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Evolutions – Chapitre 5




ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 05 : Le samedi, tout est permis.

Le lendemain matin lorsque je me réveille, je constate que bien que nos corps se soient séparés inconsciemment pendant la nuit, Alice ne s’est pas enfuie à cause de mes ronflements, et je souris en entendant que c’est elle qui, sur le moment, fait du bruit en dormant. Cependant, cela n’a absolument rien de dérangeant, étant donné que cela ressemble étonnamment aux ronronnements que ferait une chatte, qui serait satisfaite du sort qui est le sien.

Par conséquent, je me tourne lentement vers elle, pour ne pas la déranger dans son sommeil, et je me mets à la contempler en silence. Sa coiffure sommaire s’est légèrement défaite, mais je suis émerveillé par la beauté de son corps nu, puisque nous n’avons pas pris la peine de nous recouvrir avec le drap de dessus. Étant donné qu’elle est allongée sur le dos, ses seins se sont affaissés tout en s’écartant l’un de l’autre, pour dépasser d’un bon tiers de chaque côté de son buste. Cependant, comme ils sont bien pleins ils ne se sont pas pour autant écrasés, mais ils forment deux belles collines de chair, chapeautées par ses petits tétons brun-clair, entourés de leurs larges auréoles de la même teinte.

Son ventre dans cette position est plat, avec en son milieu son nombril creux, qui forme un petit gouffre sombre. Sa touffe de poils noirs et longs constitue un petit buisson ténébreux qui n’a rien d’effrayant, bien au contraire, puisqu’il me donne l’envie de le caresser. Les os de ses hanches sont légèrement saillants, ce qui démontre que bien qu’elle soit loin d’être maigre, mon petit bout de femme n’en est pas pour autant grosse. Et étant donné que ses jambes sont écartées, sa vulve aux grandes lèvres charnues et aux nymphes chiffonnées est parfaitement visible.

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Je me rassasie de ce charmant spectacle pendant une quinzaine de minutes, jusqu’à ce qu’Alice ouvre les yeux tout en resserrant ses jambes, sans doute à cause d’une réaction de pudeur inconsciente. Elle me fait alors un sourire que je lui rends, nous nous disons bonjour, puis je lui demande gentiment :

Tu n’as déjà plus envie d’être la reine des cochonnes ?

Elle rougit légèrement, avant de me répondre en me posant elle aussi une question :

Mince, pourquoi est-ce que tu me dis ça ?

Parce que tu dormais les cuisses ouvertes, probablement pour être plus à l’aise dans ton sommeil, et au moment où tu t’es réveillée, tu les as refermées sans t’en rendre compte. Mais ce n’était pas une critique, juste une constatation.

Elle s’empourpre un peu plus, avant de répliquer :

C’est ça que tu attends de moi, que je les garde écartées en permanence, comme si j’avais tout le temps envie que tu me baises ?

Si ce n’est déjà plus le cas, je suis déçu. Parce que j’espérais qu’il se passerait des mois, et même des années, avant que tu n’aies plus le désir, que je te prenne aussi souvent qu’on en aurait l’occasion.

Cette fois, elle est carrément écarlate, pourtant, elle éloigne à nouveau ses jambes l’une de l’autre, bien plus que lorsqu’elle dormait, et elle les plie pour qu’elles forment un angle de 90 degrés, avant de me dire :

Je ne sais pas combien de temps ça va durer, des mois ou des années, mais j’ai eu envie de sentir ton foutre gicler en moi à la minute où je t’ai vu. Et crois-moi si je te dis que cette envie ne m’a plus jamais quittée.

Bien que ce soit une demande indirecte, si je l’ignorais, Alice serait certainement dépitée. Par conséquent, je me redresse, dans le but de retourner m’allonger les épaules entre ses cuisses, et la tête au-dessus de sa vulve. Étant donné qu’elle a compris mon intention, elle écarte encore plus les jambes, puis elle les passe par-dessus mes bras, avant de poser ses pieds à plat sur le lit une fois que je suis en place.

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J’entreprends alors de lui lécher la vulve avec application, tout en caressant sa lourde poitrine. Pas dans le but de la faire jouir de cette manière, mais juste pour la mettre en condition. Pendant ce temps, je sens mon sexe durcir sous moi, si bien qu’à un moment donné, je suis obligé de m’interrompre pour me soulever sur mes coudes, afin qu’il puisse se repositionner correctement. Alice qui a compris ce que je suis en train de faire, me dédie entre deux soupirs d’aise, un petit sourire légèrement moqueur. Mais je n’en tiens pas compte, et je reprends mes léchouilles et mes pelotages, jusqu’à ce que je la sente prête.

Lorsque je comprends que c’est le cas, puisque mon amante s’est mise à pousser des petits râles de plaisir, je me mets à quatre pattes et elle déplace à nouveau ses jambes, pour les poser à plat sur le lit. Cela me permet de remonter le long de son corps, jusqu’à ce que mes hanches soient proches des siennes. C’est alors elle qui se saisit de ma queue, et une fois qu’elle a décalotté mon gland, elle le guide jusqu’à l’entrée de son vagin. Lorsque c’est fait, elle me lâche, et je laisse descendre mon bassin pour m’enfoncer lentement en elle.

Étant donné qu’elle a eu deux enfants, même si c’était des jumelles et il y a longtemps, je suis surpris de constater que le conduit d’Alice est si étroit. Cependant, si je suis obligé de forcer légèrement et que je m’arrête un instant, pour vérifier que le petit gémissement qu’elle a poussé n’est pas dû à la douleur ; mon sexe n’a aucun problème pour pénétrer en elle dans son intégralité. C’est, je pense, en grande partie grâce au fait que le passage s’est parfaitement lubrifié. Sentir mon membre être aussi bien gainé, comme si j’avais affaire à une adolescente, est tout bonnement délicieux. Et étant donné que je regarde mon petit bout de femme depuis le début, pour savoir comment elle réagit, je n’ai à présent plus aucun doute sur le fait qu’elle partage mon bien-être.

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Je me mets alors à aller et venir en Alice, tandis qu’elle colle le bas de ses jambes sur mes cuisses, et qu’elle pose ses pieds sur mes mollets. Et pendant que je m’active tout en lui léchant le cou et les oreilles, elle m’accompagne en bougeant son bassin tout en geignant doucement, certainement pour augmenter ses sensations.

Nous faisons l’amour de cette manière pendant quelques minutes, puis je décide de changer de tactique en me redressant pour me mettre à genoux, dans le but de pouvoir me servir de mes mains. Alice noue alors ses jambes autour de mes reins, tout en continuant à onduler du bassin et en manifestant discrètement son plaisir, tandis que je caresse ses seins.

Après plusieurs autres minutes, mon petit bout de femme vient poser cette fois ses mollets sur mes épaules, je me penche en avant, ce qui l’oblige à plier les jambes à angle droit, et j’attrape ses mains que je sens moites, pour continuer à faire sortir et entrer ma queue de son vagin. Pendant ce temps, elle m’accompagne toujours dans mes mouvements, et les geignements qu’elle continue à pousser sans augmenter de volume deviennent de plus en plus longs.

La montée du plaisir en ce qui me concerne a été progressive, et je me retiens à présent d’éjaculer, de peur de le faire avant que ma partenaire ne jouisse. Ce qui ne serait pas un drame en soit, mais j’ai envie qu’elle garde de notre vraie première fois un excellent souvenir, étant donné que je considère que ce qui s’est passé entre nous hier, n’était qu’un petit jeu destiné à faire plus ample connaissance.

Heureusement pour moi, en ce qui concerne le plaisir, il en est de même pour Alice, puisqu’elle se met à pousser cette fois des petits gémissements mélodieux, et au moment où l’orgasme l’emporte, celui qu’elle fait dure environ 5 secondes. En même temps, son vagin qui s’était peu à peu adapté aux dimensions de ma queue, mais également lubrifié abondement pour me permettre de coulisser plus librement en lui, est pris de contractions. Cela me masse tellement bien le membre, dans son intégralité, que je ne peux alors plus me retenir, et que mon sperme gicle dans son conduit par saccades.

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Lorsque j’ai fini de me vider en elle, je me redresse, ce qui fait ressortir ma queue qui est en train de se dégonfler, puis je lâche ses mains pour attraper ses mollets. Je dépose alors de tendres baisers sur ses petits pieds que je trouve très mignons, en attendant que celle à qui ils appartiennent reprenne ses esprits. Pendant tout le temps qu’a duré notre accouplement, nous n’avons pas échangé un seul mot, mais nous nous sommes énormément parlé avec les yeux.

Lorsqu’elle a récupéré, Alice éclate de rire, mais cette fois, je ne me sens pas vexé, et lorsqu’elle s’est calmée, je lui demande :

J’en déduis que c’est ta façon à toi de me montrer que j’ai été à la hauteur de tes espérances, mon Amour ?

Elle répond, en rougissant légèrement :

Foutre oui… c’était très…

Jouissif ?

Oui, mais aussi beau… tendre… et merveilleux… En fait, je m’attendais à quelque chose de plus… bestial…

Si tu es déçue à ce sujet, ça peut s’arranger. Parce que pour pimenter notre relation, on peut alterner la douceur et la rudesse.

Puis je me dépêche d’ajouter, en la voyant devenir écarlate :

Bien entendu, c’est toi qui fixeras les limites, et si je fais quelque chose qui te choque, il faudra immédiatement que tu me le fasses savoir.

Alice me répond, toujours aussi rouge :

En même temps, si je veux devenir la reine des cochonnes, il faudra bien que tu m’apprennes à me dépasser.

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Cette remarque me fait sourire, et je lui dis :

On verra bien jusqu’où tu es capable d’aller. En attendant, si on allait prendre notre petit-déjeuner ? Parce que je meurs de faim, pas toi ?

Si. Mais on ne va pas prendre une douche, avant ?

Non. Les vraies cochonnes ne se lavent que quand elles doivent sortir ou lorsqu’elles reçoivent des invités. Le reste du temps, elles baignent dans leur jus.

Alors qu’il avait repris une teinte normale, son beau visage s’empourpre à nouveau, et bien que je m’attende à ce qu’elle proteste, Alice me pose une autre question :

Mince, peux-tu au moins me prêter une robe de chambre, ou un peignoir ?

Non. Tu commences ta vie de nudiste aujourd’hui, et cela me permettra de pouvoir admirer ton corps de madone en permanence.

Cette fois encore, mon petit bout de femme ne s’indigne pas. Après m’être levé, je l’aide à en faire autant, et elle me remercie d’un sourire, bien qu’elle considère ne pas être en sucre. Ensuite, elle refait sa coiffure pour que ses cheveux soient à nouveau attachés en queue-de-cheval haute, puis nous quittons la chambre à poil, pieds nus et crasseux, en nous tenant par la main.

Je l’entraîne directement jusqu’à la pièce d’entrée, et je sors du placard à chaussures deux paires d’espadrilles. Il y a celles que je mets habituellement pour rester à la maison, mais aussi d’autres qui ont déjà servi à l’une de mes ex, mais que je ne me suis pas résolu à jeter parce qu’elles sont pratiquement neuves. Alice les enfile sans hésiter et sans faire de commentaire, ni parce qu’elles sont trop grandes pour elles, ni pour me demander à qui elles ont appartenu. C’est seulement lorsque j’ouvre la porte qui donne sur le devant de la villa, qu’elle s’exclame affolée :

Tu fais quoi là ?!?

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Je lui réponds, après lui avoir souri :

Je me fais livrer le pain tous les matins, et le week-end, il y en a aussi des petits qui sont aux raisins.

Mince, mais on est à poil !!

Oui, mais on est aussi des nudistes. Tu l’as déjà oublié ?

Des nudistes peut-être, mais certainement pas des exhibitionnistes !

Je me tourne alors vers elle, je prends ses deux mains dans les miennes, et je lui demande :

Tu as confiance en moi ?

Oui. Enfin… je crois…

Alors, crois-moi si je te dis que ce que tu vas faire maintenant ne te fera pas plus rougir que les fois précédentes. Tu finiras même par t’y habituer, et trouver ça complètement naturel.

Tandis qu’elle hoche la tête pour me faire comprendre qu’elle se fie à moi, tout en se mordant la lèvre inférieure, ce que je trouve charmant, je lâche sa main gauche et je l’entraîne dehors. Alice me suit de mauvaise grâce et nerveuse, si bien que je suis obligé de la tirer, et nous nous retrouvons dehors, mais à l’ombre, étant donné que le soleil qui s’est levé bien avant nous, donne de l’autre côté de la maison. Cependant, en ce dernier samedi du mois de mai et vers neuf heures du matin, il ne fait pas froid.

Il ne nous faut pas plus de quelques secondes, pour parcourir les sept mètres qui nous permettent d’atteindre le portillon qui donne sur la rue, qui a été fabriqué avec des planches jointes tout comme les portails des garages. Bien que de largeurs différentes, ils sont tous les trois identiques, par conséquent, ils atteignent tous la hauteur d’un mètre cinquante. Un petit sac en toile se trouve dans la boîte aux lettres, qui peut s’ouvrir de l’intérieur de la propriété tout comme du trottoir qui se trouve de l’autre côté, et je le prends avant de le donner à Alice, en lui disant :

Tu vois, ce n’était pas si dur que ça, et la morale est sauve.

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Mais à ce moment, une voiture passe dans la rue en roulant lentement, et au lieu de me répondre, mon petit bout de femme se précipite derrière la haie de thuyas, qui pour sa part est haute de deux mètres cinquante. Cette dernière est elle aussi étanche à la lumière, et par conséquent, Alice, bien qu’écarlate, se sent protégée, ce qui ne l’empêche pas de jurer, tout en parlant à voix basse :

Foutre ! Tu m’avais promis que je n’aurais pas à rougir plus que les autres fois.

Je hausse un sourcil ironique, avant de répliquer :

Si tu étais restée à la même place, le conducteur n’aurait vu que tes beaux yeux. Tu es gênée parce que tu es nue dehors, mais toi et moi sommes les seuls à le savoir.

Mais n’importe qui peut rentrer par le portail, et nous voir à poil !

Non, il est fermé à clef. Tu ne t’en es pas rendu compte hier soir, parce que les grands sont électriques. De plus, le livreur a la même passe que le facteur, par conséquent, il n’est pas obligé de rentrer chez moi pour déposer le pain.

Puis j’ajoute, amusé :

J’aime bien quand tu remplaces ton « Mince » un peu vieille France par « Foutre ». Ça fait très cochonne qui a le con rempli de sperme.

Bien qu’elle soit encore rouge, ma remarque la fait sourire, ce qui prouve qu’elle n’est pas fâchée du petit tour que je viens de lui jouer, mais tandis qu’elle s’apprête à retourner dans la maison, je lui prends à nouveau la main en lui disant :

On va faire le tour pour aller sur la terrasse, puisque c’est là qu’on va prendre notre petit-déjeuner.

À suivre…

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