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Dévergondage d'infirmière – Chapitre 1




Cette histoire est basée sur des faits réels, ils eurent lieu l’année de mes 20 ans alors que j’entamai des études pour devenir infirmier. J’avais déjà eu des rapports charnels mais ce qui s’est passé reste encore aujourd’hui une des expériences les plus marquantes que j’ai vécue, et j’ai tenu à la faire partager.

Comme je l’ai précisé plus haut, j’avais pour projet de devenir infirmier en sortant du bac. Mon but était de partir faire de l’humanitaire et essayer de rendre le monde un peu moins moche que ce que je voyais, à mon échelle bien sûr. Ayant passé le concours, j’ai décroché une place à l’Assistance publique des hôpitaux de Paris dans un certain hôpital (dont je tairai le nom par mesure de précaution).

Je ne sais pas si vous imaginez le tableau mais, dans ce genre de cursus, la parité est loin d’être respectée. Sur une promotion d’environ 100 personnes, nous devions être cinq mecs pour presque 100 filles de tous horizons et de tous âges ; un genre de paradis artificiel pour jeunes prépubères.

C’est dans mon groupe de travail restreint que j’ai fait la connaissance de deux personnes ma foi fort charmantes. Pour les mêmes raisons que l’hôpital, j’ai décidé de changer leur nom ; appelons les Cathie et Lola.

Cathie était une femme de 27 ans aux allures de poupée Barbie: des cheveux longs blonds d’une couleur quasi platine, des yeux bleu clair et un visage lisse comme du verre. Petite de taille, cette dernière complexait sur les dimensions de sa poitrine qui atteignait péniblement le 85 A, pas facile selon elle quand on est dans un milieu entouré de femmes. La seconde, Lola, beaucoup plus jeune (23 ans) était d’un autre genre: une brunette aux cheveux très longs et très raides, des yeux verts pétants et un sourire à l’innocence angélique, des traits de visage presque enfantins et une poitrine tout aussi petite que son amie Cathie.

Les premiers jours, nous avons fait connaissance dans une ambiance de travail imposé ; des cas pratiques, des analyses de situation, des définitions à n’en plus finir… bref ! Un début d’année normale.

Malgré l’aspect banal de nos interactions, je sentais que le courant passait bien entre nous. Elles sont rapidement devenues bonnes amies toutes les deux ; et j’avais remarqué que ces dernières insistaient toujours pour être avec moi lors de nos cours en groupe. Mes idées d’homme me rattrapaient toujours très vite en les voyant ; que celui qui n’a jamais, au grand jamais, fantasmé sur des camarades de classe me jette le premier pavé qu’il trouvera. Je me les imaginais chacune dans des scénarios ou des positions différentes, voire toutes les deux en même temps ; mais j’étais loin d’imaginer la suite des événements.

Lors de mon stage, on m’a raconté quelques détails de soirées faites par des internes et autres étudiants et, croyez-moi, les soirées débridées en médecine ne sont pas une légende… Bien sur, en infirmier, l’ambiance était différente, la pression et la charge de travail n’étaient pas du tout la même que pour nos futurs médecins, mais allez savoir, mes deux "amies" semblaient être dans un état d’esprit assez semblable à nos voisins.

Au cours de l’année, nous avions pris l’habitude de faire des soirées entre nous. Malgré le (très) faible nombre d’hommes, un ou deux avaient réussi à s’insinuer dans notre groupe ainsi que deux ou trois autres filles, toutes très sympathiques mais moins attachantes que mes deux futures infirmières préférées. C’est lors d’une de ces soirées que tout s’est passé.

Comme beaucoup de week-ends, nous étions réunis chez un membre de notre meute pour passer du bon temps. Verres et cigarettes accompagnaient musiques commerciales et blagues salaces, nous faisions ce fameux jeu ringard qu’est le jeu de la bouteille. Vous savez, ce jeu que l’on faisait au collège et où les personnes visées doivent s’embrasser pour gagner ; eh bien c’est celui-là. Bien évidemment, je suis tombé sur plusieurs filles du cercle, même un garçon, mais surtout sur Cathie et Lola ; ces dernières passaient leur temps à me fixer et à faire des messes basses en ricanant discrètement. La soirée passe, très vite le jeu nous soûle et nous partons danser au milieu du salon, le volume des basses à fond et les lumières tamisées.

Naturellement, c’est avec mes partenaires de travail que je guinche comme un fou. Nous nous regardons droit les yeux et nous dansons de façons très rapprochées tous les trois. Les regards s’intensifient, les gestes également. Je pense que, si j’avais prêté attention aux autres à ce moment, je les aurais vus avec de grands yeux ronds en train de nous fixer à gambiller ensemble d’une façon plus que suggestive ; disons-le d’une façon allusive et aguichante.

La soirée poursuit son chemin dans la nuit quand, dans un élan d’excitation et de fantasme, je lance la proposition à Cathie et Lola de finir la soirée chez moi, afin d’être plus "au calme". À peine prononcé, j’ai l’impression d’avoir dit une grosse connerie. Même si on se connaît un peu et que l’on s’apprécie, ce n’est pas pour ça que deux filles vont accepter une proposition à peine voilée ; non mais quel con je suis.

Mais, contre toute attente, avec un sourire ravageur associé à une voix cristalline, elles me disent: "D’accord. On y va ?"

Jamais je n’aurai cru que ma tentative marcherait à ce point, il n’aura fallu qu’une seule demande pour enclencher le processus. Sans plus tarder, nous sautons dans ma voiture direction mon chez moi. J’habite un petit studio à 30 minutes de l’hôpital que je sous-loue à un couple de retraités ; ce n’est pas le grand luxe mais ça m’offre une tranquillité appréciable. Nous arrivons aux alentours de quatre heures du matin, encore sous les effets de l’alcool (attention ! En dessous du taux légal au volant bien sûr !), et nous nous posons sur mon lit placé au fond de la pièce.

Comme dans la soirée, nous rigolons et nous fumons mais l’atmosphère semble s’être réchauffée. Cathie et Lola sont plus libérées que tout à l’heure, elles se tapent des fous rires à moitié déshabillées à mesure que je raconte mes conneries habituelles. Soudain, la discussion se calme, je vois que mes amies se regardent, à moitié gênées à moitié en train de rire. Toujours dans mon esprit de mec, je m’imagine leur faire les pires immondices à ces deux gonzesses, et je crois qu’elles ont capté mes pensées. De manière discrète, Cathie s’est rapprochée de moi et a entamé de petits effleurements le long de mon bras, Lola, un peu plus timide, ne me lâche pas du regard au bout du lit. Je comprends alors que ces midinettes ont la même idée que moi.

Sans parler, nous nous regardons pendant plusieurs minutes, je sens les effleurements de Cathie devenir des caresses de plus en plus prononcées. Elle me fixe droit dans les yeux tout en tripotant le décolleté de sa chemise, j’ai l’impression qu’elle veut littéralement me bouffer.

N’ayant plus de doute, j’effectue un léger rapprochement de ma partenaire blonde et lui dépose un doux baiser sur ses lèvres au goût légèrement parfumé au gin et à la vodka. Elle me fait de petits yeux de chatons en souriant comme un petit enfant gêné ; je l’embrasse à nouveau mais de façon plus intense et fiévreuse tout en m’emparant d’un de ses seins au creux de ma main. Celui-ci tient dans ma paume mais il est étrangement malléable malgré sa petitesse. Sa main à elle est passée de mon bras à l’intérieur de ma cuisse, les caresses sont de plus en plus sensuelles et enivrantes ; je sens déjà l’excitation qui monte comme une flèche.

De son côté, Lola reste un peu à l’écart de tout ça mais elle n’en perd pas une miette. Voyant que nous commençons à nous chauffer sérieusement, elle décide de se rapprocher un peu de nous ; j’ai remarqué qu’elle avait laissé traîner sa main vers son entrejambe. Affublé d’une jupe légère, il n’était pas difficile de voir vers où ses gestes étaient orientés: sa mignonne et tant désirée boîte de Pandore. Pour ne pas la tenir à l’écart, je lance un petit regard à Cathie pour qu’elle perçoive la timidité de son amie. Cette dernière, pas dégonflée pour un sou, s’approche de Lola pour lui faire un baiser timide avec ses petites lèvres appétissantes. Un premier, puis un second, puis c’est carrément une pelle qu’elles se mettent à se rouler. Mais quand je dis une pelle, je veux dire un des baisers avec la langue les plus véhéments et les plus immodérément dévergondés que j’ai jamais vus. J’ignore comme elle a fait mais la timidité de Lola a totalement disparu après ça.

De mon côté, voir ces deux nymphettes se galocher comme des lesbiennes m’a surexcité au plus haut point. Sans les déranger, je décide de me foutre à poil pour accélérer les choses, mais surtout pour être plus à l’aise pour profiter de ce merveilleux show privé. La bite à la main, je contemple ces jolies minettes qui se dévorent la bouche à grands coups de langue. Ma tenue n’a pas l’air de les déranger plus que ça ; en y repensant, j’ignore si elles seraient allées jusqu’au bout toutes les deux, mais sur le coup, j’en aurai mis ma main à couper.

Les deux minettes finirent enfin par se lâcher la langue. Voyant que je me suis déshabillé, elles s’empressent de faire de même ; nous nous retrouvons donc à poil: moi, Cathie et Lola, à moitié saouls sur mon lit. Personnellement, l’alcool n’a pas entamé une once de mon excitation, et je sens que mes deux compagnes sont tout autant remontées. Cathie, se sentant généreuse ce soir, entreprend une petite branlette avec sa toute petite main. Elle est à moitié allongée sur mes jambes, le visage en face de mon membre en train d’astiquer ce dernier tout en le dévorant des yeux. En même temps, Lola et moi nous nous roulons quelques pelles baveuses, ma main vient rejoindre la sienne vers son bas-ventre ; la brunette est toute rouge écarlate mais elle rit en même temps, je la sens frissonner au rythme de ma main sur sa culotte. Elle est déjà toute mouillée la cochonne.

Se sentant un peu seule, Cathie ramena sa copine vers mon phallus en la tirant par le bras. Comme pour lui montrer l’exemple, cette dernière se mit à me manger le bout comme une vraie gourmande goulue ; elle montra à sa comparse (apparemment moins expérimentée) la direction de mes boules et lui fit signe de faire ce qu’il faut.

En un rien de temps, je me retrouve à me faire pomper le gland et sucer les couilles par deux futures infirmières plus que polissonnes ; que dis-je polissonnes, plutôt complètement libertines et débauchées: de vraies ribaudes ces deux-là.

Au bout d’un moment, je dus moi-même les interrompre en leur expliquant que si elles voulaient que l’on baise, il fallait arrêter de me pomper de la sorte. Imaginez-vous, vous baissez les yeux et ce sont deux superbes nanas à la nudité totale et au corps délicieusement superbes qui vous aspirent la tige comme des folles qui n’en ont jamais assez ; n’importe quel mec leur aurait craché sa semence à la face en quelques instants. Mais l’occasion était trop belle pour se laisser aller par une simple fellation ; n’est-il pas ?

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