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Ma tante de 45 ans est sublime – Chapitre 17




L’accueil fut convivial et mon petit frère nous salua précipitamment, ne restant pas chez mes parents mais ayant élu domicile chez sa copine près de Menton.

Ce fut bon de se retrouver au pays !

Mes parents nous firent visiter les lieux ainsi que notre chambre (!) et celle adjacente pour Anne. L’endroit fut somptueux avec une piscine dans laquelle l’idée de piquer une tête me tirailla l’esprit.

Ma mère se mît à fondre devant notre fille et avec ma tante, elles papotèrent entre surs.

De mon côté, nous n’échangeâmes que pures banalités avec mon père.

Ma tante avait retrouvé sa silhouette de guêpe, en pratiquant assidûment la gymnastique après sa grossesse.

Je me joignis à leur conversation.

— Alors Jean et ton travail ?

— En plein boum maman et Chantal a dû te le dire, elle a pris une sorte de congé parental pour s’occuper d’Anne à plein temps mais là-bas, ça reste compliqué.

— Formidable et ma petite fille est adorable !

— Merci et je vais aller me baigner.

— Tu as raison et toi Chantal, tu y vas ?

— On a encore des choses à se raconter…

Tandis que je goutai à l’eau l’aire de la piscine, je ne manquai pas une bride de leur conversation.

— J’ai du mal à m’y faire Chantal, te voir avec Jean et votre fille.

— Je sais Annie, mais nous sommes heureux.

— C’est ce qui compte, mais toi ma petite sur, toi qui couches avec mon propre fils, si nos parents étaient encore de ce monde !

— Bon tu ne vas pas recommencer, parlons d’autre chose.

— Oui et vous n’en voulez pas un deuxième ?

— Annie, j’ai 45 ans ! Il faut savoir dire stop.

— En effet, pour ce soir j’ai invité les Durieux, tu te rappelles d’eux ?

— Bien sûr mais ils ne sont pas au courant au sujet de Jean et moi ?

— Non évidemment ! Tu me vois leurs dire que ma sur couche avec mon fils ?

— Bon finalement je vais me baigner ! Dit ma tante exaspérée.

Chantal arriva en bikini blanc, elle avait comme on dit une sacrée gueule (!). Féline, sensuelle…la femme mûre dans toute sa splendeur.

Nous batifolâmes dans la piscine et je fis remarquer à ma tante qu’elle s’était fort bien débrouillée seule, pour se mettre de la crème à bronzer. Elle éclata de rire, pensant à nos séances anglaises…Néanmoins, sous l’il avisé de ma mère, nous évitâmes de nous embrasser, même si le fait de voir ma tante resplendissante m’encouragea à le faire dans la tête.

Notre baignade terminée, nous regagnâmes notre chambre, Chantal en profitant pour prendre une douche. Je fis une intrusion et ma tante, ravie se colla contre moi. Mon sexe trahit mes pensées et ma tante s’en aperçût immédiatement. J’éteignis la douche un instant pour nous badigeonner de gel douche. Nous nous frottâmes l’un contre l’autre et le gel aidant, les fesses déjà si douces de Chantal ne firent qu’attiser mes pensées. Je remis la douche pour nous en débarrasser et je sortis en premier, vite séché pour tendre une serviette à Chantal.

— Quel gentleman !

J’essuyai ma tante studieusement, elle se laissa faire et au passage, je déposai un petit baiser dans le creux de sa nuque. Parcourue de frissons, elle me regarda droit dans les yeux.

— Jean, tu n’y penses même pas, je suis si mal à l’aise face à ta maman et nous n’avons pas le temps, il est déjà 19 heures.

— Mais je n’y pense pas !

— Prends-moi pour une gourde en plus.

La vache pensais-je, comme elle fut bandante à poil devant moi et si propre, si belle à croquer… Il me fallut rester maître de mes pensées, aussi je détournai le regard de ma proie capricieuse.

A l’heure de l’apéro, le couple d’amis arriva et nous passâmes une soirée bien sympathique.

Les Durieux me demandèrent comment se passait la vie aux États Unis, ils enchaînèrent sur mes relations de travail avec ma tante. Je leurs narrai toutes les circonstances qui nous conduisirent à se retrouver par hasard, dans la même entreprise.

Chantal me fit un clin d’il, fière de son homme et de ses explications (!).

Ils prirent congé et nous restâmes tous les quatre à bavarder de notre fille, dormant paisiblement.

Il se fit tard et mon père leva la séance, je vis le regard échangé entre ma mère et sa sur, un regard sévère. Nous voir partir ensemble dans la direction de la chambre l’interpella intérieurement.

— Je vous souhaite bonne nuit.

— Merci Annie, à toi aussi.

— Merci Chantal.

— Bonne nuit maman !

— Et prends soin de ma sur.

— C’est d’un goût ! Répondis-je en haussant les épaules.

Ma mère me fit un sourire forcé et nous laissa rentrer. J’installai Anne dans son petit lit et j’en profitai pour me brosser les dents. Une fois fini, je vis Chantal en tee-shirt avec un slip, mains sur les hanches et moi entièrement nu face à elle.

— Elle ne pouvait pas s’en empêcher ! Me dit Chantal agacée.

— Que veux-tu, c’est ma mère, il va lui falloir du temps.

— Remarque, je ne sais pas comment je réagirai à sa place, savoir que son fils dort avec sa sur…

— Tu réagirais mal.

— Exact mon chéri.

— Tu es super sexy ma douce Chantal.

— Tu trouves ?

— Approche un peu…

Ma tante usa de ses charmes en se déplaçant, balançant ses hanches comme il fallait. Elle enleva son slip, gardant le haut. Ultra sexy avec les cheveux quelque peu en bataille et un restant de maquillage, elle me lança en se passant la main dans les cheveux.

— C’est bien ce que tu voulais ?

Je n’entendis aucun son sortir de ma bouche, je restai muet devant sa splendeur, avec ses proportions plus que parfaites, 1m70 et 54 kg. Pas le moindre défaut.

Chantal se mît de côté et me lécha le cou en saisissant mon sexe. Elle commença à me branler tout en continuant à promener sa langue le long de mon cou. Je me laissai faire tel un jeune puceau (!). Ma tante s’en amusa et ses doigts fins jouèrent avec mes testicules.

La phrase de Léonard de Vinci me vint à l’esprit.

"La main n’est rien sans l’esprit,

L’esprit n’est rien sans la main".

Certes la citation de l’auteur de la Joconde put paraitre quelque peu déplacée mais ma tante elle-même ne fut-elle pas une artiste dans un tout autre style…

Ensuite elle retira le haut me montrant ainsi son buste flamboyant et soudainement, elle me jeta sur le lit comme un jouet.

Je restai pantois face à tel geste, le sexe tendu, dressé, gonflé du désir à venir. 

— Je vais me démaquiller et je suis à toi.

— Ne tarde pas trop !

— Je fais vite.

Je vis son joli petit cul s’éloigner pour revenir quelques minutes plus tard. Sans aucune pudeur, elle se mit à califourchon et je sentis l’humidité de son intimité sur mon bas ventre. Elle mit son buste bien en avant, arborant fièrement sa poitrine et posa ses mains sur ses cuisses. Je caressai ses hanches, son ventre doux et palpai ses seins gonflés de désir. 

— Tu m’as bien détaillée, ta Tatie te plait toujours autant ?

— Sois rassurée, toujours autant et je crois que je fais beaucoup d’effet à ma tante…

— Pourquoi tu dis ça ?

— Mais tu mouilles comme une folle !

— Oh la la, je ne peux rien te cacher. Oui je mouille parce que ça m’excite d’être sur toi.

— Reste ma belle, fais du rodéo !

— Je dispose d’une belle monture à chevaucher…

— Excellente réponse ma chère tante !

Et Chantal ondula son bassin, de manière à ce que je ressente ses lèvres intimes glisser le long de ma peau. 

Sublime sensation.

Puis ma tante me prit la main et mît mon index dans sa bouche en se mettant à le sucer en souriant. Elle se voulut aguicheuse, allumeuse et elle le fut.

Je lui fis de longues caresses à la base de ses seins et pinçai leurs pointes ce qui provoqua en elle un long gémissement. 

Ni tenant plus, ma tante souleva ses fesses pour venir y loger mon sexe. Elle le fit avec dextérité, avec amour. Je la vis se rassoir avec grâce, tout en se faisant pénétrer avec allégresse. Chantal posa ses mains sur mon torse sentant bien que mon membre en feu prenait possession de son intimité, de son corps terriblement sensuel.

Les yeux fermés, elle débuta son rodéo sans se hâter, savourant chaque moment de recevoir le sexe de son neveu en elle.

Je perçus les contractions de son vagin et Chantal n’en abusa point, juste à chaque mouvement de son bassin, ma tante contracta ses muscles tant qu’elle le put. Notre accouplement incestueux se voulut volontairement paresseux au départ mais avec le désir grandissant, le rythme de ma tante devint plus consistant et je m’aperçus que ma belle Tatie commençait en douceur, à éprouver un plaisir de plus en plus palpable. Je continuai mes caresses incessantes sur ses seins embrasés ce qui ne fit qu’attiser son plaisir.

Je regardai Chantal, je pensai à elle, à ce qu’elle représentait. 

J’avais son corps splendide avec mon sexe rentré en elle et je la caressais de toute part. Et je ne m’ôtais pas de la tête que cette femme si belle n’en restait pas moins ma tante, celle à qui je faisais l’amour restait la sur de ma mère à moi. Je mesurais le niveau de notre inceste, comment aurais-je pu penser en arriver là ?

Je baisais ma tante avec la chambre de mes parents à coté et je lui avais fait un enfant (!). Nous avions 20 ans d’écart et je la faisais jouir à mon gré. Je la voyais s’agiter sur moi et elle en avait oublié qui j’étais. 

Elle m’avait connu tout gosse pour maintenant se retrouver nue sur moi.

Je lui avais fait la bise sur chaque joue quand elle venait nous voir, dorénavant je glissais ma langue à l’intérieur de sa bouche savoureuse.

Je l’avais appelée Tatie Chantal et désormais je l’appelais ma chérie.

— Jean, ça va ? 

— Oui. Répondis-je revenant à la réalité.

— J’aimerais que tu me baises comme tu sais le faire.

— Alors allonge toi.

— Avec plaisir mon seigneur !

— T’es une sacrée Tatie…

— Tu peux parler petit vicelard !

— Attends un peu ma belle.

Chantal mît fin à son rodéo et s’allongea en s’étirant. 

Dieu qu’elle fut éblouissante !

Je la saisis par les hanches, elle souleva son bassin et ma verge reluisante se mît à la conquête de la belle chatte de ma tante chérie. Ce ne fut qu’une pure formalité pour la pénétrer à nouveau, Chantal m’offrit ses lèvres et j’imprimai un rythme endiablé tout en nous embrassant comme deux fous. Très vite elle se crispa parcourue par une onde de plaisir, ce ne fut que le commencement.

Mes mouvements me firent l’impression d’une marée montante, mes coups de reins s’assimilèrent à ces grandes vagues déferlantes venant agoniser sur le sable fin, leur écume faisant office d’un squelette éphémère. Je déferlai ainsi dans le corps de ma tante, caressant sa chevelure blonde pour mourir en elle. 

De vagues en vagues, Chantal lâcha prise dans de longs gémissements. J’enveloppai ma belle partenaire pour la protéger de la lame de fond se réveillant au fond de moi.

Je fus submergé de frissons et mes va et vient en elle se firent rapides, assommants, étourdissants. Je pénétrai ma tante à tout va, je la transperçai, la poignardai. Elle me serra contre elle, la bouche ouverte, haletante tout en recevant mes saccades ininterrompues. Je sentis ma semence se fondre en elle, se disperser dans tout son corps en ébullition. Son corps m’appartint durant ce moment, mes mains caressant ses hanches, son ventre, son buste à la poitrine en feu. Elle aussi me caressa comme elle put, ses mains se dispersant le long de mon dos. 

Nous jouîmes l’un dans l’autre et Chantal n’eut plus la force de faire la moindre contraction, emportée par son orgasme.

— Oooh oui ! continue mon bel étalon, continue à baiser la sur de ta maman !

— Je l’aime cette sur.

— Ouii elle est à toi, elle est ta chose ! continue de baiser cette petite sur qui t’a fait tant fantasmer.

— Oui je te baise petite sur.

— Profite de sa chatte toute ouverte pour toi ! enfonce-toi bien dedans mon amour !

Après ces mots crus et quelques minutes pour retrouver nos esprits, j’embrassai une dernière fois ma tante et je me retrouvai à ses côtés, épuisé tout comme elle. Elle vint, câline, poser sa tête sur mon torse en me caressant machinalement, ne pensant à rien, appréciant le long moment de nos ébats incestueux. 

Je caressai à mon tour son formidable cul, mes mains suivant les courbes de ses fesses bien fermes, bien attrayantes et nous éteignîmes la lampe de chevet. Chantal toute joyeuse voulut me faire partager sa joie, aussi elle entama une conversation en me chuchotant.

— Tu aimes bien me faire l’amour toi !

— Tu es toujours mon fantasme Tatie, te baiser reste une folie mais une folie délicieuse.

— Je ne pensais pas sincèrement que ça allait durer entre nous, en Angleterre quand ta mère m’a demandée de te trouver un stage, j’étais folle de joie à l’idée de te voir et puis après, à chaque fois que tu me faisais l’amour, je me disais "profite ma petite Chantal, ça va être bientôt fini"…

— Et puis ça continue.

— Oui mais c’est comme ce soir, j’étais loin d’imaginer que ce serait toujours aussi fort, aussi intense à chaque fois et maintenant depuis près de 5 ans.

— C’est vrai que tu es très "réceptive" comme on dit avec moi.

— Ouii ! j’adore tes caresses, j’adore tout avec toi et tu m’emmènes dans les étoiles comme ce soir, Jean ça reste merveilleux entre nous même si je suis la sur de ta maman et que tu as l’âge de mon fils mais finalement c’est bien tout cela qui t’excite ?

La conversation devint plus subtile, un jeu entre le chat et la souris commença…

— Et toi ? ça t’excite aussi de te faire sauter par un mec qui a l’âge de ton fils, je suis aussi ton fantasme quelque part…

— J’ai toujours été attirée par des hommes de mon âge mais en Angleterre, ça a fait tilt avec toi et avec Andrew, je m’emmerdais tellement au lit, alors quand tu as commencé à me baiser, j’ai compris ce que signifiait grimper aux rideaux ! Et puis tu es si doux et délicat avec moi et quand tu me pénètres, je m’envole…

— Bref tu ne t’en remets pas ! En lui souriant.

— Je sais qu’on fait super bien l’amour ensemble et n’oublie pas que tu restes le seul que j’autorise à me prendre par derrière !

— Rien que d’y penser et ça m’excite Chantal.

— Euh chéri il est tard, alors on y pense une autre fois d’accord ?

— On verra demain matin.

— T’es fou !

Vers 5h30 du matin, le soleil s’étira lentement et ma tante en fit de même tandis que notre fille avait un sommeil bien profond.

Elle vint près de moi à moitié endormie et je lui pris la main pour l’amener vers ma verge, bien dynamique le matin. Je lui glissai un baiser dans le cou et Chantal, pour me faire plaisir se mît à me caresser. Je baissai le drap afin que ma tante apprécie la vigueur de mon sexe.

— Tu as vu ? Lui dis-je.

— Oui mon chéri, tu as un très bel objet !

— Si tu veux me faire plaisir…

— Oh non pas maintenant !

Chantal continua néanmoins à passer ses doigts sur mon sexe de plus en plus virulent. Voyant mon souffle s’accélérer et l’effet que ses caresses me procurèrent, ma belle Tatie s’intéressa de plus près à son uvre.

— C’est vrai qu’elle est belle le matin !

— Tu vois Tatie, elle te réclame.

— Bon, comme tu m’as bien baisée hier, je vais m’occuper de la si belle verge de mon neveu.

Sensuellement, Chantal activa le mouvement tout en se mouvant pour se retrouver la tête sur mes cuisses. Elle se retourna de manière à ce que je la vois face à moi…et mon sexe. 

Bien installée, Chantal se mit à me lécher le bas de ma verge, sa main posée dessus.

Elle la décalotta légèrement pour y apposer ses lèvres humides et se l’appropria en la mettant progressivement dans sa bouche. La chaleur matinale de son palais ne fut que pur bonheur pour ma verge, toute heureuse de retrouver la langue si câline de Tatie Chantal, s’amusant à souhait à la dorloter. Sa jolie frimousse fit le balancier en me gobant le sexe, sa tête alla de haut en bas, ses lèvres délicates accompagnèrent ma belle verge dans sa fellation royale. 

— Ca va mon chéri ? Me demanda Chantal, gardant mon sexe en bouche par habitude.

— C’est juste génial.

Ma tante reprit et me suça très doucement ce qui me permit de voir mon sexe rentrer entre ses lèvres pour en ressortir au ralenti. Ce fut divin si…

— Oui Anne, maman arrive !

Notre fille venant de se réveiller, sa mère se leva immédiatement et vint à son chevet.

Anne s’amusa avec nous et nous rejoignîmes mes parents pour le petit-déjeuner vers 7 heures. Le chant des cigales nous accompagna tout le long avec la piscine et son eau bleutée.

Mon père partît faire sa toilette et ma mère s’occupa d’Anne pour la faire déjeuner. Elle discuta avec sa sur puis volontairement, elle déchaussa un de ses nu-pieds pour venir se frotter contre ma cheville. Sentir la douceur de ses orteils au contact de ma peau me mît dans un état disons, conséquent.

Chantal, tout en bavardant avec ma mère me jeta de brefs coups d’il. Je craquai devant son petit manège…

— Tu reprends du café Jean ? Me demanda ma mère.

— Pardon ?

— Tu es dans les nuages !

Chantal éclata de rire devant mon absence. Je répondis que j’en reprendrai volontiers et je lançai cette fois un regard rieur et complice à ma tante. Avec subtilité, ma douce compagne alterna des allers retours avec son pied gracieux entre ma cheville et mon mollet. 

Puis elle continua de bavarder comme si de rien n’était avec ma mère mais ma virilité en décida autrement et l’idée de quitter la table fit son chemin. 

Je décidai de me mettre en bout de table afin de fumer une cigarette. Aussitôt Chantal vint près de moi et m’en demanda une.

— Tu fumes Chantal ?

— Oui comme Jean. Répondit-elle avec un ton provocateur.

— Ah bon…

— Tu peux t’occuper d’Anne le temps que je fasse ma toilette Annie ?

— Mais oui.

Chantal ne termina pas sa cigarette et prit la direction de notre chambre. Je restai ainsi face à ma mère.

— J’espère qu’elle n’est pas vexée Jean ?

— Mais non, elle n’est pas susceptible.

— Tu la connais mieux que moi mon fils mais elle reste ma sur avec laquelle j’ai grandie et ta tante si on veut.

— Tu peux stopper maman, si c’est pour envoyer des pics, ça n’était pas la peine de nous inviter.

— Je n’ai rien dit de mal ! Et puis va donc toi aussi faire ta toilette avec ta tante.

— Exact, j’y vais.

Je me levai, contrarié et j’embrassai ma fille en passant.

J’ouvris la porte et je vis Chantal sortant de la douche avec une serviette nouée dans les cheveux.

— Attends, je vais te sécher.

— Volontiers chéri, mais après tu prends une douche.

— Quelle question !

Je ne m’attardai point sur le corps de ma tante et filai sous la douche. Une fois prêt, j’ouvris la porte de la salle de bain pour y découvrir un spectacle étourdissant.

Chantal me fit son beau sourire, allongée sur le lit, les bras en croix derrière la tête et les jambes grandes écartées. Je restai bouche bée.

Entièrement nue, elle agita brièvement son bassin et à la vue de sa mine relâchée, elle me signifia sans mot dire que je pouvais disposer d’elle dans l’instant même.

— Alors qu’en penses-tu ?

— Pardon ?

— Ne fais pas comme avec ta maman et viens satisfaire ta Tatie !

— Pas si vite, laisse-moi regarder ta chatte magnifique.

— Tu m’embêtes avec ça. Chantal prit un air gêné.

— Ecarte bien tes jambes que je vois tes belles lèvres si roses.

— Bon…

Chantal écarta davantage ses jambes, j’approchai et je lui fis une lente caresse de bas en haut sur son intimité, je remarquai que ma tante ne fut pas insensible à mon geste. Je tendis mon doigt vers sa bouche, caressant cette fois ses lèvres pulpeuses. Elle le mît dans sa bouche et le suça généreusement en creusant ses joues.

Subitement elle le retira.

— Jean, tu me sautes maintenant, je n’en peux plus !

— Mais je viens ma douce Chantal.

Ma tante ne put, sur mes dernières paroles qu’esquisser un large sourire.

Son regard en dit long sur le plaisir promis de se faire pénétrer par son neveu.

Mon sexe se présenta face à l’intimité de ma tante.

Mon gland fit connaissance avec son antre, il poussa la porte, se retrouva dans l’entrée et la propriétaire m’incita à longer son long couloir. Mon sexe galant accepta volontiers et pas à pas, il parcourut ce passage fort accueillant. J’arrivai dans la salle à manger et fis demi-tour pour parcourir à nouveau ce couloir enivrant. La propriétaire ne fut que charmée de voir que sa demeure charmante plut à l’ensemble de ma personne, je foulai une nouvelle fois ce fameux couloir, sombre, mystérieux à souhait dans lequel je ne voulus plus sortir. Mais la maîtresse des lieux m’indiqua la salle de séjour en insistant quelque peu.

— Oh c’est si agréable de te sentir dès le matin mon chéri mais il faut faire vite, ta maman va se poser des questions.

Je m’amusai d’entendre ma tante appelant ma mère "ta maman" et le nom de cet écrivain m’échappe mais sa phrase fut d’actualité entre ce que nous fîmes ma tante et moi.

"Faire l’amour en cachette, c’est comme voler des bonbons à l’épicerie, c’est délicieux. Ce goût exquis, dans l’arrière-bouche, d’une chose pas bien.

Pardonnez-moi mon père, pardonnez-moi ma mère, pardonnez-moi parce que j’ai péché et que je compte bien pécher encore et encore".

Assimiler ma tante à un bonbon fut fort proche de notre quotidien et l’idée de pécher avec la petite sur ne me dérangea nullement.

Aussi j’accélérai le tempo et j’inondai de bonheur ma si charmante tante qui ne put que gémir en silence. Elle se crispa de tout son corps pour ensuite se relâcher sentant mes ardeurs s’éteindre. Telle une femelle repue d’un coït bref et intense, elle s’allongea sur le ventre, repliant ses jambes. J’admirai ses courbes, les courbes de ses fesses pour être précis. Mon constat fut sans appel, ma tante était la femme idéale, celle que l’on peut se permettre de regarder sans voir le temps passer. Ensuite elle me chuchota, heureuse du moment passé.

— Jean, tu es super doué en amour.

— Et pourquoi donc ?

— Parce qu’à chaque fois je frissonne ! On est si fusionnel nous deux, je n’en reviens toujours pas avec quelle facilité tu me fais jouir aussi fort, c’est dingue quand je pense que tu es en plus mon neveu.

— T’es une pure merveille à baiser ma Tatie.

— Je crois l’avoir déjà entendu. Dit-elle radieuse.

La fin du séjour approcha, le temps des adieux se fit le soir. Mes parents devinrent plus détendus malgré ma mère, toujours aussi amère de me savoir en couple avec sa sur. J’eus une nouvelle fois une conversation à sens unique avec elle, ma mère s’inquiétant de mon avenir avec Chantal. Je gâchai ma vie en restant avec Chantal, ses mots furent lourds de conséquence.

Nous dinâmes en plaisantant avec mon père, ma mère ignorant Chantal et moi.

Puis mon père prit congé et ma mère apostropha sa sur à la fin du dîner. Le moment fut mal choisi, la veille de notre départ.

— Chantal, vous avez pensé à plus tard ? dans quelques années…

— Que veux-tu dire par là ?

— Dans 10 ans, tu auras 55 ans et Jean 34 !

— Et alors nous le savons et ca reste notre problème. Répondit Chantal.

— Maman, tu peux arrêter une seconde !

— Oui mais ça reste difficile à accepter, regarde ta fille ? Tu l’imagines un jour ta fille qui couche avec ton frère ? Comment réagirais-tu ?

— Ok maman, tu marques un point.

— On s’aime Annie mais je reste ta petite sur et nous avons une jolie petite fille. Ajouta Chantal.

— Oui c’est l’essentiel. Dit ma mère la larme à l’il.

Nous repartîmes le lendemain avec un goût d’amertume entre mes parents et nous.

Je leurs en voulus point, la réaction de ma mère fut prévisible. Comment tolérer l’intolérable ?

Sans partir dans la philosophie, Chantal et moi eurent le même sentiment, un sentiment de rejet mêlé de culpabilité. Ma tante ne me dit rien mais au fond d’elle-même, la honte qu’elle éprouva face à sa sur fut compréhensible. De mon côté, je regrettai d’avoir accepté cette invitation. Le plus simple eut été de venir seul ou avec ma fille.

Nous reprîmes notre train-train et les années passèrent. Chantal changea de sa boite pour un poste plus conséquent.

L’idée d’un deuxième enfant me parcourut l’esprit mais ma tante fut plus que réticente à cette idée. Un enfant avec son neveu, mais pas deux quand même me répondit-elle un jour et elle ajouta les risques d’une malformation due à son âge et notre consanguinité.

A 49 ans, ma tante fut ménopausée, entraînant une forte baisse de sa libido. Elle se trouva laide, pensant que sa silhouette s’alourdissait selon ses propres mots.

Est-ce l’amour qui rend aveugle ? Je ne fis que constater ses sueurs nocturnes et quelques moments d’irritabilité, rien de bien méchant.

Quant à sa silhouette, pour une femme approchant la cinquantaine, je la trouvai encore plus attirante.

Mes relations avec mes parents ne s’apaisèrent guère au fur du temps, ma mère culpabilisant Chantal en lui reprochant de lui avoir voler ma jeunesse. 

Ma tante accusa le coup, je tentai de la rassurer en lui expliquant le bonheur de me trouver à ses côtés. Je compris également ses inquiétudes avec le temps qui passe, sa peur de ne plus me plaire, aussi je n’eus aucun mal à la persuader qu’elle restait toujours autant désirable à mes yeux, en lui proposant de se mettre dans une belle tenue de soirée à mon retour du travail.

Notre fille, fille unique passant la nuit chez sa petite copine avec des amis de longue date, l’occasion fut trop belle pour se retrouver en tête à tête.

Ma tante accepta et se prêta au jeu en me disant qu’une surprise m’attendrait. Etait-ce le retour de sa libido ?

Ce fut un vendredi matin, je déposai Anne chez nos amis pour la rechercher le samedi avant midi. Je quittai Chantal qui de son côté partit travailler en lui laissant toute liberté pour s’habiller, même si je lui suggérai que la voir en tenue du soir m’enthousiasmerait au plus haut point. Sa réponse se fit sous la forme d’un baiser bien langoureux, synonyme d’une libido retrouvée pensais-je.

Le soir même, je rentrai en ayant pensé à ma tante toute la journée. Je vis sur la terrasse deux flûtes posées sur une table, cela me rappela la grande époque.

Je versai le champagne, attendant impatiemment ma promise. Ma tante se présenta comme convenu en robe de soirée assez courte, mettant en valeur ses longues jambes fines agrémenté d’un décolleté somptueux. 

Je partis dans le passé pensant à ces mots d’un poète anarchiste aujourd’hui disparu.

"Un jour nous nous embarquerons

Sur l’étang de nos souvenirs

Et referons pour le plaisir

Le voyage doux de la vie

Un jour nous nous embarquerons

Mon doux Pierrot ma grande amie

Pour ne plus jamais revenir".

Je remplaçai mon doux Pierrot par ma si douce Chantal…

Éblouissante de beauté, étincelante de grâce, Chantal fut tout à la fois ce soir-là. 

Nous fûmes en septembre et mon anniversaire fut proche. 

Chantal prit une flûte et me la tendit en me chuchotant ces quelques mots.

— Notre fille n’est pas là ce soir, c’est le temps des surprises mon chéri. Me dit-elle en me glissant un baiser dans le cou.

— Tiens tiens, ma tante aimerait abuser de son neveu ?

— Non, elle aimerait que son neveu abuse d’elle, s’amuse avec elle comme tu l’avais fait auparavant.

— Dégustons le champagne tout d’abord et mon anniversaire est proche.

— Mais je le sais fort bien et quand tu emploies le verbe déguster, tu penses à moi ?

— Pas si vite ma belle tatie ! D’abord trinquons à nous.

Nos flûtes se rencontrèrent et nous bûmes en nous regardant droit dans les yeux. Ma tante me dévisagea en me souriant.

Nous nous mîmes à table et tout en dînant, ma tante aborda des sujets inédits.

— Jean, il faut que notre fille comprenne bien qui je suis par rapport à ses grands-parents, il est hors de question que je reste ta tante.

— Effectivement, j’y ai réfléchi et le mieux serait de lui dire que tu es la demi-sur de ma mère, sinon elle ne les reverra plus jamais.

— Ah c’est une bonne idée qui tient la route ! Me dit-elle satisfaite et rassurée à la fois.

— D’autres questions ?

— Oui que préfères tu chez moi ?

— Oh mais c’est un interrogatoire ! Je vais te le dire. Physiquement, tu es et resteras mon idéal féminin et pour le reste, tu n’es ni chiante, ni susceptible et tu aimes rire. Satisfaite chérie ?

— Je ne sais pas quoi dire. Répondit Chantal.

— Dois-je te poser la même question ?

— Oh je peux te répondre ! Eh bien malgré ta jeunesse, je ne ressens pas notre différence d’âge, tu es intelligent, tu as de l’humour et tu me fais rire ! Satisfait…?

— Allez Tatie et sexuellement, lance-toi !

— Je n’aime pas trop en parler…

— Allez dis moi

— Bon, alors je me lance. D’abord tu es très doux, extrêmement doux quand tu t’occupes de mon intimité et je dois t’avouer que tu t’y prends très très bien et puis…oh c’est gênant Jean !

— Continue ma Tatie… 

— Et bien ça m’excite de faire l’amour avec toi parce que…tu es le fils de ma sur !

— On est en plein dedans !!

— Bah oui, tu me fais l’amour d’une manière sensationnelle mais en plus, savoir que tu es mon neveu me procure une excitation supplémentaire, voila ! Je t’ai connu môme et maintenant, tu te retrouves entre mes cuisses.

— Génial ! Alors à moi. Quand je te baise, c’est d’abord ma tante adorée et ensuite la femme superbe que tu es. Tu ne peux pas imaginer le bonheur et le mot est faible quand je te pénètre, je rentre en toi, j’accède à ta partie intime de ton être et de ton esprit. C’est purement fantastique rien que d’en parler…

— Arrête Jean, ça devient trop personnel.

Chantal passa sa main dans ses cheveux, visiblement émue et forcément légèrement gênée par de tels propos. Elle baissa la tête puis se redressa avec les yeux brillants.

— Je t’aime éperdument Jean.

— Chantal, tu es la femme de ma vie, j’en suis persuadé malgré le fait que tu sois ma tante.

— C’est beau ce que tu viens de me dire mon beau neveu à moi.

Nous fûmes si je puis dire dans la séquence émotion de notre diner, mais je ne perdis pas le nord. Le repas prit fin et ma tante me fit un sourire. Elle se leva pour débarrasser et j’en profitai pour l’aider, histoire d’être débarrassé de cette corvée.

Puis nous nous installâmes dans le salon, Chantal assise sur le canapé, jambes croisées. Elle fut en face de moi et je contemplai sa bouche au naturel, le rouge à lèvres ayant disparu durant le repas, lui donna une sensualité extrême.

Ma tante ressentit aisément mon attirance envers elle, aussi elle en profita pour remonter discrètement sa robe, de telle manière que le haut de sa cuisse fut bien visible. Chantal en abusa en croisant une nouvelle fois ses jambes toniques, lisses, claires et sublimées par ses talons, je fondai tout simplement.

— T’es quand même super bien foutue !

— Arrête Jean.

— Quand je te regarde, je flambe.

— Ouf, je m’attendais à un autre verbe.

— Ne dis pas ouf Chantal, je crois que tu aimes.

— Oui bon, que me proposes-tu ?

— Tu n’as rien sous ta robe.

— Je te laisse deviner mon cher !

— Donc c’est mon anniversaire en avance et donc je peux te demander tout ce qui me plait ?

— Exceptionnellement oui ! Tu peux.

— Ôte tes chaussures et remonte juste ta robe en écartant bien les jambes ma chérie.

— Bon je n’ai pas le choix si je comprends bien…

Chantal se déchaussa, déposa ses escarpins avec soin et remontant sa robe à mi- ventre. Elle se remit assise en face de moi et me fixa tout en écartant ses longues jambes en me dévoilant la magnificence de son sexe.

Je restai en face, tel un spectateur face à une scène surréaliste. Je commandai ma tante, je lui ordonnai de me montrer son sexe, elle devint pour un soir l’objet de mes fantasmes, ma femelle apprivoisée si j’ose ce terme.

Ma tante aimant être dirigée se mît à attendre la suite.

— Alors Jean, je fais quoi maintenant ?

— Je vais fumer une cigarette et tu vas te caresser pendant qu’on discute.

— Si tu veux ! Me répondit Chantal sans se dégonfler.

Tout en restant fair-play, je me levai et amenai une flûte du reste de champagne à ma tante toute surprise. Tout en la posant, ma main caressa l’intérieur de sa cuisse et je lui volai un baiser.

— Merci mon chéri.

— Tu peux commencer Chantal. Lui dis-je en allumant ma cigarette.

— T’es un peu fou quand même ! S’exclama ma tante en glissant sa main le long de sa cuisse.

— J’aime te voir ainsi, tu es hyper sexy.

— Forcément ! Chantal terminant sa flûte.

— Tu te rends compte que l’on a une petite fille ravissante ?

— Oui, elle te ressemble…

Ma tante bredouilla quelques mots, ses caresses commencèrent à la rendre confuse. Je fis comme si de rien n’était mais au fond de moi-même, la situation me ravit de voir ma tante dans pareil état.

— Caresse toi, fais-toi du bien, laisse-toi partir.

— Jean, tu me fais faire de ces trucs ! Chantal prolongea ses glissades entre ses cuisses.

— Suce ton doigt ma belle.

— C’est une drôle de situation, tu es là devant moi et tu me regardes. Ma tante suça son doigt et le promena le long de son intimité puis titilla délicatement la pointe de son sexe.

— En réalité ça t’excite autant que moi, tu te donnes du plaisir devant moi.

— Oui…je l’avoue Jean. Dit-elle en repliant ses jambes.

— Allez tatie, plonge ton doigt dans tes profondeurs. Aussitôt, elle rentra son majeur dans son intimité avec un léger gémissement.

— Il va falloir venir à mon aide mon cher neveu. Dit-elle les yeux étincelants.

— Continue à t’ouvrir à moi.

Chantal bascula sa tête en arrière, ses allers-retours se firent à sa façon, de manière régulière et j’observai la véhémence de sa respiration. Je n’existai plus, ma tante se procurant du plaisir, sans se soucier de mon regard posé sur elle. 

Puis elle releva sa belle petite frimousse, retira son doigt et garda les jambes grandes ouvertes et me fit signe avec l’index d’approcher d’elle, le buste en avant, les pieds posés sur le tapis et les mains sur ses cuisses.

— Lève-toi ma belle Tatie.

Chantal se mît debout et de sa propre initiative, elle enleva la robe de soirée. 

Je me déshabillai à mon tour et vins m’assoir sur le canapé, Chantal restant debout face à moi, superbe et fallait-il le croire (?), elle allait avoir 50 ans.

— Que veux-tu maintenant mon chéri ?

— Installe toi sur mes genoux que je te caresse de partout.

Chantal prit place telle une cavalière, posant ses mains fines sur mes épaules. En effet, je me mis à la caresser du bas du dos jusqu’à ses épaules frêles. Elle dégagea dans cette position une telle féminité que la garder ainsi, me donna l’impression d’être un privilégié (!).

Chantal me donna sa bouche et nos langues n’en finirent plus de se chercher, de se découvrir.

Je caressai ses hanches pour remonter le long de son dos et enfin, je l’enveloppai contre moi pour encore mieux l’embrasser. Elle se mît à onduler son bassin, tout en gardant ma langue festoyer dans sa bouche.

— Jean, tu m’excites à mort…

— Je sais Chantal et tu vas venir en moi.

— Avec grand plaisir mon amour mais attends…

Elle se déploya avec élégance, ses seins en alerte, son sexe brûlant ne désirant qu’une chose…

Mais elle me sourit et se mît à genoux. 

Je crus voir passer un ange quand je vis ma tante agenouillée avec sa peau si blanche et ses mèches blondes se dispersant sur mes cuisses. 

Ma tante baissa la tête et je sentis mon sexe faire connaissance avec le bout de sa langue, pour finalement se faire engloutir au fond de son palais. 

Je passai ma main dans ses cheveux tout en admirant le va et vient de ma tante, me suçant avec une lenteur frisant la perfection. Je relevai les cheveux de ma compagne pour mieux la voir. Chantal suça ma verge avec la sensualité propre à ses lèvres…langoureusement. Elle se délecta de la rigidité de mon membre en l’engouffrant dans sa bouche somptueuse, puis le fit ressortir en l’accompagnant avec ses lèvres divines. 

Je savourai ce moment, appréciant la technique de ma tante, dans sa manière de me sucer avec autant d’amour.

— J’adore te sucer mon amour.

— C’est exceptionnel ce que tu fais.

Elle saisit mon membre entre ses mains en le pressant délicatement pour y coller ses lèvres, je sentis sa langue apposée contre mon gland. 

Chantal s’arrêta et se redressa, resplendissante avec sa nuque élancée. Elle me fit un sourire puis porta à nouveau ma verge, ivre de bonheur contre ses lèvres en folie. Ma verge disparut dans sa bouche et je regardai ma tante me sucer avec élégance, en alternant sa fellation pour cajoler mon sexe contre sa joue. 

Elle y mît tout son amour, j’eus cette impression folle que Chantal dégustait littéralement mon sexe, tant ses lèvres furent en harmonie dans son va et vient si paisible. Elle y déposa de sa salive et me reprit en bouche en me caressant le torse. 

Puis elle se leva, me regarda avec un sourire et vint se mettre sur moi.

Ma tante se colla contre moi, me faisant des baisers épars. De mon côté, mon sexe en feu réclama son dû, le corps sublime de ma future quinquagénaire. J’eus le temps de téter son sein, Chantal écartant ses jambes de plus belle ce qui me fit ressentir la moiteur de son intimité.

— Viens en moi. Lui dis-je la caressant de toute part.

— Oui mon chéri.

Chantal saisit mon membre et l’approcha de son orifice rêvé. Elle se laissa pénétrer précieusement, j’entrai en elle pour qu’elle m’appartienne, qu’elle devienne mienne.

A cet instant précis, je partis vers un voyage lointain, rejoignant les paroles de cet illustre poète anarchiste.

"Si la mort avait ton regard

Je meurs ce soir sans regarder

Et te demanderai ma part

Au bord du vide et des baisers

L’amour ça ne meurt que la nuit

Alors habille-toi en moi

Avec un peu de rouge aussi

J’aurai ta mort entre mes bras…".

Je mourus ce soir-là dans les yeux de ma tante et l’instant d’après, j’eus sa mort entre mes bras.

Nous nous crispâmes de manière simultanée, fort de nos jouissances respectives. Chantal m’embrassa comme si ce fut la dernière fois, j’enlaçai ma tante de peur de la perdre.

Nous restâmes l’un dans l’autre de longues minutes. 

Tolstoï se mêla à mes pensées.

"Dans l’amour entre l’homme et la femme, il y a toujours une minute où cet amour atteint son plus haut degré, où il n’a plus rien de réfléchi ni rien de sensuel, où il est entière union de deux êtres en un seul".

La minute fut consommée.

Nous allâmes nous coucher, repus d’amour.

Les années se succédèrent et nous fîmes des allers-retours à Paris pour y voir mes parents.

Au fil des années, les tensions entre ma mère et ma tante s’amplifièrent, mon père en fut dépité et me confia un jour, qu’il serait plus judicieux de venir sans la tante. Je répondis par un refus catégorique.

En 2010, nous vîmes pour Noël. 

Les tensions atteignirent leur apogée. 

Le soir même, Chantal du haut de ses 55 ans et toujours aussi mince, revêtit un ensemble de couleur crème avec un pantalon moulant. Personnellement, je la trouvai ravissante et ses formes avantageuses auraient pu faire rougir des trentenaires en toute objectivité.

Ce ne fut pas du goût de ma mère, très vieille France.

Une fois les cadeaux distribués et Anne couchée, nous dinâmes. Ma mère ne fut pas tendre.

— Anne a déjà 10 ans et que devient Mike, ton grand fils ?

— Oh il est venu nous voir avec Amanda le mois dernier. Répondit ma tante agacée par le terme "ton grand fils", allusion directe à son fils pratiquement de mon âge.

— Je vous ai préparé votre chambre pour ta tante et toi. Dit ma mère s’adressant à moi.

— C’est sympa de ta part mais cela fait 10 ans que nous couchons ensemble. Sur un ton volontairement provocateur.

— Je ne sais pas ce que votre fille pensera de tout ça quand elle sera en âge de comprendre.

— Annie, ça suffit avec tes remarques désobligeantes !

Mon père tenta de calmer le jeu, rien n’y fit. Un silence pesant regna lorsque nous prîmes le déca du soir. Puis ma tante posa une sorte d’ultimatum à ma mère, si encore une fois elle se prenait à évoquer notre relation incestueuse en y impliquant notre fille, elle ne mettrait plus les pieds chez elle. Ma mère prit acte et se tut. Ambiance délicate…

Nous regagnâmes notre chambre et Chantal fut passablement énervée. Elle prit le temps de se démaquiller et se glissa nue dans le lit en s

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