ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 31 : Telle mère telles filles.

Une fois qu’Alice est redescendue de son perchoir, les choses se passent comme les matins des week-ends précédents, c’est-à-dire que nous allons prendre notre petit-déjeuner sur la terrasse, après qu’elle soit allée chercher le pain et les viennoiseries dans la boîte à lettres. Ensuite nous nous rendons dans la salle de bains dans le but de nous laver mutuellement, et bien entendu je doigte son anus tandis qu’elle fait pareil avec le mien. Une fois propres et séchés nous nous habillons, et comme tous les samedis nous partons faire des courses.

Cependant, même si nous allons au même endroit nous prenons chacun une voiture, étant donné qu’une fois nos achats terminés, mon petit bout de femme partira chez elle dans le but d’aller chercher ses filles, et je retournerai à la villa pour commencer à préparer ma paëlla.

C’est ainsi qu’alors que je commence à faire rissoler le riz dans la poêle qui est posée sur le barbecue, il me semble sans en être tout à fait sûr, reconnaître le bruit de la voiture de mon amante. J’ai passé un tablier pour protéger mon torse nu, mais comme convenu j’ai gardé sur moi le bermuda que j’ai enfilé pour aller au supermarché, afin de ne pas choquer les jumelles. Et bien entendu, j’ai aux pieds mes éternelles espadrilles.

Je reste occupé à ma besogne, parce que non seulement je n’ai pas la certitude que ce sont bien mes nouvelles invitées que j’ai entendues arriver, mais qu’en plus il me faut continuer à cuisiner. Étant donné que les jumelles seront accompagnées par leur maman, qui est déjà une habituée des lieux, je ne pense pas qu’il soit nécessaire que j’aille les accueillir. D’autant plus que j’ai déjà donné à ma compagne le boîtier lui permettant de garer son véhicule dans la propriété, ce qui lui évitera d’avoir à affronter le regard d’un ou plusieurs de mes voisins qu’elle pourrait croiser, et qui risqueraient d’être ironiques, s’ils ont entendu nos frasques du week-end dernier.

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Maintenant que des clacs-clacs joyeux résonnent dans la pièce à vivre, je comprends que ce sont bien elles, et lorsque je tourne la tête sur ma droite pour les regarder arriver, je me demande si je ne suis pas en train de rêver, puisque je me rends compte qu’elles sont toutes les trois complètement nues. Enfin presque, puisque les deux jumelles de 18 ans ont aux pieds les mules qu’elles portaient déjà hier soir, et qui sont presque identiques à celles qu’Alice a pris l’habitude de mettre.

Léo qui est la plus grande des trois vient directement sur la terrasse, alors que sa jeune maman et sa sur se rendent dans la cuisine pour y déposer ce qui me semble être un dessert. Si la démarche de la jumelle brune, perchée sur ses talons de dix centimètres de haut ne me semble pas des plus assurée, cela ne l’empêche pas de me sourire de toutes ses dents, comme si le fait de n’avoir aucun vêtement sur elle devant un homme qu’elle n’a pourtant vu pour l’instant que deux fois, lui était tout à fait naturel.

Comme je l’ai déjà dit, elle ressemble beaucoup de visage à Alice, même si elle est brune avec des cheveux plus courts, qui lorsqu’ils sont détachés comme à présent lui arrivent au milieu du dos, et que ses yeux sont marron-vert. Cependant je remarque aussitôt que les similitudes ne s’arrêtent pas à la tête, puisque le reste de sa peau est également mate, et sa poitrine que je découvre à présent est grosse pour une fille de son âge. Et vu que ses seins ont déjà commencé à pendre, il y a fort à parier que lorsqu’elle aura elle aussi été enceinte, ils deviendront pareils que ceux de celle qui l’a mise au monde. De plus, Léo a des tétons cylindriques de cinq millimètres de diamètre identiques à ceux de sa maman, avec les mêmes aréoles circulaires de cinq centimètres, le tout du même brun.

Son ventre quant à lui est plat avec des côtes légèrement saillantes, et son nombril rond est agrémenté d’un piercing, comme le veut la mode pour les jeunes de son âge. Sa taille est fine, mais ses petites fesses sont rebondies. Sa vulve lisse de la même teinte que ses tétons et probablement rasée de frais est fendue assez haut. Elle a comme celle d’Alice des petites lèvres apparentes et chiffonnées, et juste au-dessus trône une petite touffe de poils bruns de forme plus ou moins triangulaire, mais beaucoup moins étendue que celle de ma compagne, et qui s’ils semblent avoir également leur longueur naturelle, sont tout de même plus courts.

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Une fois que Léo m’a fait la bise pour me dire bonjour, je me sens légèrement coupable d’avoir effectué cet examen, comme si c’était un début d’adultère, mais la toute jeune femme n’a pas l’air mécontente d’avoir eu à le subir. Elle est même ravie, comme si elle venait de réussir un concours. Cependant, ce n’est pas à elle que j’ai des comptes à rendre, mais à Alice qui vient de sortir à son tour par la porte-fenêtre de la cuisine, après que sa deuxième enfant ait déposé ce qu’elle portait dans le réfrigérateur. Lorsque j’affronte le regard de mon petit bout de femme, elle a l’air amusée par l’air penaud que je sais avoir et elle me dit :

Eh oui, telle mère telle fille.

Puis elle s’efface pour me laisser découvrir Léa, qui bien que son visage lunaire soit écarlate, s’avance tout de même bravement vers moi. Perchée elle aussi sur des talons de dix centimètres de haut, et la démarche encore moins assurée que celle de sa sur, elle reste la plus petite des trois. Ses cheveux blond-platine de la même longueur que ceux de sa jumelle sont également détachés. Ses yeux bleus-vert semblent chercher dans les miens qui sont identiques une approbation, comme si elle avait le sentiment d’avoir fait une bêtise en se mettant nue. C’est pourquoi je lui fais un sourire que j’essaie de rendre le plus doux possible, ce qui a l’air de la soulager, car bien qu’étant toujours aussi rouge, elle me le rend timidement.

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Comme je l’ai déjà dit, les deux jumelles d’Alice se sont partagé son héritage génétique, étant donné que si Léo a pris pour elle le physique, Léa a reçu le caractère, et le corps de cette dernière pas plus que sa tête n’ont la même morphologie que ceux de ses parentes.

Sa peau bien que je suppose qu’elle a été aussi souvent exposée au soleil que celle de sa sur, est restée étonnamment claire. Ses seins de petite taille, mais touts ronds et bien pleins, sont chapeautés par des tétons eux aussi demi-sphériques et d’environ deux millimètres de diamètre, avec des aréoles bien dessinées qui ne doivent pas en faire plus d’une quinzaine. Le tout est du même rose foncé, ce qui est en accord avec son teint. Elle est plus fine que sa jumelle, sans pour autant paraître maigre, avec un ventre lui aussi plat aux côtes légèrement saillantes, et un nombril orné du même piercing.

Ses fesses et ses hanches à peine dessinées lui donnent des airs d’adolescente, ce qu’elle était encore il n’y a pas si longtemps. Cette impression est renforcée par le fait que ses grandes lèvres joufflues de la même teinte que sa peau, qui forment un trait vertical plus sombre et régulier là où elles se rejoignent, cachent intégralement le reste de sa vulve. Ces babines charnues sont lisses comme au jour de sa naissance, tout comme son pubis lui aussi chauve. Je pense qu’elle a dû raser le tout, pour ne pas montrer que sa toison probablement du même blond platine que le reste de ses poils est encore clairsemé, contrairement à celle de sa sur qui est déjà fournie. Mais bien entendu, ce n’est qu’une supposition de ma part.

Quoi qu’il en soit, Léa est dans son genre particulier elle aussi une très belle jeune femme, et cela doit se voir sur mon visage étant donné que le sien qui est à présent beaucoup moins rouge affiche le même petit air satisfait que celui de sa maman lorsqu’elle est contente. C’est par conséquent sans plus hésiter qu’elle vient comme sa sur me faire la bise. Lorsque je reporte ensuite mon attention sur Alice, je constate qu’elle n’a l’air d’éprouver aucune jalousie, comme si le fait que je trouve ses filles à mon goût était dans l’ordre des choses. Elle me donne au contraire, l’impression d’être heureuse de la façon dont les choses sont en train de se passer, même si elle sait déjà qu’elle a perdu le pari que nous avons fait.

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À mon grand étonnement, c’est avec une pointe d’ironie dans la voix que mon petit bout de femme me dit :

Maintenant que tu t’es bien rincé l’il en regardant des minettes avec ou sans poils, tu devrais faire attention à ce que ton riz ne brûle pas, mon Amour. Parce que je leur ai tant vanté ta paëlla au feu de bois, qu’il serait dommage qu’elle soit ratée.

Je me retourne aussitôt vers le barbecue, pour me rendre compte qu’elle n’est pas loin d’avoir raison, et je réponds en bougonnant comme si j’avais été pris en faute :

C’est vous qui m’avez distrait. Alors pour te rendre utile au lieu de me critiquer, tu devrais plutôt aller faire visiter la maison aux filles.

Le sous-sol également ?

Pour y être allée, tu sais aussi bien que moi que mis à part des bouteilles de vin, il n’y a rien d’intéressant à y voir. Mais si vous y descendez, tu en profiteras pour en ramener une de pinot gris et une autre de Séguret.

Tu as l’intention de nous saouler ?

Non, je vais boire tout seul, pour oublier à quel point tu n’arrêtes pas d’être méchante avec moi.

Alice s’approche alors de moi, et elle me surprend en venant poser sa main sur mon bermuda, avant de se mettre à caresser mes fesses devant ses filles, et de me dire sur un ton très tendre :

Oh, mon pauvre Nounours, qui est tout triste parce qu’il se sent persécuté.

Puis elle ajoute d’une voix normale, sans pour autant retirer sa main :

Ce n’est pas du tout l’image de notre couple que je voulais donner à mes enfants, par conséquent je te promets à l’avenir d’être plus gentille. Même si je suis vexée d’avoir aussi rapidement perdu mon pari.

C’est seulement en entendant cela que je comprends la raison de son attitude à mon égard, et je hausse les épaules tandis qu’elles me laissent seul, pour aller faire le tour du propriétaire.

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Une fois qu’elles sont parties, je réfléchis à un détail qui m’a frappé, sans pour autant être arrivé à mettre le doigt dessus, comme s’il y avait quelque chose d’insolite dans la situation que nous avons vécue, mais que je sois incapable d’expliquer ce que c’était. C’est soudainement que la réponse me vient, et il s’agit du fait que les filles d’Alice ne portent aucune marque de maillots de bain, comme si elles avaient déjà pris l’habitude elles aussi de se faire bronzer sans en mettre.

Je souris en me demandant si mon petit bout de femme s’en est également rendu compte, ou si elle n’y a tout simplement pas fait attention. Mais ce que je trouve le plus amusant, c’est que tandis que la maman s’exposait complètement nue au soleil en cachette de ses filles, dans le but de me faire plaisir, ces dernières en faisaient autant pour des raisons qui leur étaient propres.

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Alice et ses jumelles ne restent pas parties plus d’une quinzaine de minutes, ce qui indique qu’elles ont tout de même pris leur temps pour visiter, et qu’elles sont allées en dernier au sous-sol puisqu’elles en ont ramené des bouteilles de vin. Lorsqu’elles reviennent vers moi et tandis que j’ajoute peu à peu les légumes dans la poêle, alors que la viande a déjà rejoint le riz, mon petit bout de femme me dit tout en rougissant légèrement :

Ta villa plaît beaucoup à mes filles, mais elles trouvent étrange pour ne pas dire idiot, que nous soyons toutes les trois à poils alors que toi tu restes habillé.

Tu ne leur as pas expliqué pourquoi on a décidé de faire comme ça ?

Elle s’empourpre un peu plus, avant de me répondre :

Si, mais étant donné qu’à la maison j’ai désactivé la sécurité parentale sur notre ordinateur depuis quelques années, elles m’ont avoué qu’elles ne se sont pas privées pour aller sur des sites pornos. Par conséquent, elles ont déjà vu bien plus qu’un homme qui fait du nudisme chez lui, même si ce n’était qu’en vidéo.

Je tourne alors ma tête vers Léo et Léa, et si la première sourit de toutes ses dents la seconde est carrément écarlate. Je comprends que si cette fois elle se sent gênée, c’est parce que je viens d’apprendre que derrière ses traits angéliques se cache une petite coquine, et elle me regarde en dessous comme si elle attendait une terrible sentence de ma part. C’est pourquoi je fais à sa maman, après avoir reporté mon attention sur elle :

Je trouve plutôt normal que des jeunes de leur âge soient curieuses au sujet du sexe opposé, et même du sexe tout court. De plus, Internet est un outil que peut se révéler très pédagogique, si on l’utilise sans en abuser. Et pour ce qui est de mon bermuda, puisque vous êtes toutes les trois d’accord je vais le retirer, mais temps que je cuisinerai je garderai mon tablier pour éviter de me brûler.

Puis j’ajoute pour taquiner la maman devant ses filles :

Mais étant donné que j’ai les mains sales, c’est toi qui vas me l’enlever.

Bien qu’elle soit toujours aussi rouge, Alice se met à genoux devant moi sans hésiter, elle passe ses mains sous ma blouse, et elle défait le bouton puis la fermeture éclair de mon short avant de le faire glisser vers le bas. Au passage, elle m’a caressé malicieusement le sexe sans que les jumelles ne puissent s’en rendre compte, étant donné qu’il est toujours masqué par ma blouse, et c’est ainsi que je me retrouve les fesses à l’air devant les filles de ma compagne.

À suivre…

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