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Déviation incontrôlable – Chapitre 6




Aujourd’hui, c’est vendredi, il est sept heures trente, le réveil d’Antoine sonne. Il se prépare afin de se rendre sur son lieu de travail, embrasse Maryse puis quitte le domicile.

La trentenaire est un peu perdue, elle a trompé son époux deux fois alors qu’elle a toujours été fidèle. Les disputes dans le Nord de la France, le nouvel environnement, quel est l’élément déclencheur qui a fait qu’elle a passé ce cap ? Elle se pose toujours la question. Honteusement, elle admet qu’elle prend énormément de plaisir avec Monsieur Bouteille, et vient de découvrir cette même sensation avec Monsieur Dubois.

Ce sont pourtant des hommes ayant un peu plus de soixante ans, les deux affichent pourtant des attitudes différentes, l’un est plutôt bestial et doux à la fois, alors que l’autre s’attarde plus sur des préliminaires d’une saveur sans précédent.

Pourtant, son époux n’est pas maladroit sur le plan sexuel. Bref, elle sort de ses pensées puis se prend une douche. Elle se sèche, regarde dehors et s’aperçoit que le soleil brille encore malgré quelques nuages de brouillard. Elle enfile un jean classique qui moule un peu ses fesses, un débardeur puis rajoute un pull en laine par-dessus. Elle prend les clés de la voiture, puis part en direction du domicile de monsieur Bouteille.

Elle sonne à la porte, ce dernier ouvre, elle rentre, puis les amants s’embrassent avec passion. Ils vont boire un café dans la cuisine, une fois de plus la maison est propre et Roger semble être sorti de la douche puisqu’il est en peignoir. Nul doute sur les intentions qu’il a, concernant la femme d’Antoine. Et pourtant, ce matin, il semble légèrement distant, non pas par rejet ou autre, mais plus pour voir si Maryse est capable de venir à lui d’elle-même. Cela signifierait dans son esprit qu’il l’a conquise définitivement, qu’elle est son unique amante.

Il se sent presque fier d’être honoré ainsi, en effet depuis le décès de son épouse, il vit seul dans cette maison, et n’a quasiment aucun contact avec le monde extérieur hormis lorsqu’il va faire quelques courses, ou lorsqu’il va faire des examens médicaux.

Maryse semble être indécise, elle ne comprend pas trop, cette attitude lui semble pourtant étrangère. Son amant est beaucoup plus avenant, mais pas aujourd’hui. Elle se lève, part en direction de la salle de bains, se déshabille, et enfile à son tour un peignoir. Sa poitrine déborde légèrement, en se regardant dans le miroir, il faut avouer que cette tenue est plutôt sexy.

Elle retourne en direction de la cuisine, regarde Roger avec malice, puis s’assoit sur sa chaise. Il ne se prive pas de laisser traîner son regard sur cette dernière. L’ambiance paraît étouffante. Un calme inhabituel règne dans la maison.

Puis Maryse prend la décision de se lever, et de faire tomber son peignoir. Elle est nue, face à monsieur Bouteille, se rapproche de l’homme, l’embrasse avec passion puis s’assoit sur ses jambes. Les jambes de la femme entourent Roger. À travers le peignoir, elle sent le membre de ce dernier prendre forme. Elle bouge son bassin afin d’augmenter l’excitation de son partenaire. La verge noueuse, et épaisse prend forme.

Elle glisse petit à petit sur le carrelage pour finir à genou devant l’homme. Elle tire sur la ceinture du peignoir, puis écarte le tissu. Elle lèche les tétons de son amant, puis prend entre ses lèvres le membre. Elle s’applique pour lui faire une fellation, avale le sexe de bas en haut, puis aspire le gland comme elle aime tant faire.

Maryse sent bien que Roger est en forme, elle se met à califourchon au-dessus de lui, puis s’empale sur lui. Elle monte et descend, le rythme est plutôt calme dans un premier temps, puis elle finit par devenir une vraie diablesse. Les ongles de cette dernière se plantent dans le dos de l’homme. Elle vient de connaître son premier orgasme du matin.

Voulant reprendre la main dans cette partie de jambes en l’air, Roger pousse légèrement sa maîtresse, puis la positionne à plat ventre sur la table. Les fesses dont il est dingue, troublent une nouvelle fois son esprit. Dans un premier temps, il plonge sa tête entre les globes, mordille le clitoris puis lèche les lèvres de sa partenaire qui sont déjà bien baveuses de cyprine.

Il saisit le derrière de Maryse à pleine main, y met quelques fessées, puis présente son membre à l’entrée de ce vagin qu’il aime tant. Comme d’habitude, il se montre bestial, le bas de son ventre claque contre les fesses de la femme. Puis, le couple prend la décision de changer de pièce. Ils sont à présent dans la chambre, les volets sont ouverts, personne ne s’inquiète de ce détail.

Les amants échangent une nouvelle fois des baisers langoureux, l’homme ne se prive pas de savourer la poitrine de la femme d’Antoine, elle-même n’hésite pas à reprendre en bouche le membre noueux de Roger. Il allonge la femme sur le dos, écarte les compas de cette dernière, puis la prend en missionnaire.

Entre-temps, le couple n’entend pas le bruit de la voiture qui vient de stationner à l’entrée de la maison. Sophie en descend, mais elle n’est pas seule, Marcel, le cousin de la famille est là aussi. Ils ne manquent pas d’entendre les cris étouffés de Maryse. Ils se rapprochent de la fenêtre de la cuisine, rien, de la salle à manger, rien, puis celle de la chambre. Les deux espions voient clairement Maryse et Roger en train de faire l’amour.

Le cousin ne peut s’empêcher de porter sa main droite dans le pantalon en voyant cette image. Sophie reste stoïque, mais n’en pense pas moins. Afin de ne pas éveiller les soupçons, ils partent. Un peu jalouse, cette dernière en fait part à Marcel, mais ce dernier semble rêver en regardant à travers la fenêtre.

Au bout d’un quart d’heure, les deux adultes arrivent au dépôt de l’entreprise de Sophie. Ils vont prendre un café, puis cette dernière prend Marcel à part dans le bureau. Elle lui demande sur un ton agressif ce que Maryse a de plus qu’elle. Elle joint la parole au geste, en saisissant sa poitrine, en tapant sur ses fesses puis en passant sa langue langoureusement sur ses lèvres.

Marcel ne sait quoi répondre. Il a bien eu, il y a quelque temps des envies de Sophie, mais il n’a jamais passé le cap. Sous son apparence de gentil garçon, il reste tout de même un coureur de jupon avéré. D’ailleurs, il ne reste pas bien longtemps insensible aux divers gestes obscènes de son amie. À travers son pantalon, une bosse commence à se former.

Il se rapproche alors de Sophie, saisit la poitrine de cette dernière en la complimentant, fait de même avec ses fesses puis l’embrasse audacieusement. Elle ne le repousse pas, au contraire, elle fait apparaître sa langue qui échange un baiser incroyable avec Marcel. Le manège dur bien trente secondes. Le cousin prend les choses en main, il enlève dans un premier temps le pull de cette dernière, fait de même avec un tee-shirt banal, puis avec un soutien-gorge d’un autre temps.

Des seins d’une taille correcte apparaissent alors devant ses yeux, même s’ils retombent un peu, Marcel ne se prive pas d’y donner quelques coups de langue judicieux, puis il continue en suçant les tétons de cette dernière. La tête de Sophie part en arrière, il descend petit à petit le long de son pantalon, enlève la fermeture éclair, puis le descend. Apparaît alors face à lui, une culotte blanche en coton des plus classiques, il prend les élastiques de cette dernière, puis l’enlève.

Une toison blonde généreuse apparaît, il n’ose pas faire de cunnilingus, mais ne se prive pas de lui mettre deux doigts dans son puits d’amour. La femme commence à grogner de plaisir. Marcel sent qu’il peut la pousser dans ses derniers retranchements. Il y va comme un forcené. Sophie tente de le calmer en posant sa main sur celle de l’homme, mais rien y fait, il ne s’arrête pas pour autant.

Au bout de dix minutes, elle finit par avoir son premier orgasme.

Elle se met à genou face à lui, baisse le pantalon de ce dernier, puis lui offre une fellation assez classique. Marcel ne compte pas rester sur un rythme de croisière, il prend donc la tête de la femme entre ses mains, puis accélère la cadence. Il lui baise complètement la bouche, à tel point qu’elle a des hauts le cur. Il est sur le point de jouir, mais s’arrête. Il se relève, penche la femme sur le bureau, lui claque les fesses, puis présente son membre à l’entrée du vagin de cette dernière. Et comme depuis le début, il y a va avec une bestialité incroyable. Les bruits de cyprine, mélangé à ceux des grognements de Sophie raisonnent dans le bureau. La cadence semble infernale, la femme n’a pas l’habitude de subir ce traitement de faveur. Le couple change de position, il s’assoit sur le fauteuil de bureau, la femme se met à califourchon au-dessus de lui.

Elle tente d’imposer un rythme un peu plus calme, mais c’était sans compter sur le côté téméraire de Marcel qui a saisi ses fesses et impose encore une fois une cadence incroyable. Ça doit bien faire un quart d’heure, que la femme savoure cette partie de jambe en l’air, les grognements se transforment en cri de jouissance. D’ailleurs, elle ne tarde pas à avoir son deuxième orgasme.

L’homme n’est pas très loin de l’explosion, son sexe est en train de gonfler d’une manière incroyable, et le jus de ce dernier se répand dans le vagin de Sophie.

Ils tentent de reprendre leur souffle, se rhabille tant bien que mal, la femme remercie l’homme de l’avoir honoré de cette manière. Il s’excuserait presque d’avoir eu un mauvais comportement par rapport à Maryse, mais il n’en pense pas moins.

Il conseille juste à Sophie de s’épiler afin de profiter des cunnilingus que ce dernier lui offrira à l’avenir.

De son côté, Maryse est toujours avec Roger. Il était en train de la prendre en missionnaire. A présent, elle est à plat ventre contre le matelas du lit, il lui a légèrement remonté la tête afin de lui faire des bisous dans le cou, ou sur l’épaule. Et ne se prive pas de pénétrer ce vagin qui s’offre à lui. Les fesses si douces et généreuses de la femme l’emportent une nouvelle fois dans les stratosphères du plaisir.

Au bout de dix minutes, les amants jouissent ensemble. Le sexe de Maryse est rempli de sperme. Quelques gouttes tombent même sur le matelas. Et comme à chaque fois, le couple se douche avant de se quitter.

Il est maintenant aux alentours de midi, elle embrasse de nouveau son amant, puis quitte la maison afin de rendre visite à monsieur Dubois. Elle sait très bien ce qui l’attend, mais cela ne la dérange pas. Elle commence à savourer ce nouveau mode de vie.

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