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Ambitieuse petite Lisa – Chapitre 3




Avec mon boulot dEscort, mes revenus ont considérablement augmenté et ma condition sest améliorée dautant. Ça mavait aussi permis de faire connaissance avec des patrons qui semblaient ravi à mimaginer en secrétaire chez eux. Ils simaginaient déjà dans leur bureau au téléphone et moi sous le bureau à moccuper de leur entrejambe sans savoir si jallais donner suite. Javais une vie agréable et toutes les semaines je mamusais à donner du plaisir à des hommes daffaires, mariés pour la plupart. Il nétait pas rare, compte tenu de mon assiduité au travail, que je reçoive une prime supplémentaire voire parfois des petits cadeaux comme des bijoux. Nous étions une poignée de fille à lagence à être « très » bien coté. Il faut dire quon nhésitait pas à envoyer du lourd pour satisfaire ces méssieux.

Un samedi matin, Gisèle nous convoqua pour ce quelle qualifia de « gros contrat ». Elle venait dêtre contactée par un client denvergure. Pour les besoins de ces affaires, un richissime émir du Qatar était en déplacement en Europe. Il avait prévu de dîner avec des clients et nous étions chargé de leur tenir compagnie. Seulement le client voulait que ce soit fait selon les coutumes de son pays. A savoir que les femmes mangent avant et quelles fassent le service pour le repas de ces méssieux le tout dans la tenue quil nous avait prévu. A la suite de ça lémir allait choisir celle qui partagerait sa couche pour la nuit laissant à ses clients le loisir de choisir parmi celles qui restaient, la fille avec qui chacun allait passer la nuit.

Comme souvent, je fus convoqué avec Marie. Nous étions considérées comme les 2 étoiles montantes de lagence. Avec nous, 2 autres valeurs sures de lagence: Rachel et Déborah qui avaient déjà fait leurs preuves. Nous avions toutes les 4 acceptées les conditions sachant que la paie serait en conséquence. On commençait à se connaitre toutes. On faisait ça pour le pognon. Surtout Rachel qui avait un petit à nourrir et quelle élevait seule (un accident de carrière avec un client maladroit). Le jour du rendez-vous Nous étions toutes les 4 avec Gisèle devant lhôtel. Gisèle envoi un SMS à son commanditaire et quelques minutes plus tard un jeune homme charmant, nommé Hassan, typé oriental, arriva pour nous mener à lémir. Il se présenta dans un français impeccable avec une petite pointe daccent, comme son secrétaire particulier ainsi que lun des fils cadet de lémir. Laîné étant resté au pays pour gérer les affaires courantes en labsence de son père.

Au dernier étage de lhôtel de luxe, pas un bruit. Lémir avait loué tout létage pour son personnel et ses clients de passage. Notre guide nous fit entrer dans une pièce où siégeait un homme habillé de la tenue traditionnelle des émirats. Barbu poivre et sel et massif, Il représentait parfaitement lidée que lon se faisait du personnage. Une fois devant lémir il nous regarda défiler une à une devant lui. Nous étions toutes en tailleur et il semblait charmé. Puis lémir, son fils et Gisèle partirent sisoler. Gisèle revint 10 minutes plus tard et sadressa à nous.

— Mesdemoiselles, Je vais men aller. Je vous laisse au bon soin de monsieur Hassan qui sera votre interlocuteur. Il vous expliquera ce qui vous sera demandé. On se verra Lundi.

— Bien madame. Avons-nous répondu toutes à lunisson.

Il était 15 heures, Hassan nous amena dans la chambre qui allait être notre vestiaire. Sur la table un repas copieux. Et dans une penderie, les tenues qui allaient être les nôtres.

— Voici la pièce qui vous est attribuée. Je vous conseille de manger, de prendre des forces maintenant, de vous changer et de vous préparer ensuite. Lémir aime que les femmes soient propres et parfaitement apprêtées. Vous avez une salle de bain derrière vous. Petite précision : lémir souhaite que vous soyez épilées intégralement. Vous disposez de tout le nécessaire dans la salle de bain. Je vous conseil de faire une petite sieste. La soirée risque dêtre longue. Le dîner est à 20h. Je passerai vous chercher à 19h30.

Nous navions même pas eu le temps de prononcer un mot quil était déjà parti. Cétait une organisation plus que martiale. Mais il fallait faire avec. A 19h nous étions presque toutes prêtes nous mettions la dernière touches à nos tenues avec les bijoux qui étaient à notre disposition. Nous étions toutes vêtues de pas grand-chose en fait. Cétait comme une sorte de bikini revisité, très fin aux tissus dorés. La culotte cétait un string de tissus semi transparent aux contours cousus de fil dor. Pour la poitrine cétait un haut fait dune sorte de soie très douce mais quasiment transparente. Par-dessus cela nous étions recouvertes de riches parures de bijoux. Or et pierres précieuses. Ainsi que de longues voilures de couleurs pastelles mais tout aussi opaque que le reste. Dans le miroir on se disait toutes « mais on est nue ». Ces méssieux allaient choper une sacré trique.

A lheure dite. Le jeune Hassan nous amena devant son père qui tenait à faire linspection lui-même (et se rincer lil au passage). Nous étions alignées devant lui tête baissée. Lémir se leva et tourna autour de nous plusieurs fois. Puis rejoint son fils, lui parla en arabe et repris sa place. Hassan nous demanda de prendre place au fond de la pièce à coté de la table ou était déposés les plats de la soirée et précisa que son père exigeait que Marie soit à son service exclusif. On avait toutes compris que lémir avait déjà fait son choix pour cette nuit. Marie allait finir au lit avec lui ce qui semblait la ravir. Il faut dire quon avait du mal à rivaliser. Marie est une belle blonde sculpturale à forte poitrine, refaite mais très réussie. Hassan nous expliqua que nous devions rester immobile contre le mur durant le repas et ne bouger que lorsque lémir claquera 2 fois des mains pour débarrasser ou servir. Seul Marie ne sera pas avec nous car elle restera légèrement en retrait derrière lémir.

Nous étions là, à attendre. Marie assise à la droite de lémir qui la caressait à travers son voile. Hassan fit entrer les clients. Le 1er était un riche industriel allemand qui semblait profiter abusivement des festivités de la fête de la bière à Munich. Le 2ème, un lord anglais très distingué et le 3ème, un banquier français (non ce nest pas une mauvaise histoire drôle de cours de récré). Les hommes prirent place autour de la table. Tous les clients de lémir avait les yeux rivés sur Marie mais ils comprirent très vite quelle était chasse gardée. Ces méssieux mangeaient et buvaient tout en discutant affaire. Tout le monde avait remarqué le manège de lémir qui ne cessait de peloter et doigter Marie discrètement quand elle passait à porté. Ce qui donna des idées à lindustriel allemand qui ne me lâchait pas du regard et me mettait la main aux fesses à chaque fois que je le servais. Lémir était même allé jusquà faire tomber ses couverts au sol pour demander à marie de les ramasser. Inutile de vous dire que tout le monde a compris pourquoi elle avait mis plusieurs minutes à sortir de dessous la table, une minute après que lémir ait poussé un soupir discret.

Une fois le repas fini, lémir se leva pour rejoindre Marie et donna à ses invités la possibilité de choisir, pour chacun deux, celle qui leur tiendrait compagnie. Cest à ce moment que lallemand arriva vers moi en me disant : « Tu viens avec moi Fräulein ». Les 2 autres firent aussi leur choix et chaque couple sest retrouvé dans une des chambres de létage.

Dès mon entrée dans la chambre, jai senti venir le mauvais coup. Mon partenaire de la nuit avait abusivement profité des alcools sur la table. Javais furtivement humé son vers et cétait très fort. Jaurais du garder la bouteille. Je suis sur que ça aurais été pratique pour débouché mon lavabo. Il sentait le picrate déjà avant. Etait-ce larrivée du beaujolais nouveau ? En tout cas il ne lui a pas fallu 10 secondes pour me mettre nue (vu le peu quil y avait à enlever ). Ensuite il ma basculé sur le ventre, les fesses en lair pour me prendre en levrette. Il faut dire que son sac à bière abdominale limitait les positions. Des quil eut fini sa petite affaire il sest écroulé sur le plumard Et après plus rien à en tirer. Il a passé sa nuit à cuver. Jétais limite déçue et vexée. Le lendemain vers 9 h, Hassan frappa à la porte pour nous signifier la fin de notre prestation. Je me suis dirigé avec mes affaires au vestiaire où Deborah et Rachel était déjà en train de se rhabiller. Peu de temps après, Hassan revint. Il était accompagné de Marie et de lémir.

— Son excellence à tenu à venir vous remercier en personne pour la soirée. Vous avez comblé toutes ses espérances. il tenait également à vous faire cadeau des parures de bijou que vous portiez hier soir.

Lémir nous adressa la parole pour la 1ère fois de sa voix grave en anglais, avec une prononciation plus quapproximative et un fort accent arabe.

— Fink you verry meutch for evrry fing.

Par respect nous nous sommes inclinées devant lui pour nous avoir reçus et il fit un baisemain à Marie avant de partir. Une fois rhabillées nous nous sommes toutes les 4 dirigées vers lascenseur. Alors quon attendait lascenseur on entendit du bruit venir de la chambre ou javais laissé mon partenaire germanique. On a eu le loisir de le voire débouler en caleçon dans le couloir, déçu davoir manqué sa soirée. Alors que la porte de lascenseur se refermait je lui ai lancé un petit « auf wiedersehen » moqueur, alors que lui me regardait dun air dégoûté. Les filles navait pas compris pourquoi mais quand je leur ai raconté ma nuit elles ont éclaté de rire car elles, en avaient bien profité.

On sest séparé dans le hall de lhôtel. Marie voulait me parler de sa soirée. Certes lémir avait passé une bonne partie de la nuit à lui faire lamour, et plusieurs fois. Mais il lavait fait en refusant de se protéger et donc avait jouis en elle sans protection. Ne sachant pas trop quoi faire elle avait encaissé ses assauts en imaginant bien quil serait en parfaite santé. Elle ma tout raconté.

A peine arrivée dans la chambre, il la mise à nue et la sailli comme un étalon avec une jument sans préliminaire ni rien jusquà lui éjaculer dans son vagin. Il continua à limer pour se débarrasser des dernières goûtes jusquà une débandade complète. Une fois tout mou, il sest occupé à la lécher partout en sattardant longuement sur son bigorneau, son anus et surtout sa poitrine quil avait remarquée depuis le début. Il la longuement caressé avec ses mains puissantes et velues. Il sest ensuite allongé sur le dos, lui a pris la tête entre ses mains pour lamener sur son sexe encore mou.

— Suck it and stop when it is hard <suce jusquà ce que ce soit dur>. Fut la seule phrase quil lui accorda.

Marie ne connaissait pas son amant ni les jeux intimes quil avait lhabitude de pratiquer avec les femmes de son harem. Il a donc consenti à lui expliquer ce quil voulait car dordinaire, celle qui partage sa couche sait ce quil veut. Elle a alors commencé sa fellation. Vu lâge de son partenaire et compte tenu de sa précédente jouissance, il mit un peu de temps à retrouver une érection digne de ce nom. Une fois de nouveau opérationnel, il la mise à 4 pattes et la sodomisa avec vigueur Mais se retira pour, encore une fois, jouir dans sa matrice. Une fois sa besogne terminée, il sécroula sur le lit en entraînant Marie avec lui et avec son bras, la plaqua contre lui. Il lembrassa durant de longues minutes et sendormi comme une masse en la maintenant contre lui. Des fois quil aurait envie durant la nuit de remettre le couvert Ce qui arriva.

Avant de nous rejoindre et après lui avoir offert sa semence en guise de petit déjeuner, il lui avait également proposé de devenir le « joyau de son harem » en lincitant à en faire partie. Ce quelle avait décliné, de peur de se retrouver offerte à un de ses subordonnés quand il se serait lassé delle, après sêtre fait engrossé plusieurs fois et sans avoir la possibilité de revenir en France un jour. Mais son inquiétude venait surtout de la possibilité de tomber enceinte de lui. On en a averti Gisèle qui, avec la grosse prime de cette soirée pouvait se permettre de payer lavortement le cas échéant, si marie le voulait. Heureusement il ny eu aucune conséquence. Par contre elle fut contrainte de ne plus travailler sans avoir les résultats de son examen médical. Même si Gisèle étaient une madame Claude new génération, elle faisait attention à nous (elle pouvait se le permettre vu que sans nous ce sont ses revenus qui baissaient). On sen ai toutes sorties avec une paie équivalente à un mois de SMIC à temps complet pour une soirée. Jackpot !

Pendant ce temps, ma formation poursuivait son cours et pour une fois jappréciais aller en cours. Je n’aurais jamais cru dire ça un jour. Je devais trouver un stage en entreprise pour finaliser le tout. Bien sur, grâce à lagence, javais eu des contacts avec quelques patrons, moches et mal attentionnés qui ne voyaient en moi que la possibilité de tirer un coup aussi souvent quils lauraient voulu. Personnellement, je voulais vraiment faire une rupture entre ces 2 aspects de ma vie. Car à terme, je voulais arrêter lEscorting pour avoir une vie plus rangée. Mais pour linstant tant que je nai pas fini ma formation et trouvé un boulot, je continu à gagner du pognon. Cest toujours ça de pris.

Un jour Gisèle me convoqua pour une soirée avec un client qui, je ne le savais pas encore à ce moment là, serait mon dernier client. Cétait un cadre commercial de la branche française dune grosse multinationale venant négocier des affaires. Jétais sensé être sa « prime exceptionnelle » pour les négociations quil avait mené, le tout payé par sa boite. Quelque chose dassez classique en somme (je disais ça dun air blasé à lépoque). A lagence je croise Rachel. Elle revenait dun rendez-vous avec un client assez inhabituel : Un cardinal de léglise catholique. Jétais presque choqué dentendre ça. Par contre elle semblait ravie de cette longue entrevue. Elle ma raconté quavant de commencer leurs galipettes il avait voulu quelle se confesse. Par le verbe « confesser » il fallait comprendre « con » et « fessée ». Elle mavait aussi raconté que, vu son ardeur à la besogne, il nen était pas à son coup dessai car il semblait très expérimenté sur la chose. Cest vrai quaprès tout ils ont fait vux de célibat, pas de chasteté. Et puis historiquement le cardinal de Richelieu était aussi connu, à son époque, pour avoir des bâtards dans tous les coins.

Après mêtre fait toute belle, je me rends au jour et à heure dite à lhôtel pour le rendez-vous. Cétait un bel homme du style Georges Clooney, bien bâti et très élégant. Ça promettait un bon moment. Et se fut le cas. Il était dune douceur et dune sensualité quand il me caressait. Jen frémis encore. Il savait tout aussi bien être tendre et brutal. En fait il voulait quon se comporte comme un couple qui se découvre et qui se teste autant dire que tout le kamasoutra y est passé. Après ces heures passées en sa compagnie, en me raccompagnant, il voulu en savoir plus sur moi.

— Dis-moi tu fais ça à plein temps ou cest occasionnel ?

— Je fais ça juste pour payer mes études et me mettre de largent de coté. Mon but cest de me faire une situation confortable avec un boulot correcte.

— Et pour ça tas rien trouvé de mieux que de coucher ?

— Jaurais pu faire autre chose, effectivement. Mais jai été traumatisé par mon enfance où je navais rien, ballotée de foyer en foyer. Là je gagne de largent et je mamuse. Je fais des rencontres aussi.

— Tu vas aussi me dire que tu cherches un mari grand, beau, riche et sachant soccuper de toi ?

— Oui aussi. On cherche toutes inconsciemment.

— Bas désolé mais je suis déjà pris. Mais dis moi tu étudies dans quoi ?

— Je fais une formation de secrétaire de direction. Dailleurs faut que je mactive pour trouver un stage de fin détude.

— Je peux peut-être faire quelque chose pour toi. On prépare une vague de recrutement dans les mois qui viennent et dans presque tous les services pour remplacer du personnel qui part en retraite et il y a des postes de secrétaire. Je pourrais en toucher 2 mots au DRH pour ton stage et comme tu auras une expérience chez nous, tu serais en bonne position pour postuler.

— Vraiment ? Merci cest sympas . Mais attention je ne veux pas dun poste du genre « tu couches ou tes viré ».

— Rassures-toi. Cest un poste tout ce quil y a de plus normal.

— Ok je tente le coup alors.

— Tiens prends ma carte, envoi moi ton CV et on sorganisera une entrevue.

— Parfait Merci et au revoir jespère.

Je suis reparti avec lespoir de pouvoir faire mon stage, valider ma formation et trouver un boulot dans la foulée. Le rêve pour moi. Je lai très vite contacté et revu mais professionnellement cette fois. Pour me donner toutes les chances de réussir jai tout dis à Gisèle qui, me comprenant, ma mise en stand by en attendant que tout soit finalisé et que je lui dise si je devais être rayé de la liste du personnel de lagence.

Jai été prise comme stagiaire quelques semaines plus tard pour une durée de 2 mois. Comme on me la promis, durant cette période, aucune coucherie, aucuns harcèlement sexuel, rien. Ça me changeait. Ça faisait du bien. Mais quelque part ça manquait aussi un peu. Je ne dirais pas que jy avais pris gout mais jen avais pris lhabitude. Je ne voulais pas retourner là dedans. Jestimais en avoir fait le tour et voulais mémanciper de tout ça pour voler de mes propres ailes dune manière plus « normale ». A la fin de mon stage le DRH voulait me voire. Je me suis rendu dans son bureau pour faire valider le formulaire de fin de stage et aussi pour discuter de la raison pour laquelle il mavait convoqué.

— Bonjour monsieur. Vous vouliez me voir ?

— Bonjour mademoiselle. Oui effectivement. Tout dabord pour la fin de votre stage que je dois valider .. voila .. je rempli le formulaire .. un coup de tampon . Et voila. Cest fait.

— Merci

— Je voulais vous parler de la vague de recrutement que nous allons lancer dici 10 semaines. Lun des postes du secrétariat de notre PDG va se libérer et daprès M Lambert que vous connaissez et qui vous a aiguiller vers nous, vous correspondriez parfaitement au poste, que vous auriez toutes les qualités et compétences requises.

— Et bien merci je ne sais pas quoi dire.

— Il est vrai que votre stage chez nous a été plus que concluant ici je lis le bilan : prise dinitiative, bonne réactivité, flexibilité dans le travail. Cest parfait.

— Jai fait de mon mieux.

— En plus il parait que vous parlez couramment langlais.

— Oui jai eu un très bon prof de langue au lycée (oui très bon pour utiliser sa langue), Et durant la formation, les cours de perfectionnement nont pas été très difficiles. De plus Jai eu, jusquà mon entrée chez vous, des activités dordre privées dans une association qui . apportait du soutien affectif à des personnes qui en avaient besoin dont certains étaient étrangers donc on parlait en anglais (Ok la jenjolive bien mon activité descorte mais je nallais pas tout lui déballer non plus).

Après cette phrase, je le vit rire sur sa table. Je me demandais bien ce que javais dit de si drôle.

— Voyez-vous, mademoiselle, quand il sagit de recruter une personne pour un poste aussi proche de la haute direction de lentreprise, jordonne une enquête discrète mais méticuleuse. Vous comprendrez que nous devons prendre nos précautions.

— Oui tout à fait.

Aïe ! Je navais pas du tout prévu ça. Que savait-il sur moi ? Pourvu que ça ne me fasse pas chuter pour le poste. A ce moment là, il sorti de son bureau un dossier portant mon nom et commença à le feuilleter.

— Ce dossier nous permet surtout de mieux vous cerner. Sachez que tout ce qui ce dira ici, restera dans cette pièce.

— Merci.

— Vous savez, dans les hautes instances de lentreprise, tout ce sait. Nous avons, en ce qui concerne les hommes à notre niveau en tout cas, presque tous connu lagence de Madame Gisèle. Je dois dire que qualifier son agence dassociation apportant du soutien affectif à des personnes qui en avaient besoin, je trouve ça très poétique.

Merde, Il sait. Cest Lambert qui ma balancé. Je me demande bien quelles surprises mattendent encore.

— Dans votre dossier scolaire on distingue un 19 au BAC alors que vous étiez à 6 durant lannée sur cette même matière ? Je me demande ce quil a pu se passé avec M .. Tréault.

Au vu de son sourire il devait bien en avoir une idée. Et le fait quil ait le nom de lexaminateur du BAC que jai dépucelé à lépoque montrait quil était allé très loin. Ce nétait plus la peine de cacher quoi que ce soit.

— Alors Mademoiselle ?

— Oui jai fait plaisir à ce monsieur. Je lavais charmé et cest lui qui ma proposé 18 pour une nuit.

— Vous avez du être convaincante pour avoir 19 ?

— Surement, mais cest à lui quil faut le demandé.

— Vous avez su améliorer vos notes en math et en anglais visiblement. De la même manière ?

— A peu de chose prêt oui.

— Ok ça va me suffire.

— Je perds le boulot, cest ça ?

— Non au contraire. Vous navez peur de rien vous savez maîtriser une situation qui vous ai défavorable. Vous savez utiliser tous les atouts à votre disposition pour en tirer avantage. ça démontre que vous êtes une battante même si vous ne le faites pas de la meilleure manière à mon gout. Toutefois il y a un aspect que nous navons pas abordé.

— Lequel ?

— Nous cherchons une nouvelle secrétaire pour notre PDG et elle aura accès à des infos confidentielles. Il faut savoir garder le silence.

— Je nai jamais dénoncé ma copine Jessica avec ses « petites affaires » au lycée.

— OK Mais ce nest pas tout. La personne que nous cherchons travaillera en étroite collaboration avec le PDG. Elle partagera « une certaine intimité » avec lui. Vous me comprenez ?

— Oui, vous cherchez une secrétaire .très particulière.

— Voila ! On sest compris. Je voulais que vous le sachiez avant daccepter le poste. Si vous refusez celui-ci, il y aura dautres postes plus conventionnels ceux là. Mais sachez une chose Notre PDG est un homme, disons le crument cest un chaud lapin, un vrai queutard. Il sait se tenir en société mais lorsquil est seul avec une jolie femme, il a un peu de mal à contrôler certaines pulsions. Toutefois il sait se montrer dune extrême générosité lorsquil est satisfait de ces collaboratrices. Cest un homme riche influent et très gentleman avec les dames. Donc si vous acceptez le poste et que vous accédez à ses avances, il assurera votre avenir financier à vie si tout se passe bien.

— A ce point ?

— Oui. Bien sur il faudra négocier tout cela avec lui. Nous ne voulons pas vous mettre le couteau sous la gorge et sachez que vous ne serez en rien muselée. Vous conserverez votre liberté de rétractation au cas où. Vous avez un délai pour nous répondre. Nous attendrons les résultats de votre examen. Ensuite nous vous indiquerons les pièces justificatives pour votre dossier. Des questions ?

— Non, pas pour le moment.

— Bien sur si vous parlez des détails de notre entrevue nous nierons en bloc. Il nous faut observer la plus subtile des discrétions.

— Je comprends bien.

— Mais sachez que vous aurez beaucoup à y gagner à accepter le poste.

— Je vais y réfléchir.

Un poste de secrétaire coquine en échange dun avenir financier assuré ou du moins confortable. On me proposait ce que je cherchais sur un plateau en échange de mes faveurs. Vais-je accepter ou choisir autre chose ? Je me suis poser la question. Cest vrai que javais, à mon âge économisé assez dargent pour être tranquille durant quelques années. Mais je ne voulais pas me reposer sur mes lauriers.

Ma formation a été validée quelques semaines plus tard. Javais invité Marie et Jessica pour fêter ça lors dune soirée entre filles. On sest éclaté comme des folles. On a un peu le même état desprits toutes les 3.Sous leffet de lalcool on sest fait quelques révélations sur nos passés respectifs : Jessica qui suçait le proviseur au lycée et qui sétait tapé lexaminateur de français du BAC, moi qui ai dépucelé lexaminateur du bac dhistoire géo et couché avec 2 prof plus les baby-sitting crapuleux, Marie qui sest tapé le mari de Gisèle le lendemain de son embauche à lagence, et qui continu de le voir régulièrement (personne ne savais ça), . Enfin bref cétait le jeu de la vérité. Jen ai profité pour leur dire pour la proposition quon ma faite. On se disait tout et je savais quelles le garderaient pour elles. Quand je leur ai dit, elles se sont regardées et mont dit dune seule voix « va z y fonce ». Il faut dire que jen étais plus à ça près niveau mec et puis plus de 2 mois sans en avoir un entre les cuisses, depuis la seconde ça ne métait pas arrivé.

Le lendemain, Javais pris ma décision concernant la proposition qui mavait été faite. Cest vrai quavoir un « mécène » en échange de moments agréables, je nai pas trouvé ça excessif surtout si la générosité annoncée est à la hauteur. Je suis vénale ? et bien oui finalement. Et je ne suis pas la seule. Jai alors pris mon portable et composé le numéro du DRH.

— Allô

— Allô ici Lisa, la future secrétaire de votre PDG.

— Bonjour, comment allez vous ? Jen déduis que vous acceptez le poste alors ?

— Ça va bien Merci et effectivement jai accepté.

— Vous men voyez ravi. Monsieur Vernieux va être content. Jai votre CV sous les yeux. Ladresse mail na pas changée ?

— Non.

— Parfait je vous envoi la liste des documents à nous fournir. Joubliais une chose. Vendredi en 8, on organise une grande réception pour les cadres haut placés de la boite. Bien sur le PDG sera présent. Si vous pouviez vous y rendre, en tenu de soirée bien sur, vous pourriez y faire la connaissance avec votre future supérieur hiérarchique. Je vous envoi une copie du flyer ainsi quune accréditation pour entrer.

— Très bien. Jy serais.

— Dans ce cas, jattends vos documents et je vous dis au revoir, à la réception.

— Au revoir.

Je me suis procuré toutes les pièces sauf certaines qui ont mis plus de temps. Outre les éternelles copies de diplôme et pièces didentité, on ma aussi demandé un certificat médical complet ainsi que les résultats du teste de dépistage VIH et une preuve comme quoi javais un moyen de contraception. Je prenais la pilule depuis la seconde donc de ce coté là pas de problème. Je nétais pas idiote. Je savais que cétais pour pouvoir me prendre sans protection ni risque de grossesse. Jai tout envoyé 2 jours avant la fête.

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