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Amélia – Une menteuse – Chapitre 1




Cette histoire est également une histoire vraie. Elle s’est déroulée peu de temps après ma séparation avec Léa. Je ne suis pas le mec hyper populaire, mais cela ne m’empêche pas d’avoir pas mal d’amies. Amélia était une amie que j’avais dans ma classe au lycée, mais à l’époque de ce récit, j’ai déjà mon BAC en poche.

Tout débuta lorsque je reçus un SMS d’Amélia qui n’avait pas de moyen pour rentrer chez elle, les bus étant temporairement annulés ce jour-là. Je n’avais rien de mieux à faire, et je comptais bien la faire payer en nature. J’acceptai et allai la chercher à l’université de Grenoble. Je la ramenai chez elle à moto, trajet relativement long vu la distance où elle vivait (elle allait devoir payer cher).

— Merci Tristan ! Je ne sais pas comment j’aurai fait autrement !

— T’inquiète pas, je n’allais pas te laisser dormir en plein milieu du campus !

— Viens entre ! Il n’y a personne chez moi cette semaine.

— Putain il est déjà 19h ?! T’habites vraiment à chaille !

(à chaille = loin… expression Dauphinoise…)

— Oui c’est trop chiant, mais ça m’évite de payer un loyer et les bus memmènent directement à la fac.

— Oui enfin, lorsqu’il y en a ! Tu as quelque chose à boire ?

-…

Bon, je vous passe la discussion qui dura une petite heure où elle m’apprit qu’elle n’avait pas de copain actuellement, et qu’elle avait déjà tenté la sodomie une fois, mais qu’elle avait eu trop mal et qu’elle s’était juré de ne jamais recommencer. J’ai aussi appris qu’elle n’était pas vraiment « clitoridienne » mais plutôt « vaginale », chose pas déplaisante pour celui qui la baise.

— Bon, ce n’est pas tout ça mais comment je peux te remercier de m’avoir ramenée ?

— Bah j’ai entendu dire que tu étais une très bonne suceuse…

— JE TE DEMANDE PARDON ? Qui t’a dit ça ?

— Ahah c’est marrant que tu ne le démentes pas, c’est ton ex, Guillaume.

— Bah je ne peux pas te dire si c’est vrai ou non… mais les gars avec qui je l’ai fait… Ils semblaient aimer ça.

— Eh bien il va falloir me prouver ça. Allez, viens téter ma queue.

A ce moment-là, j’avais une chance sur deux de me faire dégager… mais aussi une chance sur deux de profiter d’elle… Evidemment je ne vous écrirai pas cette histoire s’il ne s’était rien passé.

Elle était assise sur le canapé, lorsque je me mis debout devant elle. Je détachai alors ma ceinture, elle me regardait droit dans les yeux. Ses yeux pétillaient d’excitation (était-ce son plan depuis le début ?). Elle s’occupa de baisser mon pantalon et de faire sortir mon membre à moitié éveillé.

— Wow ! réagit-elle avec un mouvement de recul et d’appréhension. On ne m’avait pas menti sur cette taille !

— Tu t’es renseignée sur les proportions de ma queue ?! Lui-répondis-je intrigué.

— Euuuuuh. Oui. Je dois t’avouer que je n’ai rien fait depuis un moment et j’avais entendu au lycée que tu étais plutôt bien monté… Alors j’ai inventé cette histoire de bus pour que… enfin voilà quoi.

— Parce qu’en plus il y avait des bus ?! Ferme-la et suce maintenant. Il n’y a pas que ta bouche qui va voir passer ma queue.

Elle s’empressa de me prendre sur sa langue. Et en quelque seconde je compris que Guillaume n’avait rien exagéré du tout. Cette pute suçait tellement bien ! Je ne sais pas comment vous expliquer à quel point c’était divin. Jusqu’à aujourd’hui je n’ai jamais trouvé meilleure suceuse. Sa bouche chaude, sa langue si douce et ses doigts autour de ma queue… Je dus me retenir de ne pas jouir dans sa bouche en cinq minutes. Elle me regardait droit dans les yeux pendant la fellation, avec un regard qui en disait long sur l’état de ses parties intimes.

Amélia est une grande blonde aux yeux très bleus, avec certaines rondeurs (sans excès) elle avait aussi une paire de seins très impressionnante et un cul… Un cul bien rond, pas très musclé mais bien lisse et qui ne demandait qu’à se faire écarter et claquer.

Lorsque je n’en pouvais plus de me retenir, je mis fin à la fellation.

— A quatre pattes ma pute, ce soir tout va travailler !

— Hummm… Vas-y doucement quand même ! Ma chatte n’a pas l’habitude de… de ce genre d’engin.

— Vu comment tu mouilles, je pense que ça va rentrer tout seul. Lui dis-je en enfonçant deux de mes doigts à l’intérieur de son minou.

A peine eus-je entré mes doigts que ses gémissements emplirent la pièce. Au bout d’une dizaine de minutes, le travail de mon doigté sur Amélia a apparemment porté ses fruits car elle ne fait que me supplier de la prendre.

— « Oh putain oui ! Prends-moi Tristan, mets-moi ta grosse queue ! gémissait-elle.

— Tu veux ma queue ? Je vais exaucer ton vu mais il faudra être une bonne chienne et me laisser faire ce que je veux de toi après.

— Oui tout ce que tu veux mais prends-moi ! Défonce-moi !

Sans plus attendre, je plaçais mon gros gland à l’entrée de son con, et y introduisis lentement mon membre jusqu’à la garde. Elle en eut le souffle coupé. A peine eus-je claqué sa fesse droite de la paume de ma main, j’entamais alors un coït brutal sous les encouragements (proche des hurlements à ce stade) de la principale concernée.

Ses fesses virèrent au rouge et quelques secondes plus tard s’ensuivit un orgasme retentissant d’Amélia.

— Oh oui ! Oh c’est trop bon ! Ahhhh ! hurlait-elle pendant que je sentais sa cyprine inonder sa chatte.

— Alors t’aimes ça te faire prendre comme une chienne par une grosse queue ! Tu m’aurais dit ça il y a quelques mois, je t’aurais tringlée tous les jours dans les toilettes du lycée.

— Oh putain oui j’aime ça hummm… dit-elle en se calmant un petit peu. Tu n’as pas joui ? reprit-elle inquiète.

— Tu as accepté d’être ma chienne et m’as autorisé à faire ce que je veux de toi. Donc ce soir, ton cul va aussi y passer !

— Hein ? Mais non, je te l’ai dit, je ne fais pas d’anal !

— Je t’ai ramené de la FAC alors que j’avais bien mieux à faire (faux) alors qu’en plus tu pouvais très bien rentrer toute seule. Alors remets-toi à quatre pattes et écarte tes fesses ! Et si tu discutes tu me suceras après la sodomie. (Oui vous avez remarqué que j’adore ça)

— Quoi ? Mais non s’il te plaît ! Me suppliait-elle très inquiète.

— Et c’est décidé, tu me nettoieras avec ta bouche. Encore des objections ? Parce que je peux très bien te pisser dans la bouche aussi…

Ses yeux s’écarquillèrent, et vaincu, elle se retourna lentement et enfouit sa tête dans un coussin. Elle mit ses mains sur ses grosses fesses encore rouges, et les écarta le plus possible, dévoilant son anus bien serré.

— Tu mouilles tellement qu’on n’aura même pas besoin de lubrifiant !

Elle ne releva pas. J’entrai une nouvelle fois dans sa chatte pour bien enduire ma bite de sa cyprine, et plaçai mon gland à l’entrée de son cul. Il ne fut pas simple d’ouvrir celui-ci, et lorsqu’il s’ouvrit, un son jaillit immédiatement du coussin. Je n’en avais que faire, elle était à moi pour la soirée. Ses gémissements se faisaient de plus en plus bruyants au fur et à mesure que ma queue entrait en elle. Quand soudain, le centimètre de trop lui fit relever la tête :

— Stop ! Stop ! Je peux plus ! Elle est trop grosse !

— Mais si, je viens à peine de faire rentrer mon gland !

— QUOI ?! Il n’y a que ton gland ?!

— C’est toi qui voulais te faire défoncer par une grosse queue, maintenant il faut assumer ! Aller écarte tes fesses !

Vaincue une nouvelle fois elle se remit en position, ses mains écartant de nouveau son beau fessier.

Je lui saisis alors les épaules pour m’enfoncer doucement en elle. A mi-chemin je crus l’entendre pleurer, mais elle ne contestait pas.

Je repris alors le chemin des profondeurs. Presque arrivé à la garde, je décidai de brusquer les choses, histoire de la réveiller de sa torpeur. J’enfonçai alors brutalement ma queue au fond de son cul pour les derniers centimètres.

— AHHH ! cria-t-elle en relevant la tête.

— Cette fois elle est au bout, maintenant on passe aux choses sérieuses ! lui dis-je en entamant de longs va-et-vient.

— Doucement, s’il te plaît !

— Tais-toi chienne ! Et apprécie de te faire enculer, il n’y a que ça que tu mérites.

— Ahhhh… Oh… Doucement ! Gémissait-elle sous mes coups de reins.

Je l’ai pris aussi fort que je pus, m’appuyant d’une main sur son épaule, et de l’autre lui tirant les cheveux pour m’enfoncer le plus profondément possible. Je ressortais entièrement, pour que son illet se fasse rouvrir à chaque passage.

La sodomie dura comme cela un bon quart d’heure, lorsque je finis par sentir la sève monter.

Pas question de jouir dans son cul, surtout lorsqu’on a une suceuse pareille à disposition.

Ma main qui était dans ses cheveux guida sa tête jusqu’à mon membre de chair, prêt à exploser. Elle comprit qu’elle ne devait pas objecter, même vis-à-vis de la propreté, faute de quoi elle finirait par boire autre chose que du sperme. Elle me prit alors dans sa bouche, et entama une nouvelle fellation des plus exquises. Elle me prit en gorge profonde, lécha ma bite de toutes parts et me suça comme un biberon pour me faire jouir dans sa bouche.

Je ne pus me retenir bien longtemps et déchargeai mon foutre sur sa langue experte. Amélia n’en perdit pas une goutte, et continua même de me sucer.

Elle me tétait encore et encore, aspirant la moindre goutte qui pourrait encore sortir.

Je finis par l’arrêter, ne pouvant plus supporter une telle fellation.

La soirée se finit tranquillement, nous mangeâmes même ensemble le soir même, et je repartis chez moi vers 21h30.

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