Retour à la maison…

Après notre partie de jambes en l’air à 10 000 mètres d’altitude, je me suis profondément endormie contre l’épaule de Malik. Je ne me suis réveillée qu’en sentant le choc du train de l’avion contre la piste d’atterrissage. Enfin ! Retour à la mère patrie, mon pays bien aimé, le royaume des bites serviles !

À l’ouverture des portes de l’avion, Malik se faufila vers la sortie, et je ne l’ai plus revu. Ça ne me faisait rien, il avait été pratique, mais rien de plus.

Je retrouvais mon directeur de thèse pour passer les contrôles de la police aux frontières et récupérer nos bagages. Il avait commandé un taxi, il me déposa chez moi avant de continuer sa route.

Si le sexe est ce qu’il y a de meilleur sur terre, il est suivi de près par la bonne douche post-voyage. J’adore sentir le jet d’eau bien chaude presque brûlante courir sur mes épaules, couler le long de ma peau. J’adore cette sensation de chatouillis lorsque le jet frôle quelques zones sensibles comme les tétons ou le clitoris. Ça ne vaut pas une bonne bite bien dure, mais ça peut détendre. Et c’est le parti que je pris sous la douche me détendre en maintenant le jet tout contre ma chatte. J’y gagnais un bon orgasme ! Je m’essuyais soigneusement avec ma serviette avant de me glisser avec délices entre mes draps et m’endormir profondément.

Le lendemain, rafraîchie et reposée, je décidais d’aller faire un tour à la fac ; histoire de faire acte de présence. Les doctorants disposent du laboratoire de recherche ainsi que d’une bibliothèque privée qui se situent dans le bâtiment des bureaux des profs. Je toquais à la porte de mon directeur de thèse et je le saluais rapidement avant de repartir vers le labo.

En chemin, je croisais plusieurs collègues ainsi que plusieurs enseignants de l’université. Parmi ces enseignants, il y avait quatre hommes et j’avais couché avec trois d’entre eux, dont deux en même temps (il faudra que je vous raconte ça). J’ai donc eu droit à quelques sourires coquins.

Il n’était même pas dix heures, et j’étais déjà mouillée d’excitation. Je savais quoi faire.

Je passais déposer mes affaires sur mon bureau, mais je n’avais pas du tout l’intention de travailler. Je me rendis dans le bureau d’un professeur de droit public. Je toquais à la porte, il m’invita à entrer:

Bonjour Philippe, tu vas bien ?

Salut ma petite Astrid, alors ce voyage ? Boulot ou plaisir ?

Tu me connais ! Toujours les deux ensemble. En parlant de ça, j’aurai besoin de ton aide…

Pas de soucis, tu as des problèmes pour tes recherches ?

Tu m’as mal comprise… Je n’ai pas de problème pour le boulot, mais pour le plaisir…

Je vois ! Verrouille la porte petite salope et je vais arranger ça sur-le-champ !

Voilà un homme qui comprend vite et bien. Je me retournais pour verrouiller la porte et en lui faisant de nouveau face, je remarquais encore une fois sa rapidité toute louable. Il avait ouvert son pantalon pour sortir une bite qui commençait à prendre de la rigueur.

Ça n’était pas la première fois que je couchais avec ce prof. Je savais ce qu’il aimait: le jeu de la secrétaire salope. Je défis mes cheveux, ouvris mon chemisier et me mis à quatre pattes pour me faufiler sous le bureau. Je m’approchais de sa bite pour donner un premier coup de langue. Elle sentait bon le savon. Sans réfléchir davantage, je l’engloutis sur-le-champ. Je faisais des allers et retours sur son vit en produisant un bruit de succion obscène. De toute évidence, j’étais en train d’atteindre l’effet rechercher: son sexe devenait de plus en plus dur et de plus en plus gros. Philippe semblait apprécier mon traitement, car il n’arrêtait de chuchoter entre ses dents "oui c’est bon ! Continue petite coquine !Tu vas voir ce que tu vas prendre."

Je sentais mon string devenir de plus en plus humide. J’avais besoin qu’il me prenne, qu’il s’enfonce en moi, qu’il me baise comme il savait si bien le faire. Mais je me concentrais encore un peu sur sa bite.

Finalement, ce fut lui qui interrompit ce traitement.

C’est mon tour de te donner du plaisir ma belle.

Il m’installa sur son bureau comme il l’avait si souvent fait. Il écarta mes cuisses de ses mains avant de remonter ma jupe. Il écarta la ficelle de mon string, prit sa bite avec sa main et commença à l’enfoncer lentement dans mon vagin. Nous poussâmes un soupir de contentement en même temps. Quand il fut totalement en moi, il ressortit entièrement avant de recentrer brusquement. Je collais ma tête contre son épaule pour étouffer mes cris de plaisir. Il me besognait comme un bûcheron besogne la fermière au fond d’une grange: sans douceur, on recherche juste le plaisir du sexe et rien de plus.

Il me prenait de plus en plus vite. Mais il n’était pas près de jouir, ce mec avait une super endurance.

Il se retira totalement de ma chatte, me fit descendre de son bureau et me retourna. J’avais les seins écrasés sur son clavier d’ordinateur, avec mes mains, je m’accrochais aux bords de son bureau. De nouveau, il enfonça sa bite et entreprit de me baiser en me traitant de salope, de petite pute, de cochonne. Ces mots ne faisaient qu’augmenter mon excitation et réveiller ma fureur. J’avais envie de le chevaucher, de le griffer de le mordre ! Mais le moment n’était pas propice à ce genre de traitement.

Je sentais la jouissance monter de plus en plus vite. Philippe aussi commençait à souffler de plus en plus fort.

Vide-toi dans ma chatte mon beau, donne-moi tout ton jus.

Alors que je prononçais ces mots, quelque chose arriva. Je vis la poignée de la porte du bureau se baisser ! Philippe vit la même chose que moi. Il ne fallait pas que nous soyons surpris. Philippe était marié à une autre prof de la fac. Pour ne pas que nous soyons surpris, il me mit la main sur la bouche pour étouffer mes cris. Mais plus que de la peur, nous ressentions de l’excitation. Je le sentis se contracter et se vider en moi en grognant alors que j’atteignais l’orgasme.

Il resta en moi quelques minutes et me chuchota à l’oreille:

Tu es vraiment une cochonne Astrid. Si seulement ma femme baisait comme toi, je serais un homme comblé!

Finalement il se retira. Nous avons remis de l’ordre dans nos tenues. Alors que je quittais son bureau, il dit haut et fort:

N’hésitez pas à revenir vers moi si je peux vous aider, Mademoiselle.

"T’inquiète pas mon beau", pensais-je. Je reviendrai le voir, mais il y avait tellement de mâles dans cette fac… Il faudrait donc qu’il attende son tour !

Related posts

L'académie des dames – Chapitre 1

historiesexe

Gros patron chanceux – Chapitre 1

historiesexe

Une épouse presque fidèle – Chapitre 3

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .