en bouche. Il me regarde avec son petit air satisfait. Je suis clouée au sol, et je baigne dans ma propre cyprine. Du sperme coule du côté de ma bouche. La scène doit être pitoyable, mais je n’ai pas la force de bouger.

L’employé qui nous matait décide de s’en aller. Il a sans doute vu tout ce qu’il voulait voir, mais je vois qu’il est un peu déçu de ne pas avoir participé. Il n’a pas l’air d’être le mâle dominant du magasin. Le gars de la sécu m’aide à me relever. Lui par contre, dégage une aura incroyable. Il m’aide à m’habiller.

Il a peut-être gagné cette bataille, mais il n’a pas gagné la guerre, c’est certain. S’il pense qu’il va me battre à mon propre jeu, il se met le doigt dans l’il. Il me raccompagne à la sortie, et me glisse une main aux fesses. Je sens encore ma chatte dégouliner d’excitation. Il me souffle :

« Merci pour votre passage et bonne année 2018 ! »

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