A peine quinze jours plus tard, le téléphone sonna et Mélanie répondit :
« Allô.
—
— Mais je pensais
—
— D’accord.
—
— Ce week-end ?
—
— Je n’ai pas le choix de toute façon.
—
— D’accord, je viendrais.
—
— A vendredi, au revoir. »
Elle vint vers moi, la mine basse et le regard perdu.
« C’était qui ?, lui demandai-je.
— Rodrigue.
— Il voulait quoi ?
— Que que j’aille chez lui ce week-end, finit-elle par lâcher.
— Tu lui as dit quoi ?
— Je ne peux pas refuser. Tu le sais. »
Et lorsque le vendredi arriva, elle quitta la maison avec une petite valise dont elle me refusa de connaître le contenu. Elle revint le dimanche après-midi et fila sous la douche sans un mot. Lorsqu’elle revint vers moi, elle refusa de me raconter son week-end car elle n’avait « pas le droit ». J’imaginais donc que son week-end et elle-même avait été bien remplis. Elle m’annonça juste que la semaine suivante Rodrigue allait revenir à la maison. Effectivement, le vendredi soir suivant, Rodrigue arriva à la maison seul. Je m’attendais à revoir Paulette mais elle n’était pas là. Très simplement, il contraint Mélanie à une fellation avant de passer à table puis il accapara Mélanie pour dormir’ avec elle dans notre chambre.
Le lendemain, après le petit déjeuner et la douche, Mélanie revint habillée par Rodrigue. Perchée sur des escarpins noirs à talons, elle portait une robe courte noire à moitié transparente sous laquelle on pouvait voir ses seins nus et un petit string. C’est alors que l’on sonna à la porte. Rodrigue ordonna à Mélanie d’aller ouvrir. La tête baissée, elle alla ouvrir la porte. Quelques bonjour’ se firent entendre ainsi que des commentaires sur la tenue de Mélanie par plusieurs voix puis je découvris ceux qui venaient de pénétrer chez Mélanie et moi. C’étaient quatre hommes qui avaient environ le même âge que Rodrigue, certains un peu plus épais que Rodrigue et un était très poilu, un vrai singe.
« Je te présente Carlo, Gus, Nino et Francis, me dit Rodrigue. Je veux partager ma petite salope avec eux. Je te rassure, ils la connaissent déjà un peu.
— Salut gars. C’est toi le cocu ? me balança Gus.
— Oui, c’est lui qui croyait être le seul à baiser Mélanie.
— J’espère qu’il aime mater, ajouta Nino.
— Un bon vrai petit branleur, rigola Rodrigue. »
C’est alors que Carlo, le plus poilu des quatre, s’approcha de Mélanie. Il se colla à son dos et commença à lui tripoter les seins au travers de la robe.
« Doucement sauvage, lui dit Francis amusé.
— Tu sais qu’avec madame, le sexe c’est pas trop ça. Alors quand je tombe sur une bonne pétasse ouverte à tout, je ne me gêne pas, lui répondit-il avec un grand sourire. »
Faisant glisser ses mains le long du corps de Mélanie, il lui souleva la robe. Le string de ma compagne apparut alors. Francis s’approcha de Mélanie et l’embrassa à pleine bouche. Pendant ce temps, Carlo attrapa le string et commença à le faire descendre. Le string sur les chevilles, Mélanie était plus offerte que jamais. Les deux hommes glissèrent leur doigts entre les cuisses de ma copine. Francis commença à tripoter le sexe de ma compagne tandis que Carlo tentait visiblement de s’introduire entre ses fesses. Rodrigue s’approcha alors de Mélanie et lui retira la robe.
« La chambre est en haut. Mais rappelez-vous bien la règle ! Ajouta-t-il. »
Mélanie commença à monter les escaliers suivie de Francis et Carlo. Rodrigue m’arrêta alors que j’allais suivre et m’invita à attendre un peu avec Gus, Nino et lui. Je me risquais alors à une question :
« Il y a une règle Laquelle ? Je peux savoir ?
— Bien sûr. La seule règle est qu’ils n’ont pas le droit de jouir dans son sexe.
— Pour éviter qu’ils la mettent enceinte ?
— C’est ça Je serai le premier qui l’engrossera.
— Quoi ?
— C’est pourtant clair. Son premier enfant sera de moi. C’est comme ça. »
Franchement abasourdi par cette nouvelle, je voulus me lever pour monter dans la chambre. Tout semblait tourner autour de moi mais je réussis tout de même à me hisser jusqu’à la chambre suivi des trois hommes. En arrivant, le spectacle m’estomaqua un peu plus.
Mélanie était à genoux entourée des deux hommes à moitiés nus. Les deux sexes bandants pointaient vers le visage de ma compagne. A tour de rôle, ils attrapaient le visage de ma copine et plantaient leur sexe gonflé dans sa gorge, visiblement très profondément. Le maquillage de Mélanie coulait de ses yeux. Elle semblait à chaque fois avoir la respiration coupée. Mais cela n’arrêtait pas les deux hommes qui essayaient à chaque fois de s’enfoncer un peu plus.
Puis Francis poussa Mélanie qui se retrouva à quatre pattes au sol. Carlo se mit devant elle et enfonça de nouveau son sexe dans la bouche offerte de ma copine. Francis ouvrit largement les fesses de Mélanie puis posa son gland trempé à l’entrée de son anus. D’un coup sec, il embrocha ma copine qui ne put retenir un cris de douleur. Les deux hommes commencèrent à limer de concert ma compagne. A chaque fois que la verge de Francis s’enfonçait dans le cul de Mélanie, celle de Carlo s’enfonçait dans sa gorge. Au bout d’une moment, Carlo fit un signe à Francis et il sortirent tous deux des orifices de ma compagne. Ils firent se retourner Mélanie puis renfoncèrent leur sexe dans l’orifice à leur portée. Ainsi, le sexe de Carlo qui était dans la gorge de Mélanie s’introduit dans son anus mais surtout celle de Francis qui sortait à peine des fesses de Mélanie prit place dans sa bouche. Le balai des pénétrations de concert reprit jusqu’à ce que les deux hommes firent de nouveau se retourner Mélanie. Ils lui baisèrent de longues minutes alternativement l’anus et la bouche avant que Carlo qui se trouvait dans son petit trou ne fut pris d’un orgasme. Il balança sa purée dans le rectum de ma compagne puis se releva, visiblement essoufflé. Passant à côté de moi, il me tapa sur l’épaule.
« Elle a un cul magnifique. Tu fais bien de ne pas le garder que pour toi, ce serait gâcher Au suivant, lança-t-il alors aux autres hommes. »
C’est Gus qui fut le plus prompt à retirer ses vêtements. Nus, il s’approcha de Mélanie et prit la place de Francis dans le bouche de ma compagne. Francis se dirigea de nouveau entre les fesses de Mélanie. Au bout de quelques minutes et quelques échanges, Francis ne se retint plus et jouit lui aussi entre les fesses de Mélanie. Il fut vite remplacé par Nino qui n’attendait que ça. Au bout d’un petit moment, Gus finit par jouir dans la bouche de Mélanie pendant que Nino remplissait un peu plus son petit trou.
Durant tout ce temps, Rodrigue était resté en retrait. Il ne s’avança vers Mélanie que pour lui tendre la robe et lui signaler qu’il était grand temps qu’elle se mette à cuisiner le repas « plutôt que de baiser n’importe qui comme une salope ». Ainsi revêtue, elle descendit à la cuisine pour se mettre à préparer le repas devant dix yeux pervers. On pouvait distinctement voir du sperme descendre le long de ses cuisses collant un peu l’arrière de sa robe. Cette situation et cette vision était franchement dégradante et je me sentais humilié par ces 5 hommes qui avaient baisé, baisent et baiseront encore la femme que j’aime.
Une fois le repas pris, Rodrigue invita Mélanie à aller se nettoyer et de l’attendre dans la chambre car c’était à son tour de lui faire « bouffer du sperme ». Sans un mot, elle monta dans la salle de bain.
« Elle a du jus qui coule jusqu’à ses mollets, ricana Nino.
— Ouais, on l’a bien remplie cette pétasse, renchérit Francis.
— Un peu de courtoisie, messieurs. Je vous rappelle que son cocu est avec nous, ajouta Gus provoquant un éclat de rire généralisé.
— Bon, je vous laisse. Il faut que j’aille baiser la petite salope, dit Rodrigue en se levant. »
Les autres hommes m’empêchèrent de monter avec Rodrigue pour aller voir. Je dus me contenter des gémissements de plaisir que nous entendions depuis le salon. A chaque fois qu’un d’entre eux se faisait entendre, les copains de Rodrigue me regardaient avec un sourire moqueur. Quelques très longues minutes plus tard, les gémissements s’arrêtèrent puis la porte de la chambre s’ouvrit. Rodrigue finit par descendre les escaliers.
« Il faut qu’elle se repose un peu, les gars. Après, dès que vous vous sentirez, vous pourrez y aller.
— Franchement Rod, tu nous as trouvé une super cochonne. Elle aime vraiment la bite, lui dit Carlo sans vouloir te manquer de respect, ajouta-t-il en me regardant. »
Les cinq hommes se mirent à parler de tout et de rien comme si de rien n’était. Moi, au milieu, je ne participais pas à leur discussion. Mes pensées étaient tournées vers Mélanie dans la chambre qui venait de se faire prendre par cinq hommes différents dans notre chambre et dont l’anus avait contenu le sperme de trois d’entre eux, peut-être quatre parce que je ne l’avait pas vue depuis le retour de Rodrigue. Ces pensées déclenchèrent une érection. Je ne pouvais chasser de mon esprit l’idée de voir ma compagne attachée à un lit les fesses à l’air et une file interminable d’hommes venus pour l’enculer et lui juter dedans. Ma perversité arriva même à m’étonner. Mes pensées furent couper par le bruit de pas dans l’escalier. Mélanie, entièrement nue, descendit les escaliers.
« Bien reposée ? Demanda Rodrigue.
— Oui, j’ai dormi un peu
— Et ton cul ? Reposé aussi ?
— Oui, répondit Mélanie en baissant les yeux.
— Remonte, lui ordonna Gus. J’arrive. »
Toujours les yeux baissés, Mélanie fit demi-tour et remonta dans la chambre. Gus se leva et, d’un geste, invita les autres à le suivre. Les quatre hommes se levèrent. Rodrigue me fit signe pour que nous y allions aussi. Lorsque nous sommes arrivés à la porte de la chambre, Mélanie était déjà entourée des quatre hommes. Ils l’embrassaient sauvagement et faisaient danser leurs mains sur les fesses, le sexe ou les seins de ma copine. Puis ils appuyèrent sur ses épaules pour que Mélanie s’agenouille.
« Allez les gars, on sort les cadeaux de la demoiselle, lança Nino.
— Quatre belles bites pour une petite salope, s’amusa Francis.
— Tu les aimes nos bites, hein ? Demanda Gus en dégrafant son pantalon.
— Oui
— Alors suce, ordonna Carlo. »
Les quatre verges étaient tendues autour de Mélanie. Elle en prit une en bouche et en attrapa deux autres pour les branler. Tournant de sexe en sexe, elle suça et branla chacune d’entre elle. Les hommes l’entourant y aller régulièrement de leur commentaires salaces et dégradants. Mélanie, visée par ces moqueries, continuait inlassablement à faire glisser ses lèvres sur les sexes tendus et à caresser les sexes que sa bouche délaissait. Chacun d’entre eux donnait des coups de reins faisant entrer au plus profond leur verges dans la gorge de ma compagne.
Au bout de quelques minutes de ces fellations sauvages, Gus proposa de passer sur le lit. Il s’allongea et invita Mélanie à le chevaucher. Cette dernière qui s’attendait à sentir une verge investir son sexe fut surprise de sentir que Gus se dirigeait vers son anus.
« Les salopes comme toi, on ne les baise pas, on les encule. »
Et il força pour enfoncer son sexe dans le rectum de ma copine. Ainsi dressée pour permettre l’introduction du sexe en elle, Mélanie vit arriver les trois autre autour d’elle. Sa bouche fut prise d’assaut par les trois glands des hommes restant. Puis ses mains furent mises à l’épreuve pour continuer à branler. Coincée de la sorte entre quatre verges tendues, elle semblait prendre du plaisir car elle se mit à gémir. Nino quitta la main de Mélanie et glissa son sexe humide entre les seins de ma copine. Agrippant et serrant ses tétons, il commença à se branler. Mélanie plissait les yeux. Elle devait ressentir un peu de douleur mais il m’était difficile de dire si cela était du à la sodomie, les gorges profondes imposées par Francis et Carlo ou ses tétons martyrisés par Nino. Visiblement sur le point d’exploser, Gus sortit du cul de Mélanie et s’extirpa du lit pour s’approcher de Rodrigue et moi.
« Putain qu’elle est bonne ! s’exclama Gus.
— Je ne vous ai pas menti, un vrai garage à bites cette petite pétasse, répondit amusé Rodrigue.
— C’est clair Tu dois bien t’amuser avec une salope pareille enfin, quand tu peux te la baiser, me dit-il avec un clin d’il. »
Francis profita du retrait de Gus pour s’introduire dans le petit trou de Mélanie. Pendant ce temps, Nino et Carlo se partageait la bouche de ma copine. Un instant plus tard, la pression de Gus étant retombée, il repartit vers le lit. Nino vint alors nous voir.
« Tu te rends compte qu’on va tous lui prendre le cul à ta donzelle, me dit-il.
— Oui, je m’en rends compte.
— Et ça na te fait rien de savoir que ta pétasse est notre salope à tous ?
— Je
— Bien sûr que ça lui fait quelques chose Ça l’excite, me coupa Rodrigue. »
Ainsi, à tour de rôle, tous prirent le petit trou de ma compagne. Les verges se succédèrent aussi dans sa bouche. Ils étaient à tout moment au moins deux à baiser ma copine. Elle jouit un nombre incalculable de fois. Pour éviter de jouir trop vite, les hommes s’écartaient du lit et venaient nous voir. Puis Rodrigue s’adressa à chacun d’eux.
« Messieurs, il est temps de doucher la belle. »
Mélanie fut ramenée au pied du lit, à genoux. Les quatre hommes l’encerclèrent et prirent leur verge en main. Ils se branlèrent en direction de ma copine. Carlo fut le premier à jouir. Il éjacula sur le visage de Mélanie, de son menton à son front. Nino, Francis et Gus suivirent. Tous tournèrent ma copine vers eux pour pouvoir jouir sur son visage. Ma compagne était recouverte du plaisir des hommes. Celui-ci avait coulé sur ses seins et sur ses cuisses.
« Bon, les gars, il est temps de rentrer chez vos femmes. Moi, je vais rester encore un peu. Mélanie, va te laver. Tu es dégueulasse dit Rodrigue. »
Les quatre hommes reprirent leurs vêtements et se rhabillèrent. Pendant ce temps, Mélanie fila à la douche. Quand les hommes furent prêts, Rodrigue me dit d’aller les raccompagner. Dans un silence lourd, je fis sortir chacun des quatre hommes qui ne manquèrent pas de me féliciter pour « la salope qui dort dans [mon] lit ».
Lorsqu’ils furent tous partis, je suis retourné dans la chambre. Bien entendu, Rodrigue avait repris Mélanie en main. Elle était en train de lui faire une fellation. Rodrigue lui caressait les cheveux comme si elle était pour lui un animal de compagnie bien dressé. Il l’installa ensuite à quatre pattes sur le lit et, la tenant fermement par les hanches, il la pénétra. Il agrippa par les cheveux et la besogna avec férocité. Il me demanda alors d’approcher.
« Tu veux un gosse ? Me demanda-t-il.
— Euh Non
— Et toi, salope ? Tu veux que je t’engrosse ?
— Comme tu veux, lui répondit Mélanie entre deux gémissements. »
Et Rodrigue jouit en elle. Il se releva, s’habilla et partit, nous laissant seuls. Mélanie m’informa qu’elle ne pouvait pas être enceinte. Cela devait me rassurer mais elle ajouta :
« Ce sera peut-être pour la prochaine fois qu’il viendra… »
Je l’aime.