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Mère et fils: une histoire d'amour. – Chapitre 25




Chapitre 25 : En attendantune nouvelle vie

Heureusement que nous avons emporté des grandes serviettes de plage avec nous car on n’a jamais retrouvé le  bikini de maman et le haut de Martine. Nous sommes sortis de l’eau avec quelques applaudissements de vacanciers qui nous ont observés batifoler dans l’eau. Ils  admiraient Maman, qui telle une vénus sortant de l’eau, leur offrait ses seins lourds qui rebondissaient au rythme de ses pas et sa chatte au buisson de poils luisant de gouttelette d’eau et d’autres choses

Suivis par plusieurs regards étonnés et  affamés qui la regardaient, maman leur sourit et jouit de ces rares occasions ou elle peut laisser libre cours à son côté exhibitionniste.

Tante Lilly et moi, fier de nos conjoints rentrons à la maison. Nous prenons une bonne collation pour reprendre des forces et nos femmes enceintes retrouve leur énergie et sont prête à exiger qu’on leur fasse l’amour. Tante Lilly et moi sommes enchantés et toujours prêts à satisfaire leurs pulsions.

Martine n’a abandonné qu’au milieu de son huitième mois mais elle était toujours demandeuse de l’amour oral jusqu’à la dernière minute où elle est entrée en travail. Ce fut un moment long et difficile pour nous car cela a duré presque quatorze heures. Au milieu d’Avril, Martine et tante Lilly ont donné naissance à un beau bébé de plus de 3 kg pendant que maman et moi, anxieux, main dans la main, attendions la venue du premier membre de la nouvelle génération de notre famille.

Je vais peut-être me répéter mais je n’étais pas préparé à la réalité de ce nouvel amour que nous avions créé et mis au monde. Fatigué et énervé, la première fois que mon fils m’a regardé avec mes propres yeux bruns, je suis resté figé et je me suis mis à pleurer  submergé par l’amour intense que seul un parent peut avoir à la naissance de son bébé. Du coup cela m’a donné une meilleure vision sur l’amour que  maman a pour moi et je l’aime encore plus.

Avec la bénédiction de tout le monde, Martine et Lilly l’on nommé Mathieu et Thomas, prénom du grand-père de Martine et de mon grand-père. Nous l’appelons Mathieu, mais vers quatre ans environ, il a annoncé qu’il s’appelait Tommy et c’est comme ça que nous l’’appelons depuis ce jour.

Il est  difficile de ne pas être là tous les jours pour voir grandir son enfant. A chaque photo que Martine et Lilly nous envoyaient, il me semblait que Tommy grandissait à pas de géant. En raison de notre éloignement j’ai raté l’arrivée de sa première dent, mais maman et moi étions avec lui lorsqu’il a dit pour la première fois «  maman » et nous étions presque toujours présents à son anniversaire et aux fêtes de Noël.

Je détestais être en dehors de son éducation mais mon cur était en paix sachant qu’il a été élevé, jours après jours, par les deux personnes les plus aimantes et  affectueuses du monde. A l’exception de Maman et moi, je ne connais personne d’autre qui s’aiment autant que Martine et tante Lilly.

En tenant mon fils et celui de Martine dans mes bras je me languissais du jour ou je pourrais serrer contre moi le bébé que maman et moi avons fait. Pendant les mois qui ont suivi la naissance de Tommy, mon cur était  rempli d’émerveillement et d’admiration pour notre enfant qui grandissait dans le ventre de ma mère.

À certains égards, ces jours semblaient durer éternellement  comme pour célébrer cet éternel amour que ma mère et moi partagions en nous laissant des souvenirs que je chéris encore à ce jour.

Maman et moi parlions longuement, enlacés dans notre lit d’amour, sur nos espoirs et nos rêves pour notre enfant à naître, nous demandant comment nos vies allaient évoluées tout en sachant  que nous aimerons chaque instant de ce futur proche. Chaque soir je m’empressais de rentrer à la maison, impatient de voir maman et de l’entendre comment s’est passée sa journée, à genoux, embrassant son ventre et dire à notre bébé combien nous l’aimons tous les deux. Souvent, Comme si il entendait ma voix, il me répondait en donnant un coup de pied dans le ventre de sa maman pour me faire savoir que lui aussi avait hâte de voir ce jour où il viendrait dans nos vies.

Je repense à ces moments, à  ces bons souvenirs, comme aux plus difficiles aussi. Maman pouvait devenir très susceptible, vulnérable, quand des poussées hormones faisaient rage en elle et à quarante-quatre ans, sa grossesse lui demandait plus d’efforts physique que pour Martine pendant sa grossesse.

 Malgré ses efforts, maman avait repris une partie du poids qu’elle avait eu tant de mal à perdre. Pour moi, cela la rendait tout  simplement plus belle. Elle a toujours été naturellement d’une beauté luxuriante et je l’aimais encore plus avec quelques livres de plus. Cela la rendait encore plus ravissante et désirable  et bien qu’elle s’en plaignait,  moi je trouvais que c’était un appel supplémentaire à l’amour.

L’un de mes souvenirs préférés de cette époque c’était au début du mois de Juin, quand maman entrait dans son huitième mois. Ce fut une belle journée, température agréable, pas d’humidité. En dépit de son gros ventre gonflé et sa fatigue et de l’entendre dire qu’elle ressemblait à une grosse vache,  maman a  voulu que l’on fasse une promenade sur la colline où est enterré mon grand-père. Nous avons déposé des fleurs fraîches pour sa pierre tombale et fait un pique-nique, pour profiter d’un après-midi tranquille et intime, comme nous l’avons fait de nombreuses fois auparavant.

Maman portait un chemisier très serré, déformé par ses seins plus gros et gonflé de lait, qui débordaient du décolleté largement ouvert car elle ne pouvait plus fermer les boutons du haut.   Maman avait mis une jupe portefeuille qui n’arrivait pas à  cacher l’énormité de son gros ventre. Au moment où nous avons atteint le cimetière familial, maman était assez essoufflée, le visage rougit par l’effort. Alors que je nettoyais la pierre tombale,  maman se reposait et lui racontait les derniers événements.

— ….. Et je te jure, Papa, le petit Mathieu-Thomas ressemble de plus en plus à Dany mais il a tes yeux, papa …

Maman me sourit, sa main posée sur son ventre. Elle écarquille soudain les yeux de surprise et elle laisse échapper une longue bouffée l’air.

— Et  celui-ci, papaje te jure que votre prochain petit-enfant va être un joueur de football à la façon qu’il donne des coups de pieds.

De son autre main, maman caresse le marbre lisse de la pierre tombale de son père et dit:

— Je voudrais que tu sois encore parmi nous, Papa. Tu verrais comment ma vie est merveilleuse. Comment à quel point mon fils m’aime et prend soin de moi. Tu serais fier de lui, papa. Fier de lui et de moi à la façon dont nous nous aimons tous les deux.

Maman lâche un soupir mélancolique et elle continue.

— J’aurais tant souhaité que tu puisses être ici, avec nous, et faire partie de cette famille qui aime l’autre plus que tout. Qui s’aime comme vous et Mamie Pauline vous êtes aimés.

En regardant maman, le regard un peu dans le vide, je sais qu’elle  revoit sa propre jeunesse et tous les moments d’amour si précieux partagés avec son père. A la teinte des joues de maman qui virent sur le rouge, je devine son excitation et ses pensées. Elle se souvient de qu’elle façon elle faisait l’amour avec son père.

 

Grâce à ces mois merveilleux et passionnant pendant la grossesse de maman, je peux anticiper ses désirs et je ne suis pas surpris quand elle sort de sa rêverie, les yeux brillants avec un besoin sexuel évident qui comme un torrent se répand rapidement de son visage vers sa poitrine.

Maman se penche pour dégrafer sa jupe qui tombe à ses pieds me dévoilant ses jambes et ses cuisses parfaitement galbées et me murmure.

— Dany, j’ai besoin de toi !

Pour exprimer ce besoin, elle écarte lentement ses jambes et j’aperçois son buisson sauvage et indiscipliné dans l’ombre de son ventre gonflé. Elle fait allusion à la chair humide et rose de sa chatte maternelle.

Je me mets à genoux entre ses jambes écartées et je la regarde par-dessus son gros ventre avec un sourire qui exprime tout mon amour pour elle. Je frôle sa peau en partant de sa cheville pour remonter vers son entre jambe et caresser de mes doigts  la chair si sensible de sa cuisse intérieure. Maman laisse retomber sa tête et ses lèvres s’entrouvrent pour laisser un passer un doux gémissement quand mes doigts se glissent dans la fente de ses lèvres intimes que j’écarte pour révéler la chair chaude et lisse cachée derrière.

Je suis toujours émerveillé par le vagin de ma mère. Je ne peux pas me rappeler, qu’une seule fois pendant toute sa grossesse, que je l’ai touché,  sans qu’il soit trempé et en feu.

J’enfonce mon majeur dans la chatte trempée de maman. Lentement je le tourne pour trouver les points sensibles de maman, qui se tortille lorsque je masse les points névralgiques des chairs intérieurs de son vagin. Une odeur forte sans dégage, flotte dans l’air vers mes narines, et je respire son parfum capiteux et enivrant qui fait durcir ma bite dans mon jean.

Comme un homme mourant de soif, j’appuie  mon visage dans la chatte poilue et humide de maman, pour  aspirer sa liqueur  sexuelle et ma langue commence à errer sur sa chair lisse et chaude. Avec mes lèvres pressées sur celles de sa chatte je peux sentir les pulsations de son  sang à travers ses lèvres intimes gonflées et largement  épanouies.  La saveur de sa chatte douce et plus ardente comme jamais auparavant, comme si la vie qu’elle porte au fond de son ventre la remplissait d’une énergie supplémentaire.

les jambes de maman viennent, je ne sais comment, s’accrocher sur mes épaules et ma tête est coincée entre ses cuisses pulpeuses et son ventre fertile pendant que je lèche sa délicieuse chatte, envoyant des ondes de de plaisir à travers son corps. Je sens notre enfant donner des coups de pied comme pour nous rejoindre dans sur notre bonheur.

— Oooohh, ouii, Mange-moi

Maman gémit et me dit des choses d’une voix mélopée pour m’exciter et me pousser à dévorer sa chatte avant que son extase l’empêche de dire quoi que ce soit. Je fais l’amour à ma mère avec ma bouche et mes doigts, cherchant son point G. En découvrant son clitoris en érection dur, gonflé et palpitant, je le taquine avec ma langue.

— Ouiii Dany, lèche bien ma chatte. Régale-toi avec la chatte de maman. Ouiiiii, mon amourooohhh, fais jouir ta maman

Assise au sommet de la pierre tombale de son père, ses cuisses serrées contre les côtés de mon visage et ses doigts recroquevillés dans mes cheveux, elle s’agrippe fortement alors que je la mène vers l’orgasme.. Avec ma main libre, j’arrive à soutenir maman par les fesses afin qu’elle ne glisse pas de son siège improvisé. Maman gémit.

— Tu vois Papa? Tu vois comment ton  petit-fils aime sa mèreHuuummm, regarde comment il fait jouir ta petite fille.

Un torrent de cyprine coule de la chatte de maman, se répand sur mon visage plus vite que je peux lécher à la source, ça ruisselle sur mon menton et mes joues et son parfum me rend fou de désir

Maman laisse échapper un cri qui retentit dans les vertes collines quand je trouve à la fois son point le plus sensible et que je suce doucement et régulièrement son clitoris tour raide. Ses jambes sont retombées  loin de mon visage quand elle perd le contrôle de ses membres. Maman semble essayer de pousser toute ma tête dans sa chatte lorsqu’elle jouit sous l’impact de son orgasme. Un geyser de cyprine se libère dans sa chatte et pulvérise sur mon visage son jus intime, en de longues giclées chaudes et odorantes

Maman, incapable d’en supporter plus, haletante et cherchant désespérément à reprendre sa respiration, me repousse. Je tombe en arrière sur mes fesses et je regarde avec ravissement ma mère, les jambes écartées, les cuisses brillantes de son jus, encore frémissantes comme traversées par de petites vagues, répliques orgasmiques traversant son corps. Sa  chatte épanouie laisse passer de petites giclées de cyprine qui viennent éclabousser la pierre tombale de mon grand-père.

Maman est l’incarnation de la maternité érotique, une mère incestueuse perdue dans l’extase de sa jouissance, répandant comme une offrande son jus de chatte brillant sur la pierre de marbre. Pendant que le lui faisait l’amour elle a perdu son chemisier et je regarde ses gros seins lourds qui pendent et se balancent au rythme de sa respiration haletante. Ses  mamelons sont énormes comme ses tétons distendus et d’épaisse goutte de liquide laiteux s’en échappe.

Je me relève et je la prends dans mes bras pour l’embrasser amoureusement et fougueusement. Ma langue roule dans sa bouche pour partager son goût de chatte avec elle. Maman fait une pause pour lécher sa crème qui est sur mes joues, pour ensuite la partager avec moi, son fils et son mari. Une de ses mains s’est occupée de ma ceinture et de mon pantalon et je me retrouve allongé devant la tombe de son père.

Maman me tourne le dos, se penche en avant en appuyant ses mains contre la pierre tombale de son père et pose son ventre énorme sur mes jambes. Elle guide ma queue en érection maximum devant sa chatte dégoulinante et elle se baisse pour la faire pénétrer dans sa chatte brûlante. Elle commence à me baiser avec autant de vigueur qu’une femme enceinte de 8 mois peut se permettre.

Je ne peux que gémir de bonheur quand je sens avec quelle passion maman m’offre son vagin en feu qui se déplace de haut en bas sur ma bite tout en gémissement également de plaisir et en prenant son père à témoin

— Tu vois papamon fils est un sacré baiseur ! Tout comme toi !

Je me penche sur elle pour passer un bras autour de son corps pour caresser son ventre. Avec mon autre main j’englobe un de ses seins gonflé par sa grossesse pour le masser et rouler son téton entre mes doigts.

Devant sa fougue à me baiser je ne peux me retenir longtemps et je commence à jouir dans la merveilleuse chatte de maman, savourant ses sanglots de plaisir provoqués par mon sperme chaud qui lui déclenche un nouvel orgasme. Elle finit de jouir couchée sur moi, son ventre de femme enceinte pointé vers le ciel, avant que mon sexe ne glisse hors de son vagin. Je la garde serrée dans mes bras, nous prélassant tous deux dans la chaleur du soleil et l’intensité de notre amour incestueux.

Son gynéco a prévu un accouchement vers le 15 Juillet, mais nous avons eu une surprise. Le soir du 3 Juillet, nous nous sommes couchés relativement tôt. Maintenant, dans son neuvième mois, maman est très vite fatiguée  et ce soir-là elle avait quelques douleurs dans son ventre. Généralement, pour l’aider à se détendre le soir, je lèche doucement sa chatte jusqu’à sa jouissance pour l’aider à dormir. Cette nuit-là, maman veux que nous nous léchons mutuellement en position 69. Couchés de côté, je lèche et déguste la chatte humide de maman en mordillant de temps en temps son clito tendu. Elle suce avidement ma bite, et sa langue tourbillonne follement autour de mon gland.

Niché entre nous, je caresse doucement son ventre gonflé, agité par une nouvelle vie, pour apporter à maman un peu d’apaisement. J’essaye de contrôler mon orgasme, mais sous une inondation délicieuse de son jus qui coule sur ma bouche et mes lèvres, et en entendant ses soupirs de bonheur sous un doux orgasme qui fait trembler son ventre, je ne pouvais pas résister plus longtemps. Avec mon visage appuyé contre sa chatte et ma langue recueillant sa jouissance je jouis dans sa bouche brûlante. Maman boit avidement mon sperme chaud, savourant le goût de la semence de son propre fils qui l’a mise enceinte.

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